Date de création : 09.04.2012
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Isabelle Adjani a rédigé plusieurs préfaces, notamment celles des ouvrages suivants :
Le drame de la pédophilie : états des lieux, protection des enfants, éditions Albin Michel, 1997.
L'Esprit de Cannes. De A à Z, éditions Assouline, 2004.
Enquête sur une société qui consomme des enfants, éditions du Souvenir, 2008.
En 1988, elle se rend en Algérie, patrie de son père, et participe à un meeting sur le campus de Bouzareah, près d'Alger, à la veille du référendum proposé par le président Chadli Bendjedid, afin de « soutenir la naissance d'une démocratie ».
Lors de la présidentielle française de 1988, son nom ayant été utilisé pour la campagne de Jacques Chirac, elle intervient sur TF1 pour dire qu'elle ne soutient personne.
En 1999, elle refuse de se rendre à l'Élysée pour la réception du président algérien Abdelaziz Bouteflika. Elle dénonce tant le pouvoir algérien que les terroristes. En 1997, soutenant la manifestation parisienne « pour la paix en Algérie », elle donne une interview retentissante qui lui gagne l'affection du peuple algérien, titrée en une du Figaro « L'Algérie m'empêche de dormir, et vous ? ».
En octobre 2007, elle participe à la manifestation, aux côtés de plusieurs personnages connus, contre la mise en place du test ADN pour le regroupement familial.
En février 2009, elle affirme que les propos du Pape Benoît XVI sur l'inefficacité supposée du préservatif pour lutter contre la propagation du sida devraient être, comme pour tous ceux qui vont dans ce sens, « passibles de crime contre l'Humanité ».
En juillet 2009, elle participe à l'inauguration du festival panafricain d'Alger.
En décembre 2009, Isabelle Adjani devient présidente d'honneur du Club des amis et actionnaires du journal Bakchich.
Départ de la Comédie-Française en janvier 1975 alors que la prestigieuse compagnie lui propose un contrat de 20 ans. Adjani préfère se consacrer au cinéma. Le français titre alors : « Adjani, c'est fini ! » et Catherine Guérard dira d'elle : « Une Adjani, il n'y en a qu'une par siècle ! »
En 1982, par peur des scènes de nudité, elle refuse dans un premier temps le rôle d'« Elle » dans L'Été meurtrier (rôle pourtant écrit pour elle depuis 1979). Cette raison l'avait déjà poussée à décliner l'offre de Luis Buñuel pour Cet obscur objet du désir. Mais elle se ravise, obligeant la production de Mortelle randonnée de Claude Miller, sur laquelle elle était engagée, à repousser les dates de tournage.
En 1983, elle abandonne après quelques jours, le tournage de Prénom Carmen que réalise Jean-Luc Godard. Isabelle Adjani dira notamment, à propos du réalisateur : « pendant ces quelques jours avec lui, je me suis sentie sans protection, vulnérable ». Elle est remplacée par Marushka Detmers.
En mai 1983, elle provoque une grève des photographes au Festival de Cannes après avoir annulé sa présence à la conférence de presse de L'Été meurtrier de Jean Becker puis après avoir refusé de participer au photo-call. Durant la montée des marches par l'équipe du film, les appareils et télé-objectifs seront posés au sol et les professionnels tourneront le dos à la star.
À l'automne 1983, Isabelle Adjani joue au théâtre Édouard VII, la pièce d'August Strindberg, Mademoiselle Julie, aux côtés de Niels Arestrup. Au bout de quelques représentations, elle abandonne invoquant une grande fatigue. « Ça ne met pas en bonne santé le cinéma », dit-elle. C'est la comédienne Fanny Ardant qui la remplace.
En 1996, elle abandonne un projet prévu avec Roman Polanski : une grosse production intitulée The Double, dans laquelle elle aurait dû donner la réplique à John Travolta. Le film ne verra jamais le jour à cause des différends opposant le réalisateur, les producteurs internationaux et la star américaine
Outre le français, Isabelle Adjani parle couramment l'allemand, l'anglais et l'italien. En allemand, elle a interprété le rôle féminin principal de Nosferatu, fantôme de la nuit. Elle a également joué Driver, Possession, Quartet, Ishtar et Diabolique en langue anglaise. Elle est d'ailleurs la première comédienne à recevoir un César de la meilleure actrice pour un rôle non francophone en 1982 (dans Possession). Néanmoins, ses deux nominations aux Oscars ont distingué chacune une interprétation en français.
Avec Christine Pascal et Isabelle Huppert, Isabelle Adjani a formé un trio complice. Elles ont été un temps colocataires lorsqu'elles étaient encore méconnues et désargentées, pleines d'illusions et de désirs de gloire. Plus tard, les deux Isabelle se sont donné la réplique dans Les Sœurs Brontë d'André Téchiné. Depuis leur ascension fulgurante, lors des années 1970, la presse a souvent commenté leur rivalité. D'après la biographie d'Erwan Chuberre (La Légende Adjani), l'inimitié entre Huppert et Adjani daterait justement des Sœurs Brontë et aurait touché à une concurrence amoureuse au sujet du directeur de la photographie Bruno Nuytten. Par ailleurs, Adjani explique avoir mal vécu sa mise à l'écart de certains projets, au début des années 1980, à cause du producteur Daniel Toscan du Plantier, directeur de la Gaumont, qui aurait tenté d'imposer Isabelle Huppert, alors sa compagne, comme nouvelle étoile du cinéma français. André Téchiné a reconnu que la relation très tendue entre les deux actrices a compliqué son travail sur le tournage des Sœurs Brontë. Interrogée sur cette perpétuelle comparaison, Isabelle Adjani a affirmé, en 2009, être, en tant que comédienne, plus tournée vers l'empathie pour ses personnages qu'Huppert, en retrait et à distance. Cette dernière a toutefois répondu que le regard d'un film ne dépendait que du metteur en scène et qu'il lui semblait dangereux, pour tout acteur, d'idéaliser son rôle.
Isabelle Adjani paraît en 1981-1982 dans deux publicités télévisées pour la marque de lessive Woolite et en 1984 dans une publicité pour la marque de savon Lux.
Le 18 janvier 1987, pour faire taire une rumeur selon laquelle elle aurait été atteinte du sida ou qu'elle serait même décédée, l'actrice se fait interviewer par le journaliste Bruno Masure, au Journal de 20 heures de TF1, pour prouver qu'elle est bien vivante et en bonne santé.
Le 19 octobre 1992, elle clôt au Louvre le dernier défilé de Gianfranco Ferré pour Dior habillée d'une robe XVIIIe siècle et d'un masque vénitien. Ce défilé est encore cité comme l'un des plus célèbres de la fin du XXe siècle.
Elle préside en 1997 le jury du 50e Festival de Cannes, qui attribue la Palme d'or ex æquo aux films Le Goût de la cerise d'Abbas Kiarostami et L'Anguille de Shohei Imamura. Les jurés sont Gong Li, Mira Sorvino, Paul Auster, Tim Burton, Luc Bondy, Patrick Dupond, Mike Leigh, Nanni Moretti et Michael Ondaatje.
Deux chansons évoquent Isabelle Adjani : Belle comme Isabelle de Midi V, écrit et composé par Jean-Marc Filippi (Car elle était belle / Comme Isabelle / Elle était jolie / Comme Adjani, 1988), et Cannes de Barbara Carlotti (Au bras d'Isabelle Adjani / Tu toises la foule et tu souris, 2006).
Hervé Guibert, dont elle fut proche, en a fait un personnage prénommé Marine en référence à la chanson Pull marine dans son roman d'autofiction À l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie (1990), et l'écrivain américain Bret Easton Ellis la fait apparaître dans une scène parisienne de son roman Glamorama (1998) : « Soudain, Bertrand est bloqué, d'abord par un garçon qui porte un plateau de hors-d'œuvre, que Bertrand refoule avec rage, puis par une Isabelle Adjani d'une insistance inhabituelle et avec laquelle il se force à converser. »
Au fil des ans, elle est modèle photographique pour la marque de lingerie française Lejaby (1988), pour la marque américaine de vêtements Gap (1994), pour le catalogue français de vente par correspondance La Redoute (automne-hiver 2004) et pour la maison de joaillerie française Poiray (2012).
Elle campe l'héroïne du roman Le Maître et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov durant quinze jours au cours du mois de juin 2008 à Moscou et ses environs, avec la collaboration d'une centaine d'acteurs, figurants et de techniciens, sous l'objectif de Jean-Daniel Lorieux. Il s'agirait de la prise de vue la plus chère de l'histoire de la photographie[réf. nécessaire]. Le « shooting » a donné lieu à une exposition itinérante qui a débuté à Paris dans la galerie Ariane Dandois du 10 décembre 2008 au 24 janvier 2009 (prolongée) pour aboutir à Moscou, via quelques capitales européennes. « La réalisation d'un tel projet est comme une victoire symbolique sur le matérialisme ambiant. » a affirmé la comédienne après la séance photos.
En 2008, la marque de maroquinerie de luxe française Lancel crée en étroite collaboration avec l'actrice le sac « L'Adjani » qui s'avère un gros succès de vente.
Le lundi 2 juillet 2012, elle clôt à l'ambassade de Suisse à Paris le défilé automne-hiver 2012 du couturier franco-suisse Jean-Luc Amsler dans une robe noire.
Dessert
Végétarien
Moyennement difficile :
Bon marché :
Type de cuisson : Four
Préparation : 15 min
Cuisson : 25 min
Ingrédients (pour 12 gros choux ou 18 petits) :
Pâte à choux :
- 80 g de beurre
- 125 g de farine
- 1/4 l d'eau
- 3 œufs
- 1 cuillère à café de sucre
- 1 pincée de sel
Crème pâtissière :
- 1/2 l de lait
- 1 sachet de sucre vanillé
- 100 g de sucre
- 2 jaunes d'œuf + 1 œuf entier
- 50 g de farine
- 1 pincée de sel
- 1 cuillère à soupe d'Amaretto (facultatif)
Préparation :
Préparer la pâte : faire préchauffer le four à 200°C (thermostat 6/7).
Faire chauffer dans une casserole le beurre, l'eau, le sel et le sucre. Dès que tout est fondu, verser toute la farine d'un coup et bien mélanger avec une cuillère en bois, jusqu'à ce que la pâte n'adhère plus à la cuillère ni à la casserole.
Hors du feu, ajouter les œufs un à un, puis mélanger à chaque fois jusqu'à homogénéité.
Beurrer une tôle à pâtisserie, puis disposer la pâte en petits tas (18 pour des petits choux, 12 pour des gros). Utiliser pour cela une poche à douille, ou tout simplement deux cuillères.
Cuire au four 20 à 25 mn. Petit truc pour vérifier l cuisson : Les choux doivent résister à une pression du doigt (ou de la cuillère, si l'on a peur de se brûler!).
Préparer la crème pâtissière : faire chauffer dans une casserole le lait, le sel et le sucre vanillé.
Pendant que le lait chauffe, travailler dans une grande terrine le sucre et les œufs avec une cuillère en bois jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Incorporer la farine puis, peu à peu, le lait bouillant.
Reverser dans la casserole (à allure douce) et remuer jusqu'à ce que la crème épaississe. Verser dans un plat.
Lorsque la crème est refroidie, vous pouvez y ajouter une cuillère à soupe d'Amaretto ou d'une autre liqueur (Baileys, Amarula...). Bien mélanger après cet ajout. NB : Ne rien ajouter lorsque la crème est chaude!
La touche finale : la préparation des choux. Remplissez de crème la poche à douille et remplissez les choux un à un, en pratiquant un trou dessous (vous n'avez jamais remarqué, dans les boulangeries, les trous sous les religieuses?). Si vous n'avez pas de poche à douille, couper chaque chou à moitié en deux pour y insérer la crème.
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Par Serge-Henri Saint-Michel - Publié le 20.07.2010
AuFeminin vient de livrer sa dernière enquête sur « les femmes et le sexe » à laquelle 3000 Françaises ont répondu.
Carolle Vidal-Graf, Serge Vidal-Graf et Gérard Leleu en décryptent les grandes tendances et livrent leur analyse.
La première fois : expérience plutôt bonne
Le premier rapport sexuel a lieu entre 15 et 20 ans pour 72% d'entre vous. Et c'est avec un certain soulagement que les trois experts prennent connaissance des chiffres mesurant le niveau de satisfaction quant à ces premiers ébats : 34% en gardent un très bon souvenir, 46% un souvenir moyen (elles étaient mal à l'aise). Selon Carolle et Serge Vidal-Graf : «Les jeunes parlent de plus en plus de sexualité entre eux, et n'ont plus peur de dire à leur premier partenaire qu'ils n'ont jamais fait l'amour ».
Seules 20 % en gardent un mauvais souvenir, voire ne s'en souviennent pas du tout. Sympa pour le jeune homme !
Préliminaires et réjouissances touche-à-tout
Les préliminaires font monter le désir pour 28% des interviewées, mais pas tout le temps... 47% déclarent aussi adorer le « quickie » (petit coup vite fait), et toc !
Et quand monte le désir, et que cela les titille, 58% s'adonnent de temps en temps à la masturbation, contre 22% qui ne se touchent jamais.
54% adorent pratiquer la fellation, alors que 37% le font pour faire plaisir contre 9% que cela dégoûte. Et pour ce qui est du cunnilingus, 54% en raffolent...
Principaux résultats de l'enquête
auFeminin sur les femmes et le sexe :
le quickie apprécié à 47% !
Fréquence des rapports sexuels : un doigt de statistiques
12% de femmes disent faire l'amour tous les jours, alors que la grande majorité, 48%, se consacrent à l'acte sexuel de 2 à 3 fois par semaine. 22% d'entre elles font l'amour une fois par semaine, contre 12% une fois par mois. Et 6% ne font jamais l'amour. Mais les trois psychothérapeutes nous mettent en garde : « dans le domaine de la sexualité, tout ce qui tend à définir une normalité dans le rythme des rapports est une catastrophe. Il n'y a pas de normalité, il n'y a que des statistiques, ce qui n'est pas du tout la même chose ! ». Voilà qui devrait en rassurer certaines.
La position du missionnaire au-dessus de ses con cul rents
Sans surprise c'est le missionnaire qui remporte tous les suffrages (37%). Viennent ensuite la levrette pour son côté bestial (35%), l'amazone pour la maîtrise des éléments (22%), et enfin le 69 pour le plaisir partagé (6%). Rien de nouveau sous le soleil d'après nos experts !
Les sex toys : vulgaires et pas vulgarisés
La tendance sextoys, plans à 3, clubs échangistes etc., très médiatique pourrait laisser imaginer des pourcentages énormes quant à l'utilisation de ces petits jouets si personnels ou la fréquentation de certains lieux. Les françaises sont loin d'être prudes, mais restent assurément loin des clichés.
Seulement 5% des sondées ont déjà mis un pied dans un club échangiste, 79% d'entre elles trouvent ces endroits glauques et 16%, tout de même, aimeraient essayer.
55% d'entre vous trouvent les sextoys vulgaires ! 22% en ont acheté un pour faire comme tout le monde, mais ne s'en servent jamais, contre 24% d'utilisatrices très satisfaites de leur « nouveau meilleur ami ».
Et pour ce qui est des accessoires coquins, dont certains peuvent être connotés SM (menottes, combinaison en latex, fouet...), c'est rédhibitoire pour 43% d'internautes qui trouvent ça dégradant, contre 55% qui en utilisent de temps en temps pour pimenter les jeux amoureux.
Entre fantasme et réalité
Alors, quid du décalage entre ce que l'on nous dit et la réalité ? «Cela s'explique par l'énorme différence qui existe entre parler d'une sexualité débridée et la vivre. C'est un peu comme les fantasmes : raconter un fantasme à son partenaire ou s'en servir pour se masturber peut être très excitant ; le vivre, par contre, se révèle souvent très décevant. Le passage du rêve à la réalité peut faire mal...» dixit Carolle et Serge Vidal-Graff.
Le train train du désir
Le désir parfois quitte le navire. C'est bien souvent quand le stress et la fatigue prennent le dessus, pour 66% des répondantes, quand la routine s'installe avec le partenaire pour 14%, tandis que 21% d'heureuses ne connaissent jamais de baisse de libido.
Ce problème, passager ou non, peut devenir assez embêtant quand on sait que pour 49% des internautes, le sexe est indispensable à leur épanouissement personnel.
Pour le sexologue Gérard Leleu, ce chiffre de 49 est encore trop bas : «Elles devraient être 100% à se sentir concernées et à apprécier le noyau sexuel de leur vie. La relation sexuelle, c'est aussi une relation à part entière qu'il convient d'entretenir comme la relation de couple.
Parmi celles pour qui le sexe n'a pas d'importance, il faut compter avec les mauvaises expériences, les mauvais souvenirs, la frustration... En même temps, si les hommes se montraient plus souvent à la hauteur, les femmes connaîtraient certainement moins de baisse de libido ».
Et quand la libido fait défaut, et le plaisir aussi, la simulation peut parfois faire son entrée. 8% de femmes simulent souvent, 46% quand elles sentent que leur partenaire va être déçu.
Enquête sur les femmes et le sexe :
la reine des Amazones suit le Missionnaire...
avec la levrette entre les deux
Alooooors, c'était bon ?
Au vu des résultats, oui ! 27% des femmes sondées estiment avoir une vie sexuelle super épanouissante et 59% satisfaisante.
Allez viens mon poulet, on s'remet le Dorcel 3D !