Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
19.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Tokyo est située sur la baie de Tokyo, qui constitue l'ouverture maritime sur l'océan Pacifique de la plus grande plaine du Japon, celle du Kantō, sur la côte est de l'île d'Honshū, à l'embouchure de plusieurs fleuves côtiers : la Tama à l'ouest, la Sumida et l'Arakawa en son cœur, la Naka et l'Edo à l'est. Tokyo se trouve à 29 km au nord de Yokohama, à 259 km à l'est-nord-est de Nagoya, à 397 km à l'est-nord-est d'Osaka, à 1 153 km à l'est de Séoul, en Corée du Sud, à 2 094 km à l'est de Pékin et à 9 715 km au nord-nord-est de Paris.
La préfecture de Tokyo est entourée par la préfecture de Chiba à l'est, celle de Kanagawa au sud-ouest, celle de Yamanashi à l'ouest et celle de Saitama au nord.
Au sud-est se trouve la baie de Tokyo. Le Tama délimite la frontière avec la préfecture de Kanagawa et a une longueur de 138 kilomètres ; sa source se situe dans les collines de Tama, à l’ouest de la préfecture de Tokyo. Le fleuve Sumida délimite les frontières avec les préfectures de Saitama et de Chiba ; il constitue la partie aval du fleuve Ara (ou Arakawa), qui a une longueur de 173 kilomètres.
La préfecture de Tokyo se divise elle-même généralement en trois parties :
l'extrémité sud de la plaine de Kantō à l'est, recouverte essentiellement par les arrondissements spéciaux et par quelques-unes des villes les plus orientales de la préfecture ;
les collines de Tama et les monts Okutama à l'ouest, culminant au mont Kumotori à 2 017 m (limite avec les monts Okuchichibu), correspondant à la plupart des villes de la préfecture et au district rural de Nishitama ;
les îles de l'archipel de Nanpō (au sens large, comprenant les archipels d'Izu pour sa partie nord et d'Ogasawara pour sa partie sud) dans l'océan Pacifique, où se situent les quatre sous-préfectures.
Tokyo vit sous un régime de climat subtropical humide. La ville bénéficie d’hivers relativement doux, avec peu ou pas de neige (moyenne minimale de 5 à 6 °C en janvier et février). En revanche, les étés sont chauds (régulièrement plus de 32 °C) et surtout très humides. C’est principalement en raison de ces fortes chaleurs qu’une multitude de distributeurs de boissons (jidohanbaiki) sont présents un peu partout dans la ville.
Le record de chaleur à la station d'Ōtemachi est de 39,5 °C (un record de 42,7 °C fut enregistré dans une autre station) et le record de froid est de −9,2 °C.
La baie de Tokyo subit également deux saisons des pluies (tsuyu de début juin à mi-juillet et akisame en septembre et octobre) et peut subir des tempêtes tropicales ou des typhons entre les deux : par exemple le 10 octobre 2004, le typhon Ma-on a fait une dizaine de morts. On a mesuré des vents de 140 km/h et des précipitations importantes (70 mm en une heure). Ce cyclone tropical était le vingt-deuxième de l’aire Asie-Pacifique et le neuvième à frapper directement le Japon depuis juin 2004. La semaine précédente, le typhon Meari avait fait 22 morts et six disparus.
La région de Tokyo est au carrefour de trois plaques tectoniques (la plaque philippine, la plaque eurasienne, et la plaque nord-américaine), ce qui constitue l'une des zones sismiques les plus actives du monde, la Ceinture de Feu. On recense en moyenne un tremblement de terre ressenti par jour d'après les enregistrements mondiaux des séismes (voir l'agence météorologique du Japon ou l'USGS)[réf. nécessaire]. La quasi-totalité d'entre eux a des conséquences négligeables.
Certains sont en revanche extrêmement violents : le 1er septembre 1923, le grand tremblement de terre de Kantō emporte plus de 140 000 victimes et met près de deux millions de personnes sans abri, détruisant une grande partie de la ville. Sa magnitude a été évaluée à 7,9 sur l'échelle de Richter.
Selon le groupe de recherche Team tokyo les 17 derniers séismes très violents ont frappé tous les 400 ans en moyenne avec une régularité surprenante. Il n'y aurait qu'une probabilité de 0,5 % qu'un tel séisme se produise dans les trente années suivant l'étude. Il y aurait en revanche 30 % de chances qu'un séisme moins violent mais provoquant toutefois d'importants dégâts survienne dans la même période.
Le plus violent séisme survenu à Tokyo ces dernières années a eu lieu en 2005, plus précisément le 23 juillet à 16 h 30, et s'est déclenché dans sa baie avec une magnitude de 5,9 sur l'échelle ouverte de Richter, engendrant des mouvements de panique mais n'ayant causé aucune victime et uniquement des dégâts modérés. Ce séisme était le plus puissant ressenti à Tokyo depuis celui de 1992.
Le séisme du 11 mars 2011 sur la côte Pacifique du Tōhoku a été particulièrement brutal sur l'agglomération de Tokyo située à environ 380 km de l'épicentre, avec une intensité atteignant sur l'échelle de Shindo 5+ (secousses majeures) sur la ville de Tokyo et jusqu'à 6- (secousses importantes) au nord de l'agglomération, soit une intensité équivalente à celle d'un séisme de magnitude entre 6,0 et 6,5 sur l'échelle de Richter qui se serait produit sur Tokyo à une faible profondeur. Un toit s'est effondré sur un bâtiment du centre de la capitale où 600 étudiants participaient à une cérémonie de remise de diplôme, faisant de nombreux blessés, et des dizaines d'incendies ont été signalés dans la capitale. C'est la secousse ayant fait le plus de dégâts et de blessés dans la capitale depuis 1923.
Tokyo s'est dotée des dernières avancées technologiques en matière de prévention sismique, à l'image de ces immeubles high-tech reposant sur de gigantesques ressorts d'acier qui absorbent la majeure partie des ondes sismiques, et limitent ainsi considérablement le risque d'effondrement. Il existe à Tokyo des gratte-ciel de plus de 200 mètres de haut. Les ingénieurs affirment qu'ils peuvent faire face aux plus violentes secousses ; toutefois, dans la crainte d'un hypothétique cataclysme, de vastes exercices d'alerte en grandeur nature sont programmés régulièrement. En dépit de ces dispositifs, un séisme de magnitude 7 qui se déclencherait provoquerait de gigantesques pertes, tant humaines que matérielles.
La région de Tokyo comprend trois parcs nationaux : les parcs de Chichibu Tamakai, d'Ogasawara et de Fuji-Hakone-Izu.
Tokyo s'est développée sans planification publique centralisée. Le plan de la ville est donc très complexe et semble manquer d'unité. Ses rues à l'aspect hétérogène, et sans nom pour la plupart, sont un mélange de constructions ultra modernes et de bicoques sans âge. Tous les arrondissements se décomposent en quartiers qui s'entrecroisent, tous dotés d'une atmosphère bien spécifique.
Gratte-ciels de Shinjuku.
Les tours du quartier de Kōyōdai à Inagi, Tama New Town, emblématique du développement frénétique de l'ouest de la préfecture.
Façade d'immeuble à Tokyo. Mai 2006.
La densité humaine est considérable sur près de 65 kilomètres. L'urbanisme de la ville est la synthèse entre le design contemporain et l'héritage historique. Il règne dans cette immense agglomération une impression de désordre où les immeubles de verre et d'acier côtoient les frêles maisons de papier, et où les autoroutes suspendues forment un inextricable lacis d'asphalte. Les quartiers les plus en vogue de Tokyo, densément peuplés et plantés de gratte-ciel, se trouvent dans le cœur névralgique de la ville.
À Tokyo, plus de la moitié des parcelles constructibles font moins de 100 m2. Ceci explique la multiplication, depuis l'an 2000, de « maisons bonsaïs » occupant 50 à 70 m2 au sol. Dans le centre, le manque d’espace est tel que les bâtiments se pressent les uns contre les autres, voire s’emboîtent entre eux. Les rues sont pour la plupart étroites, et les parkings en surface ainsi que les terrasses de cafés sont très rares. Les hôtels capsules viennent combler même les parcelles les plus minces, là où il serait autrement impossible de construire quelque chose.
Par ailleurs, le système de numérotation des bâtiments de la ville est très particulier : les numéros des immeubles ne se suivent pas par ordre croissant ou décroissant mais correspondent plutôt à leurs dates de construction.
Tokyo est née de la mer. Le rôle de cette dernière y est donc vital : on y trouve plusieurs des grands ports japonais. Les plaines représentent seulement un tiers des terres émergées de l'archipel. Accaparé le plus souvent par l'exploitation agricole ou sylvicole, l'espace devient un enjeu crucial : le seul recours envisagé a été de gagner des terres sur la mer avec la création de terre-pleins littoraux.
Il reste très peu de bâtiments anciens à Tokyo à cause de leur destruction par le tremblement de terre du 1er septembre 1923 et des bombardements américains de la Seconde Guerre mondiale. Les quelques monuments historiques pré-existants ont pour beaucoup été reconstruits à l'identique après ces deux catastrophes. Ce même tremblement de terre a été à l'origine d'une limitation de la hauteur des bâtiments à 31 m entre 1931 et 1962.
Que Tokyo, la capitale la plus peuplée du monde, ne soit pas depuis longtemps en état de nécrose avancée, ni en congestion permanente, a de quoi étonner. Or elle « fonctionne » même mieux que d'autres grandes cités. Le soir, pour rentrer chez eux, la plupart des salariés tokyoïtes effectuent une ou deux heures de voyage dans des trains bondés, qui se succèdent à une fréquence maximale vers les « cités dortoirs » de la partie occidentale de la Métropole ou des préfectures voisines.
Pour limiter ces mouvements pendulaires et développer des activités en banlieue, le gouvernement avait lancé dans les années 1950 et 1960 une politique de villes nouvelles dont la plus emblématique reste la Tama New Townl 16. Désignée comme ville nouvelle en 1965, elle s'étend sur les communes de Hachiōji, Tama, Inagi et Machida, dans les collines de Tama et l'ouest encore largement rural de la Métropole, sur une superficie de 28,92 km2. L'ensemble comprend de vastes complexes commerciaux (dont le principal reste le Parthenon Tama), ses services de proximité (chacun des 21 quartiers qui divisent la ville regroupent 3 000 à 5 000 maisons ou appartements desservis par deux écoles élémentaires et un collège, un centre commercial de quartier, un kōban, une poste, des cliniques ou autres), ses universités et écoles supérieures, ses sites de divertissements comme le parc à thème couvert Sanrio Puroland. Si l'objectif initial de population (342 200 habitants) n'a pas été atteint, la Tama New Town reste, avec 200 000 habitants, le plus vaste développement résidentiel du Japon et le symbole de l'expansion tentaculaire et effrénée de la capitale japonaise dans les années du Boom Izanagi, immortalisé dans le film d'animation du Studio Ghibli Pompoko. Mais elle n'a pas réussi à devenir un pôle d'emploi à part entière et est devenue une ville-dortoir supplémentaire, les transports en commun qui la desservent étant congestionnés par les migrations pendulaires des actifs vers le centre urbain.
La nouvelle solution développée par les autorités face à ce déséquilibre se retrouve dans la loi pour un développement multipolaire du Territoire national. Celle-ci crée dans le périmètre d'une « aire de Tokyo » recentrée sur la métropole en elle-même et les quatre préfectures du Kantō les plus peuplées (Saitama, Chiba, Ibaraki et Kanagawa) des « Cités noyaux d'affaires », désignés par le gouvernement central par le biais des Plans décennaux de développement de la Région capitale. Véritables relais du pôle urbain au sein de la périphérie pour ce qui des emplois et des activités, ces « Noyaux d'affaires » sont dotés d'un Plan directeur général chargé de définir les objectifs et les « installations d'affaires », soit l'ensemble des infrastructures, services, activités et entreprises, publiques ou privées, à implanter. Au sein de la préfecture de Tokyo, deux « Cités noyaux d'affaires » ont été définies dans la zone occidentale des collines de Tama : Hachiōji - Tachikawa (pour la Tama New Town) et Oume.
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