Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
25.11.2024
18341 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1153)
· A à Z : Sommaire (355)
· Mannequin de charme (945)
· Musique (399)
· Monde : France (2757)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (265)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (210)
homme image sur base roman france place png chez musique dieu pouvoir film center centerblog merci maison
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
La Bataille de San Sebastian est un film réalisé par Henri Verneuil et sorti en 1968. Coproduction entre la France, l'Italie et le Mexique, il a été tourné en anglais au Mexique dans les décors du film Les Sept Mercenaires de John Sturges sorti en 1962. Son point de départ, un civil qui passe pour un curé, renvoie au film La Main gauche du Seigneur d'Edward Dmytryk, sorti en 1955.
Synopsis
En 1743, au Mexique, durant la domination espagnole. Poursuivi par les troupes gouvernementales, le hors-la-loi Léon Alastray trouve refuge dans la vieille église franciscaine du père Joseph. Malgré les ordres répétés de ses supérieurs, ce dernier refuse de le livrer aux autorités et se voit bientôt exilé, en guise de sanction, à San Sebastian, un village perdu situé sur le territoire des Indiens Yaquis. Alastray l’accompagne. Mais quand les deux hommes parviennent à destination, ils découvrent un village désert, entièrement dévasté par les indiens Yaquis, menés par leur chef "Lance d'or", et son bras-droit, le métis nommé « Teclo ». Peu après, le père Joseph est tué ; en effet, les Yaquis ne veulent pas voir de missionnaire s'installer chez eux.
Les villageois croyant qu'Alastray est réellement prêtre, celui-ci va être amené, bien malgré lui, à remplacer son défunt bienfaiteur. Il va prendre fait et cause pour le village et ses habitants, succombant aux charmes de la séduisante Kinita. Jouant de ses relations avec Félicia (épouse du gouverneur), il obtiendra les moyens, humains et matériels, nécessaires à la défense du village (fortification, munitions, etc.). Ancien militaire, il entreprend alors d'organiser la défense du village contre le pillage prévu lors de la récolte du maïs. S'ensuit une bataille spectaculaire où il repoussera les indiens avant de les exterminer par ce qu'il convient d'appeler une opération de commando.
Le village connaissant alors la paix, un nouveau père (père Lucas) sera envoyé afin de remplacer Alastray, père "hors norme" aux yeux de la hiérarchie (vicaire général). Bien que la menace des Yaquis soit repoussée, les percepteurs du roi leur succéderont et Alastray, que les autorités n'ont pas oublié, n'aura plus qu'à s'enfuir un peu plus loin.
Fiche technique
Titre français : La Bataille de San Sebastian
Titre italien : I cannoni di San Sebastian
Titre mexicain : Los cañones de San Sebastián
Titre anglais : Guns for San Sebastian
Réalisation : Henri Verneuil
Scénario : Miguel Morayta, Ennio De Concini et James R. Webb, d'après le roman A wall for San Sebastian de William Barnaby Faherty
Assistants réalisateur : Claude Pinoteau et Juan Luis Buñuel
Musique : Ennio Morricone
Photographie : Armand Thirard
Décors : Robert Clavel et Roberto Silva
Costumes : Yvonne Wood
Montage : Françoise Bonnot
Production : Jacques Bar
Directeur de production : Jacques Juranville
Pays de production : France (majoritaire) - Italie - Mexique
Langue de tournage : anglais
Format : Couleur (metrocolor) — 2,35:1 — Son monophonique — 35 mm
Genre : dramatique, historique, guerre
Durée : 111 minutes
Date de sortie :
Japon : 23 avril 1968
Royaume-Uni : 28 avril 1968
Mexique : 2 mai 1968
France : 14 mars 1969
Distribution
Anthony Quinn (VF : André Valmy) : Leon Alastray
Anjanette Comer : Kinita
Charles Bronson (VF : Marcel Bozzuffi) : Teclo
Sam Jaffe (VF : Henri Crémieux) : père Joseph
Silvia Pinal : Félicia
Jorge Martínez de Hoyos (VF : Raoul Curet) : Felipe Cayetano
Jaime Fernández (VF : Sady Rebbot) : Lance d'or
Rosa Furman : Agueda
Leon Askin (VF : Jean-Henri Chambois) : vicaire général
José Chávez : Antonito
Ivan Desny (VF : lui-même) : capitaine Calleja
Fernand Gravey : le gouverneur
Pedro Armendáriz Jr. (VF : Michel Le Royer) : le père Lucas
Jorge Russek (VF : Claude Joseph) : Pedro
Aurora Clavel : Magdalena
José Ángel Espinosa : Luis (sous le nom de Ferrusquilla)
Pancho Córdova : Kino
Enrique Lucero : Renaldo
Chano Urueta (VF : Paul Bisciglia) : Miguel
Noé Murayama (VF : Michel Gatineau) : cap. Lopez
Guillermo Hernández : Timoteo
Francisco Reiguera (VF : Georges Riquier) : évêque
Carlos Berriochea : Pablo
Armando Acosta : Pascual
Guy Fox : villageois
Rico López : villageois
Emilio Fernández
Paul Frees : voix (non crédité)
Julio Aldama : Diego
Commentaires
Ce western se distingue d'à peu près tous les autres par l'époque où il est situé, le xviiie siècle. Par ailleurs, sa consonance religieuse qui voit dans le miracle une illusion est à l'opposé de la production américaine (où Dieu est toujours aux côtés du héros). L'argument de départ, la défense d'un village rançonné par des bandits, rappelle très fortement celui du film Les Sept Mercenaires. Toutefois, le film de Verneuil se développe dans une optique différente : le héros est au départ opposé au pouvoir, mais son refus de l'autorité associé à l'abnégation d'un simple prêtre, désavoué par sa hiérarchie trop préoccupée de préserver ses bonnes relations avec le pouvoir en place, l'amènent à défendre les intérêts des habitants d'un petit village oublié (volontairement) de tous. À force d'obstination, Léon Alastray (le héros du film) fait renaître peu à peu ce village, lui procurant même une situation prospère et une reconnaissance officielle de la part de l'Église et de l'État qui l'avaient dédaigné auparavant.
Le film fut éreinté par la critique.
Voir aussi
Films ayant pour thème un civil déguisé en prêtre au sein d'une communauté :
Aventure à Rome (1952), film américain, avec Van Johnson
La Main gauche du Seigneur (1955), film américain, avec Humphrey Bogart
Cinq Cartes à abattre (1968), film américain, avec Robert Mitchum
La Colère de Dieu (1972), film américain, avec Robert Mitchum
Nous ne sommes pas des anges (1989), film américain, avec Robert de Niro et Sean Penn
|