Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
04.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Fiche technique
Titre : Les aventures de Rabbi Jacob
Titre italien : Le folli avventure di Rabbi Jacob
Réalisation : Gérard Oury
Réalisation de la seconde équipe : Jacques Besnard
Scénario, adaptation et dialogues : Gérard Oury, Danièle Thompson, Josy Eisenberg, Roberto de Léonardis
Assistants réalisateurs : Bernard Stora, Thierry Chabert, Philippe Lopes-Curval et pour la seconde équipe : Jean-Claude Sussfeld
Décors : Théo Meurisse, assisté de Marc Desage et Henri Sonois
Montage : Albert Jurgenson assisté de Jean-Pierre Besnard
Musique : Vladimir Cosma
Directeur de production : Georges Valon
Producteur exécutif : Michel Zemer
Production : Gérard Beytout, Bertrand Javal, Jacques Plante (producteur associé)
Distribution : Impéria Films
Images : Henri Decaë
Opérateurs : Charles-Henry Montel, Franck Delahaye et pour la seconde équipe Vladimir Ivanov, assistés de François Lauliac, Roger Gleize, Michel Laguntke
Son : William-Robert Sivel et Catherine Kelber, pour le montage son
Perchman : Jacques Berger
Script-girl : Colette Crochot et Dominique Piat, pour la seconde équipe
Chorégraphie : Ilan Zaoui
Régisseur général : René Fargeas
Régisseur adjoint : Robert Fugier
Ensemblier : Pierre Charron
Mixage : Jacques Carrère
Bagarres réglées par : Claude Carliez
Cascades réglées par : Rémy Julienne
Effets spéciaux : Pierre Durin
Accessoiristes : Jacques Martin, Daniel Braunschweig
Bruitages : Daniel Couteau
Générique : Jean Fouchet (Eurocitel)
Casting : Margot Capelier
Création des costumes : Tanine Autre, avec la maison Georges Bril
Robes et chapeaux : Jean Barthet
Caméra et objectif : Panavision
Photographe de plateau : Paul Apoteker
Coiffeur : Alex Archambault
Maquillage : Jean-Pierre Eychenne
Tirage aux studios et auditorium « Paris Studio Cinéma » de Billancourt - Laboratoire Franay L.T.C. Saint-Cloud
Format : 1.66 : 1
Langue : français, anglais, hébreu, yiddish, arabe
Genre : Comédie, Aventures
Durée : 91 minutes (1 h 31)
Visa d'exploitation : 3488
Dates de sortie :
France : 18 octobre 1973
Italie : 20 décembre 1973
Distribution
Louis de Funès : Victor Pivert
Claude Giraud : Mohamed Larbi Slimane
Henri Guybet : Salomon
Renzo Montagnani : Farès
Suzy Delair : Germaine Pivert
Claude Piéplu : le commissaire Andréani
Marcel Dalio : Rabbi Jacob
Janet Brandt : Tzipé Schmoll
Miou-Miou : Antoinette Pivert
Jean Herbert alias Popeck : Moïshe Schmoll
Lionel Spielman : David Schmoll
Denise Provence : Esther Schmoll
Malek « Eddine » Kateb : Aziz
Xavier Gélin : Alexandre
Jacques François : Jean-François, le général
André Falcon : le ministre
Roger Riffard : un inspecteur
André Penvern : un inspecteur
Michel Duplaix : un inspecteur
Pierre Koulak : un homme de main de Farès
Gérard Darmon : un homme de main de Farès
Abder El Kebir : un homme de main de Farès
Alix Mahieux : la patiente chez la dentiste
Jean-Jacques Moreau : le policier motard
Michel Fortin : l'autre policier motard
Annick Roux : l'hôtesse au sol
Denise Péronne : la générale
Micheline Kahn : Anna
Dominique Zardi : le cuisinier de l'« Étoile de Kiev »
Philippe Brigaud : l'adjoint du ministre
Michel Robin : le curé
Georges Adet : le vieux Lévi
Robert Duranton : le C.R.S. de l'aéroport
Philippe Lemaire : un gendarme (non crédité)
Paul Bisciglia : le pompiste
Olivier Lejeune : un ami d'Alexandre (non crédité)
Jérôme Deschamps : un ami d'Alexandre (non crédité)
Paul Mercey : l'homme de la 2 CV
Catherine Marshall : le mannequin
Clément Michu : le gendarme devant l'église
Maria Gabriella Maione : Odile, la secrétaire de la dentiste
Cary Frick :
Jacob Toledano :
André Valardy :
Yves Peneau :
Chérif Admane :
Gérard Melki :
Noël Darzal :
Rémy Julienne : cascadeur
Zvee Scooler : un rabbin à New York
Marcel Gassouk : le boucher
Jacques Pisias : un policier
Frédéric Norbert : le livreur de fleurs
Charles Bayard : un invité au mariage
Robert Chevrigny : un invité au mariage
Robert Le Béal : un invité au mariage
Autour du film
Le 6 octobre 1973, deux semaines avant la sortie du film, commençait au Proche-Orient la guerre du Kippour entre Israël et les pays arabes voisins.
La célèbre séquence dans l'usine de chewing-gum a connu un incident notable : dans la nuit, la cuve remplie du liquide composé de levure chimique a débordé et le produit s'est répandu dans tout le studio. Le lendemain, à sa grande surprise, l'équipe du film a dû tout nettoyer, et refabriquer le produit, ce qui explique que dans cette séquence, la couleur du chewing-gum n'est pas la même entre chaque plan (vert clair puis vert foncé).
Rémy Julienne a réglé l'une des cascades les plus compliquées de sa carrière dans laquelle la DS de Pivert évite un gros poids lourd, sort de route et tombe dans un lac. Il était accompagné par une équipe qui se trouvait sous l'eau dans le lac pour empêcher la voiture de couler.
Le film compte plus de 2000 plans.
La scène du mariage au début du film a été tournée devant l'église de Montjavoult dans l'Oise.
La rue des Rosiers, cœur du vieux quartier juif du Marais à Paris, où ont lieu plusieurs des scènes les plus mémorables du film (notamment la fameuse danse hassidique), a été reconstituée dans la rue Jean-Jaurès à Saint-Denis.
Le film est la principale référence qu'utilise Jean-Paul Rakover, le héros du roman Le livre de Joseph de Bernard Dan pour se composer une identité juive.
C'est le dernier film du duo Gérard Oury - Louis de Funès. Ils devaient se retrouver en 1975 pour Le Crocodile. Ce dernier devait jouer le rôle d'un dictateur sud-américain, le colonel Crochet. Mais, peu de temps avant le début du tournage, Louis de Funès dut abandonner le projet, à la suite de deux infarctus.
Le jour de la sortie du film, le 18 octobre 1973, Danielle Cravenne, la femme de Georges Cravenne, le publicitaire du film, détourne le vol Air France Paris-Nice. Fragile psychologiquement, elle menace de détruire le Boeing 727 si le long métrage, dont elle juge la sortie intolérable au vu de la situation internationale et qu'elle considère « anti-palestinien », n'est pas interdit. Armée d'une carabine 22 long rifle et d'un faux pistolet, la jeune femme accepte que l'avion se pose à Marignane pour ravitaillement avant de repartir vers Le Caire. Sur place, au cours d'un échange de coups de feu, Danielle Cravenne est atteinte à la tête et à la poitrine. Elle décédera dans l'ambulance qui l'évacuait vers une clinique.
L'enlèvement de Slimane dans un café parisien (Les Deux Magots) est inspiré de l'enlèvement de l'homme politique marocain Mehdi Ben Barka devant la brasserie Lipp en 1965. L'un des protagonistes de l'affaire s'appelait « Benslimane »
Marcel Dalio (né Israel Moshe Blauschild), l'interprète de Rabbi Jacob, avait dû fuir Paris en 1940, car son portrait figurait sur des affiches nazies censées représenter le « Juif typique ».
Marcel Dalio qui n'aimait pas Gérard Oury l'appelait « the thief of bad gags » (le voleur de mauvaises plaisanteries), jeu de mots sur le titre du film « the Thief of Baghdad » (le Voleur de Bagdad), et sobriquet déjà utilisé à plusieurs reprises aux États-Unis pour désigner des comiques ayant volé quelques repliques à leurs confrères.
Marcel Dalio, qui dans ce film joue le rôle titre d'un rabbin qui chante J'irai revoir ma Normandie dans le taxi qui l'amène à l'aéroport de New York, avait fait une prestation comparable dans Le monocle rit jaune, où il tenait le rôle d'un « honorable correspondant » juif qui chantait aussi J'irai revoir ma Normandie.
Ce film se classe en tête du box-office durant l'année 1973 avec plus de 7 millions de spectateurs en salles.
Le tournage s'est déroulé environ huit semaines de mars à juillet 1973, en dehors des extérieurs, aux studios de Billancourt.
Une comédie musicale inspirée du film a été jouée à partir de septembre 2008 ; la musique est par ailleurs réalisée avec le musicien MC Solaar.
Ce film, empruntant au vaudeville ses grosses ficelles, dans le comique de situation comme dans l'emboîtement des intrigues, offre des scènes d'anthologie, comme la fameuse danse hassidique, mais aussi des moments plus profonds, comme la bénédiction que David, le jeune Juif, reçoit du faux Rabbi Jacob (sauf que la formule employée « je te bénis David » est tout à fait fantaisiste. Il aurait dû utiliser la formule biblique Nombres 6, 24-26 « Que l'Éternel te bénisse... »), ou la poignée de mains entre Salomon et Slimane (en toute connaissance de cause, cette fois-ci). De même, toujours dans la partie qui se déroule rue des Rosiers, le salut du faux Rabbi Jacob aux familles présentes, où une gaffe est reprise de main de maître. Rabbi Jacob est dans le cinéma français une des plus fameuses illustrations de l'humour juif.
La scène de la moto, où Slimane et Victor Pivert, déguisés en juifs hassidiques, traversent en trombe la rue de Rivoli (et le pont Alexandre-III) pour rejoindre les Invalides, est une des scènes les plus connues du cinéma français. La musique entraînante et jubilatoire de Cosma y est pour beaucoup. Cette séquence contient néanmoins un faux raccord puisque la moto passe d'abord devant la Samaritaine puis devant l'hôtel de ville de Paris alors que géographiquement l'hôtel de ville est avant la Samaritaine.
Le film est censé se dérouler du vendredi soir au samedi après-midi. C'est incohérent, car un rabbin orthodoxe new-yorkais ne voyagerait jamais le vendredi soir en plein shabbat.
Lieux de tournages
France
Merry-sur-Yonne scène de nuit où De Funès pieds nus et en caleçon après être sorti de l'étang essaie d'arrêter une voiture sur la route
Montjavoult (Oise) scène du mariage devant l'église
Frémainville scène d'extérieur de nuit avec l'usine de chewing gum (ancienne distillerie)
Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) la longue séquence de la rue des Rosiers à Paris
Autoroute A13 au niveau de l'usine de Porcheville (Yvelines)
Aéroport Paris-Orly
Paris: rue de Rivoli, place du Palais-Royal, café Les Deux Magots (boulevard Saint-Germain)
États-Unis
New York
Brooklyn
Récompenses
Nomination Golden Globes aux États-Unis en 1973.