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Par Anonyme, le 17.12.2024
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La Fureur du dragon (The Way of the Dragon, Return of the Dragon aux États-Unis, 猛龍過江 en chinois traditionnel) est un film de kung-fu hongkongais interprété et réalisé par Bruce Lee en 1972. Tourné en Italie, c'est le troisième film majeur de Bruce Lee, qui en est à la fois l'acteur principal, le scénariste, le réalisateur et le producteur.
Tang Lung (Bruce Lee), est un Hongkongais qui débarque à Rome pour aider la famille d'un ami, qui est victime de racket. Les aptitudes martiales de Tang repoussent les malfrats qui font alors appel à un redoutable champion d'arts martiaux...
Fiche Technique
Titre : La Fureur du dragon
Titre original : Meng long guo jiang
Titre anglais : The Way of the Dragon
Réalisation : Bruce Lee
Scénario : Bruce Lee
Chorégraphie des combats : Bruce Lee et Unicorn Chan
Production : Raymond Chow et Bruce Lee
Sociétés de production : Concord Production Inc., Golden Harvest
Pays d'origine : Drapeau de Hong Kong Hong Kong
Langues originales : mandarin, cantonais, anglais et italien
Genre : Kung-fu, action, comédie
Durée : 95 minutes
Dates de sortie en salles :
Drapeau de Hong Kong Hong Kong : 1er juin 1972
Drapeau des États-Unis États-Unis : 14 août 1972
Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni : 14 juin 1974
Drapeau de la France France : 18 décembre 1974
Tout public
Distribution
Légende : Doublage de 1974 (Copies René Chateau Vidéo) / Redoublage de 2002 (DVD Metropolitan Films).
Bruce Lee(VF : Bernard Murat / Pierre Tessier) : Tang Lung
Nora Miao (VF : Sylviane Margollé / Marie-Eugénie Maréchal) : Chen Ching-Hua
Chuck Norris (VF : Daniel Gall / Bernard Tiphaine) : Colt
Wei Ping-ao (VF : Amidou / Patrice Dozier) : Ho, (le gangster chinois allié des voyous)
Chung-Hsin Huang (VF : Jacques Provins) : l'oncle Wang
Di Chin : Han Kun
Robert Wall : Fred
Tony Liu (VF : Sady Rebbot / Alexis Tomassian) : Tony
Chan Unicorn (VF : Michel Bedetti / Luc Boulad) : Jimmy
Fu Ching Chen (VF : Georges Poujouly) : Tommy
Robert Chen : Robert
Wu Ngan : Chuan
Riccardo Billi : le banquier
Wang In Sik : le karatéka japonais
Jon T. Benn (VF : Jacques Aveline) : le boss
Malisa Longo : la prostituée
Scène mythique
La scène du combat dans le Colisée entre Bruce Lee et Chuck Norris fut tournée en quatre jours dans les studios de la Golden Harvest. D'après de nombreux professionnels, cet affrontement est un des meilleurs combats filmés de tous les temps
De nombreux pastiches
La Fureur du Dragon et Opération Dragon engendrèrent toute une flopée de pastiches aux noms dérivés des titres américains (chronologiquement : Enter the Dragon et Return of the Dragon) : entre autres, Exit the Dragon, Enter the Tiger (1976), Return of the Kung Fu Dragon (1976), Enter the fat Dragon (1978), Re-enter the Dragon (1979), Enter Another Dragon (1981) ou encore, plus récemment, Enter the Black Dragon (1997).
Tournage difficile à Rome
Dès le début, il était clair que le tournage dans la capitale Italienne allait être difficile. Bruce Lee et son équipe s'y sont rendus alors que rien n'avait été tourné, donc ils devaient toujours s'assurer que le travail à Rome puisse être coordonné avec le travail qui se faisait à Hong Kong. La plupart des gens de l'équipe n'avaient pas de permis de travail international, ni de visas, il a donc fallu obtenir des autorisations spéciales, mais ils ne pouvaient rester que trois semaines maximum. Avec un temps aussi limité, le programme du tournage était très chargé : 7 jours sur 7, de 6 h jusqu'à 18 h voire 20 h, dans les rues, à l'aéroport, à Rome pendant les heures de pointe, avec les piétons et les touristes, et également par mauvais temps. En deux semaines, Bruce Lee avait tout ce dont il avait besoin et pouvait rentrer à Hong Kong continuer le tournage.
Avec un budget de 350 000 dollars de Hong Kong (HKD), il était impossible de payer toutes les autorisations pour pouvoir tourner à l'intérieur. Alors tout le monde a dû se munir de sacs de voyage rempli de matériel puis payer son entrée comme un touriste. Et après avoir parlementé, les gardiens ne disaient rien, mais l'équipe devait rester discrète. Pour le Colisée, n'ayant pas reçu l'autorisation le jour du tournage, Bruce Lee décida de tourner encore en cachette, très tôt le matin, avant l'arrivée des touristes. L'équipe a pu finalement tourner pendant cinq heures avec l'accord d'un agent de sécurité.
Le plus gros succès
Bruce Lee avait prédit que La Fureur du Dragon dépasserait les 5 millions de HKD de recette. Personne ne l'a cru et la presse se moquait de sa vantardise. Le film sorti, les semaines défilaient comme les chiffres : plus d'un million, puis deux, et trois, on passe à quatre, pour arriver à plus de cinq, battant au passage le record de La Fureur de Vaincre. Bruce Lee était devenu le roi indiscutable du cinéma asiatique. Ce film remporta le prix du meilleur montage au Golden Horse Award (l'équivalent asiatique des Oscars) en 1973 et il est le film de Bruce Lee qui a eu le plus gros succès en Orient.
En France, le film est distribué par René Château qui le programme dans son cinéma parisien Le Hollywood Boulevard. Avec presque quatre millions de spectateurs, c'est le meilleur film de Chuck Norris et le second meilleur film de Bruce Lee (derrière Opération Dragon).
Scènes manquantes
Lors de la première sortie en version française distribuée par René Chateau, La Fureur du dragon a été amputé de quelques scènes :
Lorsque Tang Lung (Bruce Lee) va au domicile de Chen Ching-Hua (Nora Miao) où il demande un verre d'eau puis demande : « Où sont les toilettes ? » Après la maison, il passe à la banque où il déclare ne pas faire confiance au banquier craignant de se faire voler par ce dernier sans pour autant donner des arguments justifiant son attitude.
Après que Tang Lung soit invité au domicile de l'italienne ; quand cette dernière se déshabille, il se sauve et retourne chez Chen Ching-Hua où il rencontre l'un des restaurateurs.
Tang Lung poursuit Ho, le voyou chinois à la solde du "patron" mafieux au Colisée et les amis de Tang Lung, Jimmy et Tony sont tués par l'oncle Wang, lequel coopérait depuis le début avec ces malfaiteurs pour devenir riche et retourner à Hong Kong retrouver sa famille. (Robert survit, étant assommé par Bob Wall au début du combat).
Après le combat contre Colt (Chuck Norris), Tang Lung crie : « Sale traître ! » et court après Ho, le voyou chinois à la solde du "patron" mafieux . Il découvre ses amis assassinés et l'oncle Wang qui s'est blessé lui-même pour leurrer Tang Lung. Il parvient à se débarrasser d'eux en les feintant. Ils se font tuer par le chef des bandits qui arrive mais la police l'arrête et découvre les corps, ce qui explique pourquoi Tang Lung et Chen Ching-Hua vont au cimetière (on peut supposer qu'il y a eu une fin alternative dans la première version. Une fin où on voit seulement Colt se faire tuer et Tang Lung avec ses amis devant une tombe qui pourrait être celle du karatéka Américain, mais dans ce cas on ne sait pas ce que deviennent exactement les restaurateurs, pas plus que l'oncle Wang, le malfaiteur et le chef des bandits, on peut aussi remarquer que dans cette fin Tang Lung veut partir seul à cause de la mort accidentelle de Colt alors que dans l'autre c'est non seulement pour celle-ci mais aussi pour d'autres).
Anecdotes
La Fureur du dragon est le premier film entièrement réalisé par Bruce Lee. Par ailleurs, pour l'arrivée de son personnage à Rome, l'acteur s'est inspiré de son arrivée à Seattle au début des années 1960. À ce moment-là, Bruce Lee ne parlait pas anglais et était sans un sou en poche. Il a par la suite été embauché comme serveur dans un restaurant pour pouvoir payer ses études de philosophie. Détail particulièrement authentique : À l'aéroport, Bruce Lee avait réellement abordé un enfant et lui avait fait peur en lui faisant une grimace, tentant en fait de lui demander où il pouvait aller manger.
Contrairement à The Big Boss et La Fureur de vaincre, La Fureur du dragon s'oriente davantage vers la comédie que le drame. Ici le héros principal utilise les arts martiaux uniquement pour se défendre et non pour agresser par désir de vengeance. À la fin de l'histoire, le Boss ne meurt pas mais se fait simplement arrêter. Certes des personnages connaissent une fin plus dramatique, notamment Colt et les restaurateurs, mais sans effusion de sang. Quant à Tang Lung, il repart en solitaire un peu à la façon de Clint Eastwood. En outre, Bruce Lee ne tue ici qu'une seule personne, par légitime défense et non sans compassion (détail visible à son regard au moment d'achever Colt).
Lors des apparitions du personnage interprété par Chuck Norris, les premières notes de Come una sentenza, composé par Ennio Morricone pour le film Il était une fois dans l'Ouest, sont jouées.
Bob Wall fait ici ses débuts d'acteur. Il fut à l'origine non seulement un élève de Bruce Lee mais aussi son garde du corps. Il est cependant le seul dont la nationalité diffère de celle du personnage qui est européen, Wall étant en réalité américain.
Versions françaises
Le film a connu deux versions françaises :
La première, qui a été amputé d'une dizaine de minutes, dans laquelle Bruce Lee, qui a gardé son vrai nom, serait le cousin de ceux qu'il aide. Il semble comprendre la langue étrangère. Dans cette version, Chuck Norris et Bob Wall ont eux aussi gardé leurs vrais noms. Dans cette première version, Bruce Lee est doublé par Bernard Murat. Cette version est sortie en cassette VHS et en DVD chez René Chateau Vidéo.
La deuxième, qui date de 2002, est intégrale et respecte l'œuvre ; c'est-à-dire que Bruce Lee porte le nom d'origine du personnage (Tang Lung), il n'est pas cousin des restaurateurs et ne comprend pas la langue étrangère qui est l'italien dans la VF. Chuck Norris et Bob Wall portent eux aussi les noms de leurs personnages (Colt et Fred). Pourtant dans cette deuxième version française, Colt (Chuck Norris) présente bien Fred (Bob Wall) en disant « Bob est mon élève ». Dans la première version de 1974 il le présentait ainsi : « Bob Wall est mon élève ». Dans cette deuxième version Bruce Lee est doublé par Pierre Tessier tandis que l'unique réplique de Chuck Norris est assurée par le comédien qui est devenu depuis sa voix française régulière, Bernard Tiphaine
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Jet Li, de son vrai nom Li Lian Jie , né le 26 avril 1963 à Pékin en Chine, est un pratiquant d'arts martiaux, acteur, producteur et champion de wushu sino-singapourien.
Il commence sa carrière à l'étranger en 1998 avec L'Arme fatale 4, Roméo doit mourir en 2000 ou encore Le Baiser mortel du dragon (2001). Il continue également à tourner dans des films chinois. En 2010, il est à l'affiche de Expendables : Unité spéciale (The Expendables).
Il pratique les arts martiaux chinois dès son plus jeune âge.
En 1971, il entre à l'école d'athlétisme Shichahai, où il intègre l'équipe sportive d'arts martiaux.
En 1975, lors des troisièmes Jeux nationaux de Chine, dans la catégorie des arts martiaux, désignant alors la lance et la boxe, il finit deuxième, puis gagne cinq fois d'affilée le titre de champion national chinois de Wushu, dans les disciplines du Chang quan, du sabre, de la lance, boxe de son choix, combat, etc.
Il accompagne alors certaines visites officielles chinoises à l'étranger. Après avoir participé à une démonstration sur la pelouse de la Maison-Blanche, devant le président Richard Nixon, aux États-Unis, ce dernier lui demande s'il veut devenir son garde du corps plus tard. Li Liangjie dit qu'il ne veut devenir le garde du corps de personne en particulier, qu'il préfère défendre son milliard de compatriotes
À 16 ans, en 1979 il fait ses débuts au cinéma dans la série des Temple Shaolin qui est immédiatement un succès national en Chine. Artiste martial surdoué, doté d'une maîtrise technique impressionnante, perfectionniste et travailleur, il est souvent comparé, à tort ou à raison, à Bruce Lee. En effet, Jet Li apparaît comme n'étant « que » pratiquant tandis que Bruce Lee a créé son propre style, le jeet kune do, par de constantes recherches théoriques et pratiques.
Il va devenir célèbre à l'étranger en travaillant avec Tsui Hark sur la série des Il était une fois en Chine en 1991, où il fait la démonstration de son art du combat. Il tournera d'ailleurs une nouvelle version du film de Bruce Lee : La Fureur de vaincre.
Repéré par Hollywood, il va se faire connaître aux États-Unis et en Europe dans un rôle de méchant dans L'Arme fatale 4, en 1998. Il va ensuite tourner d'autres films occidentaux, notamment avec Luc Besson comme producteur et cinéaste, mais continue parallèlement à tourner en Chine, avec le réalisateur Zhang Yimou, et dans la province de Hong Kong.
Dans les années 2000, il joue dans Romeo doit mourir, Danny the Dog, The One, Rogue : L'Ultime Affrontement, En sursis et Le Maître d'armes.
En 2010, il tient le rôle de Yin Yang dans Expendables : Unité spéciale (The Expendables) aux côtés de Sylvester Stallone et Jason Statham. Il est de nouveau au casting d'Expendables 2 : Unité spéciale (The Expendables 2) et Expendables 3.
Depuis 1999, il est marié à Nina Li Chi qu'il a rencontrée sur le tournage de The Defector avec laquelle il a deux filles : Jane (née en 2000) et Jada (née en 2003).
En 2004, lors du tsunami en Indonésie, en vacances, surpris par la vague, il est sauvé in-extremis par des pêcheurs. En 2013, il est révélé que l'acteur souffre d'une hyperthyroïdie. Il explique fin 2013 à la télévision chinoise qu'il se bat depuis 2010 contre cette maladie
Filmographie
1982 : Le Temple de Shaolin de Yen Chang-hsin et Zhang Xinyan
1984 : Les Héritiers de Shaolin de Zhang Xinyan
1986 : Born to defense de Jet Li
1986 : Les Arts martiaux de Shaolin de Liu Chia-liang
1989 : Dragon Fight de Billy Tang
1989 : The Master de Tsui Hark
1991 : Il était une fois en Chine de Tsui Hark
1992 : Il était une fois en Chine 2 : la secte du lotus blanc de Tsui Hark
1992 : Swordsman 2 de Ching Siu-tung et Stanley Tong
1993 : Il était une fois en Chine 3 : le tournoi du Lion de Tsui Hark
1993 : Evil Cult de Wong Jing
1993 : Claws of Steel de Wong Jing et Yuen Woo-ping
1993 : La Légende de Fong Sai-Yuk de Corey Yuen
1993 : La Légende de Fong Sai-Yuk 2 de Corey Yuen
1993 : Tai-Chi Master de Yuen Woo-ping
1994 : The Defender de Kazuya Konaka et Corey Yuen
1994 : Fist of Legend de Gordon Chan
1994 : La Légende du dragon rouge de Wong Jing et Corey Yuen
1995 : Meltdown, terreur à Hong Kong de Wong Jing et Corey Yuen
1995 : Agent spécial de Corey Yuen
1996 : Dr. Wai de Ching Siu-tung
1996 : Black Mask de Daniel Lee
1997 : Il était une fois en Chine 6 : Dr Wong en Amérique de Sammo Hung
1998 : Hitman de Stephen Tung Wei
1998 : L'Arme fatale 4 de Richard Donner
2000 : Roméo doit mourir de Andrzej Bartkowiak
2001 : Le Baiser mortel du dragon de Chris Nahon
2001 : The One de James Wong
2002 : Hero de Zhang Yimou
2003 : En sursis de Andrzej Bartkowiak
2005 : Danny the Dog de Louis Leterrier
2006 : Le Maître d'armes de Ronny Yu
2007 : Rogue : L'Ultime Affrontement de Phillip G. Atwell
2007 : Les Seigneurs de la guerre de Peter Chan
2008 : Le Royaume interdit de Rob Minkoff
2008 : La Momie : La Tombe de l'empereur Dragon de Rob Cohen
2009 : The Founding of a Republic de Han Sanping et Huang Jianxin (cameo)
2010 : Expendables : Unité spéciale de Sylvester Stallone
2010 : Ocean Heaven de Xiao Lu Xue
2011 : Le Sorcier et le Serpent blanc de Ching Siu-tung
2011 : Dragon Gate, la légende des Sabres volants de Tsui Hark
2012 : Expendables 2 : Unité spéciale de Simon West
2013 : Badge of Fury de Tsz Ming Wong
2014 : Expendables 3 de Patrick Hughes
2016 : League of Gods de Koan Hui
2017 : Guardians of Martial Arts de Wen Zhang
2020 : Mulan de Niki Caro
Jeux vidéo
Rise to Honour (2003) : Kit Yun
Nommé au prix du meilleur méchant lors des MTV Movie Award 1999 pour L'arme fatale 4 (1998)
Nommé au prix du meilleur combat lors des MTV Movie Award 2001 pour Roméo doit mourir (2000)
Nommé au prix du meilleur combat lors des MTV Movie Award 2002 pour The One (2001)
Nommé au prix du meilleur combat lors des MTV Movie Award 2003 pour En sursis (2003)
Nommé au prix du meilleur acteur de film d'action lors des People's Choice Awards 2007
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Hong Kong Film Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)
Nommé au prix du meilleur film lors des Hong Kong Film Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Hundred Flowers Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Hundred Flowers Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre(2007)
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Asian Film Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre (2007)
Nommé au prix du meilleur acteur lors des Golden Horse Film Festival 2008 pour Les seigneurs de la guerre (2007)
1995 : Golden Horse Film Festival
Lauréat du prix du meilleur acteur lors des Shanghai Film Critics Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre (2007)
Lauréat du prix du meilleur acteur lors des Hong Kong Film Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre(2007)
Lauréat du prix du meilleur acteur lors des Hong Kong Film Critics Society Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)
Voix françaises
En France, Pierre-François Pistorio est la voix françaiserégulière de Jet Li. Il y a eu également Frank Capillery qui l'a doublé à quatre reprises.
Philanthropie
Li est un ambassadeur philanthrope de la Croix-Rouge chinoise depuis janvier 2006. Il a versé 500 000 yuan (62 500 USD) provenant des revenus gagnés avec son film Le Maître d'armes à la section psychologique de la Croix Rouge.
Touché par son expérience aux Maldives durant le tsunami en 2004 où il faillit perdre une de ses filles, il crée The One Foundation, sa propre fondation à but non lucratif en avril 2007 .
The One Foundation, en collaboration avec la Croix rouge, soutient l'aide internationale aux victimes de grandes catastrophes, ainsi que des actions d'information ou de prévention au sujet de la santé mentale ou du suicide. Fin 2008, Li et sa fondation étaient intervenus dans sept catastrophes, incluant le tremblement de terre du Sichuan
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Fist of Legend ( pinyin : Jīng Wǔ Yīngxióng ; Hero of Jing Wu) est un film hongkongais réalisé par Gordon Chan, avec Jet Li en acteur principal, sorti le 22 décembre 1994. Il est dirigé par Gordon Chan et chorégraphié par Yuen Woo-ping. Ce film est une adaptation du film de Bruce Lee sorti en 1972, La Fureur de vaincre (Jing wu men, Fist of Fury) de Lo Wei. Le film prend place à Shanghaï en 1914 au début de la Première guerre mondiale, dans la concession britannique de la ville.
Le film suit les aventures de Chen Zhen (Jet Li), dans sa quête pour retrouver les tueurs de son maître, Huo Yuanjia.
Malgré les chiffres décevants au box-office, Fist of Legend est souvent considéré comme l'un des meilleurs film de Jet Li, ainsi que comme l'un des meilleurs films d'arts martiaux de tous les temps
Chen Zhen (Jet Li) assiste à un cours à l'université de Kyoto, lorsque plusieurs étudiants japonais du clan Kokuryu font irruption dans la salle et le forcent à sortir à cause de ses origines chinoises. Mitsuko Yamada (Shinobu Nakayama), sa camarade de classe secrètement amoureuse de lui, ainsi que son professeur prennent sa défense. Les étudiants finissent par en venir aux mains, mais Chen Zhen les domine facilement avec différentes techniques de Chin Na. Le maître du clan Kokuryu et oncle de Mitsuko, Funakoshi Fumio (Yasuaki Kurata) arrive pour calmer la situation et s'excuse pour le comportement de ses élèves. Fumio est impressionné par les talents de Chen, et en apprenant les origines de son art, l'informe que son maître, Huo Yuanjia, est mort des suites d'un combat contre un maître karatéka japonais. Chen, dévasté par la nouvelle, décide de repartir immédiatement pour Shanghai.
En revenant à l'école Jingwu, il apprend que Huo Ting'en (son ami d'enfance et fils de Huo Yuanjia) est devenu le nouveau maître de Jingwu. Après avoir présenté ses hommages à feu son maître, Chen décide d'aller au dôjô pour défier Ryoichi Akutagawa, le maître qui a vaincu Yuanjia. Les élèves présent tentent de le faire partir, mais Chen les domine aisément jusqu'à l'arrivée d'Akutagawa, qui accepte honorablement le défi de Chen, avant de perdre facilement face à lui. Il en conclut que Akutagawa n'avait pas le niveau pour vaincre son maître et pose des soupçons de triche lors du combat. Le soir même, Chen fait exhumer le corps de son maître pour une autopsie, allant à l'encontre de la volonté de Ting'en et des autres membres de Jingwu; le médecin présent avec eux révèle que Huo Yuanjia a été empoisonné avant son dernier combat. Plusieurs jours après, la nouvelle de la défaite d'Akutagawa se répand et Chen Zhen devient rapidement célèbre. Les élèves de Jingwu veulent tout apprendre de lui, ce que Ting'en voit d'un mauvais œil. Il ne dit rien cependant, et trouve du réconfort dans un bordel auprès de la prostituée Rose (Ada Choi)
Entre-temps, Akutagawa confronte Fujita (Billy Chow), le général de l'armée impériale japonaise, sur les circonstances de sa victoire contre Huo Yuanjia, et Fujita confirme son implication dans l'empoisonnement du maître chinois. Akutagawa, se sentant déshonoré, se met en colère, mais le général le tue brutalement sous les yeux de l'ambassadeur japonais, et fait accuser Chen Zhen du meurtre. Le lendemain, ce sont des élèves furieux qui crient vengeant et attaquent l'école de Jingwu, sabre à la main. Jingwu devient alors le théâtre d'un violent affrontement que la police locale viendra arrêter. Chen est placé en détention puis jugé au tribunal le lendemain pour le meurtre d'Akutagawa. Plusieurs personnes fourniront de faux témoignages à charge, mais la Cour rejette les témoignages de la défense, craignant que des témoins chinois ne couvrent l'accusé. C'est contre toute attente Mitsuko qui se présente, et qui innocente Chen Zhen en déclarant qu'ils ont passé la nuit ensemble le soir du meurtre. La Cour déclare le non-lieu, mais sa relation avec Mitsuko fait scandale à Jingwu, les chinois percevant cela comme une trahison. Ting'en ainsi que les seniors de l'école exigent que Chen choisisse entre faire partir Mitsuko, ou bien quitter l'école avec elle, et Ting'en saisit l'occasion pour régler ses comptes avec Chen pour le rang de maître dans un combat singulier. Mis en difficulté alors qu'il retient ses coups, Chen finit par le vaincre sans enthousiasme, mais décide de partir avec Mitsuko. Ting'en, humilié, abandonne son poste de maître avant de partir rejoindre sa bien-aimée. Les membres de Jingwu finissent par le retrouver, quelques jours plus tard grâce à Rose, et après l'avoir fait entendre raison, réussissent à le faire revenir.
Chen Zhen et Mitsuko font face à l'hostilité locale à cause de leur relation, et sont amenés à s'installer dans une vieille cabane près de la tombe de Huo Yuanjia. Quelques jours après, Funikoshi arrive au Japon sur demande du général Fujita, afin d'éliminer Chen. Les deux s'engagent dans un duel équitable les yeux bandés, que Fumio remporte, déclarant le match nul. Ce dernier reconnaît la force de Chen, lui dit qu'il le sera encore plus s'il apprend à s'adapter à son adversaire, et l'avertit également des folles intentions et de la force meurtrière de Fujita. Quelques jours après, Ting'en, qui a reçu une lettre de défi de Fujita, rend visite à son ami Chen, s'excuse de son comportement envers Mitsuko, puis en profite pour lui apprendre plusieurs techniques de la boxe Huo. Mitsuko en profite pour quitter secrètement les lieux, laissant à Chen Zhen une lettre lui disant qu'elle l'attendra au Japon une fois l'armée japonaise partie de Chine.
Le lendemain, Chen et Ting'en se rendent au dôjô pour affronter le général, qui leur révèle que le traître qui a empoisonné leur maître fait partie de l'école de Jingwu. Ce dernier est abattu froidement par le général pour clore définitivement l'histoire de l'empoisonnement.
Ting'en affronte en premier le général, qui s'avère être extrêmement puissant et résistant aux coups, et finit sérieusement blessé. Chen prend le relais et s'engage dans un combat long et épuisant qui se solde par sa victoire. Alors que Chen et Ting'en s'apprêtent à partir, Fujita se relève et se prépare à les tuer avec un katana, mais Ting'en s'interpose, se blessant au bras, et Chen se voit contraint de tuer le général. Les soldats japonais les encerclent et se préparent à faire feu, mais le pacifique ambassadeur japonais ordonne aux soldats de se retirer. Malgré son accord sur les actions de Chen, il les prévient que le gouvernement japonais utilisera la mort du général Fujita pour déclarer la guerre à la Chine, à moins que le meurtrier soit tué en compensation. Chen accepte de porter le chapeau, forçant encore l'admiration de l'ambassadeur.
Les dernières scènes montrent que l'ambassadeur, au lieu d'ordonner l'exécution de Chen Zhen, a mis en scène une fausse exécution et utilisé le corps du traître de Jingwu en guise de preuve. Chen Zhen en profite pour quitter secrètement Shanghai.
Fiche technique
Titre : Fist of Legend
Titre original : Jing wu ying xiong
Réalisation : Gordon Chan
Scénario : Gordon Chan
Production : Jet Li et Lam Chui-yin
Musique : Joseph Koo (Stephen Edwards dans la version US)
Photographie : Derek Wan
Montage : Chan Ki-hop
Chorégraphie : Yuen Woo-ping
Distribution : Metropolitan Filmexport
Pays d'origine : Hong Kong
Langues de tournage : anglais, japonais et cantonais
Format : couleurs - 1,85:1 - mono - 35 mm
Genre : Action
Durée : 103 minutes
Dates de sortie : 22 décembre 1994 (Hong Kong), 13 juin 2001 (France)
Distribution
Jet Li : Chen Zhen
Chin Siu-Hou : Huo Ting-An
Shinobu Nakayama : Mitsuko Yamada
Yasuaki Kurata : Funakochi Fumio
Billy Chow : Général Fujita
Paul Chiang : Oncle Nang
Yuen Cheung-yan : Capitaine Jie
Toshimichi Takahashi : Ambassadeur du Japon
Tam Suk Mui : Wei
Jackson Liu: Akutagawa Ryuichi
Ada Choi: Rose
Wong San: Le cuisinier de l'école de Jingwu Mun
Yuen Shun-yee : Ngai
Récompenses
Nomination au prix des meilleures chorégraphies (Yuen Woo-ping), lors des Hong Kong Film Awards1995.
Voir également
1996 : Fist of Legend 2: Iron Bodyguards, de Robert Tai
1972 : La Fureur de vaincre (Jing wu men), de Lo Wei avec Bruce Lee.
2012 : Legend of the Fist: The Return of Chen Zhen, de Andrew Lau
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La Trishuli est une rivière transfrontalière et l'un des principaux affluents du bassin de la rivière Gandaki, dans le centre du Népal. Elle prend sa source au Tibet (sud de la Chine), où elle est appelée Kyirong Tsangpo
Le nom de la rivière Trishuli provient de trishula, qui est le trident que possède Shiva, puissant dieu de la religion hindoue. Une légende affirme que, près des lacs de Gosainkund, dans les hautes-montagnes himalayennes, Shiva aurait enfoncé son trident dans la terre pour créer trois sources, dont celle de la rivière Trishuli. En langue tibétaine, le suffixe Tsangpo (en) désigne une rivière s'écoulant dans la région de l'Ü-Tsang, c'est-à-dire à l'ouest de la ville de Lhassa.
Les terres les plus à l'ouest de la région de l'Ü-Tsangsont également connues sous le nom de Lato, la région des hautes-montagnes du Tibet. Le Lato du nord comprend le cours supérieur du Yarlung Tsangpoet du Raga Tsangpo. Le Lato du sud comprend le cours supérieur du Bum-chu, du Matsang Tsangpo et du Kyirong Tsangpo. Après avoir passé la crête principale de l'Himalaya, le cours d'eau creuse une vallée entre les massifs du Langtang Himal (de) (à l'est) et du Ganesh Himal. Il longe ensuite l'ouest du parc national de Langtang. Dans la ville de Bidur, la rivière s'oriente progressivement vers l'ouest et accueille les affluents Budhigandaki, Marsyangdi et Seti Gandaki par la rive droite.
La gorge et la vallée du Kyirong forment l'une des régions alpines les plus pittoresques du Tibet. Zongga (en), la capitale du xian de Gyirong, surplombe la confluence du Kyirong Tsanpo et de son principal affluent, la Zarong-chu. La gorge de Kyirong donne sur le Ragma à 3 000 m d'altitude.
Ensuite, la rivière s'écoule au Népal et rejoint la Gandaki à Devghat ; la Gandaki rejoint à son tour le Gange en Inde. La longueur totale du parcours de la rivière est d'environ 200 km
Plus de 60 % du bassin versant de la rivière Trishuli se trouve au Tibet. 9 % de sa surface sont recouverts par des neiges et des glaciers. 85 % de la zone de draînage de la rivière d'une surface de 4 640 km2 se trouvent au-dessus de 3 000 mètres d'altitude, dont 11 % au-dessus de 6 000 m. À Betrawati, l'altitude est d'environ 600 m. Le débit de la rivière Trishuli est proche de celui de la Narayani, en saison sèche comme en saison de fonte des neiges
Trishuli est l'une des rivières où l'on pratique le plus le rafting au Népal ; cela est notamment dû à la présence de gorges et de grandes rapides ainsi qu'un accès facile depuis les villes de Katmandou et Pokhara, notamment grâce à la proximité de l'Autoroute de Prithivi (en). Le parc national de Chitawanest également facilement accessible
Dans la Cordillera Blanca, chaîne montagneuse tropicale la plus élevée du monde, le mont Huascaran culmine à 6 768 m. Les ravins profonds, aux nombreux torrents, les lacs glaciaires, la variété de la végétation, en font un ensemble d'une beauté spectaculaire où l'on rencontre des espèces animales telles que l'ours à lunettes et le condor des Andes.
Situé dans la Cordillera Blanca (« cordillère blanche ») qui porte bien son nom, le Parc national de Huascarán protège le cœur du massif montagneux tropical le plus haut du monde dans les Andes centrales péruviennes. Le bien de 340 000 hectares couvre un paysage de montagne varié à partir de 2 500 mètres d’altitude environ, dont les 27 pics enneigés culminent à plus de 6 000 mètres. Il comprend le spectaculaire Nevado Huascarán (le mont Huascarán, 6 768 m), point culminant du Pérou, du nom de Huascar, chef inca du XVIe siècle. Les sommets enneigés, les nombreux glaciers tropicaux et lacs glaciaires, les hauts plateaux entrecoupés de profonds ravins avec des torrents et la variété des types de végétation forment un paysage spectaculaire d’une rare beauté.
En appréciant la géomorphologie et la beauté saisissante du paysage, il est facile de sous-estimer les valeurs de biodiversité et les écosystèmes remarquables que possède aussi le bien. Dans la gamme étendue d’écosystèmes et de types de végétation se présentent de petites poches de forêts tropicales de montagne à basse altitude et dans quelques vallées. Les prairies et les buissons du Paramo et de la Puna sont les types de végétation dominants à l’intérieur du bien avant leur transition dans les hauteurs vers la toundra tropicale. Le parc national de Huascarán est le lieu de vie de l’emblématique vigogne qui était proche de l’extinction dans les années 1960 mais qui s’est redressée depuis, ce qui a été l’une des réussites les plus spectaculaires de la conservation en Amérique du Sud. Les autres mammifères charismatiques sont le cerf des Andes du Nord, le puma, l’ours à lunettes vulnérable et le chat des Andes en danger. L’avifaune compte plus de 100 espèces répertoriées, dont le condor des Andes et le colibri géant. Quelques 800 espèces végétales ont été documentées, la plus célèbre étant la reine des Andes en danger, connue pour sa hampe florale géante. La région entière est habitée depuis des millénaires, comme l’attestent les nombreuses manifestations précolombiennes à l’intérieur et autour du bien. Les premiers habitants ont laissé les vestiges de terrasses agricoles et de corrals, ainsi que des routes, des barrages et des chenaux. Par ailleurs, il y a d’intéressantes peintures rupestres, des pierres tombales et d’innombrables artefacts.
Le Parc national de Huascarán couvre une part considérable de la Cordillera Blanca, la plus haute chaîne de montagnes des tropiques au monde. L’élément visuel le plus saisissant est l’agrégation de 27 pics enneigés à plus de 6 000 mètres d’altitude, en particulier le Nevado Huascarán ou mont Huascarán, point culminant du Pérou à 6 768 m. Des zones les plus basses autour de 2 500 mètres jusqu’aux sommets, il y a une différence altitudinale étonnante de plus de 4 kilomètres de végétation et de relief variés et accidentés. Les pics enneigés, les glaciers tropicaux et les lacs glaciaires, les hauts plateaux entrecoupés de torrents qui coulent dans des ravins profonds et la variété des types de végétation forment un paysage spectaculaire d’une rare beauté. Dans la flore riche se distingue la fameuse reine des Andes, connue pour son immense inflorescence. La faune variée comprend des mammifères et des oiseaux charismatiques, comme la vigogne, l’ours à lunettes et le puma, ainsi que le condor des Andes et le colibri géant.
Huascarán se trouve dans les hautes Andes et est constitué de hauts plateaux de prairies de puna où des glaciers et des pics de 6 000 m forment une région montagneuse globalement remarquable, avec plus de 600 glaciers, près de 300 lacs et 41 affluents de trois importantes rivières : la Santa, la Pativilca et le Maranon. Derrière le paysage exceptionnel du parc national de Huascarán se dessine un large spectre de particularités et de processus géologiques actifs remarquables formant une impressionnante géomorphologie. Les structures et l’histoire géologique de la région sont très complexes, avec des pics dentelés et la topographie accidentée dont l’origine est le soulèvement de sédiments mésozoïques qui ont été fortement plissés et faillés par une activité tectonique complexe à la fin du Crétacé et sujets au volcanisme à l’époque du pliocène et du pléistocène. Il y a aujourd’hui une forte activité sismique dans la région, de gros tremblements de terre, comme ceux de 1945, 1962 et 1970 le rappelant cruellement. La glaciation est un élément primordial dans la géomorphologie et l’hydrologie du bien. On estime qu’un bon quart du volume de la calotte glaciaire de la cordillère a vraisemblablement disparu depuis la fin des années 1960, un phénomène qui risque de modifier encore l’aspect visuel du bien.
Intégrité
Le parc national de Huascarán couvre une grande portion de terrain montagneux accidenté qui présente un vaste éventail de valeurs naturelles de cette partie et cette élévation des Andes tropicales. La réserve de biosphère encore plus étendue dont le bien constitue la zone centrale, couvre presque toute la Cordillera Blanca, donnant ainsi une chance de gérer le bien au niveau du paysage. Les facteurs naturels qui contribuent à l’intégrité du parc national de Huascarán sont la haute altitude, les conditions climatiques extrêmes et la topographie accidentée. Les impacts contemporains résultant des activités et des menaces à l’intérieur du parc sont relativement limités et semblent gérables. Des menaces plus complexes à l’intégrité à long terme du parc national de Huascarán proviennent des vallées environnantes intensivement exploitées en dehors des limites du bien et de l’intérêt de l’extraction minière. S’il est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial pour ses valeurs de conservation de la nature, Huascarán est aussi reconnu pour ses valeurs archéologiques. Une bonne partie des vestiges des cultures disparues semble avoir échappé au pillage, bénéficiant de leur isolement géographique et de conditions environnementales difficiles dans de vastes portions du bien. L’intégrité future du parc national de Huascarán dépendra des réponses aux menaces sur les valeurs naturelles et culturelles de cette extraordinaire partie des hautes Andes.
Conditions requises en matière de gestion et de protection
Dans les années 1960, l’extinction imminente de la vigogne, ce camélidé originaire des Andes victime d’une chasse excessive, et les craintes au sujet de l’emblématique reine des Andes, ont déclenché la création d’une zone de surveillance dans ce qui est aujourd’hui une partie du bien. Le parc national de Huascarán a été créé ultérieurement, en 1975, par un décret suprême dans le cadre plus général de la législation nationale sur la forêt et la vie sauvage. Le parc national constitue aussi la zone centrale de la réserve de la biosphère de Huascarán depuis sa reconnaissance par l’UNESCO en 1977. À l’origine sous l’autorité du Ministère de l’Agriculture, le parc national et la réserve de la biosphère de Huascarán beaucoup plus étendue sont gérés aujourd’hui par le Service national des aires protégées (SERNANP) qui relève du Ministère de l’Environnement. Le fait d’avoir une gestion adaptée permet d’avoir une approche exhaustive de la conservation et de la gestion qui englobe les vallées peuplées et intensivement utilisées qui jouxtent le bien. La gestion du bien doit être guidée par un plan directeur et un comité local pour assurer la participation des communautés locales.
Depuis la création du parc national, un obstacle majeur vient de l’insuffisance des budgets et des effectifs, ce qui réduit l’efficacité du parc national. Cela rend difficile de réagir face aux multiples défis que connaît Huascarán. À l’intérieur du bien il y a un petit nombre de résidents, mais leur nombre augmente. Leur présence remonte aux droits coutumiers qui existaient avant le parc national et exige la négociation d’accords concernant leur exploitation des ressources naturelles, en particulier le pâturage du bétail. Les nombreuses communautés près du bien se développent, surtout dans le Callejon de Huaylas, une vallée intensivement exploitée juste à l’ouest du parc national de Huascarán. Malgré une législation apparemment claire interdisant toute extraction de ressources minières dans les parcs nationaux, il n’y a pas seulement l’intérêt des ressources, mais aussi les concessions à l’intérieur du bien et les plans de construction de barrage sur les lieux. Une activité potentiellement moins préjudiciable pourrait être le tourisme, car le paysage spectaculaire et les valeurs archéologiques importantes attirent déjà un nombre important de touristes péruviens et internationaux, y compris des alpinistes hautement chevronnés. Tout en tenant compte du risque d’effets indésirables sur l’environnement et la culture, il y a des possibilités pour l’économie locale, le financement de la conservation et l’éducation des visiteurs. L’enjeu primordial qui demande un suivi et un travail de préparation, c’est la fonte rapide des glaciers, première source de vie dans le bien, et les moyens d’existence dans les vallées voisines intensivement exploitées.
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