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Par Anonyme, le 21.05.2024
ce qui a définitivemen t condamné le bismark c'est le fait que son gouvernail endommagé a l'a empêché de manoe
Par Anonyme, le 13.05.2024
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Léon Morin, prêtre est un film franco-italien sorti le 15 septembre 1961, adapté du roman Léon Morin, prêtre (1952) de Béatrice Beck, et réalisé par Jean-Pierre Melville.
Durant l'occupation, dans une ville de province, la jeune veuve de guerre d'un juif communiste, mère d'une fillette, défie un prêtre sur le terrain de la religion. Certaine de sa rhétorique, elle est pourtant déconcertée par les réponses du prêtre. Peu à peu, elle perd pied. Chaque nouvelle rencontre avec ce prêtre la rapprochera de la conversion. Sa résistance cédera devant le travail de la grâce. Une amie lui ouvrira involontairement les yeux sur l'une des raisons de sa conversion : l'Abbé Morin est beau.
Fiche technique
Titre : Léon Morin, prêtre
Réalisation : Jean-Pierre Melville
Scénario : Jean-Pierre Melville d'après le roman homonyme de Béatrix Beck.
Producteur : Carlo Ponti et Georges de Beauregard
Société de production : Rome-Paris Films, Compania Cinetografica Champion (Rome) et Lux Compagnie Cinématographique de France (Paris)
Musique : Martial Solal
Son : Jacques Maumont
Photographie : Henri Decaë
Montage : Jacqueline Meppiel, Nadine Trintignant et Marie-Josèphe Yoyotte
Décors : Daniel Guéret
Pays d'origine : France - Italie
Format : 1 × 1,65 noir et blanc - Son mono
Genre : Comédie dramatique
Durée : 130 minutes (2 h 10)
Date de sortie : 15 septembre 1961 (France)
Distribution
Jean Paul Belmondo: Léon Morin
Emmanuelle Riva: Barny
Irène Tunc : Christine Sangredin
Nicole Mirel : Sabine Levy
Gisèle Grimm : Lucienne
Marco Behar : Edelman
Monique Bertho : Marion
Marc Eyraud
Nina Grégoire
Monique Hennessy : Arlette
Edith Loria : Danielle
Micheline Schererre
Renee Liques
Simone Vannier
Lucienne Le Marchand : Une secrétaire
Nelly Pitorre
Ernest Varial
Volker Schlöndorff : La sentinelle armée
Chantal Gozzi
Cedric Grant : soldat américain
George Lambert : soldat américain
Marielle Gozzi
Patricia Gozzi
Gérard Buhr : Gunther
Howard Vernon : le Colonel
Charles Boda : le jeune cycliste
À la sortie du film les critiques sont partagés.
Certains reconnaissent la qualité du travail de J-P. Melville et de ses acteurs :
le cinéaste (également adaptateur), à coup de menus détails, de légères ellipses, d'infimes retouches, est parvenu à restituer les lumières du livre tout en estompant ses ombres. Du très beau travail. - Jean Rochereau, La Croix du 03/10/1961
Film probe, émouvant, beau − comme le roman qu'il reproduit si fidèlement. Nous sommes étonnés d'êtres émus, troublés, de sentir passer le surnaturel - Claude Mauriac, Le Figaro du 30/09/1961
La grâce s'imite donc, me disais-je. Qu'un bon acteur [Belmondo] puisse devenir n'importe quelle créature, entrer dans toutes les peaux, je le savais. Mais ici il fallait devenir ce saint qui ne sait pas qu'il est un saint et qu'il fût en même temps ce garçon aimé d'une jeune femme et qui sait qu'il est aimé. - François Mauriac, Le Figaro littéraire du 18/11/1961
L'interprétation est ici primordiale. En témoigne, s'il était besoin, l'effacement presque total de la technique. Les scènes qui ouvrent le film (ces scènes qui se réduisent souvent à des plans uniques) constituent, par leur concision, un modèle d'exposition. - André S. Labarthe, France Observateur du 21/09/1961
Jean-Pierre Melville a réalisé là, sans bruit, un travail d'une honnêteté et d'une intelligence remarquables. Il y a été bien aidé par deux interprètes tout à fait exceptionnels : Jean-Paul Belmondo [et] Emmanuelle Riva. - Jacqueline Michel, Le Parisien libéré du 27/09/1961
D'autres sont moins flatteurs :
Aussi le film est-il bavard, très bavard, trop bavard. (...) les arguments pour ou contre la croyance, déversés par les protagonistes tout au long de la projection, n'ont pas le relief souhaité. Claude Garson, L'Aurore du 25/09/1961
Et ce pourrait être du Delannoy, en plus soigné. Pas un instant on ne sent la griffe d'un créateur. - Pierre Marcabru, Combat du 25/09/1961
Melville a un vrai talent de cinéaste. Mais peut-être a-t-il été trop fidèle parfois, à la lettre de l'œuvre originale. Le film n'est pas construit. Il se déroule chapitre par chapitre. Certains sont remarquables, d'autres sonnent plus creux. - France Roche, France-Soir du 27/09/1961
Le film, bien que magistralement interprété par deux grands acteurs (...), risque fort de n'emporter l'adhésion d'aucun public et même de lasser certains spectateurs par sa longueur et la passivité monotone de la récitante. - Armand Monjo,
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Les hommes préfèrent les blondes (Gentlemen Prefer Blondes) est un film musical américain de Howard Hawks sorti en 1953.
Cette comédie musicale se situe dans le milieu des danseuses de revues. Le scénario joue sur l'opposition totale entre les caractères des deux danseuses vedettes : d'une part, Lorelei Lee et d'autre part, Dorothy Shaw.
La première, blonde naïve, n'est intéressée que par les hommes riches et le mot « diamant », la deuxième, brune à la repartie bien aiguisée, tombe toujours amoureuse d'hommes honnêtes mais peu fortunés, et ce au grand désespoir de son amie.
Car malgré tout ce qui les oppose, ces deux jeunes femmes sont les meilleures amies du monde. Elles sont bien décidées à partir en France pour découvrir Paris. Ce voyage est organisé par Lorelei aux frais de son richissime futur époux, Gus Esmond. Elle s'embarque sur un magnifique bateau avec Dorothy comme chaperon, toutes deux surveillées de près par un détective privé, Malone, engagé par le père de Gus.
Jane Russell
Fiche technique
Titre : Les hommes préfèrent les blondes
Titre original : Gentlemen Prefer Blondes
Titre original complet: Howard Hawks' Gentlemen Prefer Blondes
Remake d'un film muet homonyme de Malcolm St. Clair en 1928
Réalisateur : Howard Hawks
Scénario : Charles Lederer, d'après le roman et la pièce d'Anita Loos et Joseph Fields
Musique :
Compositeurs : Jule Styne, Eliot Daniel et Lionel Newman
Lyrics : Leo Robin et Hoagy Carmichael
Directeur musical : Lionel Newman
Chorégraphe : Jack Cole
Décors : Lyle R. Wheeler et Joseph C. Wright
Costumes: Travilla, Charles Le Maire et Sam Benson
Image : Harry J. Wild
Montage : Hugh S. Fowler
Producteur : Sol C. Siegel
Société de production : Twentieth Century Fox
Pays d'origine : États-Unis
Langue : anglais
Format : Couleurs (Technicolor) - Son Mono - 1,37:1
Durée : 91 minutes
Dates de sortie :
États-Unis : 18 juillet 1953
France : 30 juillet 1954
Distribution
Jane Russell : Dorothy Shaw
Marilyn Monroe : Lorelei Lee
Charles Coburn : Sir Francis Beekman
Tommy Noonan : Gus Esmond
Elliott Reid : Ernie Malone
George Winslow : Henry Spofford III
Marcel Dalio : Magistrat
Taylor Holmes : M. Esmond Sr.
Norma Varden : Lady Beekman
Autour du film
Gentlemen Prefer Blondes est la seule comédie musicale d'Howard Hawks. Il y aborde deux sujets plutôt tabous pour l'époque : le sexe et l'argent.
Jane Russell fut payée 150000 dollars, alors que Marilyn Monroe seulement 15000.
Jane Russell étant nettement plus grande que Marilyn Monroe, les talons des chaussures de Jane furent réduits, alors que ceux de Marilyn furent agrandis au maximum. Néanmoins la différence de taille se remarque quand même.
Un des danseurs qui accompagne Marilyn Monroe dans le numéro " Diamonds are a Girl's Best Friends" est Georges Chakiris (en haut à droite sur l'escalier)
Le réalisateur voulait doubler la voix chantée de Marilyn Monroe et avait convoqué la chanteuse Marni Nixon dans ce but. Mais les studios durent admettre, tout comme Marni Nixon, que le résultat était "affreux" et Marilyn chante elle-même toutes ses chansons, mis à part quelques notes aiguës de Diamonds are a Girl's Best Friends doublées par Nixon.[réf. nécessaire] Marni Nixon aura par la suite l'occasion de prouver son talent en doublant notamment Deborah Kerr dans Le Roi et Moi (1956) et Elle et Lui (1957), Natalie Wood dans West Side Story (1961) et Audrey Hepburn dans My Fair Lady (1964).
Le film Les hommes épousent les brunes (Gentlemen Marry Brunettes) de Richard Sale sorti en 1955 et dans lequel joue Jane Russell peut être considéré comme une suite.
23 mai 2013
En 1960, sort sur les écrans La Vérité, avec Charles Vanel, Sami Frey et Marie-José Nat, le récit d'un crime passionnel. Son meilleur film, dira-t-elle. Néanmoins, Henri-Georges Clouzot, le réalisateur, lui aura fait vivre un éprouvant tournage. De plus, son incapacité à s'occuper de son enfant, son ménage mis à mal par les pressions de toutes parts, la trahison de son secrétaire personnel qui dévoila nombre de ses secrets à la presse, la pression inouïe des journalistes et les agressions perpétuelles des « fans » la poussent à bout. Brigitte Bardot fait une tentative de suicide le jour de son anniversaire, le 28 septembre 1960. Plongée dans le coma, elle s'en sortira par miracle.
En octobre 1961, le brésilien Jorge Veiga débarque sur les ondes radiophoniques avec un titre qui sera un succès planétaire : Brigitte Bardot beijou. La chanson fera le tour du monde et Dario Moreno reprendra le titre plus tard.
En 1962, elle entame ce qui sera alors son premier combat pour la cause animale, en militant pour le pistolet d'abattage indolore dans les abattoirs. En effet, après avoir vu des photos démontrant les conditions dans lesquelles les animaux étaient tués, elle décida de devenir végétarienne et entama sa première bataille. Elle fut donc reçue à l'Élysée et obtint quelques années plus tard des pouvoirs publics « l'étourdissement préalable à l'abattage ».
Statue de Brigitte Bardot érigée à Buzios au Brésil La même année, Brigitte Bardot fait son entrée dans le dictionnaire Le Petit Larousse.
En 1963, à 27 ans, elle tourne dans le chef-d'œuvre cinématographique, Le Mépris, de Jean-Luc Godard, avec Michel Piccoli et Jack Palance à Capri, dans la célèbre Villa Malaparte, conçue par l'architecte Adalberto Libera. Le film fut accueilli à l'époque de façon mitigée. Elle dira plus tard qu'elle n'a jamais vraiment bien compris « l'esprit Godard » mais qu'elle s'était bien amusée sur le tournage du film. Par ailleurs, Michel Piccoli disait d'elle : « Brigitte Bardot fut, au début de l'entreprise, ravie qu'un cinéaste comme Godard lui demande de travailler avec lui. Bien qu'intimidée, elle était parfaitement consciente de ce qui l'attendait. Mais en même temps, il y avait quelque chose d'assez bouleversant dans sa manière d'être, son indolence, son non-besoin d'effort »
Elle part l'année d'après, en 1964, passer des vacances à Buzios, un village du Brésil, en compagnie de son petit ami de l'époque, le musicien brésilien Bob Zagury. Dès lors, Buzios connut le même engouement que Saint-Tropez, grâce au séjour de la star. En remerciement, les brésiliens lui érigèrent une statue à son effigie, sculptée par Motta.
Puis en 1965, elle joue aux côtés de Jeanne Moreau dans Viva María ! de Louis Malle, réalisateur qu'elle retrouvait trois ans après Vie Privée. L'histoire de deux chanteuses de cabaret, au Mexique, embrassant une cause révolutionnaire. Le film eut un très gros succès, notamment aux États-Unis, où B.B. partit en faire la promotion. Elle fut reçue par la presse et le public comme les plus grandes stars hollywoodiennes. Elle fut également nominée pour ce film aux BAFTA, pour la meilleure actrice étrangère. À cette période, Bardot était au sommet de sa beauté et de sa gloire.
En 1966, le milliardaire allemand Gunter Sachs envoie une pluie de pétales de roses sur la Madrague depuis son hélicoptère pour lui déclarer son amour et la demander en mariage. Elle l'épouse en troisièmes noces le 14 juillet 1966 à Las Vegas. Leur union durera deux ans. Elle devra affronter l'année d'après une foule hystérique au Festival de Cannes 1967 avec son mari, alors qu'elle présentait le film hors-compétition de ce dernier. Ce fut sa dernière apparition officielle dans le monde du cinéma.
Toujours en 1967, Brigitte Bardot vit une idylle avec Serge Gainsbourg. Elle devient sa muse et il lui écrit ainsi une dizaine de chansons, parmi lesquelles ses plus grands succès : Harley Davidson, Bonnie & Clyde, Contact, Comic Strip (duo dont une version existe également en anglais), Bubble Gum, La Bise aux hippies (où BB chante en duo avec Sacha Distel, Gainsbourg apparaissant en guitariste hippie dans le show télévisé), L'Appareil à sous, Je me donne à qui me plaît ou encore Je t'aime... moi non plus, mais Bardot, étant encore mariée à Gunter Sachs à l'époque, demande à Gainsbourg de ne pas sortir le titre, ce dernier acceptera. À leur rupture, il lui dédiera une chanson-hommage : Initials BB. En 1967, lors du "Show Bardot" diffusé pour les fêtes de fin d'année,
La même année, elle participe au Sacha Show où elle chante avec Sacha Distel, puis au Show Bardot, à l'occasion des fêtes de fin d'année, qui lui est entièrement consacré et qui connaît un succès télévisuel mondial, notamment aux États-Unis. Elle y interprète d'ailleurs la chanson "Harley Davidson" en motarde vêtue d'une minijupe en cuir et de cuissardes, Brigitte Bardot accède alors plus que jamais au statut de sex symbol des années 1960. C'est à cette même époque que se développe la mode des posters. Celui représentant BB sur sa Harley va fortement contribuer à la diffusion de son image. Parallèlement, Claude Bolling, Jean-Max Rivière, Gérard Bourgeois et tant d'autres compositeurs lui écrivent des chansons telles que C'est Rigolo, Invitango, Les Amis de la musique, Everybody loves my baby, la Madrague, Moi je joue, La Fille de paille, Le Soleil, Oh ! Qu'il est vilain, etc.