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Expérience : Produire de l'électricité avec une orange

Publié à 19:13 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog prix



Enfoncez une languette de zinc et de cuivre dans l'orange
Equipez-vous d'un testeur 
Et contrôlez chaque languette

Ceci peut être vérifier avec un simple jus d'orange dans un gobelet
(100% pur jus)

Attention ne pas consommer l'orange ou même le jus après l'expérience
 
 

Les plus grande villes du monde en nombre d'habitants

Publié à 18:59 par dessinsagogo55 Tags : monde center

Les plus grande villes du <a class=


Bombay (13 millions d'habitants)
Karachi (11 millions)
Delhi (11 millions)
Shanghai (11 millions)
Moscow (10 millions)
São Paulo (10 millions)
Seoul (10 millions)
Istanbul (9 millions)
Mexico City (9 millions)
Jakarta (8 millions)

L'anorexie , jusqu'où va la folie ? ? ?

Publié à 18:49 par dessinsagogo55 Tags : center photo société blog

 

Dans notre société qui plébiscite la maigreur absolue de l'anorexie :
de nombreuses adolescentes émettent le souhait de devenir anorexique
ou boulimique et s'organisent en site et blog "pro ana" pour échanger
leurs témoignages et pour maigrir rapidement jusqu'à ne plus manger ,
ou se faire vomir pour les boulimiques ! ! !

Antiphane

Publié à 18:46 par dessinsagogo55 Tags : amour center

Antiphane

Deux choses ne se peuvent cacher: l'ivresse et l'amour.

Fusain

Publié à 18:11 par dessinsagogo55 Tags : papier jeux coup bonne center sur divers peinture dessin centerblog merci art
Fusain

 

Le fusain est une branche de saule ou de fusain d'Europe (fusago) carbonisée en vase clos.
Bien que concurrencé par des produits plus élaborés (craies et mines de différents types), le fusain reste un outil de dessin irremplaçable.


Le bois le plus utilisé aujourd'hui est le saule car il permet une grande variété de diamètres, une homogénéité de tendreté et une bonne densité de noirs. D'autres arbres peuvent servir à leur fabrication : bouleau, épicéa (en Finlande), tilleul mais aussi noyer, figuier, prunier, myrte (en Grèce) ou romarin (en Italie) et buis.
Des imitations (chinoises notamment) de fusain proviennent d'arbres divers : les branches plus épaisses sont coupées dans leur longueur pour imiter la taille de fusains. On reconnait un fusain naturel à l'anneau entourant son rond central (marque de son âge : un an).




Le fusain est traditionnellement l'outil de dessin le plus simple et le plus utilisé dans le dessin d'art, les études, les esquisses, car il est bon marché et permet d'obtenir des noirs très profonds, des tracés précis, fins ou au contraire très larges, selon la façon dont il est utilisé.
Le fusain est aussi très utilisé par les peintres pour réaliser l'esquisse sur la toile destinée à recevoir la peinture. L'excès de poudre s'enlève d'un coup de chiffon pour révéler un dessin léger dont la trace disparaitra sous la couleur.

Le fusain peut être plus ou moins tendre. Comme pour le crayon mine, plus il sera sec et moins il marquera le support, et à l'opposé, plus il sera tendre, plus il le noircira.
Les traces laissées par le fusain naturel peuvent être gommées avec une gomme mie de pain, gomme la mieux adaptée, puisqu'elle n'étale pas le graphite très poudreux.


Selon la partie de la branche dans laquelle il a été découpé, les bâtonnets peuvent être de différentes grosseurs/diamètres : fin ou mignonette (2-3 mm), moyen ou petit buisson (4-6 mm), gros ou moyen buisson (7-9 mm), très gros ou gros buisson (12-14 mm) jusqu'à géant pour la scénographie (16-24 mm).
Il existe également du fusain compressé ou comprimé : plus dur, il se compose de poudre de fusain mélangée à un liant. Il est aussi plus difficile à effacer.

Pour conserver un dessin au fusain, il est nécessaire de le fixer à l'aide d'un fixatif, afin d'éviter que le carbone ne se décolle, lorsqu'un quelconque objet est frotté sur le support. Il existe des produits spécialisés en bombe ou en flacons (à utiliser avec un petit vaporisateur à bouche). On peut par économie utiliser de la laque à cheveux mais, n'étant pas destinée à cet usage, elle peut entraîner des désagréments comme, à terme, le jaunissement de la feuille.
S'il n'est pas encadré, le dessin au fusain sur papier sera conservé entre deux feuilles de papier cristal.


Si beaucoup d'artistes depuis la Renaissance ont utilisé le fusain (Léonard de Vinci, Verrocchio, Dürer, Pontormo), peu d'œuvres ont été conservées parmi lesquelles celles de Carrache, Baroche, Reni ou Dominiquin.
Classiques (Prud'hon) et Romantiques (Delacroix, Goya) s'en servirent comme instrument de dessin.
Les post-impressionnistes en firent un usage plus approfondi, tels Degas, Redon et surtout Seurat. Ce dernier réalisa de nombreuses études préparatoires à ses œuvres pointillistes et (et c'est la majorité) de dessins indépendants (série des 'Noirs') au fusain qui lui permettaient de travailler la composition par plans de valeurs, recherchant les volumes sans avoir recours à la ligne et analysant les jeux d'ombres et de lumières au seul moyen des gris.
Auguste Allongé fut également un des maîtres du fusain au XIXe siècle. Il enseigna le dessin au fusain et publia en 1875 un traité sur cet art traduit en plusieurs langues.
 

 

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Panoptikum Hamburg

Publié à 18:06 par dessinsagogo55 Tags : center jeune centerblog monde histoire sommaire sur bienvenue
Panoptikum Hamburg




Le Panoptikum de Hambourg est le musée de figures de cire le plus ancien et le plus grand d'Allemagne. Fondé en 1879 par Friedrich Hermann Färber sur le champ de foire du Reeperbahn entre l'Opéra et le théâtre Schmidt, il est toujours la propriété de famille Färber. Pendant la Deuxième Guerre Mondiale le bâtiment a brûlé après un bombardement. Avec 28 figures sauvées, le Panoptikum a rouvert en 1948 au même endroit. Le bâtiment d'aujourd'hui a été construit en 1961 dans le style des années 1950. Au début de 2007, une restauration a rendu son caractère à la vieille façade. Le Panoptikum présente des figures historiques, des célébrités internationales et des stars de Hambourg. Le musée compte plus de 130 figures de cire et un cabinet de cires anatomiques historiques. Le musée présente la statue de Uwe Seeler jeune (un champion de football de Hambourg).



Bienvenue sur le plus ancien musée de cire en Allemagne:
Depuis plus de 130 ans, nous présentons règle importante de l'histoire, la culture et le génie de la science et des personnages hauts en couleurs des arts, de la culture et des sports. Hâte de voir les Beatles, ce qui rend le roi Henry VIII vos points ou perdez-vous dans les yeux verts de Robbie Williams. Ici vous pouvez profiter de vos idoles de près - sans gardes du corps qui bloquent la vue.


Spielbudenplatz 3
20359 Hamburg
Téléphone: 040/31 03 17
Fax: 040/51 29 63

 

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La fin du monde annulée

Publié à 18:01 par dessinsagogo55 Tags : monde

Hollywood Wax Museum

Publié à 17:57 par dessinsagogo55 Tags : écran photo sur argent center

Le Hollywood Wax Museum, situé sur la célèbre Hollywood Boulevard le long de la Hollywood Walk of Fame, le musée de cire le plus long cours d'exécution dans les Etats-Unis, avec plus de 45 années de fonctionnement en continu par les mêmes propriétaires depuis 1965.

Hollywood Wax Museum

Hollywood Wax Museum est le musée de cire que dans le pays entièrement consacré aux figures célèbres. Cela signifie que la visite du musée de cire de Hollywood vous met face-à-face avec des icônes de l'écran d'argent, recréé fidèlement que vous jurerait qu'ils étaient vivants.


Hollywood Wax Museum

Hollywood Wax Museum

Hollywood Wax Museum

Hollywood Wax Museum

Hollywood Wax Museum



Adresse
6767 Hollywood Blvd,
Los Angeles, CA 90028
(323) 462-5991 Directions routières

 

Lynn-Holly Johnson

Publié à 17:37 par dessinsagogo55 Tags : actrice


Lynn-Holly Johnson est une patineuse et actrice américaine, née le 13 décembre 1958 à Chicago.

Lynn-Holly Johnson


Filmographie

1981 : Rien que pour vos yeux (Bibi Dahl)
1980 : Les Yeux de la forêt (Jan Curtis)


Louise Brooks

Louise Brooks

 

Louise Brooks est une actrice américaine, née Mary Louise Brooks le 14 novembre 1906 à Cherryvale (Kansas), morte le 8 août 1985 à Rochester (État de New York). Louise Brooks est connue pour ses rôles dans les films muets des années 1920 aux États-Unis mais aussi, pour trois de ses films européens en 1929 et 1930, Loulou, Le Journal d'une fille perdue et Prix de beauté.



Née au Kansas en 1906, ses parents sont quelque peu « absents », et bien qu'ils lui donnent le goût des livres et de la musique — sa mère était une pianiste de talent, lui jouant Debussy et Satie —, ils ne peuvent la protéger d'abus sexuels de la part d'un voisin. Cela aura une influence majeure sur sa vie et sa carrière — elle affirmera plus tard être incapable d'aimer vraiment.

Encore adolescente, elle débute sa carrière d'artiste comme danseuse dans la compagnie de danse moderne de Denishawn, où se trouvent également Martha Graham, Ruth Saint Denis et Ted Shawn. Après son départ en raison d'une brouille due à son caractère trop obstiné, elle se tourne vers ses amis les plus influents et obtient bientôt un rôle de danseuse dans les Ziegfeld Follies à Broadway, où elle se fait immédiatement remarquer par les studios américains (à l'époque basés à New York).
Elle signe chez Paramount Pictures où elle passera la plus grande partie de sa carrière. En 1925, elle obtient un rôle (non crédité) dans le film muet The Street of Forgotten Men. Bientôt, elle obtient les premiers rôles dans un certain nombre de comédies légères, jouant notamment aux côtés d'Adolphe Menjou et W. C. Fields. Elle se fait remarquer en Europe grâce à son rôle pivot d'une vamp dans le film muet de Howard Hawks, Une fille dans chaque port (1928).



Elle trouve un de ses grands rôles américains dans l'un des derniers films muets, Les Mendiants de la vie (1928), dans le rôle d'une fille de la campagne en fuite, avec Richard Arlen et Wallace Beery qui interprètent des clochards qu'elle croise en route. Fait rare pour l'époque, la plus grande partie de ce film est tournée en extérieurs, et le boom microphone est inventé pour ce film par le réalisateur William A. Wellman qui en a besoin pour tourner l'une des premières scènes parlantes du cinéma.
À cette période de sa vie, elle est au firmament. Elle est régulièrement invitée par le milliardaire William Randolph Hearst, dans sa propriété de Hearst Castle. Sa coiffure si unique déclenche une nouvelle mode, et elle est bientôt imitée par de nombreuses femmes (les « flappers », les « garçonnes »...) dans le monde entier. « Je suis une blonde aux cheveux noirs » plaisantait-elle.
Peu après le tournage du film, Louise, qui se tient soigneusement à l'écart du « milieu » hollywoodien, refuse d'enregistrer des paroles pour le film muet The Canary Murder Case et part en Europe tourner sous la direction de G.W. Pabst, le célèbre réalisateur expressionniste allemand, mettant un terme à sa carrière à Hollywood.
Dans Loulou (1929), son rôle de Loulou, une femme misérable aux prises avec Jack l'éventreur après une série d'escapades salaces, fait d'elle une icône de la vie et de la mort dans la période jazzy. Ce film est renommé pour son traitement cru des mœurs sexuelles d'alors, y compris la première apparition à l'écran d'une lesbienne. Louise joue ensuite dans les sociodrames controversés que sont Le Journal d'une fille perdue (1929) et Prix de beauté (1930), ce dernier étant tourné en France et offrant une fin aussi choquante que fascinante. Tous ces films sont largement censurés, étant très « adultes » dans leur propos et considérés comme choquants en raison de leur affichage de la sexualité, sans compter une critique acerbe de la société. Bien que passés inaperçus à l'époque en raison du succès des films parlants, ces trois films furent plus tard reconnus comme des pièces maîtresses du cinéma muet, son personnage de Loulou étant désormais mythique.
Louise est considérée comme l'une des premières actrices « naturelles » du cinéma, son jeu étant subtil et nuancé par rapport à de nombreux acteurs du cinéma muet. Le gros plan était en vogue chez les réalisateurs, et le visage de Louise s'y prêtait parfaitement.
Louise a toujours été égocentrique, parfois d'un caractère difficile, et elle n'hésitait pas à user de sa verve acidulée lorsque l'occasion s'en présentait. De plus, elle s'était promis de ne jamais sourire face à la caméra, sauf si elle y était obligée, et bien que la plupart de ses photos la montrent avec une expression neutre, on peut parfois la voir arborer un sourire éblouissant. De son propre aveu, c'était une femme libérée, encline aux expériences, posant même nue pour des photographes et ses liaisons avec de nombreuses vedettes du cinéma sont légendaires.
Elle était également dépensière, mais gentille et généreuse envers ses amis, presque à l'excès. Lorsqu'elle retourne à Hollywood, elle est sur la liste noire et ne peut reconquérir son succès d'antan. Des rumeurs propagées par les studios laissent entendre que sa voix n'est pas adaptée aux films parlants, ce qui est faux.
En 1938, après avoir été humiliée de se retrouver dans des films de série B où les studios l'avaient casée pour lui faire regretter son dédain d'antan, elle se retire du show business, et retourne à Wichita (Kansas), la ville de son enfance.
Mais elle n'y trouve pas la tranquillité qu'elle y espérait. Elle écrit : « Les gens de Wichita étaient jaloux de mon succès, ou me méprisaient pour mes échecs. Et tout cela ne m'enchantait pas vraiment. Je dois reconnaître qu'une malédiction pèse sur moi : mon proche échec en tant qu'être humain dans cette société. »
Elle retourne vers l'Est et travaille pendant quelques années comme vendeuse dans un magasin Saks sur la Cinquième Avenue à New York, puis vit aux frais de divers hommes fortunés. Louise a toujours aimé l'alcool, elle y sombre bientôt, mais parvient à exorciser ses démons : c'est le début de sa seconde vie. Les historiens français du cinéma redécouvrent ses films au début des années 1950, et Henri Langlois, fondateur de la cinémathèque n'hésite pas à déclarer « Il n'y a pas de Garbo ! Il n'y a pas de Dietrich ! Il n'y a que Louise Brooks ! ». Cela a pour effet de lui attirer un nouveau public et la réhabilite même dans son propre pays.
James Card, le conservateur des films de la George Eastman House, la retrouve recluse à New York et la persuade de le suivre à Rochester. Avec son aide, elle devient une scénariste reconnue. Un recueil de ses écrits paraîtra en 1982 sous le nom de Loulou à Hollywood. Le scénariste Kenneth Tynan dresse d'elle un portrait avantageux dans son essai La Fille au Casque Noir, dont le titre fait allusion à sa coupe de cheveux si particulière et devenue mondialement célèbre.
Elle donnait rarement des interviews, mais était en bons termes avec John Kobal et Kevin Brownlow, deux historiens du cinéma, et ils purent coucher sur papier certains aspects de sa personnalité. Elle vécut seule, de son propre choix, pendant de nombreuses années, et mourut d'une crise cardiaque en 1985 après avoir longtemps souffert d'arthrite et d'emphysème.
Après sa mort, un film biographique, Louise Brooks: Looking For Lulu, fut réalisé en 1998.
Elle se maria deux fois mais n'eut jamais d'enfants — elle aimait à se décrire comme un ruisseau aride (barren brook en anglais). Son premier mari fut le réalisateur A. Edward Sutherland dont elle divorça. Le second fut le millionnaire de Chicago Deering Davis qu'elle épousa en 1933. Deering la quitta cinq mois plus tard, et ils divorcèrent en 1937.
Elle est considérée comme l'une des plus grandes actrices de l'histoire du cinéma, et l'une des plus belles stars jamais photographiées.
Son autobiographie, Lulu in Hollywood, a été publiée en version française en 1983 dans une collection dirigée par Maurice Bessy aux Éditions Pygmalion.
En 2007, l'écrivain Roland Jaccard, qui a connu Louise Brooks, lui consacre une troublante biographie, Portrait d'une flapper.



Filmographie

Films muets


1925 : L'École des mendiants ou Le Roi des mendiants (The Street of Forgotten Men) de Herbert Brenon (non créditée)
1926 : The American Venus de Frank Tuttle : Miss Bayport
1926 : Le Galant Étalagiste (Love 'Em and Leave 'Em) de Frank Tuttle avec Evelyn Brent : Janie Walsh
1926 : Au suivant de ces messieurs (A Social Celebrity) de Malcolm St. Clair avec Adolphe Menjou : Kitty Laverne
1926 : Un conte d'apothicaire (It's the Old Army Game) de A. Edward Sutherland avec W. C. Fields : Mildred Marshall
1926 : Moi (The Show Off) de Malcolm St. Clair avec Ford Sterling, Lois Wilson : Clara, Joe's Girl
1926 : Just Another Blonde d'Alfred Santell : Diana O'Sullivan
1927 : Un homme en habit (Evening Clothes) de Luther Reed avec Menjou, Noah Beery, Lilyan Tashman : Fox Trot
1927 : Frères ennemis (Rolled Stockings) de Richard Rosson avec James Hall, Richard Arlen : Carol Fleming
1927 : Now We're in the Air de Frank Strayer avec W. C. Fields : Griselle
1927 : La Cité maudite (The City Gone Wild) de James Cruze : Snuggles Joy
1928 : Une fille dans chaque port (A Girl in Every Port) de Howard Hawks : Marie, en France
1928 : Les Mendiants de la vie (Beggars of Life) de William A. Wellman : La femme (Nancy)
1929 : Loulou (Die Büchse der Pandora) de Georg Wilhelm Pabst : Lulu
1929 : Le Journal d'une fille perdue (Das Tagebuch einer Verlorenen) de Georg Wilhelm Pabst : Thymian


Films parlants

1929 : The Canary Murder Case de Malcolm St. Clair et Frank Tuttle : Margaret Odell (the Canary)
1930 : Prix de beauté de Augusto Genina : Lucienne Garnier
1931 : La publicité rapporte (It Pays to Advertise) de Frank Tuttle : Thelma Temple
1931 : God's Gift to Women : Florine
1931 : Windy Riley Goes Hollywood : Betty Grey
1931 : Who's Who in the Zoo
1936 : Hollywood Boulevard de Robert Florey : Joyce Beaton
1936 : Empty Saddles : 'Boots' Boone
1937 : L'Homme qui terrorisait New York (King of Gamblers) de Robert Florey (scènes supprimées)
1938 : Overland Stage Raiders : Beth Hoyt


Hommages


Jean-Luc Godard lui a rendu hommage via Anna Karina dans Vivre sa vie.
En 1984, Richard Leacock lui consacre un documentaire, intitulé Lulu in Berlin, dont une conversation avec Louise Brooks qu'il avait rencontrée, alors âgée de 67 ans, à Rochester.
En 1991, le groupe britannique Orchestral Manoeuvres in the Dark lui rend hommage dans son album Sugar Tax. La chanson s'appelle Pandora's Box, en référence au film Loulou (1929). Le clip vidéo montre de nombreux plans de Louise Brooks, tous extraits de ce film.
En 1998, un documentaire intitulé Looking for Lulu lui est consacré. Réalisé par Hugh Munro Leely, avec Shirley MacLaine comme narratrice, le film dresse un portrait de l'actrice au travers d'interviews d'amis (Dana Delany, Francis Lederer, Roddy McDowall ...)
En 2000 le groupe francais de rock Lady Godiva sort son 1er album qui se nomme Louise Brooks Avenue sur lequel se trouve la chanson titre Louise Brooks ; en outre le groupe fait partie de la Louise Brooks Society.
Une des guitares (Fender Jaguar) du chanteur de Placebo (Brian Molko) porte le nom de « Louise » en l'honneur de Louise Brooks et est décorée d'un autocollant à son effigie.
Louise Brooks inspira à l'auteur de bande dessinée italien Guido Crepax le personnage de Valentina (1968). Lors d'une correspondance avec Crepax, elle lui dira sa fierté d'avoir servi de modèle non seulement à Valentina, mais aussi au personnage Dixie Dugan (1926-1966) dans la série homonyme de John Striebel : « Et vous avez commencé Valentina en 1965 comme si vous me repreniez lorsqu'à sa mort John m'abandonna ». Hugo Pratt s'inspira d'elle pour le personnage de Louise Brookszowyc, une Polonaise vivant à Venise, dans l'album Fable de Venise de la série Corto Maltese. En 1983, Hugo Pratt fait une visite surprise à Louise Brooks ; elle le fait entrer dans le salon. Il est surpris d'y trouver Fable de Venise. Lorsque Louise revient dans la pièce, elle le trouve avec la bande dessinée en main et lui dit que c'est Guido Crepax qui lui a envoyé l'album et que le dessinateur est vraiment doué. Pratt lui avoue alors être ce dessinateur.
Louise Brooks est au centre du livre de Katherine Pancol Embrassez-moi, publié en 2003. Elle est alors à l'aube de sa vie. À travers le dialogue entre l'héroïne et l'actrice, on y découvre sa vie d'artiste et de femme, ses rencontres et ses amours, mais surtout les blessures qui ont émaillé toute son existence.
Dans son clip L'Incendie s'inspirant des années 1920-1930, issu de son dernier album Divine Idylle, Vanessa Paradis incarne, à quelques reprises, Louise Brooks s'amusant avec un sautoir, accessoire qui pouvait la symboliser.
Louise Brooks a inspiré le parfum Loulou de Cacharel.


 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Brooks

 
Notes et références                                                    
    
    Cinéma : Acteur - actrice L 
   
   
    Louise Brooks
    Louise Brooks vers 1922
    Louise Brooks : 1929
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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