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La meilleure vengeance

Publié à 14:49 par dessinsagogo55 Tags : center sur merci blogs
La meilleure vengeance



La meilleure vengeance est juste de passer à autre chose , 
ne donnez jamais à quelqu'un la satisfaction de vous voir souffrir
 
 
 

 

 
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Lambris bois : Pose

Publié à 14:46 par dessinsagogo55 Tags : photo air center photos

Les planches d'un lambris bois possèdent un côté languette mâle, l'autre côté rainure femelle. Elles peuvent être posées horizontalement ou verticalement, voire en oblique. Dans le cas de pose horizontale le côté tenon doit être vers le haut pour que dans le cas d'humidité, les ruissellements ne soient pas coincés et n'imprègnent pas le lambris. Il existe deux techniques de pose :

Avec des agrafes métalliques

En clouant en diagonale au niveau de la rainure


Lambris bois : Pose
photos Eric Picard



Il est conseillé dans les deux cas d'utiliser des machines électriques (pour des clous ou agrafes petits, les pointes doivent avoir moins de 20 mm de longueur) ou des machines à air comprimé (pointes jusqu'à 65, voire 70 mm pour certaines machines).



Lambris médiéval

Publié à 14:45 par dessinsagogo55 Tags : bretagne sur center

D'après Viollet-le-Duc, les lambris, autrefois appelés Lambruscature ne s'employait, au moyen âge, que pour désigner un revêtement uni de planches. Les charpentes des XIIIe siècle, XIVe siècle et XVe siècle sont souvent, à l'intérieur, garnies de lambris en forme de berceau plein cintre ou en tiers-point. Ce sont alors des charpentes lambrissées. Ces lambris étaient toujours revêtus de peintures plus ou moins riches. On en voit encore beaucoup en Bretagne, en Normandie et en Picardie. La grand'salle du Palais à Rouen est couverte par une charpente lambrissée. La salle de l'hôpital de Tonnerre possède également une énorme charpente lambrissée. On garnissait aussi fréquemment de lambris la partie inférieure des salles ou chambres, c'est-à-dire de planches avec couvre-joints au-dessous des tapisseries. Ces lambris étaient isolés des murs et cloués sur des tasseaux scellés au plâtre dans des rainures. « On évitait ainsi la fraîcheur des murs, toujours assez dangereuse dans les habitations

Lambris médiéval
Eugène Viollet-le-Duc par Nadar



Lambris médiéval

Publié à 14:45 par dessinsagogo55 Tags : sur article center

Lambris médiéval

Lorsque les lambris sont hauts, il est nécessaire de les couper dans leur hauteur par une ou plusieurs traverses intermédiaires qui évitent les panneaux trop longs, toujours portés à gauchir. Ainsi, soit un lambris de cinq pieds de haut (1m,62), on aura d'abord une semelle ou plinthe A, dans laquelle viendra s'embréver la traverse basse B. Sur cette traverse basse s'assembleront les montants C intermédiaires, et elle-même s'assemblera dans les montants extrêmes D. Le même système renversé sera adopté pour la traverse haute F et la corniche E. Mais en G, on assemblera entre chaque montant des traverses à tenons H et mortaises, afin de diminuer, comme nous l'avons dit, la longueur des panneaux. Ceux-ci seront souvent, lorsqu'il s'agit de lambris adossés à des murs, simplement posés en feuillure, ainsi que l'indique la coupe en I, et retenus par quelques pattes. Ces panneaux ne peuvent influer en rien sur la membrure, et s'ils sont faits en bois bien sec, n'ayant que la largeur d'une planche de merrain ou débitée comme nous l'avons marqué au commencement de cet article, tout l'ouvrage subira sans inconvénients les changements de température. Car la question principale, dans les œuvres de menuiserie, est toujours de laisser au bois la facilité de gonfler ou de se rétrécir sans influer sur les assemblages. Les tenons K des montants passent à travers la traverse haute et la corniche, afin d'empêcher le gauchissement de celle-ci, ce qui ne manque pas d'arriver lorsque ces corniches ou cimaises sont simplement embrévées à languettes dans les traverses hautes. En effet, l'épaisseur de ces corniches ou cimaises étant plus forte que celle de la traverse haute, elles ont assez de puissance, lorsqu'elles gauchissent, pour faire éclater la languette prise dans le bois de fil. Ce système de lambris à panneaux est adopté pendant les XIIIe et XIVe siècles avec des variantes dans les profils. Quant aux assemblages, jusqu'au XVe siècle, ils sont toujours francs, c'est-à-dire pris dans le bois conservant son équarrissage.

Lambris médiéval. Dans Eugène Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle



La jalousie

Publié à 14:42 par dessinsagogo55 Tags : center
La jalousie



La jalousie pollue-t'elle une relation ?
 


La grande vadrouille : Bande annonce

Publié à 14:37 par dessinsagogo55 Tags : photo blog center centerblog gif sur annonce film sommaire bande

La grande vadrouille

Date de sortie 1966
Réalisé par Gérard Oury
Avec : Bourvil , Louis De Funès , Claudio Brook
Genre : Comédie , Guerre
Nationalité : Français

En 1942 , un avion anglais est abattu par les Allemands au-dessus de Paris .
Les trois pilotes sautent en parachute et atterrissent dans différents endroits de la capitale .
Ils sont aidés par deux civils français , un chef d'orchestre et un peintre en bâtiment
qui accèptent de les mener en zone libre ; ils deviennent ainsi , malgré eux , acteurs de la Résistance .

La grande vadrouille
La grande vadrouille

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La Grande Vadrouille

Publié à 14:37 par dessinsagogo55 Tags : neige sur center centerblog france chez bienvenue histoire film voyage sommaire gif annonce bande

La Grande Vadrouille

La Grande Vadrouille est un film franco-britannique de Gérard Oury, sorti en 1966. Le film raconte sur le ton de la comédie les déboires des Français face aux Allemands sous l'Occupation.
Avec plus de 17 millions de spectateurs lors de son exploitation en salles, le film le plus célèbre du duo Bourvil-de Funès a été pendant plus de trente ans le plus grand succès cinématographique sur le territoire français, toutes nationalités confondues (avant d'être dépassé par Titanic en 1998), et pendant plus de quarante ans le plus grand succès d'un film français sur le territoire français, avant d'être dépassé par Bienvenue chez les Ch'tis de Dany Boon en avril 2008.
Il est à ce jour cinquième au palmarès des films les plus vus de l'histoire en France au cinéma, précédé par Titanic, Bienvenue chez les Ch'tis, Intouchables et Blanche-Neige et les Sept Nains.

La Grande Vadrouille

En 1942, pendant l'occupation allemande en France, un bombardier de cinq aviateurs britanniques est abattu au-dessus de Paris par la Flak lors d'un retour de raid aérien. Ses occupants sautent alors en parachute. Deux sont faits prisonniers, les trois autres parviennent à échapper aux Allemands. Le premier, Sir Reginald Brook (Big Moustache), atterrit dans le zoo de Vincennes, le second, Peter Cunhingam, sur la nacelle d'un peintre en bâtiment, Augustin Bouvet (Bourvil), et le dernier, Alan MacIntosh, sur le toit de l'Opéra Garnier puis se réfugie dans la loge d'un chef d'orchestre acariâtre, Stanislas Lefort (Louis de Funès). Les deux Français, aidés de Juliette (Marie Dubois) doivent alors, malgré eux, cacher les aviateurs puis concourir à leurs retrouvailles parisiennes avant de les accompagner et fuir avec eux pour rejoindre la zone libre. Ces militaires pourront ainsi rejoindre l'Angleterre. Pourchassés par les Allemands et notamment par le major Achbach, les fugitifs vont connaître de nombreuses péripéties lors de leur voyage vers la Bourgogne. Ils franchiront enfin la fameuse « ligne de démarcation », grâce à l'aide de Germaine (Colette Brosset), la patronne de l'« hôtel du Globe » à Meursault.

  La Grande Vadrouille
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  La grande vadrouille : Bande annonce
  La Grande Vadrouille : Fiche technique
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Film français : 1966
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La Grande Vadrouille : Fiche technique

Réalisation : Gérard Oury, assisté Claude Clément (seconde équipe)
Scénario: Gérard Oury, Danièle Thompson, Marcel Jullian
Dialogues : Georges Tabet, André Tabet
Décors : Jean André, assisté de Robert André, Robert Christidès, Théo Meurisse, Gabriel Béchir
Costumes : Tanine Autre, Léon Zay
Maquillage : Odette et Pierre Berroyer
Perruques : Carita
Photographie : Claude Renoir, assisté de Vladimir Ivanov (seconde équipe)
Effets spéciaux : Jean Fouchet, Gil Delamare, Claude Carliez, Pierre Durin, Michel Durin, Daniel Braunschweig
Son : Antoine Bonfanti, Urbain Loiseau
Montage : Albert Jungerson, Janine Oudoul, Laurence Leininger
Musique : Georges Auric
Extraits de La Damnation de Faust d'Hector Berlioz exécutés par l'Orchestre de Paris, sous la direction de Robert Benedetti et Jacques Météhen (éditions Hortensia)
Production: Robert Dorfmann
Sociétés de production : Les Films Corona, Lowndes Production, The Rank Organisation
Sociéte de distribution : Valoria Films
Séquences aériennes : Gérard Streiff, Raymond Streiff, René Mary
Pays: France, Royaume-Uni
Tirage : Laboratoire L.T.C de Saint-Cloud - sous titrages : Titra Films Paris
Format : Couleurs - 35 mm (Panavision) - Son mono
Durée : 120 minutes (2 h)
Date de sortie : France : 1er décembre 1966
Genre : Comédie, Aventure, Guerre
Visa d'exploitation : 31732

La Grande Vadrouille
Bourvil
Assemblé à partir de 19 fichiers
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55




Distribution

Bourvil : Augustin Bouvet, peintre en bâtiment
Louis de Funès : Stanislas Lefort, chef d'orchestre à l'Opéra de Paris
Terry-Thomas : sir Reginald Brook alias « Big Moustache »
Claudio Brook : Peter Cunningham
Mike Marshall : Alan Mac Intosh
Marie Dubois : Juliette
Pierre Bertin : le grand-père de Juliette
Andréa Parisy : Sœur Marie-Odile
Mary Marquet : la mère supérieure
Benno Sterzenbach : le major Achbach

Paul Préboist : le pêcheur
Henri Génès : le gardien du zoo de Vincennes
Colette Brosset : Mme Germaine
Catherine Marshall : une religieuse
Mag Avril : la vieille locataire
Pierre Roussel : un client du wagon-restaurant
Rudy Lenoir : un soldat allemand
Reinhardt Kolldehoff : un Allemand à la perquisition
Michel Modo : le soldat qui louche
Sieghardt Rupp : le lieutenant Sturmer
Helmuth Schneider : l'Allemand du train
Hans Meyer : Otto Weber
Jacques Bodoin : Méphistophélès
Gabriel Gobin : un machiniste résistant de l'opéra
Clément Michu : le postier à la gare
Guy Grosso : le musicien bavard
Jean Droze : l'autre musicien bavard
Paul Mercey : le moustachu du bain turc
Christian Brocard : un employé de la gare
Fred Fischer : un colonel allemand
Claude Salez : un officier allemand
Percival Russel : le soldat allemand assommé
Raymond Pierson : un soldat allemand
Guy Bonnafoux : l'employé du bain turc
Tony Roedel : un sous-officier allemand
Pierre Bastien : Plombin
Peter Jacob : un général allemand
Noël Darzal : Lucien
Jacques Sablon : Bébert
Conrad Von Bork : un autre colonel allemand
Jerry Brouer : un soldat allemand
Jean-Pierre Posier : Patrick, le mécanicien
G. Birt : Harry, le mitrailleur
Nicolas Bang : John, le bombardier
Alice Field : la prostituée
P. Stutz : Rudy
H. Faupel : Fritz
Charly Constant : Ludwig
Sacha Tarride : le premier garçon
Lesprit : le second garçon
Hamm : un SS à l'opéra
Gary Ramm : le pilote allemand
Georges Dehneli : le commandant allemand
Joachim Weshoff : Faust
Anne Berger : Marguerite
A. Kronefeld : un général à l'opéra
Bernard Mermod : le sous-officier greffier
Rolf Spat : l'aide de camp
Guy Fox : le gros bonhomme
Raoul Gola : le pianiste
Gérard Martin : le harpiste
Georges Atlas : un homme de la Gestapo
Jean Landret : le guide à Chaillot
Georges Ruseckis : le chef SS à Paris
Horst Miessner : le premier Allemand au hammam
Jean-François Masson : le second Allemand au hammam
Claude Rouillard : le second pêcheur
Danièle Thompson : figuration
Catherine Prou : une nonne aux hospices de Beaune
Rémy Julienne : le motard qui reçoit la citrouille (non crédité)
Lionel Vitrant : Barbot (non crédité)
Jean Minisini : un soldat allemand (non crédité)
Édouard Pignon : un figurant à l'opéra

La Grande Vadrouille
Terry-Thomas : sir Reginald Brook alias « Big Moustache »
Assemblé à partir de 5 fichiers
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55




Récompenses

Prix du meilleur film étranger au festival de Taormina 1966
Plaque d'or aux David di Donatello 1967
Golden Screens 1977 : Meilleur film étranger


Lieux de tournage

Paris :
Les égouts
1er arrondissement de Paris : Rue des Halles (devant le no 8)
5e arrondissement de Paris : Hammam de la Grande Mosquée de Paris
8e arrondissement de Paris : Avenue des Champs-Élysées
9e arrondissement de Paris : Opéra Garnier
10e arrondissement de Paris : Gare de Paris-Est
12e arrondissement de Paris : Parc zoologique de Vincennes
16e arrondissement de Paris : derrière le musée de la contrefaçon
18e arrondissement de Paris : butte Montmartre
Seine (aujourd'hui Hauts-de-Seine) : Boulogne-Billancourt (studio)
Seine-et-Oise (aujourd'hui Hauts-de-Seine) : Saint-Cloud
Seine-et-Oise (aujourd'hui Val-de-Marne) : ancienne gare de Santeny - Servon (à Santeny)
Bourgogne
Côte-d'Or : Meursault (ancien château fort de Meursault, aujourd'hui mairie), Beaune (Hospices de Beaune)
Yonne : Vézelay, Noyers-sur-Serein, Pierre-Perthuis, Lucy-sur-Yonne (château)
Aveyron : Montpellier-le-Vieux, Peyreleau
Cantal : Alleuze, Vallée de la Truyère, Saint-Flour
Lozère : Mende
Pendant l'alerte au bombardement les scènes de fuite sont filmées sur la butte Montmartre.
La scène de l'atterrissage de Sir Reginald a été tournée au zoo de Vincennes dans le bassin des phoques qui avait été vidé de ses occupants pour l'occasion.
La scène de la peinture, de la cage d'ascenseur, du défilé SS et de l'atterrissage de Peter a été tournée au Musée de la Contrefaçon au 16 rue de la Faisanderie dans le 16e arrondissement de Paris (Cour et mur de droite pour la cage d'ascenseur).
MacIntosh atterrit sur les toits de l'Opéra Garnier. Toutes les scènes de l'Opéra ont été tournées à l'Opéra Garnier en décors réels grâce au double concours d'André Malraux, ministre de la Culture et de Georges Auric, administrateur des Salles Lyriques de Paris et, par ailleurs, compositeur de la musique du film.
La scène des Bains Turcs a été tournée au Hammam de la Grande Mosquée de Paris (Place du Puits-de-l'Ermite dans le 5e arrondissement).
La scène du Guignol a été tournée in situ au Guignol des Champs-Élysées (rond-point des Champs-Élysées-Marcel-Dassault croisement de l'avenue Franklin-Delano-Roosevelt, de l'avenue Matignon et de l'avenue Gabriel dans le Square).
La scène des égouts a été tournée en studio, mais la scène de la prostituée a été tournée au 8 rue des Halles. On y voit toujours la plaque sur le trottoir, qui n'est pas celle d'un égout, mais d'un téléphone.
La scène de la Gare de Lyon a été tournée à la Gare de l'Est. Un seul plan sur l'horloge de la tour de la Gare a été réalisé à la Gare de Lyon. Ce qui est d'ailleurs fidèle à la réalité de l'époque, en effet, suite aux destructions des ouvrages d'art de la ligne PLM c'est de la Gare de l'Est ou de la Gare de la Bastille que partaient les trains pour la Bourgogne et le sud via Troyes et Dijon.
Passage du fourgon postal sur l'actuelle route D33 au sud-est de La Rochepot dont on voit le château en arrière-plan.
La panne du fourgon postal et la scène de l'échange des chaussures ont été réalisées sur la route D958 à hauteur de Drémont et de Pouques-Lormes au nord d'Anthien dans la Nièvre. Ce n'est pas la Nationale 6 qui passe plus au nord comme semble l'indiquer la borne sur laquelle est assis Stanislas Lefort (Louis de Funès).
La scène du vol du camion par les deux aviateurs anglais a été filmée à l'entrée du Château de Faulin à Lichères-sur-Yonne.
La scène de l'arrestation de Peter en gare de Vougeot n'a pas été réalisée dans celle-ci située sur la ligne Paris-Lyon-Marseille. C'est en fait la gare désaffectée de Santeny - Servon (Seine-et-Marne) située sur la ligne de la Bastille qui a servi de décor. En effet, la Gare de Vougeot située sur l'axe Paris-Lyon-Marseille ne pouvait faire l'objet d'un tournage qui nécessitait la fermeture de la ligne pendant une journée entière. D'où le choix d'une gare située sur une ligne secondaire désaffectée.
La scène du barrage (début de la poursuite) a été tournée sur le barrage de Grandval dans la Vallée de la Truyère (Cantal). Cette scène est montée de toutes pièces car le barrage a été construit entre 1955 et 1959 (l'action se passe en 1942) et le barrage est situé à 450 km de la Bourgogne au cœur du Massif Central et de la Zone libre.
Les routes de la course poursuite sont aussi des routes auvergnates puisqu'il s'agit des routes entourant le château d'Alleuze et aux environs de la Barge d'Alleuze et de Saint-Flour (Cantal) que l'on aperçoit d'ailleurs dans le film.
Les hospices aux toits colorés sont ceux de Beaune (Côte-d'Or) et les bonnes sœurs sont vraiment les sœurs de l'époque. Elles ont quitté les lieux dans les années 1980.
La plaque éclairée par Bourvil indiquant "Meursault" est en fait apposée devant la Porte Neuve de Vézelay. De même, toutes les scènes nocturnes extérieures ont été tournées à Vézelay à l'exception de la scène de la place de l'« Hôtel du Globe ».
La scène de l'Hôtel du Globe a été tournée à Noyers-sur-Serein. On peut y reconnaitre les arcades de la Place de l'Hôtel de Ville et également l'agence Crédit Agricole (dont l'enseigne, bien qu'éteinte, apparaît dans le film)
Le transfert par brancards a été tournée dans les caves du Palais des Ducs de Bourgogne à Meursault (extérieur et porte de grange) et à Dijon (intérieur avec bouteilles).
La scène avec les chiens et la fameuse scène avec De Funès sur les épaules de Bourvil a été tournée dans l'Aveyron, à proximité de Montpellier-le-Vieux.
Le transfert des Anglais dans des tonneaux a été tourné sur la route des "Chaumots" en direction des Hauts d'Asquins.
La Kommandantur a été installée dans la Mairie de Meursault (ancien Château fort de Meursault).
La fuite vers l'aérodrome a été tournée sur le plateau de la Chomette près de Saint-Flour dans le Cantal.
Le pilote de l'avion de reconnaissance indique une Départementale 328 qui est en fait située en Haute Savoie (74) et qui relie Fry à Essert-Romand.
L'aérodrome est situé en Lozère, près de Mende, sur le causse de Mende. Il s'agit de l'aérodrome de Mende - Brenoux aujourd'hui pourvu d'une piste bituminée de 1 300 mètres.

Box-office

Recette totale France : ~ 17 267 607 entrées en salle.

Sorti en décembre 1966, le film a totalisé pendant longtemps le plus grand nombre d'entrées en France avec plus de 17 millions de tickets vendus. Il est finalement dépassé par Titanic de James Cameron en 1997 mais également par Bienvenue chez les Ch'tis de Dany Boon en 2008. Cependant, en proportion de la population française de l'époque, La Grande Vadrouille reste devant tous les autres films français avec 34 % des Français qui sont allés voir ce film, contre 31 % pour Bienvenue chez les Ch'tis.
Le film connut un succès international, y compris en Allemagne où il fut la première comédie présentée à l'écran consacrée à la Seconde Guerre mondiale.

Diffusion à la télévision française
La première télédiffusion eut lieu le 1er janvier 1976 sur la première chaîne française. Au total, le film a été diffusé seize fois sur la première chaîne et onze fois sur la deuxième chaîne. Il a aussi été diffusé sur d'autres chaînes.
Sur la première chaîne, la huitième diffusion eut lieu en 1988 et rassembla 46,7 % des téléspectateurs, la onzième en 2002, rassembla 9 millions de téléspectateurs, et la douzième 9,3 millions.
Le 20 décembre 2009, pour sa 15e diffusion sur TF1, le film a rassemblé plus de 9 millions de téléspectateurs pour 33 % de part de marché, ce qui fait de lui le film le plus vu à la télévision en France pour l'année 2009.
La 16e diffusion à la télévision a eu lieu le 1er janvier 2012, sur TF1 et a réuni 8,7 millions de spectateurs.

 

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La Grande Vadrouille : Autour du film

Publié à 14:25 par dessinsagogo55 Tags : film france air belle affiche sur center voiture

Autour du film

Bourvil et de Funès avaient déjà été réunis deux ans plus tôt par Gérard Oury dans Le Corniaud. Mais ils avaient également travaillé ensemble dans Poisson d'avril (1954), Les Hussards (1955) et La Traversée de Paris (1956).


La Grande Vadrouille
Assemblé à partir de 18 fichiers
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55


Lors du tournage, Bourvil et Louis de Funès ont dit en riant que c'était leur dernier film ensemble. Ce fut la vérité. Après Le Cerveau (1968) avec Bourvil et Jean-Paul Belmondo, Gérard Oury écrit le scénario de La Folie des grandeurs mais Bourvil, atteint d'un cancer, meurt avant le début du tournage, le 23 septembre 1970. Il est remplacé par Yves Montand. Le film finira quatrième au box-office français de 1971 avec 5,5 millions d'entrées.
Il est encore possible de voir la carcasse de la voiture ayant servi à la cascade finale avec les planeurs près de l'aérodrome de Mende - Brenoux en Lozère. Il en est de même pour le planeur de la cascade finale à Albert (Somme) au musée privé de l'épopée aéronautique.

La scène finale devait se conclure par une poursuite à ski. Pour des raisons météorologiques, elle ne put se faire et fut remplacée par une fuite en planeur.

Louis de Funès/Stanislas Lefort dirige la Marche Hongroise de la Damnation de Faust d'Hector Berlioz avec les mouvements réels que devrait avoir un chef d'orchestre. Pour cela, il a répété trois mois devant la glace de son salon et a pris quelques leçons avec le directeur de l'Orchestre national. À la fin de la première répétition, l'orchestre de l'Opéra se lève et l'acclame en « tapant archets contre violons, flûtes contre pupitres ». En fait, ces applaudissements étaient totalement improvisés.

Dans la scène des bains turcs, c'est l'air de la chanson Tea for Two, extraite de la comédie musicale américaine No, no, Nanette, qui sert de signal de reconnaissance aux personnages ayant rendez-vous.
Gérard Oury avait vendu au producteur Henry Deutchmeister un scénario où deux jumelles font traverser la France à l'équipage d'un bombardier britannique abattu par la Flak. Le réalisateur récupéra les droits du projet et substitua Bourvil et De Funès aux deux sœurs. « Les rôles principaux : deux filles ? Et alors ? Je les transformerai en hommes! » De ce scénario originel ne subsiste que la séquence des Hospices de Beaune.
La scène durant laquelle Louis de Funès se retrouve sur les épaules de Bourvil et est baladé par celui-ci n'était pas prévue à l'origine dans le scénario et était de la pure improvisation des deux acteurs. En effet, au départ, Louis de Funès devait escalader le mur et devait ensuite tomber sur Bourvil jusqu'au sol. Pour cela il était prévu une doublure pour De Funès. La scène eut tant de succès qu'elle servit pour la réalisation de l'affiche du film, et est aujourd'hui considérée comme une des plus grandes scènes du cinéma comique français. L'ensemble de cette séquence a été tournée dans le Chaos de Montpellier-le-Vieux.

Lors de la poursuite entre les Allemands et les héros, le motard qui reçoit la citrouille et chute n'est autre que Rémy Julienne, l'un des cascadeurs du film. Suite à la disparition de Gil Delamare le responsable des cascades du film, Rémy fut par la suite chargé de toutes les actions voitures et motos du film.

Le thème du récit présente de nombreuses analogies avec le film Jeanne de Paris (1942) où un équipage de bombardier américain trouvait refuge à Paris et le soutien d'une courageuse petite Française (Michèle Morgan dont le fils, Mike Marshall, a tourné dans La Grande Vadrouille). Le film américain est dramatique, même si le surréalisme de sa description de Paris est riche de comique involontaire. Et là aussi, on trouve une fuite par les égouts.

Au commencement du film, le bombardier anglais est présenté comme un Avro Lancaster. Mais plus tard, on voit qu'il s'agit d'un avion Boeing B-17. Probablement était-il l'un des quadrimoteurs américains utilisés par l'Institut géographique national jusqu'à la fin des années 1980, qui ont participé aussi au tournage du film Memphis Belle.

 

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Cahier des charges

Publié à 14:02 par dessinsagogo55 Tags : monde base center lecture photo enfant livre nature

Le cahier des charges est un document qui contient la liste des besoins, des exigences et des contraintes qu'il faut respecter lors de la réalisation d'un projet. Cette expression est ancienne ; elle était par exemple utilisée sous l'ancien régime pour préciser la manière dont le bois devait être coupé et sorti de la forêt. Il était défini par Chailland comme « détail des principales conditions de la vente et des obligations de l'adjudicataire, qui se lit aux marchands assemblés avant l'adjudication ».
Le cahier des charges prend des formes variables selon le type d'activité (production ou service récurrent, projet ponctuel,...), selon le domaine d'activité principal concerné et selon la culture d'entreprise. Actuellement, dans le domaine du BTP, le cahier des charges en interne ne pourra recevoir aucune modification. Cependant le cahier des charges sert à formaliser les besoins et à les expliquer aux différents acteurs pour s'assurer que tout le monde soit d'accord. Il permet notamment de cadrer la ou les missions des acteurs impliqués, dont celles du directeur de projet (côté maîtrise d'ouvrage) et/ou du chef de projet (côté maîtrise d'œuvre).
Il sert ensuite à sélectionner le prestataire ou soumissionnaire (dans le cas d'un appel d'offres), et à organiser la relation tout au long du projet. Il est considéré comme un référentiel partagé par le prestataire et l'équipe interne, et décliné dans les documents contractuels. Vers l'externe, c'est en outre un outil fondamental de communication du directeur de projet et/ou du chef de projet.
C'est un document contractuel entre le client et le prestataire/vendeur, mais il ne constitue pas à lui seul le contrat commercial. Il permet aussi de remplir l'obligation générale d'information du vendeur ou du prestataire vis-à-vis de son client (code de la consommation, Livre Ier, titre Ier, chapitre Ier).

Cahier des charges

La partie technique d'un Cahier des Charges doit se limiter à énumérer les contraintes techniques avérées.
Les contraintes de base sont économiques (les contraintes monétaires comme le budget de fonctionnement), environnementales (le caractère recyclable du produit, etc.), humaines (par exemple, dans le cas d'un jouet pour enfant, il doit être léger, ne pas contenir de petites pièces, etc.), industrielles (par exemple, il doit être fabriqué au Canada) et matérielles (par exemple, il doit spécifier les morceaux qui peuvent être remplacés, comme des piles, il doit préciser le recours à tel ou tel serveur d'applications, la plate-forme de déploiement).
L'erreur la plus courante est de confondre préférences et contraintes. Ceci cause des incompréhensions et des remises en causes aussi tardives que dramatiques. Pour remédier à ce problème, on confie parfois la rédaction du cahier des charges à un non technicien et on cherche à fournir le même niveau de détail pour chaque besoin.
Les contraintes doivent être interprétées de façon à ce que leur lecture soit l'expression des besoins techniques commandés et livrés. Leur interprétation doit être le résultat d'une analyse quantitative et qualitative du projet, dans son ensemble.
On peut aussi faire appel à un consultant « assistance à maîtrise d'ouvrage » (AMO) pour valider la cohérence du cahier des charges. Cela réduit considérablement les risques...

Cahier des charges

Les cahiers des charges des marchés passés selon une formalisée déterminent les conditions dans lesquelles les marchés sont exécutés.
Ils comprennent des documents généraux et des documents particuliers :
Les documents généraux sont :
Les cahiers des clauses administratives générales, qui fixent les dispositions administratives applicables à une catégorie de marchés ;
Les cahiers des clauses techniques générales, qui fixent les dispositions techniques applicables à toutes les prestations d'une même nature.
Ces documents sont approuvés par un arrêté du ministre chargé de l'économie et des ministres intéressés. La référence à ces documents n'est pas obligatoire.
Les documents particuliers sont :
Les cahiers des clauses techniques particulières, qui fixent les dispositions techniques nécessaires à l'exécution des prestations de chaque marché,
Les cahiers des clauses administratives particulières, qui fixent les dispositions administratives propres à chaque marché.