Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
18.01.2025
18552 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1116)
· A à Z : Sommaire (343)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (392)
· Monde : France (3026)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1090)
film france center sur centerblog background merci saint monde travail mort fille coup chez
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Jean-André Lepaute, né à Thonne-la-Long (Meuse) baptisé le 13 novembre 1720 à Thonne-la-Long (Meuse), et mort le 11 avril 1789 à Paris, paroisse de Saint-Germain-l'Auxerrois, est un horloger français.
Arrivé très jeune à Paris, en 1740, Jean-André se fait vite un nom grâce à la réalisation de plusieurs horloges monumentales publiques : palais du Luxembourg, château de Bellevue, château des Ternes ou l'École militaire notamment.
On lui doit un grand nombre d'inventions et d'innovations majeures, dont l'échappement à chevilles. Il construit pour le château de La Muette et le Palais du Luxembourg la première horloge horizontale dans laquelle les roues des engrenages sont placées les unes à la suite des autres, dans un même plan horizontal. Le principal avantage de cette disposition nouvelle étant un impact beaucoup plus faible de l'usure sur le bon fonctionnement de l'horloge. Ce travail lui vaut un logement pouvant servir d’atelier dans le palais du Luxembourg.
En 1748, il épouse la fille de l’attaché à la reine douairière d’Espagne, logée au Palais du Luxembourg, astronome et mathématicienne, Nicole Reine Étable (1723-1788), qui fera des calculs complexes non seulement pour Joseph Jérôme Lefrançois de Lalande mais aussi pour lui.
Jean-André se lie d’amitié avec le géomètre Alexis Claude Clairaut et l’astronome Jérôme Joseph Lalande, qui l’introduisent dans un monde cultivé et riche.
Il reçoit le titre d'horloger du roi et est nommé membre de la commission du système horaire.
Pour agrandir son atelier, il quitte le palais du Luxembourg et s'installe à Saint Cloud ; il demande en 1748 à son frère Jean-Baptiste de le rejoindre.
En 1752, ils construisent une horloge à une roue marquant heures, minutes et secondes qu’ils présentent à Louis XV.
En 1753, ils s'attribuent l'échappement à repos applicable à toutes les horloges de Beaumarchais, ce qui leur vaut un procès avec ce dernier.
En 1755, Jean-André est reçu maître horloger et compose un traité d’horlogerie qui sera longtemps un ouvrage de référence et pour la rédaction duquel il fut aidé par l’astronome Jérôme Lalande.
En 1772, ils réalisent, entre autres œuvres monumentales, l’horloge de l’École royale militaire de Paris.
Vers 1760, les deux frères font venir à Paris deux de leurs neveux : Pierre Henry (fils de leur sœur Élisabeth et de Jean Henry) et Pierre-Basile Lepaute (fils de leur frère aîné Jean Joseph, et un temps associé à un de ses neveux prénommé lui-aussi Jean-Joseph). Ceux-ci les aidèrent, puis continuèrent l’entreprise familiale. Le flambeau fut ensuite repris par leurs fils respectifs, qui continuèrent dans l’horlogerie mais œuvrèrent aussi pour la construction de lanternes de phares·
En outre, Jean-André est l'oncle de Joseph Lepaute Dagelet (1751 - disparu en 1788), astronome, horloger et scientifique, membre de l'expédition de La Pérouse (1785-1788). Ce dernier est peut-être l'inconnu de Vanikoro, aujourd'hui inhumé à Brest.
|