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Ghia Microsport

Publié à 04:05 par dessinsagogo55 Tags : article center sur centerblog base merci cadre
Ghia Microsport

 

La Ghia Microsport , parfois appelée Ford Microsport , était un concept-car unique créé par le studio de design italien Ghia dans le cadre de l'opération de conception de Ford Europe , utilisé comme prototype de banc d'essai pour réduire la traînée aérodynamique. et réduisant le poids, et exposé au Salon de l'auto de Turin 1978 . Après que Ford ait réduit la taille du studio Ghia à Turin, cette voiture a été vendue dans le cadre de la vente aux enchères de « Modèles de prototypes et de concepts de conception unique de la collection Ford Motor Company » et a été exposée au siège mondial de Ford à Dearborn , Michigan dans le cadre des célébrations du centenaire de Ford.

 

Contexte

 

Ghia a été fondée en 1916 à Turin, en Italie, et vendue à Ford Motor Company en 1970. La Ford Fiesta a été conçue par Ghia pour le lancement en 1976 et une Fiesta Mk1 de production a servi de base au Microsport.

 

Conception
 

Le prototype fonctionnel a été construit en tôle d'aluminium sur une plate-forme Fiesta avec un empattement raccourci de 10 po (254 mm) et modifié pour abriter une nouvelle forme de réservoir de carburant avec sa capacité réduite à 20-25 litres. la conception était sur le thème du « tricorps formel » avec un aileron arrière intégré pour un aérodynamisme amélioré. L'avant présente des phares rectangulaires à double faisceau scellé , éventuellement recouverts de plastique transparent, et des pare-chocs fédéralisés (celui avant intégré en forme de spoiler).

 

La conception a été approuvée en décembre 1977, un modèle en plâtre/épowood a été livré le 6 janvier 1978 et le prototype a été achevé le 24 mars 1978. La carrosserie a été fabriquée à la main en aluminium par Ghia à Turin, en Italie. L'aménagement intérieur est allégé et simplifié. Le tableau de bord personnalisé a été conçu et construit en aluminium par Ghia.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://en.wikipedia.org/wiki/Ghia_Microsport

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Ford T

Publié à 03:11 par dessinsagogo55 Tags : center merci centerblog course prix sur vie france place monde animaux chez mort société cadre
Ford T

 

La Ford T (surnommée familièrement Tin Lizzie ou Flivver aux États-Unis) est une automobile fabriquée de 1908 à 1927 par la Ford Motor Company sous la direction de Henry Ford. La Ford T fait de 1908 l'année historique où l'automobile entre dans l'ère de la grande série. Elle est généralement considérée comme la première voiture accessible au plus grand nombre, celle qui « mit l'Amérique sur des roues ». La première Ford T de série sort de l'usine Ford de l'avenue Piquette à Détroit le 27 septembre 1908.

 

Henry Ford a beaucoup innové lors de la fabrication du modèle T : assemblage à la chaîne, et non plus individuel et manuel (quoique Oldsmobile ait introduit cette méthode plus tôt pour la Curved Dash), salaire proportionnel au prix de la voiture pour les ouvriers, afin qu'ils forment le fondement d'un marché garanti.

 

Depuis la fondation de sa société en 1903, Henry Ford avait produit et mis au point plusieurs modèles et prototypes de voitures. La première avait été dénommée modèle A et la dernière modèle T, mais plusieurs des dix-neuf modèles produits jusqu'à la Ford T n'étaient que des prototypes. La « T » succédait à la « S », qui elle-même dérivait du modèle le plus vendu jusque-là, la « N ». Au bout d'une vingtaine d'années de production de la Ford T, ce n'est pas un modèle « U » qui lui succéda, mais la toute nouvelle type A, qui devait par son nom exprimer le renouveau de la gamme. La firme concurrente Chrysler en profita pour lancer en 1928 la première voiture de la marque Plymouth sous le nom de « Model U ».

 

La Ford T fut déclarée voiture la plus importante du xxe siècle au terme d'un sondage international.

 

Caractéristiques

 

La conception de la voiture est due à Childe Harold Wills et à deux immigrés hongrois, József Galamb et Jenő Farkas. Harry Love, C. J. Smith, Gus Degner et Peter E. Martin furent aussi impliqués3. La production commença en 1908, mais les « années modèle » vont de 1910 à 1927

 

Assemblage à la chaîne

 

Le concept, alors révolutionnaire, de la chaîne d'assemblage est introduit chez Poup's industrie de djakers par William C. Klann, de retour d'une visite à un abattoir de Chicago où les animaux étaient dépecés par étapes, en circulant sur un tapis roulant. L'efficacité d'une personne s'occupant toujours de la même pièce des bêtes attira son attention. Il propose l'idée d'une ligne d'assemblage à Peter Martin qui, peu confiant sur le moment, l'encourage cependant à essayer. D'autres personnes se sont targuées d'avoir proposé l'idée à Henry Ford, mais la « révélation » venant de la visite de Klann à l'abattoir est bien documentée dans les archives de Ford, faisant de lui le père du concept moderne d'assemblage à la chaîne. Le procédé fut une évolution par essais et erreurs d'une équipe composée principalement de Peter E. Martin, superintendant de l'usine, Charles E. Sorensen, son assistant, Harold Wills, dessinateur et outilleur, Clarence W. Avery, et Charles Lewis. Quand la première voiture sortit de la ligne d'assemblage, devant les médias, des visiteurs et Henry Ford, "Pa" Klann en prit le volant.

 

Transmission et moteur

Moteur

Le Ford Modèle T utilisait un moteur 4 cylindres en ligne 177 po (2,9 l) 95,2 x 101,6 mm à soupapes latérales. C'était principalement un moteur à essence. Il produisait 20 hp (14,9 kW) à 1800 tr/min pour une vitesse maximale de 45 km/h. Il a été construit conjointement avec la nouvelle transmission du modèle T, partageant le même lubrifiant par barbotage.

 

Le moteur T était connu pour sa simplicité, sa fiabilité et son économie. Le moteur est resté en production pendant de nombreuses années et des millions d'unités ont été produites. La durée de vie de la conception du moteur a dépassé celle du véhicule modèle T lui-même, avec des applications industrielles, marines et militaires prolongeant sa production. Le moteur T figure sur la liste "Ward's 10 Best Engines of the 20th Century".

Le moteur du modèle T a été construit comme un moteur à essence. Bien qu'il n'ait pas été conçu spécifiquement pour sa capacité Flex fuel, sa conception simple et robuste a permis à ce moteur de fonctionner avec succès sur une variété de carburants combustibles, y compris le benzène, l'éthanol ou le kérosène bien que la baisse du coût de l'essence et l'introduction ultérieure de la Prohibition aient fait de l'éthanol un carburant peu pratique pour la plupart des utilisateurs. Les moteurs des 2 447 premières unités étaient refroidis par des pompes à eau ; les moteurs de l'unité 2 448 et au-delà étaient refroidis par thermosiphon.

 

Transmission

La « T » est une propulsion. Sa transmission par train épicycloïdal comprend deux vitesses avant et une marche arrière. La conduite en est assez particulière.

 

La transmission est contrôlée par trois pédales au sol, un levier monté à la gauche du siège conducteur et deux leviers au volant à gauche et à droite. L'accélérateur est un levier, à droite du volant. En enfonçant la pédale de gauche, on enclenche le premier rapport dit « court ». En la remontant, on passe en seconde, rapport « long ». En la ramenant en position centrale, la voiture est au point mort, ce qui peut aussi s'obtenir en tirant le levier de gauche. La voiture peut rouler à vitesse constante sans que le conducteur n'appuie sur aucune pédale, l'accélérateur étant commandé à main droite.

 

Pour les modèles ayant un levier à droite (le changement de vitesse), la pédale de gauche sera le neutre en l'enfonçant.

 

La pédale centrale sert à partir en marche arrière et celle de droite contrôle un frein sur la transmission. En tirant le levier de gauche, on ramène d'abord la pédale de gauche au point mort, puis on freine sur les roues arrière.

 

Bien que ce soit très rare, les freins à bande de transmission peuvent se désaligner, surtout par temps froid, si bien que la voiture « broute », ajoutant un risque à la mise en route : une personne mettant en route le moteur peut être forcée à reculer en tenant encore la manivelle si la voiture, pourtant au point mort, se met à avancer - un incident immortalisé par certains films de Laurel et Hardy.

 

L'énergie du moteur atteint le différentiel par le biais d'un cardan et d'un arbre qui actionne le train arrière, certains modèles (surtout des utilitaires) ont une deuxième boîte de vitesses de marque Ruckstell, à deux rapports, installée à l'arrière, actionnée par un levier, donnant une gamme de rapports courts. Les boîtes de vitesses sont constituées d'acier au vanadium et baignent dans l'huile.

 

Trains roulants

La suspension de la T utilise un ressort semi-elliptique transversal pour chaque essieu. Elle repose sur le principe du pont moteur, aujourd'hui abandonné au profit des roues indépendantes. L'essieu avant était constitué d'une pièce coulée d'acier au vanadium. Des exemplaires de démonstration ont été tordus huit fois sur eux-mêmes (en torsion) sans se briser et ont été exposés chez les concessionnaires. La « T » ne dispose pas d'un système de freinage comparable à ceux des voitures modernes. La pédale du pied droit tire sur un ruban enlaçant un tambour dans la transmission, qui freine ainsi les roues arrière. Le levier de frein de parking mentionné plus haut tire sur un ruban placé à l'extérieur des tambours de freins arrière.

 

Les roues sont en bois, d'une construction similaire aux roues d'artillerie ; des roues à rayons d'acier furent disponibles en 1926 et 1927. Les pneumatiques sont d'un diamètre extérieur de 30 pouces (76 cm), avec une largeur de 3,5 pouces (8,9 cm) à l'arrière et 2 pouces (5 cm) à l'avant. L'empattement est de 99 pouces, la largeur des voies normalement de 56 pouces, une valeur de 60 pouces était disponible sur commande « pour les routes des États du Sud ».

 

Évolutions

Il y eut peu de changements importants pendant la durée de vie de ce modèle ; les premières versions avaient un radiateur et des phares en laiton. L'avertisseur et de nombreuses petites pièces étaient aussi en laiton. Les premières voitures produites avaient en général un habitacle ouvert, moins coûteux à produire.

 

Avant le modèle de 1911 sur lequel des portes avant furent ajoutées à la version Tourer, les voitures construites aux États-Unis n'avaient pas de portes ouvrantes pour le conducteur. Les modèles ultérieurs incluent des conduites intérieures, des coupés, des berlines et camions. Le châssis était aisément accessible afin de construire des bennes de camion coordonnées. Ford développa ses propres camions pour le châssis de la « T », dénommés « Ford TT ». Les phares étaient à l'origine des lampes à acétylène en cuivre qui furent rapidement remplacées par des ampoules électriques.

 

La Ford T utilise certaines technologies avancées pour l'époque, comme des aciers au vanadium. Sa durée de vie est exceptionnelle : bon nombre d'exemplaires sont encore fonctionnels.

 

La Ford Model-Ts a été utilisée, dans les années 1920 et 1930, par Ralph Alger Bagnold, un explorateur militaire, lors des reconnaissances et traversées de la dépression de Qattara en Égypte.

 

Production

 

L'usine Ford de Piquette ne pouvait pas suivre la demande, et seulement onze voitures furent construites durant le premier mois de construction. En 1910, après avoir assemblé 12 000 « T », Henry Ford déplaça la société vers le nouveau complexe de Highland park. Là, la « T » fut la première voiture construite à la chaine avec des pièces complètement interchangeables d'un exemplaire à l'autre. Son objectif était de séduire la classe moyenne américaine.

 

La voiture fut initialement proposée à un prix de 850 dollars, alors que peu de modèles étaient disponibles à moins de 2 000 dollars. Vers la fin des années 1920, le prix était tombé à 300 dollars (ce qui, en tenant compte de l'inflation, équivaut à environ 3 300 dollars actuels) en raison des économies d'échelle et du perfectionnement de la chaine de production. Henry Ford procéda à une concentration verticale des industries nécessaires à la production de ses voitures.

 

On attribue souvent à Ford la phrase « un client peut demander cette voiture en n'importe quelle couleur, du moment que c'est noir ». En réalité, des T de plusieurs couleurs ont été produites de 1908 à 1914, puis à nouveau en 1926 et 1927. Contrairement à une autre légende urbaine, la couleur noire n'a pas non plus été choisie en raison d'un temps de séchage plus court des peintures, autorisant ainsi une cadence de production plus élevée. Elle aurait simplement été choisie en raison de son prix moindre et de sa pérennité. Plus de 30 types différents de peintures noires, présentant des temps de séchage différents, étaient utilisés pour peindre les différents composants de la Ford T, chacun choisi en fonction des exigences de la pièce en question et des méthodes pouvant être utilisées pour la poser.

 

En 1914, la procédure d'assemblage de la « T » avait été tellement améliorée qu'il ne fallait plus que 93 minutes pour en assembler un exemplaire. Cette année-là, Ford produisit plus de voitures que tous les autres constructeurs réunis. Lorsque la dix-millionième « T » fut produite, neuf voitures sur dix dans le monde entier étaient des Ford. Finalement, plus de 15 millions furent produites, record de production pour un seul modèle qui ne fut battu que par la Volkswagen Coccinelle qui dépassa les 21 millions. Certes, il y eut 31 millions de Toyota Corolla et 25 millions de Volkswagen Golf, mais dans les deux cas il s'agit de la somme de plusieurs modèles successifs dont les évolutions sont étalées sur plusieurs décennies.

 

À cause de l'approche excentrique de Henry Ford, le modèle fut peu modifié au cours de son cycle de vie : il croyait que la T était exactement la voiture dont quiconque aurait jamais besoin. Au fur et à mesure que d'autres compagnies offrirent des véhicules supérieurs sur certains aspects à des prix compétitifs, la T perdit des parts de marché. Finalement, le 31 mai 1927, Ford cessa sa production et se lança dans la fabrication du modèle A.

 

Le moteur de la Ford T continua à être produit jusqu'au 4 août 1941. Près de 170 000 moteurs furent produits après que la production de la voiture eut cessé, principalement pour servir de remplacement dans des voitures existantes. Des fanatiques de hot rods, utilisèrent assez largement ce moteur, comme le châssis de la T, pour construire des engins de course bon marché.

 

Une copie de la Ford T, la Aeroford, a été fabriquée à Londres de 1920 à 1925.

 

Clubs de collectionneurs

 

Les voitures construites avant 1919 sont considérées comme appartenant à l'ère des « vétérans », celles sorties d'usine après cette date étant des « vintage ». Aujourd'hui, il existe deux clubs principaux pour la conservation et la restauration des Ford T : le Model T Ford Club International et le Model T Ford Club of America. En France, le COFF - Club Obsolète Ford France, rassemble des collectionneurs. Bon nombre des pièces d'acier sont encore produites aujourd'hui, et on trouve même des répliques en fibre de verre de pièces de carrosserie, destinées à la construction de hot rods imitant la Ford T.

 

Fiche technique

 

Extrait du Model T Advance Catalog - 1908 (Henry Ford Museum)

Moteur : 4 cylindres verticaux, cycle à 4 temps20 ch, 3 pouces 3/4 × 4 pouces (95,25 × 101,6 mm), cylindrée 2 896 cm3, cylindres coulés d'un seul bloc, avec chambres d'eau autour de la moitié supérieure du bloc. Fonte grise à grains fins.

Soupapes : Extra larges, toutes du côté gauche (soupapes latérales).

Arbres : Vilebrequin et arbre à cames forgés et non soudés, alliage acier au vanadium Ford forgé à chaud, portées polies.

Carter : Partie supérieure fixée au bloc-moteur. Partie inférieure en acier pressé et étiré pour former le logement bas de la magnéto et de la transmission.

Refroidissement : Système thermosiphon.

Allumage : Magnéto Ford, basse tension, composée d'une couronne d'induits solidaires du bloc moteur et d'un rotor d'aimants permanents sur le volant moteur.

Carburateur : Composé d'une cuve à niveau constant et d'un tube d'aspiration et de léchage,

Transmission : Système épicycloïdal avec engrenages satellites et planétaires Ford, baignant dans l'huile, traités métal au vanadium Ford à chaud. Ensemble silencieux : une démultiplication (4/11), une prise directe, une marche arrière, faciles à passer.

Lubrification : Système combinant barbotage et gravité - simple et peu efficace sur les fortes déclivités.

Embrayage : À disques multiples métalliques, fonctionnant dans l'huile.

Manettes : Marches avant par levier et pédale. Marche arrière par pédale. Accélérateur et avance à l'allumage sous le volant de direction.

Transmission arrière : Par arbre à cardan avec joint universel unique vers le pont arrière, en direct sur l'axe arrière. Système Ford à trois points (breveté tous pays) avec toutes pièces en mouvement enfermées dans une boîte étanche, tournant dans l'huile. Acier au vanadium partout.

Train avant : Une pièce forgée, section en I, traitement spécial, acier au vanadium.

Direction : Réduction système Ford, irréversible.

Freins : deux types. (a) Frein de service sur la transmission ; (b) Freins à expansion interne sur les tambours de roues arrière.

Roues : En bois type artillerie. Moyeux extra longs.

Pneus : pneumatiques ; arrière 30 × 3 pouces 1/2, avant 30 × 3 pouces.

Suspension : Avant et arrière, ressorts semi-elliptiques (transversal à l'avant).

Empattement : 100 pouces ; écartement 56 pouces60 pouces pour les routes du sud sur commande.

Réservoir : 10 gallons US (37,80 litres). Réservoir d'essence cylindrique monté directement sur le cadre.

Équipement standard : Lampes à huile de côté, lampe arrière, avertisseur et fixations de lampe à gaz. Touring Car et Roadster équipées pour recevoir la capote.

Poids : 1 200 livres (544,32 kg).

Prix : 850 dollars, FOB (Franco On Board), Détroit, Michigan.

Vitesse : 70 km/h

 

Quelques dates

 

1908 : début de la production.

1909 (juin) : organisation du raid automobile New York-Seattle, organisé par Henry Ford.

1922 : la production dépasse le million annuel. Le 4 février, Henry Ford achète la société Lincoln.

1923 : nouvelles carrosseries avec la Tudor et la Fordor.

1924 : le 15 juin sort la dix-millionième Ford T, la firme s'installe au Mexique et au Japon puis l'année suivante en Australie.

1925 : Ford fabrique 44 % de la production automobile américaine. Les pneus ballons arrivent tout comme le retour au choix de la teinte de carrosserie. Le prix du Touring est au plus bas : 290 dollars (850 $ au lancement fin 1908).

1926 : Ford fabrique 36 % de la production automobile américaine et propose désormais quatre teintes de carrosserie.

1927 : le 18 mai sort la 15 000 000e Ford T et la production cessera un peu plus tard pour laisser place à la Ford Model A .

 

Bande dessinée

 

Dans Tintin au Congo (1931), Tintin et Milou utilisent une Ford T, visible sur la couverture de l'album.

 

La Ford T a servi d'héroïne et de gag récurrent dans la série de Maurice Tillieux Marc Lebut et son voisin, parue à partir de 1966 dans le Journal de Spirou. La série met en scène le désinvolte Marc Lebut et son voisin, le rondouillard et pusillanime M. Goular, qui sert à Marc Lebut de souffre-douleur

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ford_T

 
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Bus à impériale

Bus à impériale

 

 

Un bus à impériale ou un autocar à impériale est un autobus ou un autocar à deux niveaux. Ces véhicules sont répandus dans le monde entier, leur vocation étant soit touristique (souvent en version décapotée), soit de transport en commun avec un toit carrossé, cette dernière utilisation étant moins courante. Ce type de bus est très populaire dans certaines villes d'Europe et certaines parties de l'Asie (généralement d'anciennes colonies britanniques).

Parmi les plus célèbres, on peut noter ceux de Londres apparus en 1910, ceux de Berlin en 1906, et ceux de Hong Kong en 1977.

 

Terminologie

 

La terminologie bus à impériale semble héritée des carrosses à impériale, l'impériale constituant alors la partie supérieure du carrosse.

 

Europe

 

Le 22 juillet 1997, la directive 97/27/CE définit l'autobus ou autocar à étage au niveau européen :

« autobus ou autocar à étage » : tout bus ou autocar dont les compartiments destinés aux passagers sont agencés, en partie au moins, sur deux niveaux superposés et dont l'étage supérieur n'est pas prévu pour des passagers debout »

— directive 97/27/CE

Le 20 novembre 2001, la directive 2001/85/CE redéfinit la directive 97/27/CE et définit au niveau européen le véhicule à impériale.

« véhicule à impériale », un véhicule dont les compartiments destinés aux passagers sont agencés, en partie au moins, sur deux niveaux superposés et dont l'étage supérieur n'est pas prévu pour des passagers debout »

— directive 2001/85/CE

 

Londres

 

Les bus à impériale londoniens de couleur rouge vif sont parmi les symboles les plus emblématiques de Londres et de l'Angleterre.

Les plus connus, conçus par le designer industriel Douglas Scott, étaient du type Routemaster. Ces bus ont la particularité de nécessiter deux employés, un conducteur et un contrôleur en uniforme, chargé de délivrer et poinçonner les billets. Un périscope à miroirs permet au conducteur de voir les voyageurs de l'impériale. Ils sont également équipés d'un cordon permettant de sonner le conducteur pour s'arrêter, ainsi que d'une plate-forme arrière permettant aux passagers pressés de sauter sur le trottoir à leurs risques et périls.

En circulation depuis 1956, ils ont été retirés du service le 9 décembre 2005.

À partir des années 1970, les Routemaster ont été progressivement remplacés par des modèles de plus en plus modernes de bus à impériale sans rapport avec le Routemaster. Pour des raisons de sécurité, ces nouveaux bus ne possèdent plus la plate-forme arrière ouverte. Parmi ces différents modèles, on peut citer le Alexander ALX400 ou le Scania Omnidekka.

Dans les années 2000, les bus à impériale furent remplacés sur de nombreuses lignes par des autobus articulés de type Mercedes Citaro, sous l'impulsion de Ken Livingstone, maire de Londres de 2000 à 2008. Son successeur Boris Johnson a remplacé à leur tour ces bus articulés par un nouveau modèle de bus à impériale au style néo-rétro évoquant le « Routemaster ». Ils sont plus accessibles pour les poussettes et fauteuils roulants, sont dotés d'un moteur hybride et voient le retour de la plate-forme ouverte à l'arrière.

 

Paris

 

Selon le BEATT, il est possible que le nombre d’autocars à étage en circulation en France soit supérieur à 2 000, c'est-à-dire à 3 % du parc.

 

Les omnibus à impériale

 

C'est à Paris, en 1853, que fut inventé le premier bus à deux étages, l'omnibus à impériale.

La Compagnie générale des omnibus (CGO), ancêtre de la Régie autonome des transports parisiens (RATP), met en service ces véhicules sur son réseau en 1855. L'accès à l'impériale, particulièrement malaisé, se fait par des échelons. En 1878, de lourdes voitures de quarante places à plate-forme arrière et dotées d'un escalier hélicoïdal pour accéder à l'impériale ont été mises en circulation, mais leur poids nécessitait l'utilisation de trois chevaux. En 1889, la CGO met en service un type de voiture de trente places, moins lourd, également à impériale et tiré par deux chevaux.

Les derniers omnibus à chevaux de la CGO ont cessé de circuler en janvier 1913.

 

Les autobus à impériale de 1906

 

Au tournant du xxe siècle, les omnibus sont devenus démodés et le coût des chevaux nécessaire pour les tracter fit étudier à la CGO des solutions de remplacement moins onéreuses que la création de lignes de tramways et leurs coûteuses voies ferrées. L'autobus, sans impériale, utilisé dès 1895 à Berlin et 1900 à Londres, apparaissait donc comme une solution prometteuse.

La CGO définit donc un cahier des charges et lança un appel d'offres aux constructeurs automobiles pour la réalisation de prototypes de châssis-moteur de ce qu'on appelait alors les omnibus automobiles, afin que la CGO y installe une caisse d'omnibus à chevaux à impériale de type 1889.

Neuf véhicules sont expérimentés sur une ligne spéciale de desserte du Salon de l'automobile de 1905 :

un véhicule à vapeur, de Serpollet

deux véhicules pétroléoélectriques (moteur à essence alimentant une génératrice électrique) fournis par Krieger et De Dion-Bouton

six véhicules à essence et transmission mécanique construits notamment par Latil, Brillé-Schneider, Panhard

La CGO retient le modèle P2 de Brillié-Schneider, et en commande 150 châssis. En effet, ce sont les ateliers de la CGO qui montèrent les caisses provenant d'anciens omnibus à impériale. Le P2 mesure 5,20 m de long, avec un empattement de 3,65 m, une garde au sol de 73 cm, une hauteur de 4,20 m, et est équipé d'un moteur 4 cylindres de 35 chevaux accouplé à une boîte de vitesses à trois rapports avant et une marche arrière .

La première ligne régulière équipée en autobus, mise en service le 11 juin 1906, fut la ligne AM allant de Montmartre à Saint-Germain-des-Prés.

Peu après, six lignes furent exploitées, et 151 Brillié-Schneider P2 sillonnèrent Paris sur les lignes :

C, qui allait de Porte de Neuilly à Palais-Royal, le 20 juin 1906

J, qui allait de Montmartre à place Saint-Michel, le 1er novembre 1906

I, qui allait de place Pigalle à Halle-au-vin, le 20 janvier 1907

AL, qui allait de porte d'Asnières à Gare Montparnasse, le 24 mars 1907

H, qui allait d'avenue de Clichy à Odéon, et A qui allait de Gobelins à Notre-Dame de Lorette, le 30 juin 1907

Comme sur les tramways et les omnibus de l'époque, les autobus à impériale comportaient plusieurs classes : la première classe, à l’intérieur de la voiture, et la deuxième classe sur l’impériale à l'air libre en 1906, puis en impériale fermée dès 1907.

En 1910, un de ces véhicules se renversa sur la place de l'Étoile, ce qui amena la Compagnie générale des omnibus à remettre en cause l'exploitation d'autobus à impériale, les jugeant dangereux pour des questions d'équilibre et d'inconfort. La CGO décide alors de supprimer les impériales en 1911, et installe de nouvelles caisses à plate-forme arrière et entrée axiale sur une centaine de châssis Schneider PB2 (dotés de la même motorisation que le P2, mais avec une longueur portée à 7,53 m), ces autobus prenant l'appellation Brillé-Schneider P3.

 

Les autobus à impériale de 1968

 

Il fallut attendre 1966 pour que la RATP retente l'expérience du bus à impériale à Paris ; deux lignes sont alors choisies :

ligne 94 qui allait de la gare Montparnasse à Levallois-Perret

ligne 53 qui allait de Opéra à porte d’Asnières.

Un prototype construit par Berliet en 1966, modèle PCM-RE de 9,83 m de long, 2,50 m de large et 4,35 m de haut, est testé puis est suivi d'une commande de 25 autres véhicules. La mise en service du premier de ces autobus de série est effective le 19 juin 1968 sur la ligne 94. Le 17 février 1969, la ligne 53 est à son tour équipée de ce modèle. Mais diverses raisons font abandonner définitivement cette formule à la RATP en 1977, en particulier le fait que ce type d'autobus est peu adapté aux rues parisiennes bordées d'arbres. De plus, la présence de deux escaliers limitait d'autant l'espace gagné sur le modèle sans étage, le PCM-R ; et enfin, les stations trop proches les unes des autres incitaient peu les gens à monter à l'étage.

Plus tard, plusieurs exemplaires de ce modèle furent revendus et aménagés pour servir à la collecte du sang : en bas, un espace pour les prélèvements et, à l'étage, un coin restauration.

 

Les bus à impériale aujourd'hui

 

Depuis 1977, il n'y a plus aucune ligne parisienne de transport en commun utilisant des autobus à impériale.

Cependant, depuis 2001, un service touristique exploité par RATP Dev à des fins touristiques existe : Tootbus Paris (nommé Paris L'OpenTour jusqu'en 2021).

 

Berlin

Les bus à deux niveaux sont très répandus sur les lignes régulières des transports en commun berlinois (en allemand BVG), principalement sur les lignes à haut niveau de service (celles commençant par un M) mais pas uniquement. Ces véhicules sont de marque MAN, plus précisément les modèles SD 202 (construction 1987–1992), DN 202 (construction 1995) et Man Lion's City DD (type A39) (construction 2005–2009), ou Alexander Dennis (Enviro 500 MMC, depuis 2020).

 

Bruxelles

 

À Bruxelles, depuis les années 1990, trois compagnies exploitent des bus à impériale à des fins touristiques.

 

Skopje

 

À Skopje, en Macédoine, JSP Skopje, la compagnie de transports en commun de la ville, possède 202 bus à deux niveaux, mis en circulation à partir de 2011. Ils sont de la marque chinoise Yutong. Ces bus rappellent les bus à impériale rouges qui circulaient déjà sur les lignes urbaines de Skopje dans les années 1950 et 1960.

 

Lausanne

 

En Suisse, à Lausanne, les lignes 60, 62 et 65 des Transports publics de la région lausannoise sont exploités avec des bus suburbains à impériale Alexander Dennis Enviro500 MMC car ils répondent mieux aux besoins de ces lignes régionales que les bus articulés.

Réglementation et sécurité

 

Certains règlements visent à préciser les spécificités des véhicules de transport de voyageurs pour en assurer la sécurité :

« Véhicule à deux étages », un véhicule dans lequel les places prévues pour les voyageurs sont disposées au moins dans une partie du véhicule sur deux étages superposés et où il n’est pas prévu de place pour les voyageurs debout au niveau supérieur. »

— Règlement 107 de la CEE-ONU

« Véhicule sans toit » 2 , un véhicule dépourvu de toit sur tout ou partie de son plancher et, dans le cas d’un véhicule à deux étages, de son plancher supérieur. Aucun emplacement réservé aux passagers debout ne doit être prévu sur un plancher dépourvu de toit, quelle que soit la classe du véhicule. »

— Règlement 107 de la CEE-ONU

Différents règlements ou directives prévoient un tilt angle de 28°; c'est notamment le cas des règlements de Hong-Kong, des règlements CEE-ONU et des directives européennes.

« La stabilité du véhicule doit être telle qu’il ne se retourne pas lorsque la surface sur laquelle il se trouve est inclinée alternativement de chaque côté à un angle de 28° par rapport à l’horizontale. »

— Règlement 107 de la CEE-ONU

Le règlement 107 prévoit qu'au moins un escalier et un demi-escalier doivent être prévus sur les véhicules à étages transportant beaucoup de passagers

Le règlement 107 prévoit l’existence de garde corps et de dispositif de communication pour les véhicules sans toit

 

Incidents et accidents

Renversement

 

Ce type d'accidents concerne majoritairement les autocars à impériale, davantage que les bus, du fait notamment de leurs axes de circulation et des vitesses atteintes.

Le 10 juillet 1995, vers une heure, sur l’autoroute A9 entre l’aire de Tavel et l’échangeur de Roquemaur, un autocar à impériale espagnol en provenance de Barcelone et à destination d'Amsterdam se reverse sur le terre plein central après avoir touché un autre poids-lourd. Bilan : 22 morts et 32 blessés. Un conducteur survivant perd son permis de conduire et se voit infliger une amende et une année de prison.

Le 17 mai 2003 au matin, un autocar à impériale en provenance d'Allemagne et à destination de la Costa Brava, glisse sur l’autoroute A6 à Dardilly près de Lyon. Bilan: 28 morts dont les deux conducteurs et 46 blessés. Note du rapport du BEATT :

« la configuration à deux étages de ce type d’autocar, avec une hauteur du centre de gravité importante – hauteur accrue par la présence de la majorité des passagers en partie haute – et la présence d’un important porte-bagages à l’arrière, accentuent encore les facteurs potentiels d’instabilité dynamique. À cet égard, les données recueillies lors d’accidents sur de tels véhicules, et leur renversement, montrent que les cars à étage présentent des risques particuliers et devraient être utilisés dans des conditions rigoureuses de respect de la réglementation. »

— BEATT

À la suite de cet accident, le BEATT recommande l'installation d'un dispositif électronique de contrôle de trajectoire pour les autocars et l'application de normes de résistance de la superstructure en cas de retournement pour les autocars à étage. Elles sont prises en compte dans le règlement (CE) n° 661/2009 et dans le règlement n° 66 de la Commission économique pour l’Europe des Nations-Unies.

Le mardi 11 septembre 2012 vers 8h07, un autocar à étage de 72 places en provenance de Pologne et à destination du sud de la France traverse la chaussée de l'autoroute A36 et se renverse. L'autocar d'une hauteur de 4 mètres et d'une longueur de 12 mètres est équipé de l'ABS mais pas de l'ESC. Il roulait à 97 km/h puis à 40 km/h. L'autocar ne disposait pas de ceinture de sécurité en nombre suffisant. Deux occupants sont tués, 42 blessés, un lampadaire et une barrière de sécurité sont aplatis/écrasés, l'autocar est détruit. Trois issues étant condamnées, les occupants n'ont pu évacuer le véhicule que par les trois issues restantes. Facteur contribuant à cette situation :

« la moindre stabilité que présentent les autocars à étage du fait de la position élevée de leur centre de gravité qui favorise leur balancement et facilite leur renversement, notamment lorsque, comme dans le cas présent, ils sont dépourvus de système de contrôle de stabilité (ESP). Un tel dispositif est, de fait, devenu obligatoire depuis le 11 juillet 2014 sur tous les autocars neufs mis en circulation. »

— BEATT

« ces autocars sont réputés pour leur tendance au roulis et pour leur moindre stabilité dans les situations d’urgence. »

— BEATT

En décembre 2019, un autocar à étage s'est renversé à Técou, au sud de Gaillac, dans le Tarn.

Le 17 janvier 2023, un bus à impériale se renverse à Londres en raison du verglas.

 

Collision avec obstacle fixe

 

Un nombre significatif de collisions d'autobus ou d'autocars à impériale avec un pont se sont produits. Elles sont dues à l'oubli par le conducteur de la hauteur d'un véhicule à impériale.

En septembre 2011, un Megabus entre en collision avec un pont ferroviaire à Syracuse, New York tuant quatre passagers et en blessant 17.

En juillet 2013, à Stockport au Royaume-Uni, six personnes ont été blessées lors de la collision d'un bus avec un pont ferroviaire.

En juin 2014, un bus heurte un pont ferroviaire à Sileby, Leicestershire.

En décembre 2014, un bus vide perd son toit lors de la collision avec un pont ferroviaire à Birkenhead.

En mars 2015, un bus transportant 76 enfants heurte un pont à Staines, Surrey. Onze passagers sont hospitalisés mais leurs blessures ne sont pas comptabilisées comme graves.

En mars 2015 également, un bus vide a aussi perdu son toit après que le conducteur a dirigé le bus contre un pont ferroviaire à Isleworth dans l'ouest de Londres.

En avril 2015, un bus Stagecoach Highlands heure un pont ferroviaire à Balloch, Highland, en Écosse. Pour échapper à l'accident, un passager saute sur le sol.

En mai 2015, à Romsey, un bus géré par Bluestar voit son toit décapité après avoir heurté un pont ferroviaire.

En juillet 2015 à Norwood à Londres, un bus perd son toit, sept occupants sont blessés.

Le 26 juillet 2015, à La Madeleine, un autocar espagnol s'encastre dans un mini-tunnel d'une hauteur de 2,6 mètres, les 28 occupants sont blessés. Le conducteur, qui n'avait pas respecté la signalisation, a été mis en examen pour "blessures involontaires ayant entraîné une incapacité totale de travail d'une durée inférieure ou égale à trois mois par violation manifestement délibérée d'une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement". Le maire souhaitait que la technologies GPS soit développée pour éviter ce type d'incident.

En septembre 2015 à Rochdale, Greater Manchester, dix-sept personnes sont blessées.

En avril 2016 à Bournemouth, trente passagers échappent par chance à un accident de bus à impériale.

Un vendredi de juin 2017, vers 12H35, un bus de tourisme à impériale s'encastre dans la partie haute d'un tunnel situé à proximité du pont Alexandre III à Paris. Quatre personnes sont blessées, dont une hospitalisée pour un traumatisme crânien considéré comme grave. Les autres personnes ont eu des "plaies diverses" (blessés légers). Le responsable du transport considère qu'"aucune (victime) ne se trouve dans un état grave". Le véhicule avait été dévié de son circuit habituel en raison d'une déviation de la circulation. Toutefois, l'accès au tunnel n'était pas autorisé, des panneaux indiquant une hauteur maximale autorisée de 3,90 mètres dans le tunnel. D'après la Préfecture de Police de Paris (PP): "Malgré la présence de ces panneaux réglementaires, le chauffeur a poursuivi sa route vers le souterrain".

En février 2018, dans une grande artère du centre de Lisbonne, deux touristes belges ont été blessés par la collision avec un arbre de l'autocar touristique à impériale les transportant.

Le dimanche 24 mars 2019 vers 20 heures, un autocar de voyageurs de l'opérateur français Flixbus, en provenance de Lille et à destination d'Amsterdam, et d'une hauteur d'environ quatre mètres, a heurté à 2,60 mètres un portique de limitation de hauteur autorisée dans la commune de La Madeleine. Deux personnes ont été blessées aux jambes et par des bris de vitres.

Le 11 septembre 2020, un bus transportant 72 enfants heurte un pont lors d'un trajet scolaire vers l'école à Winchester, Hampshire, arrachant l'intégralité du toit. Trois enfants sont blessés et nécessitent une intervention chirurgicale, douze autres étant blessés sans gravité, c'est-à-dire sans requérir d'intervention chirurgicale Le bus était géré par Stagecoach South.

 

Incendie

 

le 23 février 2008, un autocar à étage immatriculé en Belgique a pris feu spontanément sur l'autoroute A43 dans la commune des Marches, en Savoie. Le feu s'est d'abord déclenché dans une chaudière endommagée lors d'un incident de manœuvre, avant de se propager dans les compartiments à bagage. L'autocar et les bagages ont été détruits, mais il n'y a eu aucune victime corporelle, les passagers ayant pu évacuer le véhicule avant la propagation de l'incendie.

 

Accident ferroviaire

 

En 2013, au Canada, un accident ferroviaire entre un bus d'Ottawa et un train interroge sur l'absence d'event data recorder dans ces véhicules lourds avec passagers

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bus_%C3%A0_imp%C3%A9riale

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Escargot

Publié à 22:46 par dessinsagogo55 Tags : sur france center centerblog merci
Escargot

 

Le terme escargot est un nom vernaculaire qui en français désigne des gastéropodes à coquille, généralement terrestres et appelés aussi des limaçons, ou colimaçons par opposition aux limaces. Ce sont tous des mollusques, quelle que soit leur taille (le plus petit escargot mesure à peine un millimètre de diamètre, tandis que le plus grand escargot mesure 20 cm) ou leur forme. 40 % des mollusques étant des escargots terrestres, certains escargots toutefois sont des espèces aquatiques, plutôt d'eau douce : Basommatophora tels les limnées ou les planorbes, souvent appelés « escargots nettoyeurs » par les amateurs d'aquariophilie. La plupart des escargots sont phytophages, quoique quelques espèces soient omnivores, zoophages ou détritivores.

 

Il en existe de nombreuses espèces, les plus discrètes restant très mal connues et beaucoup sans doute encore inconnues. En 2004, près de 80 000 avaient été décrites, sur les 200 000 mollusques répertoriés (selon le biologiste Benoît Fontaine il pourrait en exister de 5 à 10 millions), dont 500 en France. Rien qu'en Slovaquie, les spécialistes ont identifié 53 espèces aquatiques (en eau douce) et 175 terrestres, soit 228 au total. C'est beaucoup plus qu’aux Pays-Bas, où 169 espèces ont quand même été identifiées (52 en eau douce et 117 sur terre).

 

Il est fréquent de trouver des espèces endémiques sur les îles ou dans des milieux très isolés depuis longtemps.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Escargot

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Harley-Davidson

Publié à 22:12 par dessinsagogo55 Tags : center merci image centerblog course sur sport amis société histoire création cadre
Harley-Davidson

 

Harley-Davidson (H-D, ou Harley) est un constructeur américain de motos basé à Milwaukee (Wisconsin, États-Unis). Fondée en 1903, Harley-Davidson est l'un des deux seuls constructeurs américains à avoir survécu à la Grande Dépression, et le seul à avoir produit sous sa marque sans interruption jusqu'à nos jours. Harley est aujourd'hui l'un des leaders mondiaux des motos de forte cylindrée. Ses modèles sont réputés pour leur esthétique, leur moteur bicylindre en V à la sonorité particulière et leurs importantes possibilités de personnalisation. La marque Harley-Davidson bénéficie d'une très forte image, soutenue par de multiples clubs de passionnés et de nombreux évènements chaque année. Elle est utilisée, directement et par des sociétés qui ont des accords de licence avec Harley, dans une très grande variété de produits. Le redressement de Harley-Davidson depuis les années 1980 et la gestion de la marque depuis cette époque sont régulièrement cités comme faisant partie des grandes réussites managériales.

 

logo de Harley-Davidson

 

Histoire

Innovations et évolutions depuis 1903

 

Harley-Davidson a réalisé plusieurs innovations et évolutions depuis sa création en 1903. Les plus significatives sont présentées de façon chronologique et synthétique dans la liste ci-dessous, puis détaillées et commentées dans les paragraphes dédiés à chaque période de l'activité de la marque.

 

1903 : Serial Number One. Premier modèle de Harley-Davidson, cette moto est dotée d'un moteur monocylindre de 405 cm3, d'une transmission finale par courroie et de pédales permettant de faire démarrer la moto comme une bicyclette. Le freinage se fait par rétropédalage.

1909-11 : bicylindre de 811 cm3 sur Model D ; éclairage à acétylène.

1912 : boîte de vitesses à deux rapports et transmission finale par chaîne sur X8E.

1914 : side-car Model 10F, proposé avec plusieurs tailles de nacelle.

1915 : boîte de vitesses à trois rapports à commande manuelle et démarrage au kick.

1919 : fin de fabrication des monocylindres de forte cylindrée ; éclairage électrique sur Model W Sport Twin.

1925 : réservoir en goutte d'eau sur Model JD.

1928 : frein avant à tambour sur Model JDH.

1929 : moteur Flat head V-twin sur Model D.

1932 : trike Servi-Car, qui sera produit jusqu'en 1974.

1934 : boîte de vitesses avec marche arrière sur Servi-Car.

1936 : moteur Knucklehead

1937 : boîte de vitesses à quatre rapports Model U, généralisée en 1941.

1947 : premier modèle de route de petite cylindrée, le S-125.

1948 : moteur Panhead

1949 : fourche hydraulique sur Hydra Glide.

1952 : sélecteur de vitesses au pied sur Model K.

1958 : suspension arrière sur Duo Glide.

1965 : démarreur électrique sur Electra Glide.

1966 : moteur Shovelhead.

1971 : frein avant à disque sur Electra Glide.

1978 : allumage électronique ; fin de production des petites et moyennes cylindrées.

1980 : boîte de vitesses à cinq rapports et silent blocks pour le montage du moteur sur FLT Tour Glide.

1980 : transmission finale par courroie dentée sur FXB.

1984 : moteur V2 Evolution et ligne Softail

1995 : injection électronique sur Electra Glide.

1998 : moteur Twin Cam.

2001 : moteur Revolution à refroidissement liquide sur V-Rod.

2009 : trike Tri Glide.

2014 : freinage ABS.

2016 : moteur Milwaukee-Eight.

2019 : moto électrique LiveWire.

2021 : trails Pan America (en).

 

Fondation (1903-1916)

 

image

De gauche à droite : William Davidson, Walter Davidson, Arthur Davidson et William Harley.

 

L'entreprise Harley-Davidson a un début modeste en 1903 quand William Harley alors âgé de 21 ans, et Arthur Davidson (20 ans) construisent un prototype de bicyclette motorisée dans la cuisine de la mère de Davidson. Les deux jeunes hommes poursuivent le développement de leur engin dans le garage minuscule d'un de leurs amis à Milwaukee, Henry Melk, qui possède un tour d'usinage.

 

Le père Davidson met à leur disposition son abri de jardin, atelier dans lequel ils ne produisent que trois motos les deux premières années. Ils sont aidés des frères William et Walter Davidson. Le modèle de production est la « Silent Grey », un monocylindre à soupape d'admission automatique et dépourvue de boîte de vitesses. En 1904, l'entreprise prend le nom de « Harley-Davidson Motor Company » (HDMC ou Motorco). Le dessin du cadre est changé et la production de cette année-là est de trois machines.

 

En 1906, Harley-Davidson ouvre son premier atelier avenue Juneau, qui est toujours le lieu de son siège social. La Silent Gray Fellow, avec un moteur de 440 cm3, est vendue 220 $ et la production atteint 50 unités.

 

En 1907, Walter Davidson devient le premier président de la Harley-Davidson Motor Company. William Harley est nommé ingénieur en chef. Arthur Davidson est chargé de la partie commerciale tandis que William Davidson dirige l'atelier. Les actions sont également réparties entre les quatre fondateurs. Dix-huit employés travaillent pour l’entreprise et la production atteint 150 unités.

 

En 1908, Harley-Davidson fait ses débuts en compétition : Walter Davidson, âgé de 32 ans, s'engage pour l'endurance de « New York's Catskill Mountain » avec sa Silent Grey Fellow personnelle. Il remporte en juin la course avec le score parfait de mille points devant soixante-deux autres participants. Le week-end suivant, il gagne un Economic Run à Long Island en parcourant 188 miles avec un gallon d'essence. À la suite de ces victoires, les concessionnaires voient les ventes augmenter fortement. Le monocylindre délivre 4 ch et atteint 75 km/h.

 

William Harley, de retour de l'université, étudie un moteur plus puissant. Au lieu de créer un tout nouveau bloc, il greffe directement sur la Silent Grey Felow un deuxième cylindre. William Harley utilise une bielle en fourche qui s'associe dans le même plan à la bielle du monocylindre sur le vilebrequin. Le V-twin Harley est né.

 

Harley inaugure un système de numérotation faisant de l'année 1904 l'année zéro de la production. Les modèles 1908 sont donc appelés « Model 4 ». La première moto vendue à un service de police est livrée cette année au département de police de Détroit. La production totale est de 450 exemplaires.

 

En 1909, Harley-Davidson propose à la vente son tout premier bicylindre dénommé « 5D ». Il est déjà en V, calé à 45° et développe 7 ch. Les soupapes d'admission ne sont plus poussées, mais culbutées comme sur le monocylindre. Le V-twin atteint 97 km/h. C'est alors la moto la plus rapide du marché. Seulement 27 V-twins trouveront preneur, alors que 1 100 monocylindres sont vendus. Le bicylindre sera retiré de la vente pour deux raisons principales : le moteur n'est pas fiable et, contrairement au monocylindre, il n'est pas équipé d'un tendeur de courroie qui fait alors office d'embrayage, ce qui contraint à couper le moteur à chaque arrêt puis redémarrer en pédalant. Harley publie son premier catalogue de pièces détachées.

 

En 1910, la Harley-Davidson Motor Company utilise pour la première fois le fameux logo dit « Bar & Shield »n 6, qui devient une marque déposée en 1911. Le monocylindre de 492 cm3 produit désormais 4,34 ch sous la dénomination « Model 6 ». La moto produite alors pèse moins de 100 kg.

 

En 1911, le bicylindre a été fiabilisé et il est de nouveau proposé à la vente sous l'appellation 7D. Le succès de l'entreprise commence à attirer l'attention et la concurrence (150 types de motos ont déjà été construits aux États-Unis jusqu'en 1911).

1912 est une grande année dans l'évolution de la marque : le modèle X8E de 61 ci (1 000 cm3) est un succès grâce à un système d'embrayage placé dans le moyeu de la roue arrière par William Harley. Appelé « free wheel control », celui-ci est commandé de la main gauche par un imposant levier. Et le confort des produits Harley-Davidson est amélioré grâce à un système breveté de selle suspendue par des ressorts, le « Full Floating Seat ». Fin 1912, Harley-Davidson propose au choix une transmission finale par courroie en cuir ou par chaîne. Plus de deux cents concessionnaires sont alors répartis dans le pays.

 

En 1913, l'atelier est devenu une usine de 28 000 m2 et l'entreprise domine le marché avec une production de 12 904 machines depuis la création de la société. Harley lance le triporteur 9G : c'est un modèle 9 avec deux roues à l'avant qui sera produit avec succès jusqu'en 1915.

 

Des versions avec side-car sont vendues dès 1914 et apparaissent officiellement au catalogue en 1915, connaissant immédiatement un grand succès commercial.

 

Fin 1916, la capacité de production de Harley est de 5 000 machines/an

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Harley-Davidson

 
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Fiat 1580

Publié à 21:53 par dessinsagogo55 Tags : chevaux center centerblog sur merci
Fiat 1580

 

 


Années de fabrication du tracteur : 1979 – 1984

 

Chevaux : 157 ch


Fiat 1580

Tracteur agricole
série suivante : Fiat 1880
série d’avant : Fiat 1380


Production

fabricant : Fiat


Variantes

1880 : 2 roues motrices
1880dt : 4 roues motrices


Fiat 1580 moteur

Fiat 8.1l 6-cyl diesel


Capacité

carburant : 280.1 litres


Attelage 3 points

type arrière : Iii
relevage arrière : 5397 kg


Prise de force (pdf)

prise de force arrière : Indépendant
tour par minute arrière : 540/1000


Dimensions et pneus

empattement : 289 cm
poids : 6570 kg
pneu avant : 14.9-28
pneu arrière : 18.4-38


1580 numéros de série

numéros de série inconnu


Fiat 1580 power

moteur : 155 hp [115.6 kw]


Mécanique

châssis : 4×2 2 roues motrices
4×4 mfwd 4 roues motrices (1580dt)
pilotage : Direction assistée hydrostatique
freins : Bain d’huile
cabine : Cabineine standard. four-post rops avec toît disponible.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://touslestracteurs.com/fiat/fiche-technique-fiat-1580/

 
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Visage

Publié à 05:17 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur merci
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Boeing 777

Publié à 22:56 par dessinsagogo55 Tags : center sur centerblog base merci france monde société histoire air
Boeing 777

Boeing 777-200

 

 

Le Boeing 777 ou B777, parfois surnommé triple sept dans le milieu aérien, est un avion de ligne gros porteur, long courrier et biréacteur construit par la société Boeing depuis 1993. Entré en service en 1995, il est le plus grand biréacteur au monde, avec une capacité de 300 à 550 passagers et une distance franchissable variant de 9 695 à 17 370 km selon les modèles. Il est reconnaissable par le grand diamètre de ses turboréacteurs GE90, ses six roues sur chaque train d'atterrissage principal et son fuselage de section circulaire se terminant en forme de lame.

 

Face à la montée en puissance de la concurrence durant les années 1980, Boeing innova pour développer cet appareil en établissant un partenariat avec huit grandes compagnies aériennes et en concevant intégralement l'avion par ordinateur. L'avionneur introduisit à cette occasion des techniques de pointe : une voilure supercritique, des commandes de vol électriques, et un pilotage assisté par ordinateur. Boeing compléta ainsi sa gamme en offrant une capacité intermédiaire entre le 767 et le 747, ce qui permettait le remplacement de modèles antérieurs de gros-porteurs.

 

En 2013, il devient le gros porteur le plus vendu dans l'histoire de l'aviation. En septembre 2019, le carnet de commandes de Boeing compte 2 049 commandes pour le 777 dont 1 616 ont été livrées, faisant de cet avion un succès commercial pour son constructeur. Les principaux clients sont Emirates, Qatar Airways et Singapore Airlines avec respectivement 289, 143 et 105 appareils commandés. En juillet 2018, 1 416 appareils sont en service dans les compagnies aériennes ; le principal opérateur est Emirates avec 163 appareils dans sa flotte. En Europe, le principal client du 777 est Air France, avec 70 appareils dans sa flotte, en versions 200ER, 300ER et 777F.

 

Histoire

Nouvelle génération d'appareils

 

Au début des années 1970, le Boeing 747, le McDonnell Douglas DC-10 et le Lockheed L-1011 TriStar devinrent la première génération d'avions de ligne gros-porteurs de l'histoire de l'aviation moderne à entrer en service. En 1978, Boeing dévoila trois nouveaux projets : le biréacteur 757 pour remplacer le 727 vieillissant, le biréacteur 767 pour concurrencer l'Airbus A300 et le biréacteur Boeing 777 pour rivaliser avec le DC-10 et le L-1011. Les appareils de taille moyenne 757 et 767 connurent un vif succès auprès des compagnies aériennes dès leur entrée sur le marché en raison, entre autres, de la modification d'un règlement de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) datant des années 1980 : l'Extended-range Twin-engine Operation Performance Standards (ETOPS) qui régule la circulation transocéanique des avions biréacteurs commerciaux. Ce règlement autorise les biréacteurs à choisir une route les éloignant d'au maximum trois heures de leurs aéroports de déroutement d'urgence. En vertu des règles de l'ETOPS, les compagnies aériennes purent exploiter le B767 sur de longues routes aériennes transocéaniques dont le trafic ne justifiait pas de plus gros avions. Boeing abandonna alors son projet de 777 triréacteur sur la base d'études de marché qui favorisaient les modèles 757 et 767. L'avionneur se retrouva ainsi avec un segment vide dans sa gamme, en termes de capacité et de distance franchissable, entre le 767-300ER et le 747-400.

 

À la fin des années 1980, les modèles DC-10 et L-1011 approchaient de leur fin de service. Trois constructeurs restaient en lice pour leur remplacement ; McDonnell Douglas travaillait sur le MD-11, une version allongée et améliorée du DC-10, tandis qu'Airbus développait ses A330 et A340. En 1986, Boeing dévoila des propositions d'une version agrandie du B767, nommée alors 767-X. Le projet initial comprenait un fuselage plus long que le 767 existant, ainsi que des ailes plus grandes dotées de winglets. Des plans ultérieurs prévoyaient d'agrandir la section du fuselage mais conservaient le cockpit du 767 existant, ainsi que le nez et d'autres éléments.

 

Le projet du 767-X ne suscita que peu d'enthousiasme auprès des compagnies aériennes qui demandaient une section de fuselage plus large, des aménagements intérieurs entièrement configurables, un avion efficace tant en moyen-courrier qu'en très long courrier, et un coût d'exploitation inférieur aux B767 existants. Les exigences des compagnies aériennes pour des avions toujours plus gros engendrèrent une concurrence accrue entre les constructeurs aéronautiques. En 1988, Boeing comprit que la seule réponse possible était un tout nouveau modèle. La société opta pour un biréacteur étant donné le succès passé de cette configuration et les évolutions en cours des certifications ETOPS qui allaient autoriser dès la sortie de l'appareil son survol des océans. Elles allaient rendre plus coûteuses en carburant et en maintenance des configurations tri et quadriréacteurs conçues autour des certifications précédentes, telles l'Airbus 340. Le 8 décembre 1989, elle commença à soumettre des propositions aux compagnies aériennes pour acquérir le 777. Alors que Boeing était resté jusque-là sur des conceptions traditionnelles, Airbus avait misé sur les techniques de pointe. Boeing perdait ainsi des parts de marché et décida donc d'adopter ces techniques mais aussi de modifier fondamentalement ses méthodes de conception et de fabrication.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Boeing_777

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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