Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
26.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Un des plus anciens escaliers au monde est découvert lors de la fouille du site archéologique turc de Göbekli Tepe datant de la fin du Mésolithique.
Les résidences de prestige (châteaux, palais) possèdent un escalier d’apparat (escalier d’honneur souvent central, escalier à vis, escalier en colimaçon) et des escaliers de service (escaliers latéraux). Les demeures bourgeoises adoptent progressivement ces dispositifs architecturaux. Les immeubles de rapport bourgeois qui apparaissent à la fin du xixe siècle sont équipés d'ascenseur, symbole de luxe et de modernité qui remplace l'escalier d'honneur. Un escalier séparé dit « de service » dessert les étages supérieurs où logent les domestiques (chambre de bonne)
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Le jeu des petits chevaux consiste à déplacer plusieurs pions (chevaux) par joueur, et à les emmener sur la partie réservée à leur couleur. Le premier qui arrive sur la dernière case, triangulaire, a gagné.
Règle du jeu
Deux à quatre joueurs disposent chacun d'un ou plusieurs pions-chevaux, et jouent en lançant un dé à tour de rôle. Un joueur doit d'abord réaliser un 6 avec le dé pour pouvoir sortir un cheval de son écurie. Il doit ensuite lui faire parcourir toutes les cases situées à la périphérie du plateau, en le faisant avancer d'un nombre de cases égal au résultat du dé. Les pions sont avancés dans le sens des aiguilles d'une montre.
Il existe différents cas particuliers. Ainsi, lorsqu'un cheval arrive sur une case occupée par un concurrent, il le renvoie dans son écurie (le départ). Par contre, si le joueur arrive sur une case occupée par un autre cheval de sa couleur, il arrête son pion juste derrière. Enfin, un 6 obtenu sur le dé permet de rejouer.
Après que son pion ait fait le tour du plateau, le joueur doit faire le chiffre exact sur le dé de sorte à ce qu'il s'arrête devant son escalier. Par exemple, si le pion-cheval est situé à trois cases du bas de l'escalier, le joueur doit obtenir un 3 sur son dé pour emmener son pion en bas de l'escalier. Si le chiffre est trop grand, il avance son pion jusqu’à la case du bas de l'escalier, puis le recule du nombre de cases correspondant à la différence entre le chiffre à faire et le chiffre fait ; en reprenant l'exemple : si le joueur obtient 4 avec le dé, il avancera le pion de trois cases, puis le reculera d'une case.
Une fois que le pion d'un joueur se trouve dans la case située devant l'escalier de sa couleur, il doit remonter marche par marche jusqu'au centre du jeu. Pour cela, le joueur doit obtenir à chaque fois le chiffre exact inscrit dans la case, et un 6 pour arriver à la coupe.
La victoire est remportée par le premier joueur qui arrive à amener, selon les variantes, un ou plusieurs de ses pions-chevaux à la coupe.
Chaque joueur est libre de faire sortir le nombre de chevaux qu'il désire, mais il ne peut déplacer qu'un seul cheval par tour.
Historique
Plusieurs jeux se ressemblent beaucoup : le Pachisi (indien), le Parcheesi (version sous marque du Pachisi), le patolli (méso-américain), le Ludo et le jeu des petits chevaux. Tous ont un tablier en forme de croix.
Le yunnori coréen, d'origine chinoise, nommé « siwei XI » (四维戏, ) sous la dynastie Han (-206 – 220), a des règles similaires ; les pions sont également appelés chevaux, mais la forme du tablier est différente.
La filiation entre ces différents jeux est attestée par de nombreux historiens. Le Pachisi indien aurait été introduit aux États-Unis au milieu du XIXe siècle devenant le Parcheesi. Le Ludo est apparu en Grande-Bretagne à la fin du XIXe siècle. Il est inspiré du Pachisi, du Parcheesi ou des deux.
Le jeu des petits chevaux, probablement apparu autour de 1936 en France, est une variante de ces jeux pratiqués aux États-Unis et en Europe autour des années 1900. Il se différencie par l'utilisation de pions-chevaux et par une règle originale d'arrivée des pions. Il n'existe pas de refuge comme chez ses prédécesseurs.
Voir ci-dessous, un extrait de la publication Les jeux de pions à la Belle Époque dans Board Games Studies no 7 (Michel Boutin, 2005) :
« À la Belle Époque, les Français jouaient, probablement sans le savoir à un jeu britannique (Ludo), à une variante française issue du Ludo (Jeu de l'Eden), à une variante allemande également issue du Ludo, T'en fais pas, qui est la version française d'un jeu très populaire en Allemagne : Mensch ärgere dich nicht, ainsi qu'à une édition singulière et simplifiée du Parcheesi américain (appelé "Parcheesi, ou Jeu de l'Eden" par Watilliaux).
En dehors du Ludo (peu pratiqué en France), le Parcheesi (version française éditée par Watilliaux) et le Jeu de l'Eden n'ont pas survécu à la disparition de leurs éditeurs bien qu'une nouvelle variante du Ludo soit commercialisée dans les années 1930 sous le nom de La course aux couleurs.
Cependant, tous les enfants connaissent un jeu voisin, Les petits chevaux, dont la principale caractéristique est la numérotation des cases des quatre rangées qui conduisent les pions vers le centre. L'utilisation de ces cases numérotées conduit à des règles différentes selon les éditeurs et les époques.
En tout cas, les jeux de ce type sont apparus dans les catalogues des Grands Magasins et dans ceux de Manufrance à la fin des années 1930, aux côtés de La course aux couleurs, sous différentes appellations : "Petits chevaux", "Dadas", "Jeu des trotteurs", etc.
Le passage de pions neutres aux pions-chevaux pourrait dater des années 1910 puisque dans un ouvrage, édité en 1996 par le musée du jouet de Malines (Belgique), on peut voir une illustration d'un jeu (Horse gama) où le tablier est un Ludo mais les pions sont des chevaux. »
Ce jeu est mentionné le 2 avril 1911 dans une demande adressée par le marquis de Puybaudet au ministre de l'Intérieur pour l'ouverture du casino d'Alvignac « où l'on pourra jouer aux petits chevaux, à l'écarté ou au Baccara »
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et 2 h 00 de travail
Les dames ou le jeu de dames est un jeu de société combinatoire abstrait pour deux joueurs. Le terme désigne en fait plusieurs jeux comme le jeu de dames international ou bien le jeu de dames anglaises.
Le jeu de dames actuel est issu du transfert du jeu de la marelle de douze (ou alquerque qui est un jeu inventé en Égypte antique vers -1500 av. J.-C.) sur un échiquier de 64 cases au xive siècle en Europe
Règles
Capturer ou immobiliser les pièces de son adversaire.
un damier ; le damier classique à cent cases est un tablier de 10 cases sur 10 de deux couleurs alternées (traditionnellement les cases sont noires et blanches).
deux équipes de 20 pions.
Certaines variantes de ce jeu utilisent des damiers de 64 cases (8 sur 8) et 144 cases (12 sur 12).
Le damier est disposé de sorte que la case en bas à gauche soit de la couleur foncée.
Chaque joueur place ses pions sur les cases de couleur foncée. Avant le début d'une partie, il y a donc deux lignes au milieu du damier qui sont vides et séparent les deux camps.
Ce sont les blancs qui commencent, comme aux échecs, et contrairement à Othello, ou au jeu de go.
Afin de représenter les coups joués, et ainsi de noter une partie, les cases utilisées du damier sont numérotées de 1 à 50. En partant du côté des noirs, on numérote de gauche à droite, et de haut en bas.
Un tiret « - » représente un déplacement simple et une croix « x » ou « × » représente une prise. Les mouvements des noirs sont indiqués entre parenthèses. Exemple : si les blancs jouent 36-31, les Noirs peuvent pionner par (17-22). Dans le cas d'une prise multiple, on indique chaque case d'arrêt. Comme aux échecs, on peut annoter un bon coup d'un point d'exclamation et un mauvais d'un point d'interrogation1.
Le déplacement
Les pions se déplacent sur les diagonales, du joueur vers le joueur adverse. Ils ne se déplacent que d'une case à la fois sauf lorsqu'il y a une prise.
La dame peut se déplacer dans tous les sens d'autant de cases qu'elle le souhaite à partir du moment où elle suit les diagonales et qu'aucune pièce n'est sur sa trajectoire.
La prise
La prise est obligatoire et s'effectue aussi bien vers l'avant que vers l'arrière.
Lorsqu'une case voisine sur la diagonale est occupée par un pion du joueur adverse, et qu'il y a une case libre derrière, ce pion doit être sauté. Il est ainsi pris et supprimé du jeu. On retrouve ce mécanisme de prise également dans un jeu traditionnel népalais, le Bagh Chal.
Le pion déplacé peut capturer plusieurs pions à partir du moment où il peut être posé sur le damier entre deux prises.
La dame prend comme le pion mais a l'avantage de pouvoir franchir plusieurs cases vides.
Une prise peut s'effectuer vers l'avant ou vers l'arrière. La prise majoritaire est obligatoire, c'est-à-dire que si les deux options sont possibles, on doit prendre trois pions de préférence à deux dames (en revanche, en cas d'égalité numérique, on peut choisir la prise à effectuer).
La dame peut s'arrêter, après sa dernière prise, sur la case de son choix, à condition qu'elle dispose de plusieurs cases libres.
Un même pion ne peut pas être pris plusieurs fois au cours d'une même rafle.
Il est interdit d'enlever les pions pris au fur et à mesure pendant une rafle : ils doivent impérativement être tous pris à la fin.
Il est à noter que la règle « souffler n'est pas jouer », qui laissait la possibilité aux joueurs de ne pas prendre en contrepartie du sacrifice éventuel de la pièce prenante, a été supprimée après des décennies de lutte entre les deux fédérations françaises de jeu de dames, l'une reconnaissant cette règle, l'autre pas. Finalement la fusion s'opéra en 1923 au profit de l'abandon définitif de ce principe
La promotion a lieu lorsqu’un pion atteint la dernière rangée : celui-ci devient alors automatiquement une dame. Il est d’usage de superposer deux pions pour représenter une dame.
Toutefois, si un pion vient à passer au-dessus de la dernière rangée au cours d'une prise multiple, il ne devient une dame que s'il finit la rafle sur une case de promotion.
Le joueur a perdu la partie lorsqu'il ne lui reste plus aucune pièce en jeu, ou bien, si c'est à lui de jouer, lorsque toutes ses pièces sont bloquées, c'est-à-dire dans l'impossibilité de prendre ou de se déplacer.
Un joueur peut aussi abandonner la partie s'il estime n'avoir aucune chance de gagner, ni même d'égaliser.
Il y a partie nulle, ou remise, c'est-à-dire égalité entre les joueurs, lorsqu'un des joueurs la propose à son adversaire et que celui-ci l'accepte.
Dans les parties officielles, l'arbitre fait aussi appliquer les règles suivantes : Il y a égalité :
quand la même position des pièces se produit pour la troisième fois, et que c'est au même joueur de jouer ;
si, durant vingt-cinq coups, aucune prise n'a eu lieu, ni aucun déplacement de pion ;
si dans une position à une dame contre trois dames, contre deux dames et un pion, ou contre une dame et deux pions, les deux joueurs ont joué chacun seize coups ;
si dans une position à une dame contre deux dames, ou une dame contre une dame, il n'y a plus de phase de jeu.
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Le Fiat CR.42 Falco est un avion de chasse de la Seconde Guerre mondiale. C'est le dernier biplan de ce type à être mis en service.
Conception
Le prototype du Fiat CR.42 « Falco » vola pour la première fois le 23 mai 1938. 1 781 exemplaires furent construits, le dernier en juin 1943. Dernier chasseur biplan mis en service, il est aussi considéré comme le meilleur. Adoré de ses pilotes grâce à ses excellentes qualités de maniabilité, il était déjà dépassé au moment de sa mise en service.
Histoire
Le Fiat CR.42 est un des derniers et certainement le plus abouti des avions de combat biplans. Conçu par l'ingénieur Celestino Rosatelli sur la lancée du succès du fameux Fiat CR.32 qui domina de façon incontestée les cieux espagnols durant la guerre civile. Son premier vol a lieu le 23 mai 1938, alors que l'ère des biplans touchait à sa fin. Il était construit avec une structure entièrement métallique, et le poste de pilotage était ouvert. Le Falco fut reconnu comme le meilleur grâce à ses qualités et à sa maniabilité. Sa production en série fut décidée bien que Fiat Avio ait déjà démarré la fabrication des avions de chasse monoplans Fiat G.50 et Macchi M.C.200, qui utilisaient le même moteur.
Avec le Gloster Gladiator britannique, l'Avia B.534 tchèque et le Polikarpov I-15 soviétique, ce sera le dernier avion de chasse biplan à être encore utilisé durant la seconde guerre mondiale. Au début du conflit, il représentait la moitié du potentiel aérien italien. Il fut redoutable face aux Gladiator et ne perdit jamais de combat rapproché face aux plus modernes Hawker Hurricane de première série. Le Falco sera ensuite confiné à des tâches secondaires.
Il sera surtout utilisé avec des filtres anti-sable en Afrique du Nord, pour les radiotransmissions dans sa version CR.42 AS. Certains exemplaires appelés CR.42 CN furent équipés d'échappements masqués et de commandes adaptées pour les combats de nuit. Une variante spéciale CR.42 Egeo fut équipée de réservoirs supplémentaires de 1 100 litres, pour doubler son autonomie. Le Falco connaîtra un beau succès commercial à l'exportation. Il sera employé par l'aviation belge en avril 1940 contre les incursions de la Luftwaffe dans le ciel de la Belgique encore neutre, puis, dès le début de l'agression allemande, contre les Stuka et les Dornier. Il sera aussi acheté par la Suède et la Hongrie. Des Fiat CR.42 Egeo furent également utilisés sous les couleurs irakiennes au Moyen-Orient.
Engagements
Les Fiat CR 42 se distinguèrent surtout en Afrique où ils furent opposés avant l'arrivée de chasseurs plus modernes au Gloster Gladiator anglais pour le dernier duel entre biplans. Ils servirent également en France, en Grèce, sur la Manche où ils souffrirent énormément face aux Hurricane et autres Spitfire, après l'arrivée des Fiat G.50 Freccia et Macchi M.C.200, ils furent retirés des escadrilles de chasses et confinés à des tâches secondaires.
Ce Fut à bord de cet appareil que les pilotes de chasse Belges obtinrent leurs quelques victoires contre la Luftwaffe en mai 1940.
Utilisateurs
Belgique
Armée de l'air belge (27 appareils)
Reich allemand
Luftwaffe (100+ appareils)
Irak
Royal Iraki Air Force
Italie
Regia Aeronautica
Suède
Force aérienne suédoise (72 appareils)
État indépendant de Croatie
Forces aériennes de l'État indépendant de Croatie (en)
Royaume de Hongrie
Armée de l'air royale hongroise (72 appareils)
Variantes
CR.42 : Les premiers CR.42 étaient armés d'une mitrailleuse de 12,7 mm plus une de 7,7 mm. Sur le CR.42bis, la calibre 7,7 mm était remplacée par une seconde de calibre 12,7 mm.
CR.42 Egeo : Adapté au théâtre égéen, avec un réservoir supplémentaire de 80 litres dans le fuselage.
CR.42AS : Version de support aérien rapproché pouvant recevoir 4 mitrailleuses de 12,7 mm dans certains cas et des supports sous les ailes pour 2 bombes de 100 kg. AS est l'abréviation de 'Africa Settentrionale'. Un filtre additionnel protège le moteur des entrées de sable.
CR.42B : Un avion équipé d'un moteur Daimler-Benz DB 601 atteint une vitesse estimée de 518 km/h. Voir aussi le CR.42DB.
CR.42bis : Armement standard de deux mitrailleuses de 12,7.
CR.42CN : Version chasseur de nuit avec des projecteurs montés sous les ailes et des pipes d'échappement allongées.
CR.42ter : L’armement de cette version était composé de deux mitrailleuses de 12,7 plus deux autres dans des protubérances sous les ailes.
ICR.42 : Hydravion expérimental dessiné par CMASA. La vitesse maximale n’était pénalisée que de 8 km/h malgré les 124 kg de supplément de poids.
CR.42LW : Version de harcèlement de nuit utilisée par la Luftwaffe contre les résistants. L'avion était équipé de cache flammes à l'échappement, d’une paire de mitrailleuses de 12,7 mm et de supports sous les ailes pour quatre bombes de 50 kg. 150 avions seront construits, dont 112 qui furent mis en service par la Luftwaffe.
CR.42 "Bombe Alari" : (nom officieux largement utilisé) Modification effectuée à la SRAM (centre de réparation) pour permettre aux chasseurs obsolètes d’être utilisées dans des rôles d'attaque au sol. Pylônes sous les ailes pour deux fois 50 kg de bombes qui souvent seront chargés de bombes de 100 kg. La même modification sera également effectuée sur des Fiat G.50 et autres Macchi C.200.
CR.42 biplaces : Plusieurs CR.42 italiens convertis en plateformes de communication.
CR.42DB : Un CR.42 fut équipé d'un des premiers moteurs en ligne DB 601A de 1.200 cv, ce qui permit d’atteindre une vitesse maximale de 525 km/h.
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Un train jouet (qui peut être un train électrique) est une reproduction miniature simplifiée d'un train ou d'un élément d'un train (locomotive, matériel remorqué...), utilisé en tant que jouet. Les trains jouets sont distincts de la pratique du modélisme ferroviaire, mais peuvent y amener.
Historique
Les premiers trains jouets apparaissent en même temps que le chemin de fer.
Les trains de tapis apparaissent dans les années 1840 en Angleterre. Ils sont devenus des jouets très populaires de l'époque victorienne.
Les premiers trains électriques grand public apparaissent au début du XXe siècle, mais dès 1887, un train électrique miniature est envisagé pour le service de table.
Ce train jouet est généralement destiné à circuler sur une voie ferrée miniature et à reproduire le principe de fonctionnement des trains réels lors d'une séance de jeu : voyages d'une gare à l'autre, manœuvres, échanges de wagons. Il existe des trains jouets qui ne sont pas destinés à circuler sur une voie.
Ce jeu pour enfants connaît une évolution avec le développement du modélisme ferroviaire au début du XXe siècle, dont le but est de constituer une maquette réaliste dans laquelle les trains constituent le sujet central. Le modélisme ferroviaire consiste alors, pour la plupart de ses pratiquants, à construire un réseau ferroviaire (parfois improprement appelé « circuit ») aménagé et décoré, sur lequel le modéliste fera circuler ses trains en s'inspirant de la réalité du monde ferroviaire
Il existe une production moderne de trains jouets, destinée à un marché de collectionneurs adultes.
Fonctionnement des trains jouets
Il existe des trains jouets non-alimentés par l'électricité : ces derniers peuvent être à vapeur vive, ainsi que, plus rarement, à propulsion mécanique (ressort, friction) ou poussés à la main.
La dénomination « train électrique » désigne un train jouet à échelle réduite, composé d'une locomotive propulsée par un moteur électrique (qu'elle représente une locomotive à vapeur, à motorisation thermique ou électrique), de voitures et de wagons, ainsi que les éléments leur permettant de rouler : la voie et l'alimentation électrique, sous forme d'une batterie, d'un transformateur régulateur ou d'une commande Digital.
Différence entre train jouet et modélisme ferroviaire
Le terme de « train jouet » désigne, parfois péjorativement, une reproduction grossière ou simplifiée d'un train, ne reproduisant pas ou très peu un modèle réel, par opposition à un modèle réduit ferroviaire. Le train jouet, tant pour son aspect collection que pour son exploitation, est considéré comme une branche du train miniature, distincte du modélisme ferroviaire.
Coffret de départ
De nos jours, le train électrique et ses accessoires sont le plus souvent regroupés dans un coffret dit « de départ », comprenant une locomotive, quelques voitures ou wagons, de quoi constituer un ovale de voie et une alimentation électrique. Ce coffret est une base pour commencer (et est le point de départ de nombreux modélistes ferroviaires), par la création d'un décor et d'une ambiance réaliste, la pratique du modélisme ferroviaire ; certains coffrets proposent des accessoires de décor : ouvrages d'art et autres véhicules
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Pratique
Les amateurs de trains jouets français sont rassemblés au sein du cercle ferroviphile européen (CFE).
Musées
Il existe plusieurs musées du train jouet comme le Rambolitrain à Rambouillet (Yvelines, France), le National Toy Train Museum (en) à Strasburg (Pennsylvanie, États-Unis) et le musée du train miniature à Keszthely (Hongrie).
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Le Peugeot 101 est un cyclomoteur lancée en 19671. Il succède à la famille des Peugeot BB lancée dans les années 1950. Le 101 a été lancé conjointement avec le 102 modèle très similaire mais qui possède une mécanique plus puissante (carburateur et pipe d'admission différents essentiellement). La conception est classique, avec un cadre en acier embouti soudé. Selon les versions, le réservoir fait partie du tube diagonal ou est accroché sous la selle. Le moteur est situé en position centrale basse et entraine un plateau par une courroie. L'embrayage centrifuge automatique est disposé en sortie de vilebrequin côté gauche. L'allumage par magnéto et rupteur (sans batterie) est positionné sous un capot côté droit du vilebrequin. La roue arrière dotée d'un grand plateau est entrainée par une chaine via un pignon réducteur qui est solidaire du plateau. Des pédales et un plateau permettent de rouler (difficilement !) en position vélo comme le voulait la loi sur les cyclomoteurs. Elles servent également à démarrer le moteur en pédalant sur la béquille, mais aussi à gravir les côtes quand le petit moteur ne suffit plus malgré les publicités d'époque très optimistes
Le 101 a existé sous plusieurs formes aux apparences très différentes :
La version avec gros réservoir de forme complexe monté à cheval sur la poutre avant (photo)
La version à poutre plate et réservoir sous la selle et petites roues versions MR, MT
La version avec petit réservoir en amande dans la poutre avant (comme les 103) versions S, T
Le 101 a eu une longue carrière qui s'est arrêtée dans les années 1980. Au cours des années 1970 puis 80, il a servi de bas de gamme économique à la famille "100" (101-102-103-104-105).
Transmission primaire par courroie sur une grande poulie-plateau et secondaire par chaine et grand plateau
Refroidissement par air à ailettes sur bloc moteur
Motorisation 49,9 cm3
Puissance 1 cheval vapeur environ
Démarrage par pédalage sur béquille. On pouvait également démarrer à la "poussette" en courant à côté.
Vitesse 35 km/h
Suspension :
arrière : aucune
avant : fourche télescopique en option
Freinage : tambour arrière, patins avant sur jante mais tambour en option
Consommation : 1,6 L/100 (données constructeur)
Cyclomoteur simple d'utilisation et d'entretien, destiné à tous publics.
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