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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Claude Rich, né le 8 février 1929 à Strasbourg (Bas-Rhin) et mort le 20 juillet 2017 à Orgeval (Yvelines), est un acteur français.
Il a notamment reçu deux César, celui du meilleur acteur en 1993 pour Le Souper et un César d'honneur en 2002.
Claude Rich passe les premières années de sa vie à Strasbourg, jusqu'en 1935, puis il emménage avec sa mère et ses trois frères et sœurs à Paris, au 95, boulevard Saint-Michel après la mort de son père, ingénieur de métier, victime à 40 ans de la grippe. Sa mère espère qu'il deviendra prêtre, et bien qu'il ne choisisse pas la voie de la prêtrise, elle ne lui en tiendra pas rigueur, car elle-même ayant voulu être sculptrice, elle l'aidera beaucoup dans son désir d'être acteur. La foi de sa maman laissera néanmoins des traces, car son père étant d'origine alsacienne et sa mère d'origine bordelaise, il se définit comme chrétien-alsacien.
Durant la Seconde Guerre mondiale, vers 1943-1944, il vit aussi en pension à Neauphle-le-Vieux, à l’École du Gai Savoir de Michel Bouts où sa passion du théâtre est née. Pendant que son frère est engagé dans la 1re armée de de Lattre, Claude Rich assiste à la Libération de Paris.
Il commence à travailler comme employé de banque, suit en parallèle les cours Dullin, le Centre d'Art Dramatique de la rue Blanche, et intègre le Conservatoire national supérieur d'art dramatique, promotion de 1953 dont il sort avec le deuxième prix (par ailleurs, aucun premier prix n'est décerné cette année-là). C'est là qu'il se lie d'amitié avec plusieurs élèves qui deviendront tous d'illustres acteurs : Jean Rochefort, Jean-Paul Belmondo, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer. Ensemble ils forment ce qui fut appelé la « bande du Conservatoire ».
Claude Rich fait ses débuts au théâtre de la Renaissance, et participe au film Les Grandes Manœuvres de René Clair, ce qui lance sa carrière cinématographique en 1955.
Il interprète fréquemment des rôles secondaires de jeune premier dans les années 1960, notamment en donnant la réplique à Lino Ventura dans Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner ou à Louis de Funès dans Oscar (1967). En 1968, Alain Resnais lui propose l'un des plus grands rôles de sa carrière dans le film de science-fiction Je t'aime, je t'aime, dans lequel il interprète un homme voyageant dans son passé après une tentative de suicide. Le réalisateur l'a choisi pour son timbre de voix qu'il apprécie particulièrement.
Durant les décennies 1970 et 1980, il retourne à sa passion première, le théâtre, notamment dans Hadrien VII pour lequel il est récompensé par le Prix du Syndicat de la critique, ainsi que dans un passage très remarqué à la Comédie-Française pour le rôle-titre de Lorenzaccio d'Alfred de Musset, mis en scène par Franco Zeffirelli (1976). Cela ne l'empêche pas d’apparaître plusieurs fois sur grand écran, notamment dans La Femme de Jean (1974) dans un rôle atypique, Adieu poulet (1975), Le Crabe-Tambour (1977) et La Guerre des polices (1979).
En 1989, il joue Talleyrand dans la pièce Le Souper de Jean-Claude Brisville, au côté de Claude Brasseur. L’adaptation cinématographique de cette pièce lui permet d'effectuer un retour en force au cinéma en 1992. Sa prestation sera récompensée par le César du meilleur acteur en 1993.
Pour la télévision, Claude Rich tourne peu : sous le faux air d'un diplomate américain marié à Claude Jade, mais secrètement un agent secret dans le feuilleton Le grand secret (1989) ; dans La Vérité en face (1993) il incarne aux côtés de Danielle Darrieux un ancien membre de la Résistance soupçonné d'avoir parlé sous la torture ; son rôle de Léon Blum dans Thérèse et Léon de Claude Goretta avec Dominique Labourier ; sans oublier son portrait d'un psychiatre célèbre, le professeur Silberstein, aux côtés de Maruschka Detmers dans Clarissa de Jacques Deray.
Il collabore à de nombreux films historiques, dont Le Colonel Chabert (1994), La Fille de d'Artagnan (1994) qui lui vaut d'être nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle, Le Bel Été 1914 (1996) ou encore Capitaine Conan (1996).
Lors de la Berlinale 1996, il est membre du jury.
Il ne dédaigne pas pour autant les productions plus grand public, notamment dans les comédies La Bûche en 1999, qui lui vaut d'être de nouveau nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle, ou encore Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (2002) où il interprète le druide Panoramix.
Acteur au sourire malicieux et à la voix reconnaissable entre toutes, il multiplie les apparitions au cinéma dans les années 2000, notamment dans Le Coût de la vie (2003), Là-haut, un roi au-dessus des nuages (2004), Le Mystère de la chambre jaune (2003), Le Cou de la girafe (2004), Président (2006), Le crime est notre affaire (2008).
Il est récompensé par un César d'honneur en 2002, pour l'ensemble de sa carrière.
Durant cette décennie, il se fait par ailleurs beaucoup remarquer sur le petit écran pour ses interprétations ambitieuses de personnages historiques tels que Galilée dans Galilée ou l'Amour de Dieu au côté de son copain de Conservatoire Jean-Pierre Marielle, Voltaire dans Voltaire et l'Affaire Calas (2007).
Il est à nouveau nommé en 2009 pour le César du meilleur acteur dans un second rôle grâce à son interprétation dans le film de François Dupeyron Aide-toi, le ciel t'aidera.
En 2012, il incarne le père de Jean-Pierre Bacri, président de section du Conseil d'État, homme précieux et autocentré, dans la comédie de mœurs Cherchez Hortense ; cela lui vaut une nomination pour le César du meilleur acteur dans un second rôle en 2013.
Mais c'est au théâtre qu'il consacre l'essentiel de son énergie et de son talent, dans ses dernières années, avec deux pièces d'Antoine Rault mises en scène par Christophe Lidon, Le Diable Rouge (2008-2009) et L'Intrus (2011-2012).
En 2015, il se produit pour la dernière fois au cinéma dans le film d'Alain Choquart, Lady Grey
En 1957, il fait l'acquisition d'une maison à Orgeval dans les Yvelines. Il se marie le 26 juin 1959 avec l'actrice Catherine Renaudin à Paris. Le couple aura deux filles, Delphine, comédienne, et Natalie Rich-Fernandez, peintre. Ils ont un fils adoptif, Rémy (adopté après la mort de son père, le comédien Bernard Noël).
Catholique, il se rend à la messe chaque dimanche mais se voit comme un « chrétien un peu pitoyable » et déclare : « Je ne suis pas un très bon chrétien. Je n’étudie pas beaucoup ma religion, mais je crois en l’amour de Dieu. De la même façon que l’on ne sait pas toujours pourquoi on aime une personne, j’aime Dieu. Je le fréquente tous les dimanches. Lorsqu’il m’arrive de confier à quelqu’un mon intention d’aller à la messe le dimanche et que mon interlocuteur me fait part de son étonnement, je lui dis que c’est moi qui suis étonné qu’il n’aille pas à l’église ». Il dit avoir prié pour jouer un rôle dans une pièce où Dieu serait évoqué mais ne veut pas jouer de rôles militants : « Ne me transformez pas en comédien catholique. Je veux rester un acteur qui puisse jouer tour à tour un salaud ou un saint. »
En décembre 2006, il signe un manifeste de « soutien total » à Benoît XVI et pour que puisse être célébrée la messe tridentine, [considérant] « comme une grâce la diversité des rites dans l'Église catholique ».
Claude Rich meurt le 20 juillet 2017 des suites d'un cancer à son domicile en région parisienne à l'âge de 88 ans. Ses obsèques ont eu lieu le 26 juillet 2017 en l'église Saint-Pierre-Saint-Paul d'Orgeval dans les Yvelines, là où il est ensuite inhumé, en présence de nombreuses personnalités du cinéma et du théâtre.
Son nom a été donné à un espace culturel de la commune alsacienne de Masevaux, inauguré en sa présence en 2004.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Rich
Louis Jouvet, né le 24 décembre 1887 à Crozon (Finistère) et mort le 17 août 1951 (63 ans) à Paris 9e, est un comédien, metteur en scène et directeur de théâtre français, professeur au Conservatoire national supérieur d'art dramatique.
Jules Eugène Louis Jouvet, orphelin de père à quatorze ans, part vivre avec sa mère chez son oncle, qui est apothicaire à Rethel dans les Ardennes. Influencé par sa famille, il s'inscrit à la faculté de pharmacie de Toulouse. À partir de 1904, il entame des études de pharmacie à la faculté de Paris, mais passe tout son temps libre dans les théâtres amateurs de l'époque : dans la troupe de Léon Noël, puis celle du Théâtre d'Action d'Art de 1908 à 1910 (il part alors en province jouer devant des auditoires populaires), ensuite celle du Théâtre des Arts, puis à l'Odéon, et au Châtelet. En parallèle, il se présente au concours d'entrée du Conservatoire d'Art dramatique de Paris, où il sera recalé plusieurs fois.
En 1912, son diplôme de pharmacien en poche, Louis Jouvet se marie le 26 septembre avec Else Collin (1886-1967), avec laquelle il aura trois enfants : Anne-Marie en 1914, Jean-Paul en 1917 et Lisa en 1924. À cette époque il court les cachets et fera ainsi une courte apparition dans un film aux côtés de Harry Baur.
En 1913, il est engagé avec son ami Charles Dullin par Jacques Copeau, alors directeur du Théâtre du Vieux-Colombier. C'est un véritable tournant dans sa carrière : il y est régisseur, décorateur, assistant et enfin comédien.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate, Louis Jouvet est engagé volontaire. Il est ambulancier, puis médecin auxiliaire. Démobilisé en 1917, il retrouve la troupe du Vieux-Colombier.
En novembre 1917, la troupe du Vieux-Colombier s'installe pour deux saisons au Garrick Theatre de New York. Le succès obtenu n'est pas à la hauteur des attentes ; les relations entre Jouvet et Copeau se dégradent.
En 1920, c'est le retour à Paris : le Vieux-Colombier rouvre ses portes.
En 1922, Jouvet rompt avec Jacques Copeau. Engagé par Jacques Hébertot, qui dirige alors le théâtre des Champs-Élysées et la Comédie des Champs-Élysées, en qualité de directeur technique de ces deux salles, il participe à la scénographie du troisième théâtre, le Studio des Champs-Élysées, et se voit confier des mises en scène, en alternance avec Georges Pitoëff. L'année suivante, en décembre 1923, il remporte son premier grand succès avec Knock ou le Triomphe de la médecine de Jules Romains, qu'il jouera 1 500 fois.
À la fin de 1924, plusieurs comédiens venus du Théâtre du Vieux-Colombier le rejoignent. Jacques Hébertot s'éloigne. Louis Jouvet devient directeur de la Comédie des Champs-Élysées, où il demeurera jusqu'en 1934.
En 1928, il rencontre Jean Giraudoux, dont il crée plusieurs pièces. Pendant deux années il dirige le théâtre Pigalle où il présente avec succès Donogoo Tonka de Jules Romains le 8 octobre 1930, puis en 1931 Judith de Jean Giraudoux. À partir de 1934, il dirige le théâtre de l'Athénée, où il donne la première de La guerre de Troie n'aura pas lieu (1935) et celle d'Ondine (1939).
Gaston Baty, Charles Dullin, Georges Pitoëff et Jouvet fondent le 6 juillet 1927 une association d'entraide, le « Cartel des Quatre », qui durera jusqu'en 1940. Leur objectif est de faire en sorte que le théâtre crée une poésie qui lui soit propre, et de jouer des auteurs contemporains.
On lui propose la direction de la Comédie-Française, qu'il refuse, car il est trop occupé par celle de son propre théâtre. À l'Athénée, il triomphe avec des pièces de Molière et de Giraudoux, et d'autres œuvres du répertoire classique.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, il effectua une tournée en Amérique latine à la suite de l'occupation allemande. Entre 1941 et 1945, il se produit à Buenos Aires (Argentine), où est installé son cousin, l'acteur Maurice Jouvet (es). Il y représente Ondine, de son ami Jean Giraudoux, pièce qu'il a créée deux ans auparavant à Paris. Il emmène la pièce en tournée à Montevideo, São Paulo et à Rio de Janeiro. Il crée dans cette ville L'Annonce faite à Marie de Paul Claudel en 1942, dans laquelle joue l'actrice belge Madeleine Ozeray (1908-1989), comédienne de sa troupe devenue sa compagne.
À la Libération en 1945, il rentre en France pour diriger La Folle de Chaillot avec Marguerite Moreno (1871-1948) en hommage à Jean Giraudoux, décédé l'année précédente.
Louis Jouvet reprend la direction du théâtre de l’Athénée, qui deviendra plus tard le théâtre de l'Athénée-Louis-Jouvet. C'est là qu'il crée La Folle de Chaillot (1945). Le 30 juillet 1950, il reçoit la Légion d'honneur.
Le 7 février 1951, c'est lui qui lit la prière de Willette à la messe du mercredi des Cendres, célébrée en l'église Saint-Germain-l'Auxerrois en présence du nonce apostolique monseigneur Roncalli (le futur pape Jean XXIII), du cardinal Maurice Feltin, et d'une foule d'artistes. Cette messe et sa prière s'adressent à ceux qui vont mourir dans l'année. Sa disparition six mois plus tard marquera les esprits, au point que l'année suivante elle fut dite par trois récitants.
Il aide également les nouvelles figures du théâtre et de la décentralisation théâtrale, Maurice Sarrazin, André Barsacq, Jean-Louis Barrault et Jean Vilar notamment, et met en scène, au Théâtre Antoine à Paris, Le Diable et le Bon Dieu, pièce écrite par Jean-Paul Sartre en 1951. Le soir de la première il est à Toulouse, où il prodigue ses conseils au jeune directeur du nouveau Centre dramatique, M. Sarrazin.
Malade du cœur, il meurt d'un infarctus le 17 août 1951, survenu dans son théâtre au 7 rue Boudreau, alors qu'il dirige une répétition de la pièce La Puissance et la Gloire, d'après Graham Greene. Il repose au cimetière de Montmartre à Paris.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Jouvet
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Cinéma
1959 : Le Signe du Lion d'Éric Rohmer : la femme du café
1960 : Tirez sur le pianiste de François Truffaut : Lena
1961 : Une femme est une femme de Jean-Luc Godard : une amie d'Angela
1961 : Le Monocle noir de Georges Lautner : Bénédicte de Villemaur
1962 : Jules et Jim de François Truffaut : Thérèse
1962 : L'Anglaise d'Artur Ramos
1962 : La Croix des vivants d'Ivan Govar : Gisèle
1963 : Jusqu'au bout du monde de François Villiers
1964 : Week-end à Zuydcoote d'Henri Verneuil : Hélène
1964 : La Chasse à l'homme d'Édouard Molinaro : Sophie
1964 : La Ronde de Roger Vadim : la fille
1964 : Mata Hari, agent H 21 de Jean-Louis Richard : la jeune fille
1964 : L'Âge ingrat de Gilles Grangier : Marie Malhouin
1965 : Les Grandes Gueules de Robert Enrico : Jackie
1965 : Les Fêtes galantes de René Clair : Divine
1966 : Le Dix-septième ciel de Serge Korber : Marie
1966 : La Grande Vadrouille de Gérard Oury : Juliette
1966 : Le Voleur de Louis Malle : Geneviève
1967 : Ce sacré grand-père de Jacques Poitrenaud : Marie
1967 : Le Rouble à deux faces d'Étienne Périer
1968 : Le Cascadeur (Stuntman) de Marcello Baldi : Yvette
1969 : Gonflés à bloc de Ken Annakin : Pascale
1970 : La Maison des bories de Jacques Doniol-Valcroze
1971 : Bof... Anatomie d'un livreur de Claude Faraldo
1972 : Les Arpenteurs de Michel Soutter : Alice
1972 : L'Œuf (de Félicien Marceau), film de Jean Herman : Hortense Berthoullet
1973 : Antoine et Sébastien de Jean-Marie Périer : Corinne
1973 : Le Serpent d'Henri Verneuil : Mrs. Walter
1974 : Vincent, François, Paul... et les autres de Claude Sautet : Lucie
1974 : L'Escapade de Michel Soutter : Anne
1976 : L'Innocent de Luchino Visconti : la princesse
1976 : Nuit d'or de Serge Moati : Véronique
1976 : Du bout des lèvres de Jean-Marie Degèsves : Madame Boirin
1976 : Les Mal Partis de Sébastien Japrisot : la mère supérieure
1977 : La Menace d'Alain Corneau : Dominique Montlaur
1979 : Je vous ferai aimer la vie de Serge Korber : Anielle
1979 : Je parle d'amour de Madeleine Hartmann-Clausset : Marie
1979 : Il y a longtemps que je t'aime de Jean-Charles Tacchella : Brigitte Dupuis
1980 : La Petite Sirène de Roger Andrieux : Bénédicte Pélissier
1980 : Mon oncle d'Amérique d'Alain Resnais : Thérèse Ragueneau
1982 : Une femme en fuite de Maurice Rabinowicz : Mona
1983 : Si j'avais mille ans de Monique Enckell
1983 : L'Ami de Vincent de Pierre Granier-Deferre : Marion
1983 : Garçon ! de Claude Sautet : Marie-Pierre
1984 : L'Intrus d'Irène Jouannet
1986 : Descente aux enfers de Francis Girod : Lucette
1986 : Grand Guignol de Jean Marbœuf : Germaine
1990 : Un jeu d'enfant de Pascal Kané : Noémie
1991 : La Dernière Saison de Pierre Beccu : Marthe
1991 : Les Enfants du vent de Krzysztof Rogulski : la femme du maire
1996 : Les Caprices d'un fleuve de Bernard Giraudeau : la vieille Duchesse
1996 : Confidences à un inconnu de Georges Bardawil : la mère
1997 : Rien ne va plus de Claude Chabrol : Dedette
1999 : À vot'service d'Eric Bartonio
Courts-métrages
1959 : Les Taupins de Jean Pignol
1965 : La Demoiselle de Saint-Florentin de Serge Korber
1965 : L'arroseur arrosé de Pierre Tchernia
1992 : Cendre d'or de Jean-Philippe Ecoffey
1993 : Elle est passée par ici... de Bernard Pavelek
1999 : Le Jour de Grâce de Myriam Donasis, dans la collection À Vot'Service
Télévision
1959 : La caméra explore le temps, épisode La Dernière Nuit de Kœnigsmark de Stellio Lorenzi
1959 : Les Cinq Dernières Minutes, épisode Poison d'eau douce de Claude Loursais : Mariette (sous le nom de Claudine Huzé)
1960 : Les Cinq Dernières Minutes, épisode Qui trop embrasse... de Claude Loursais : Sylvie
1961 : Les Jours Heureux d'Arnaud Desjardins
1963 : Premier Amour de Jean Prat : Zinaïda
1965 : Marie Curie - Une certaine jeune fille de Pierre Badel : Marie Curie
1965 : Le Legs de Jean-Paul Sassy : Hortense
1971 : Ma femme de Jean L'Hôte : Nathalie
1971 : L'Heure éblouissante de Jeannette Hubert : Mrs. Mary Sedley
1973 : Ma femme et l'enfant de Gérard Gozlan : la jeune femme
1973 : La Belle au bois dormant de Robert Maurice : la bonne reine Apolline
1975 : Un changement de saison de Jacques Krier : Nicole
1976 : Adios d'André Michel : Marie-Louise
1976 : François le Champi de Lazare Iglesis : Madeleine
1978 : Madame le juge : Autopsie d'un témoignage de Philippe Condroyer : Marie Robin
1978 : Kakemono Hôtel de Franck Apprederis : Lucienne Cagepain
1978 : Point commun d'Olivier Descamps : Germaine
1980 : Au théâtre ce soir : L'Amant complaisant de Graham Greene, mise en scène Jacques François, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Mary Rhodes
1981 : Les Héritiers : La Propriété de Serge Leroy : Nicole
1982 : Une faiblesse passagère de Colette Djidou : Sylvia
1982 : Emmenez-moi au théâtre : Patate de Marcel Achard, mise en scène Pierre Mondy, réalisation Yves-André Hubert : Édith Rollo
1983 : Un manteau de chinchilla de Dominique Othenin-Girard : Nicole
1983 : Bel Ami de Pierre Cardinal : Virginie Walter
1984 : Hello Einstein de Lazare Iglesis : Elsa
1986 : À titre posthume de Paul Vecchiali
1989 : Maria Vandamme de Jacques Ertaud : Céleste Rousset
1991 : Faux Frère de Vincent Martorana : Mme Toussaint
1992 : La Mémoire d'André Delacroix : Madeleine
1993 : Maigret, épisode Maigret et l'homme du bancd'Étienne Périer : Mme Thouret
2001 : Le Bon Fils d'Irène Jouannet : Mamie Michelle
Théâtre
1962 : La Contessa ou la Volupté d'être de Maurice Druon, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre de Paris
1964 : Le Monstre Turquin de Carlo Gozzi, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
1966 : Vacances pour Jessica de Carolyn Green, mise en scène Edmond Tamiz, Théâtre Antoine2
1967 : Bleus, blancs, rouges ou les libertins de Roger Planchon, mise en scène de l'auteur, Théâtre de la Cité Villeurbanne, Festival d'Avignon
1980 : L'Homme, la bête et la vertu de Luigi Pirandello, mise en scène Henri Tisot, Théâtre Daunou
1982 : Patate de Marcel Achard, mise en scène Pierre Mondy, enregistrement pour le compte d'Antenne 2
1987 : Thomas More ou l'homme seul de Robert Bolt, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Espace 44 Nantes
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Dubois
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Claudine Lucie Pauline Huzé, dite Marie Dubois, est une actrice française née le 12 janvier 1937 à Paris (Seine) et morte le 15 octobre 2014 à Lescar (Pyrénées-Atlantiques).
Elle est l'une des actrices emblématiques du cinéma français, alternant films d'auteurs et films populaires, mais elle apparaît plus rarement au cinéma à partir de la fin des années 1970, alors qu'elle est atteinte de la sclérose en plaques. Entre 2001 et 2014, elle s'est engagée publiquement dans le combat contre cette maladie.
Suivant les cours d'art dramatique de la rue Blanche à Paris, Claudine Huzé apprend la comédie moderne et les œuvres classiques. À la sortie de l'école, elle joue dans plusieurs pièces de théâtre de divers registres.
Remarquée à la télévision dans La caméra explore le temps et Les Cinq Dernières Minutes, elle est engagée par le cinéaste François Truffaut pour le film Tirez sur le pianiste en 1960. Il lui trouve alors le pseudonyme Marie Dubois, en hommage à une héroïne d'un roman de l'écrivain et poète Jacques Audiberti, publié en 1952. Au cours de ce tournage, les premiers symptômes de sclérose en plaques se déclarent, alors qu'elle n'a que 23 ans. Elle veut oublier cette première alerte pour tourner avec les réalisateurs de la Nouvelle Vague. Elle joue dans Une femme est une femme de Jean-Luc Godard, Jules et Jim de François Truffaut et La Ronde de Roger Vadim.
Elle devient aussi une actrice populaire dans des films de Georges Lautner, Henri Verneuil ou Édouard Molinaro. En 1964, elle est la fille de Jean Gabin dans L'Âge ingrat, aux côtés de Fernandel et de son fils Franck Fernandel. En 1965, elle joue dans Les Grandes Gueules avec Bourvil et Lino Ventura.
En 1966, elle accède réellement à la notoriété grâce à son rôle de Juliette dans la comédie La Grande Vadrouille de Gérard Oury, dans laquelle sa blondeur et ses yeux bleus font chavirer le cœur de Bourvil. Le film, grand succès populaire à l'époque, bat le record du nombre d'entrées en salle . Elle retrouve ensuite Jean-Paul Belmondo dans Le Voleur, sous la direction de Louis Malle, puis donne la réplique à Michel Simon dans l’un de ses derniers films, Ce sacré grand-père. En 1969, elle fait partie de la distribution internationale de Gonflés à bloc avec Tony Curtis, Jack Hawkins, Peter Cook, Bourvil et Terry Thomas où elle campe une féministe aux côtés de Mireille Darc.
En 1972, l'Académie nationale du cinéma lui donne le prix d'interprétation pour son rôle d'Alice dans Les Arpenteurs. Un autre succès populaire arrive ensuite : Vincent, François, Paul et les autres de Claude Sautet en 1974. Elle obtient la reconnaissance de ses pairs en 1978 lorsqu'elle reçoit le César de la meilleure actrice dans un second rôle pour sa prestation dans le film La Menace d'Alain Corneau, dans lequel elle incarne une femme jalouse.
Après le tournage, sa sclérose en plaques reprend, vingt ans après les premières alertes. Elle ralentit, dès lors, son activité cinématographique, n'apparaissant plus que dans des rôles de second plan aussi bien à la télévision qu'au cinéma. En 2001, elle s'engage publiquement dans la lutte contre la sclérose en plaques, en témoignant dans un film de campagne réalisé par Alain Corneau. Le 3 novembre 2007, elle perd son mari Serge Rousseau, agent et acteur de cinéma, avec qui elle était mariée depuis 1961, le père de sa fille Dominique.
Elle meurt le 15 octobre 2014 dans une maison de retraite de Lescar, près de Pau. Elle est inhumée au cimetière de Ville-d’Avray.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Dubois
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Hildegard Knef, dite également Hildegarde Neff, née à Ulm le 28 décembre 1925 et morte à Berlin le 1er février 2002, est une actrice, chanteuse et compositrice allemande. Vedette cinématographique de l'après-guerre, elle est également la seule comédienne allemande à avoir tenu un rôle en vedette à Broadway.
Elle a tenu deux rôles marquants au cinéma. Elle interprète le premier rôle féminin dans Les assassins sont parmi nous (Die Mörder sind unter uns, Wolfgang Staudte, 1946), le premier film à l'affiche en secteur soviétique après la Seconde Guerre mondiale. L'autre est le rôle-titre dans Confession d'une pécheresse (Die Sünderin, Willi Forst, 1951), film provoquant un scandale par la scène où elle apparait nue, dans la première scène de nu du cinéma allemand.
En 1955-1956, elle connaît le succès à Broadway dans la comédie musicale Silk Stockings de Cole Porter.
De retour en Allemagne en 1957, elle entreprend une nouvelle carrière dans la chanson. Après un passage à Paris où elle joue dans La fille de Hambourg en 1959 et noue une relation avec Boris Vian, elle écrit elle-même les paroles de ses chansons. Avec le compositeur Hans Hammerschmid, elle compose ses plus grands succès et l'album Knef (1970).
Elle est aussi connue pour La complainte de Mackie (Die Moritat von Mackie Messer, la chanson phare de L'Opéra de quat'sous de Bertolt Brecht), Ich hab noch einen Koffer in Berlin (« J'ai toujours une valise à Berlin »), Heimweh nach dem Kürfurstendamm, ou des compositions plus personnelles comme Eins und Eins, das macht zwei (1962), Er war nie ein Kavalier (1963), Von Nun An Ging's Bergab (1967) ou Für mich soll's rote Rosen regnen (1968).
Elle a publié plusieurs livres. Son autobiographie À cheval donné (Der geschenkte Gaul - Bericht aus einem Leben) de 1970 est le récit de sa vie pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Le livre est devenu un best-seller en Allemagne.
Considérée comme une opportuniste parce qu'elle reprend la nationalité allemande pour des raisons fiscales, elle devient impopulaire en Allemagne dans les années 1970. Sa revendication en faveur des opérations de chirurgie esthétique font d'elle une proie de choix pour les journaux à potins allemands et nuit à sa réputation.
Souvent comparée à Marlene Dietrich à cause de sa personnalité, celle d'une femme libérée très confiante en ses moyens, elle a noyé son talent à la fin de sa vie dans la dépendance à l'alcool et aux médicaments. Son combat contre le cancer est demeuré célèbre.
Elle est inhumée au cimetière Waldfriedhof Heerstrasse à Berlin.
Dans le film biographique Hilde, son rôle est interprété par Heike Makatsch
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hildegard_Knef
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