Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
23.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Farouche opposant au parlant, il introduit des éléments sonores par petites touches. Les Lumières de la ville (1931) est le premier film à en bénéficier, mais de manière très ironique. Chaplin souffle pendant des heures dans un vieux saxophone afin de parodier les imperfections du parlant lors de la scène d'ouverture du film. De plus Chaplin ne se détourne pas de son projet initial de film muet. Pour comprendre son refus, il faut savoir que le cinéaste était passé maître dans l'art de la pantomime. Le langage de Charlot est uniquement basé sur la gestuelle, donc un langage universel. Un film dialogué a une audience un peu plus limitée car il contient la barrière de la langue et Chaplin veut s'adresser à tous. Les critiques s'accumulent. On le dit fini, à l'instar de ses amis David Wark Griffith, Mary Pickford et Douglas Fairbanks et de bien d'autres vedettes du muet qui n'ont pas survécu au parlant. Il entreprend un long voyage, qui va durer plus d'un an et demi, à travers le monde, en Europe notamment, pour présenter son film. Il rencontre la plupart des chefs d'États et de nombreuses personnalités, parmi lesquelles Albert Einstein. Il s'inquiète de la situation économique, du chômage et de la misère sociale, lui qui n'a jamais oublié son origine modeste.
Il conjugue tout cela dans Les Temps modernes (1936), le dernier film muet de l'histoire et l'un des plus célèbres, sinon le plus célèbre, de son auteur. Il n'intègre que quelques scènes dialoguées, l'essentiel du film restant muet. Il prouve à ses détracteurs qu'il faut encore compter avec lui et que le parlant n'est pas un problème. Après de multiples emplois, Charlot est engagé dans un restaurant. Il doit chanter, mais le trac le paralysant, il oublie ses paroles. Le personnage joué par Paulette Goddard les lui copie sur ses manchettes.
Malheureusement, lors de son entrée, il envoie valser ses « antisèches ». Il balance un charabia incompréhensible (mélange de sonorités françaises et italiennes), assorti d'une pantomime qui fait rire l'assistance. Charlot s'en sort avec le langage du clown. Cette scène est un évènement : pour la première fois, le public du monde entier peut entendre la voix de son acteur fétiche. Ce film est également l'ultime apparition à l'écran du personnage Charlot. Il parle aussi de la difficulté du travail à la chaîne qui rend fou la plupart des employés, dont le personnage interprété par Chaplin, ce qui lui vaut un passage à l'hôpital psychiatrique dans le film.
Retranscription des paroles de la chanson de Charlot dans Les Temps Modernes :
Se bella piu satore, je notre so catore,
Je notre qui cavore, je la qu', la qui, la quai!
Le spinash or le busho, cigaretto toto bello,
Ce rakish spagoletto, si la tu, la tu, la tua!
Senora pelefima, voulez-vous le taximeter,
La zionta sur le tita, tu le tu le tu le wa!
En 1940, il tourne Le Dictateur. Il répond, par moustache interposée, à Hitler et s'insurge contre la dictature qui empoisonne l'Europe. Hitler et Mussolini sont tournés en dérision, et deviennent Hynkel et Napaloni. L'ambassadeur d'Allemagne aux États-Unis fait pression pour interdire le tournage et tout Hollywood, craignant des répercussions, demande à Chaplin de renoncer à son projet. Mais le cinéaste reçoit le soutien du président Franklin Roosevelt, lequel l'invitera, quelques semaines après la sortie du film, à la Maison Blanche, pour s'entendre réciter le discours final. Le film est interdit sur tout le continent Européen[réf. nécessaire], mais une rumeur circule : Hitler l'aurait vu, en projection privée. En France, il ne sortira qu'en 1945. Cette fois-ci, Chaplin est définitivement entré dans l'ère du cinéma sonore, et signe l'arrêt de mort du petit vagabond.
« Espoir... Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n'est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi faits. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. (...)
Chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais nous l'avons oublié... »
Discours du barbier juif extrait du Dictateur (1940)
Dans ce discours, Chaplin est convaincu qu'il doit laisser parler son cœur, et qu'il pourrait peut-être même ainsi mettre fin à la guerre. Ce film fait preuve de tant de clairvoyance que l'on pourrait penser qu'il a été réalisé après la Shoah. La confusion fut entretenue entre autres par le FBI qui commençait tous ses rapports comme suit : Israël Thonstein alias Charles Chaplin. En fait, le Who's Who de la communauté juive américaine avait auparavant affirmé que Chaplin était issu d'une famille nommée Thonstein, émigrée d'Europe de l'Est et établie à Londres depuis 1850.
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En 1943, alors qu'il vient de se marier pour la quatrième fois, il est victime d'un procès en reconnaissance de paternité que lui intente l'actrice Joan Barry et qui défraie la chronique.
En 1946, Chaplin tourne son film le plus dur, Monsieur Verdoux. Orson Welles propose à Chaplin un scénario basé sur l'affaire Landru. Chaplin se l'approprie, réécrit le scénario, en y incorporant une critique du monde de l'Après-guerre et de ses dégâts économiques et sociaux. Pour éviter tout malentendu avec Welles, qui a écrit la première mouture du scénario, il lui propose 5 000 dollars et sa mention au générique. Ce que le cinéaste, en délicatesse financière, accepte. Une fois encore, Chaplin livre un message empreint de cynisme mais également d'humanisme.
En 1950, il vend la quasi-totalité de ses parts à la United Artists et travaille aux Feux de la Rampe où il décrit la triste fin d'un clown dans le Londres de son enfance. Ses propres enfants apparaissent comme figurants et Chaplin tient le premier rôle. Le film sort en 1952 à Londres et vaut un triomphe à son auteur. L'une des plus belles scènes du film se trouve vers la fin : Buster Keaton joue un pianiste et Chaplin un violoniste. Mais rien ne se déroule comme prévu car Keaton a des problèmes avec ses partitions et son piano et Chaplin doit se battre avec les cordes de son violon. Grand moment de comique burlesque avec ces deux géants d'une époque révolue. Il faut noter, que sur des paroles de Jacques Larue, c'est Chaplin qui a écrit la musique de la chanson du film Deux petits chaussons.
Victime du maccarthisme (son nom figure sur la « liste noire »), il est harcelé par le FBI en raison de ses opinions de gauche (pour sa part, il se présentait comme un « citoyen du monde »). Pour cette raison, il se voit refuser le visa de retour lors de son séjour en Europe pour la présentation de son film. Il renonce alors à sa résidence aux États-Unis et installe sa famille en Suisse jusqu'à la fin de ses jours.
Après avoir reçu le Prix international de la paix en 1954, il tourne à Londres Un roi à New York (1957) où il ridiculise la « Chasse aux sorcières » menée dans l'Amérique de la Guerre froide.
En 1967, il tourne son dernier film, cette fois-ci en couleur, La Comtesse de Hong-Kong, avec Sophia Loren, Marlon Brando et Tippi Hedren, dont l'action se déroule sur un paquebot et où il ne tient qu'un petit rôle : celui d'un steward victime du mal de mer.
Au cours des années 1970, le monde entier lui rendra hommage : Prix spécial au Festival de Cannes en 1971 (Festival où Jacques Duhamel, alors ministre des Affaires culturelles, le fit commandeur de l'ordre national de la légion d'honneur), Lion d'or à la Mostra de Venise, anoblissement par la reine d'Angleterre, Oscar spécial... Fêté et adulé, "Sir" Charles Spencer Chaplin s'éteint au matin de Noël, le 25 décembre 1977.
Début mars 1978, sa tombe est violée et sa dépouille est dérobée. De nombreuses demandes de rançon plus ou moins farfelues sont adressées à la famille Chaplin. Le corps du cinéaste sera retrouvé quelques semaines plus tard, et les deux malfrats qui l'avaient enlevé seront condamnés pour tentative d'extorsion de fonds.
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Charlie Chaplin a été marié à 4 reprises :
• Mildred Harris (1901-1944) de 1918 à 1921 d'où un fils mort-né en 1919 ;
• Lita Grey (1908-1995) de 1924 à 1927, ils ont deux fils, Charles Chaplin Jr.(1925-1968) et Sydney Chaplin (1926-2009) ;
• Paulette Goddard (1910-1990) de 1936 à 1942 (mariage secret pendant un voyage en paquebot) sans postérité ;
• Oona O'Neill (1925-1991), fille de l'auteur dramatique Eugene O'Neill, de 1943 jusqu'à la mort de Chaplin en 1977. Ils ont huit enfants : Géraldine en 1944, Michael en 1946, Josephine en 1949, Victoria en 1951, Eugène en 1953, Jane en 1956, Annette-Emilie en 1959, Christopher en 1962 .
Mildred Harris, Lita Grey et Paulette Goddard étaient toutes trois ses partenaires à l'écran. L'aventure de Charlie Chaplin avec Lita Grey aurait inspiré Vladimir Nabokov pour son roman Lolita
Ses mariages ont défrayé la chronique américaine, en effet il a 29 ans quand il se marie avec Mildred Harris, qui en a 17 ; il en a 35 quand il épouse Lita Grey qui a 16 ans ; il a 47 ans quand il convole avec Paulette Goddard qui en a 25 ; il a 54 ans lors de son mariage avec Oona O'Neill qui en a 18.
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Le monde de Chaplin et surtout celui de son personnage Charlot est celui du muet. Cependant, avec l'arrivée du parlant, Chaplin a dû faire un choix et opérer un passage du muet au sonore, puis au parlant.
C'est dans Les Lumières de la ville que Chaplin débute ce passage au sonore. Il utilise une bande son qu'il a lui-même composée et quelques effets de bruitage. Cependant, comme le dit Michel Chion, il s'agit tout de même d'un « véritable manifeste pour la défense du muet ». Dès le départ, le titre du film le place sous le signe du visuel : la lumière. De nombreuses scènes se font également sous le signe de la révélation visuelle (dévoilement des statues et la scène finale où la jeune femme reconnaît Charlot) et de voyeurisme (Charlot regardant une statue de femme nue). Choisir le sujet d'une jeune aveugle aurait pu permettre à Chaplin de travailler sur le monde du son. Or, s'il y a une chose qui n'est pas sonore, c'est bien le moment où le bruit de la portière fait croire à la jeune aveugle que Charlie est un millionnaire - gag qui a nécessité plusieurs mois d'élaboration, et plusieurs interruptions de tournage. Le bruitage se veut également un pied de nez au parlant. Lors de la scène de l'inauguration des statues, les seuls sons qui sortent de la bouche des officiels sont « quelques bêlements de saxophone à peine synchronisés avec le mouvement des lèvres », qui évoquent la banalité du discours. De plus, lorsqu'un homme mange le savon de Charlie et que celui-ci se met à le disputer, tout ce qui sort de sa bouche est des bulles de savon, comme si toute parole était vaine.
Lorsque Chaplin débute le tournage des Temps Modernes (1936) en parlant, il se rend compte bien vite qu'il s'y perd. Il décide de brûler sa pellicule et de tout recommencer depuis le début. Même si son film est musicalisé à 90 %, il reste muet, continuant d'avoir recours aux cartons pour les dialogues. Cependant, les intrusions de sons réalistes se font de plus en plus nombreuses : sons de machines, mais surtout, apparition de voix. Les premières lignes de dialogues sont retransmises par des machines : par le circuit de surveillance, par le gramophone et par une radio. D'ailleurs, la première voix entendue (celle du patron) est menaçante et toute puissante, provoquant l'esclavage des employés. Les autres voix, celles émises directement par les bouches des personnages, continuent à ne pas se faire entendre et sont retransmises par des cartons. La seule fois où on entend réellement un personnage parler « en direct » est également la première fois où l'on entend la voix de Chaplin. Cependant, même si celui-ci essaie d'avoir un langage articulé, il baragouine, ayant oublié les paroles de sa chanson : « c'est comme le langage à la naissance », langage que Chaplin développera dans les prochains films.
Dans Le Dictateur, contrairement aux Lumières de la ville, le titre fait appel au monde de la parole. Même si le film est presque entièrement parlant et renonce définitivement aux cartons du muet, Chaplin ne renonce pas encore au langage de la pantomime. De surcroît, il s'agit du film où la « question du discours, de la parole retransmise est posée avec la plus grande virulence ». Le film sera donc divisé entre deux discours importants : celui de Hynkel et celui du barbier. Celui de Hynkel sera ridiculisé par un charabia agressif (mélange de yiddish, d'allemand et d'anglais), créant ainsi un « espéranto noir, un charabia au jappement glapissant ponctué de borborygmes et de hoquets ». Le deuxième discours, celui où le barbier prend finalement la parole à la fin du film est également très important. Tout au long du film, le barbier s'est contenté de dire oui et non, de hocher de la tête. Il ne parle pas. Cependant, la finale du film l'obligera à prendre la parole, alors qu'un officier lui dit : « Le monde attend vos paroles ». À cela, il répondra qu'il ne peut pas. Cependant, Schultz lui rappellera qu'il n'a pas le choix : « Vous devez parler, c'est notre seul espoir ». Ce n'est donc pas Charlot, ni le barbier qui se lève : c'est Chaplin qui prendra sa place et qui prononcera le discours, reprenant la parole à Hitler, substituant le Logos à ses éructations animales.
Pour compléter sa transition au parlant, Chaplin a dû renoncer au personnage du vagabond et adopter un personnage anti-Charlot : Verdoux. Comme le dit André Bazin, « il n'est pas un trait de Charlot qui ne soit en Verdoux retourné comme les doigts d'un gant ». À la fin lorsque l'homme se dirige vers l'échafaud,« vient alors le gag sublime, informulé mais évident, le gag qui résout tout le film : Verdoux c'était lui ! Ils vont guillotiner Charlot. Les imbéciles ne l'ont pas reconnu ». C'est donc la mort d'un personnage, mais également la mort définitive du muet.
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Après cinquante années de carrière, Charlie Chaplin aura tourné 100 courts et longs métrages. On retrouvera le personnage Charlot dans plus de soixante-dix d'entre eux ...
Acteur
Autres réalisateurs :
• 1928 : Show People de King Vidor : caméo
Keystone :
1914 au cinéma :
• Pour gagner sa vie (Making a Living) de Henry Lehrman
• Charlot est content de lui ou Charlot aux courses (Kid Auto Races at Venice) de Henry Lehrman
• L'Étrange Aventure de Mabel (Mabel's Strange Predicament) de Henry Lehrman
• Charlot et le parapluie (Between Showers) de Henry Lehrman
• Charlot fait du cinéma (A film Johnnie) de George Nichols
• Charlot danseur (Tango Tangles) de Mack Sennett
• Charlot entre le bar et l'amour (His Favorite Pastime) de George Nichols
• Charlot marquis (Cruel, Cruel Love) de George Nichols
• Charlot aime la patronne ou Charlot fou d'amour (The Star Boarder) de George Nichols
• Mabel au volant (Mabel at the Wheel) de Mabel Normand et Mack Sennett
• Charlot et le chronomètre (Twenty Minutes of Love) coréalisé avec Joseph Maddern
• Charlot garçon de café (Caught in a Cabaret) de Mabel Normand
• Un béguin de Charlot ou Charlot est encombrant (Caught in the Rain)
• Madame Charlot (A Busy Day)
• Le Maillet de Charlot (The Fatal Mallet) de Mack Sennett
• Her Friend the Bandit (Her Friend the Bandit)
• Charlot et Fatty sur le ring (The Knockout) de Charles Avery
• Charlot et les saucisses (Mabel's Busy Day) de Mabel Normand
• Charlot et le mannequin (Mabel's Married Life)
• Charlot dentiste (Laughing Gas)
• Charlot garçon de théâtre (The Property Man)
• Charlot artiste peintre ou Charlot fou (The Face on the Bar Room Floor)
• Fièvre printanière (Recreation)
• Charlot grande coquette (The Masquerader)
• Charlot garde-malade (His New Profession)
• Charlot et Fatty font la bombe (The Rounders)
• Charlot concierge (The New Janitor)
• Charlot rival d'amour (Those Love Pangs)
• Charlot mitron (Dough and Dynamite)
• Charlot et Mabel aux courses (Gentlemen of Nerve)
• Charlot déménageur (His Musical Career)
• Charlot papa (His Trysting Place)
• Le Roman comique de Charlot et Lolotte (Tillie's Punctured Romance) de Mack Sennett
• Charlot et Mabel en promenade (Getting Acquainted)
• Charlot nudiste ou Charlot roi (His Prehistoric Past)
Essanay :
1915 au cinéma :
• Charlot débute (His New Job)
• Charlot fait la noce ou Charlot en bombe (A Night Out)
• Charlot boxeur (The Champion)
• Charlot dans le parc (In the Park)
• Charlot veut se marier (A Jitney Elopement)
• Le Vagabond (The Tramp)
• Charlot à la plage (By the Sea)
• His Regeneration de Broncho Billy
• Charlot apprenti (Work)
• Mam'zelle Charlot (A Woman)
• Charlot à la banque (The Bank)
• Charlot marin (Shanghaied)
• Charlot au music-hall (A Night in the Show)
• Charlot joue Carmen (Burlesque on Carmen)
• Charlot cambrioleur (Police)
Mutual :
1916 et 1917 au cinéma :
• Charlot chef de rayon (The Floorwalker)
• Charlot pompier (The Fireman)
• Charlot musicien (The Vagabond)
• Charlot rentre tard (One A.M.)
• Charlot et le comte (The Count)
• Charlot brocanteur ou Charlot usurier ou L'Usurier (The Pawnshop) • Charlot fait du ciné ou Charlot Machiniste (Behind the Screen)
• Charlot patine (The Rink)
• Charlot policier (Easy Street)
• Charlot fait une cure (The Cure)
• L'Émigrant (The Immigrant)
• Charlot s'évade (The Adventurer)
Chaplin-First National :
De 1918 à 1923 au cinéma :
• Une vie de chien (A Dog's Life)
• Les Avatars de Charlot (Triple Trouble) de Leo White
• Charlot soldat (Shoulder Arms)
• The Bond - film de propagande
• The Professor - court métrage inachevé
• Une idylle aux champs (Sunnyside)
• Une journée de plaisir (A Day's Pleasure) • Le Kid ou Le Gosse (The Kid)
• The Nut de Theodore Reed
• Charlot et le masque de fer (The Idle Class)
• Nice and Friendly, home movie de Lord Mountbatten et Lady Mountbatten
• Jour de paye (Pay Day)
• Le Pèlerin (The Pilgrim)
• Souls for Sale de Rupert Hughes
United artists :
De 1923 à 1952 au cinéma :
• L'Opinion publique (A Woman of Paris)
• La Ruée vers l'or (The Gold Rush)
• Show People de King Vidor
• Le Cirque (The Circus)
• Les Lumières de la ville (City Lights)
• Les Temps modernes (Modern Times)
• Le Dictateur (The Great Dictator)
• Monsieur Verdoux
• Les Feux de la rampe (Limelight)
Attica Archway :
• 1957 : Un roi à New York (A King in New York)
Universal :
• 1967 : La Comtesse de Hong-Kong (A Countess from Hong Kong)
Réalisateur[modifier]
Keystone :
1914 au cinéma :
• Charlot et le chronomètre
• Un béguin de Charlot ou Charlot est encombrant
• Madame Charlot
• Le Flirt de Mabel
• Charlot et le mannequin
• Charlot dentiste
• Charlot garçon de théâtre
• Charlot artiste peintre ou Charlot fou
• Fièvre printanière
• Charlot grande coquette
• Charlot garde-malade
• Charlot et Fatty font la bombe
• Charlot concierge
• Charlot rival d'amour
• Charlot mitron
• Charlot et Mabel aux courses
• Charlot déménageur
• Charlot papa
• Charlot et Mabel en promenade
• Charlot nudiste ou Charlot roi
Essanay :
1915 au cinéma :
• Charlot débute
• Charlot fait la noce ou Charlot en bombe
• Charlot boxeur
• Charlot dans le parc
• Charlot veut se marier
• Le Vagabond
• Charlot au music-hall
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1916 et 1917 au cinéma :
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Chaplin-First National :
De 1918 à 1923 au cinéma :
• How to make movies ?
• Chase me Charlie
• Une vie de chien
• Les Avatars de Charlot
• The Bond - film de propagande
• Charlot soldat
• The Professor - court métrage inachevé • Une idylle aux champs
• Une journée de plaisir
• Le Kid
• Charlot et le masque de fer
• Nice and friendly
• Jour de paye
United artists :
De 1923 à 1952 au cinéma :
• La Ruée vers l'or
• Les Lumières de la ville
• Charlie Chaplin Festival
• Charlie Chaplin Carnival
• Monsieur Verdoux
• Le Pèlerin
• L'Opinion publique
• Le Cirque
• Les Temps modernes
• Charlie Chaplin Cavalcade
• Le Dictateur
• Les Feux de la rampe
Attica Archway :
• 1957 : Un roi à New York
• 1959 : The Chaplin Revue
Universal :
• 1967 : La Comtesse de Hong-Kong
Scénariste
Keystone :
1914 au cinéma :
• Charlot et le mannequin
• Charlot grande coquette
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• Charlot mitron
• Charlot papa
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1915 au cinéma :
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• 1959 : The Chaplin Revue
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Monteur
Keystone :
1914 au cinéma :
• Madame Charlot
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• Charlot et le mannequin
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Charlie Chaplin |
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Charlie ChaplinPublié à 04:42 par dessinsagogo55
Comme Orson Welles, Alfred Hitchcock, ou Cary Grant, Charlie Chaplin n'a jamais reçu la célèbre statuette, sinon le prix honorifique. L'Oscar du meilleur acteur, ou l'Oscar du meilleur réalisateur ne lui a jamais été décerné. Il a toutefois reçu un Oscar de la meilleure musique de film en 1952 pour Les Feux de la rampe (qui est le seul film réunissant Charlie Chaplin et Buster Keaton).
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Charlie ChaplinPublié à 04:40 par dessinsagogo55
Pour gagner sa vie, film de Henry Lehrman avec Charles Chaplin • 1925 : prix du Meilleur Film Étranger pour La Ruée vers l'or au Kinema Junpo Awards • 1929 : Oscar d'honneur pour Le Cirque • 1940 : prix du Meilleur Acteur pour Le Dictateur au New York Film Critics Circle Awards • 1949 : prix du Meilleur Film Américain au Bodil Awards pour Monsieur Verdoux • 1953 : prix du Meilleur Film Étranger au Blue Ribbon Awards pour Monsieur Verdoux • 1953 : prix du Meilleur Film pour Les Feux de la rampe au Sindicato nazionale italiano dei giornalisti di film • 1953 : prix du Meilleur Film Étranger pour Monsieur Verdoux au Kinema Junpo Awards • 1959 : prix d'honneur au Bodil Awards • 1961 : prix du Meilleur Film Étranger pour Le Dictateur au Kinema Junpo Awards • 1971 : prix spécial au Festival de Cannes • 1971 : commandeur de l'ordre national de la légion d'honneur • 1972 : Oscar d'honneur : Pour son influence sur la réalisation de films de son siècle • 1972 : prix du gala au Film Society of Lincoln Center • 1972 : À la Mostra de Venise, il a gagné le Lion d'or en récompense de sa carrière • 1973 : Oscar de la meilleure musique de film pour Les Feux de la rampe • 1974 : prix d'honneur à la Directors Guild of America • 1974 : prix de la Meilleure Réalisation pour Les Temps modernes au Prix Jussi • 1977 : Au British Academy of Film and Television Arts, il a obtenu les amitiés de l'académie (Academy Fellowship) • 2001 : Monsieur Verdoux a été visionné au Festival de Cannes 2001 pour une rétrospective sur la vie de Chaplin • 2003 : Les Temps modernes a clôturé le Festival de Cannes 2003 • 2008 : Prix Henri-Langlois d'honneur (prix remis à Eugène Chaplin, son fils, Dolorès Chaplin et Charly Sistovaris, ses petits enfants) Nominations • 1941 : Nommé pour l'Oscar du meilleur acteur avec Le Dictateur • 1941 : Nommé pour l'Oscar du meilleur film avec Le Dictateur • 1941 : Nommé pour l'Oscar du meilleur scénario original avec Le Dictateur • 1947 : Nommé pour l'Oscar du meilleur scénario original avec Monsieur Verdoux Anecdotes Les sections « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? », etc. sont déconseillées dans les articles. Pour améliorer cet article il convient, si ces faits présentent un intérêt encyclopédique et sont correctement sourcés, de les intégrer dans d'autres sections. • Lors d'un concours de sosies de Charlie Chaplin organisé à San Francisco, le cinéaste se présente incognito mais il ne se classera que troisième. • Après être entré à la Mutual Film, il gagne 675 000 dollars et devient la célébrité la mieux payée au monde25. • En 1952, Charlie Chaplin et sa famille retournent à Londres pour promouvoir le nouveau long métrage, Les Feux de la rampe. Profitant de l'occasion, le sénateur Joseph McCarthy lui interdit de retourner en Amérique, en supprimant son visa. Lorsque Chaplin revient à Hollywood en 1972 pour recevoir un Oscar d'honneur, il ne lui sera attribué qu'un visa temporaire. • En 1957, victime du maccarthisme, après avoir vécu quelques mois à Genève dans un palace, il vient s'installer et finir ses jours en Suisse, à Corsier-sur-Vevey au Manoir de Ban. • En 1954, il donne 2 millions de Francs à l'Abbé Pierre et à Emmaüs, soit environ 40 500 euros (en valeur 2010), à la suite de l'appel de 1954. Voici ce qu'il a dit à cette occasion : « je ne les donne pas, je les rends. Ils appartiennent au vagabond que j'ai été et que j'ai incarné. » • Un texte intitulé 'Le jour où je me suis aimé pour de vrai', lui est faussement attribué (répercuté sur d'innombrables blogs, il s'agit en réalité d'un texte publié en 2001 par Kim & Alison Mcmillen) • Charlie Chaplin reçoit la Légion d'honneur en mars 1931. • La reine Élisabeth II le nomme Chevalier commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique (KBE) en 1975, lors d'une cérémonie à Buckingham Palace où est diffusée la musique de Les Lumières de la ville. • Lorsque un prix spécial lui est remis au Festival de Cannes en 1971, il est accueilli par un tonnerre d'applaudissements de plusieurs minutes. Chaplin, alors âgé de 82 ans, est profondément ému et malgré son âge refait son fameux tour de canne, avec la canne du ministre de la culture de l'époque Jacques Duhamel. • Le cercueil de Charlie Chaplin a été volé le 2 mars 1978 au cimetière de Corsier-sur-Vevey. Onze semaines plus tard, il est retrouvé dans un champ à Noville, intact. Actuellement se dresse à cet endroit un monument à la mémoire de Charlie Chaplin, résident « posthume » et involontaire. Ce lieu est après sa tombe et son manoir, l'endroit de visite de nombreux admirateurs. • Sa tombe au cimetière de Corsier-sur-Vevey, reçoit beaucoup de visite d'admirateurs. Elle est voisine de celle d'un compatriote et ami, l'acteur James Mason. • 1987 : La canne et le chapeau melon de Charlot sont vendus 82 500 livres (environ 110 000 euros). • Le chanteur américain Michael Jackson lui rend hommage en reprenant sa chanson Smile dans son album HIStory sorti en 1995. • Roberto Benigni lui a rendu hommage dans La Vie est belle : le numéro de prisonnier joué par ce dernier a été copié de celui du Dictateur. • Sur la célèbre avenue hollywoodienne, Walk of fame, il y a une étoile dédiée à Charlie Chaplin. • Au musée londonien Madame Tussauds ainsi qu'au Musée Grévin à Paris, Charlie Chaplin a sa statue en cire. • Depuis 1983, à Corsier-sur-Vevey, une course pédestre lui rend hommage chaque année le dernier samedi du mois d'août. • Le chanteur américain Jonathan Kovacs alias J-Five rend hommage à Charlie Chaplin dans la chanson Modern Time (ayant bénéficié de la participation de la petite fille du cinéaste, Dolores Chaplin).
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