Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 11.02.2025
18683 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (959)
· A à Z : Sommaire (304)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (371)
· Monde : France (3307)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (151)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1156)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Blogs et sites préférés

· 33domy
· agrinature
· amelineooo
· antonieta
· awranna
· belovedseemore
· blogdeminifeemagique
· bomyphoto
· candaulistes
· casecorse

Voir plus


Thèmes

air amour animaux annonce art article background base belle blogs cadre center

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

Monde

Carrom

Carrom

 

Le carrom ou carom, également appelé billard indien, est un jeu de table très pratiqué en Asie, et tout particulièrement en Inde et au Sri Lanka, se jouant avec des pions que l'on fait glisser sur un tablier en bois.

Le but du jeu est de placer tous les pions d'une couleur dans les trous situés aux quatre coins du tablier.

 

Histoire

L'histoire du carrom et son origine sont mal connues. D'aucuns disent qu'il fut inventé en Inde par les Maharajas alors que d'autres pensent qu'il y fut importé par les Britanniques lors de la colonisation.

Depuis le siècle dernier, le carrom est devenu l'un des passe-temps favori des Indiens. On y joue dès le plus jeune âge et le jeu devient plus tard activité sociale brisant bien souvent la routine du quotidien.

Les premiers tournois se seraient déroulés en 1935 au Sri Lanka.

La première fédération naît en 1958 en Inde.

Il faudra attendre les années 1960 pour voir arriver les premiers carroms en Europe et, c'est seulement dans les années 1970 que le jeu va véritablement se développer avec des importations significatives et les premiers tournois à échelle européenne. La Suisse, l'Allemagne et les Pays-Bas apparaissent comme étant les pionniers de cet engouement.

L'ICF (International Carrom Federation) voit pour sa part le jour en 1988. La FFC (Fédération Française de Carrom) est créée 10 ans plus tard en 1998.

Les règles de Carrom ne sont pas brevetées et changent en fonction de ses emplacements. Cependant, la conception a été brevetée pour la première fois le 26 octobre 1897 par Allen Haskell (USD27788S).

 

Matériel

Le tableau sur lequel le jeu se joue doit être carrée et mesurer entre 73,5 et 74 centimètres de côté, les bords doivent être délimités par des pare-chocs en bois et sous chacune des poches dans lesquelles les pions doivent tomber doit être disposé un filet capable de contenir au moins 10 pions.

Le diamètre des pions ne peut ni dépasser 3,18 cm ni être inférieur à 3,02 cm, ils doivent être parfaitement ronds. Le palet ne peut avoir un diamètre supérieur à 4,13 cm et ne peut peser plus de 15,00 grammes.

 

Règles du jeu

.Les règles suivantes sont issues du règlement international édité par l'ICF et sont jouées dans les compétitions internationales et européennes.

Le carrom se joue à deux ou quatre joueurs. À quatre joueurs, ceux de la même équipe se font face et on tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.

Un tirage au sort détermine le joueur ou l'équipe qui va en général choisir de commencer la partie (avec les blancs), mais peut aussi préférer choisir le côté duquel il va jouer et laisser la main à l'adversaire (le gagnant du tirage au sort aura donc les noirs et jouera en second).

Le joueur qui commence a donc les pions blancs et va disposer tous les pions au centre du plateau selon un schéma bien précis : le pion rouge (appelé aussi reine, mais plus couramment la rouge) se trouve au centre, puis les autres pions l'entourent par un premier cercle en alternant à chaque fois la couleur des pions, puis par un deuxième cercle identique qui entoure le premier (voir photo).

Il va ensuite orienter la rosace ainsi formée à sa convenance pour essayer de rentrer un pion blanc du premier coup.

La partie peut alors commencer.

Le but du jeu est de mettre les neuf pions de sa couleur dans n'importe lequel des quatre trous avant son adversaire et de faire en sorte que l'un des deux camps ait également rentré la rouge avant la fin de la partie. Il faut pour cela les percuter à l’aide d’un palet (ou striker en anglais) que l’on déplace sur la zone de tir située face à soi.

Tant qu'un joueur rentre un pion de sa couleur ou la reine dans n'importe quel trou, il rejoue, même s'il a mis un pion de son adversaire dans un trou dans le même temps. S'il n'a pas mis de pion de couleur, il passe la main à son adversaire.

La rouge a un statut particulier :

La rouge doit être confirmée : si elle est empochée, elle doit être validée par le même joueur en mettant un pion de sa couleur dans n'importe quel trou. La confirmation peut être effectuée sur le même coup.

Si la rouge n'est pas confirmée, elle revient au centre et la main passe au joueur suivant.

La rouge ne peut être empochée ni en premier (faute), ni en dernier (la partie est perdue si tous les pions d'une couleur sont empochés mais que la reine est encore sur le plateau)

Si elle est empochée en premier par un joueur qui n'a pas encore rentré de pion de sa couleur, elle est remise en place sur le rond central et le joueur fautif passe son tour.

 

Fin de partie

À la fin de la manche, on compte les pions du perdant qui restent sur le plateau et le gagnant empoche autant de points, le maximum étant donc de 9 points si aucun pion adverse n'a été empoché.

Si le gagnant a également empoché et confirmé la rouge, il a un bonus de 3 points qu'il rajoute aux points précédents. Le maximum possible sur une manche est donc de 12 points.

Si la rouge a été empochée et confirmée par le perdant, le bonus de 3 points n'est comptabilisé pour personne.

Une partie complète se déroule en 25 points.

En compétition, une partie se termine lorsqu'une des trois conditions suivantes est réalisée :

un des joueurs ou une des équipes a atteint 25 points

8 manches ont été jouées

le temps alloué est écoulé

 

Le temps alloué en compétition est une décision des organisateurs. On rencontre en général les temps suivants :

Compétitions françaises : 40 minutes puis 5 minutes pour finir le plateau en cours

Coupe d'Europe et tournois internationaux : 50 minutes + 5 minutes pour finir le plateau en cours

 

Précisions

Les pions empochés restent dans les trous jusqu'à la fin de la partie, sauf la rouge si elle n'est pas confirmée, où s'il y a des pénalités.

Les tirs en arrière, appelés plus couramment backshots, sont autorisés.

Un joueur qui a une couleur donnée de pions peut parfaitement jouer les pions de son adversaire en direct ou via d'autres pions pour jouer défensivement par exemple.

Le palet doit être propulsé à l'aide d'une pichenette et le palet ne doit être en contact qu'avec un seul doigt. Les grands mouvements de main de bras sont interdits. Seuls les doigts doivent bouger pendant le tir.

Il n'est pas autorisé de bouger sa chaise mais le joueur peut se déplacer sur celle-ci.

 

Cas particuliers

Les règles de l'ICF détaillent tous les cas particuliers notamment ceux de fin de partie. En voici les plus courants :

Si un pion sort du plateau, il est remis dans le rond central.

Si le rond central est en partie occupé par un ou plusieurs pions, on placera le pion sorti de manière qu'il occupe le plus possible le rond central, en veillant à ne pas bouger les pions déjà en place.

Si le rond central est complètement occupé par la rouge ou un autre pion, on le positionnera collé contre ce pion central, à l'opposé de celui qui va jouer

Si un joueur qui n'a pas rentré encore de pion de sa couleur, rentre la rouge et un pion à lui dans le même coup, on favorisera toujours le joueur en considérant que son pion est rentré avant la rouge et qu'il a encore un coup pour la confirmer.

Si un joueur met son palet dans un trou, il y a faute.

S'il a par exemple les blancs, le joueur suivant sortira un pion blanc et le placera où il voudra dans la rosace à condition de le positionner entièrement dans celle-ci (il ne doit pas mordre le cercle) et de ne pas non plus toucher le rond central, réservé à la rouge et pions éjectés du plateau. Le joueur fautif perd alors la main sauf cas ci-dessous.

S'il met son palet en même temps qu'un ou plusieurs pions de sa couleur, ces pions-là ressortent ainsi qu'un pion de pénalité et sont placés par le joueur suivant dans la rosace dans les mêmes conditions que ci-dessus. Mais, comme il a rentré au moins un pion de sa couleur, il garde la main.

S'il met son palet en même temps que des pions adverses, les pions adverses restent dans les poches.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carrom

Notes et références                                                    
RUBRIQUE   
BIOGRAPHIE  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
MUSIQUE  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Sac à main

Sac à main

 

Un sac à main, aussi appelé une sacoche en français canadien, est un accessoire de mode qui permet de ranger des objets utiles au quotidien, comme les clés, le portable, l’agenda, le portefeuille, le maquillage, etc.

 

Architecture

Il se compose d'une grande poche où ranger les objets, qui peut elle-même comporter plusieurs autres poches, éventuellement d'un système de fermeture de la poche principale et d'une à deux lanières plus ou moins longues et larges pour le porter soit pendant au bout de la main, soit coincé dans le pli du coude ou en bandoulière sur l'épaule.

 

Histoire et évolution

Le mot sac tire son origine du mot hébreu sak qui fait référence à une étoffe grossière composée de poils de chèvre. En anglais, le mot bag tire lui, son nom du terme baga qui désigne en provençal tout ce qui se rapporte aux bagages.

Il est important de souligner que l'origine du sac à main nous ramène à l'ère de l'Antiquité.

Il avait à la base une simple vocation utilitaire : contenir de l'argent.

Le sac à main tient son origine de “kibisis”, le sac à main des voyageurs, qui est un attribut d'Hermès, le dieu du commerce, messager de Zeus et protecteur des voyageurs, marchands et voleurs.

 

Antiquité

L'apparition de la bourse à fermeture coulissante remonte à la Rome Antique à l'ère des croisades chrétiennes. Ce petit sac est porté à la taille, autant par les hommes que les femmes. Elle a une vocation purement utilitaire : contenir de l'argent lors de transaction.

A cette époque, le sac était également destiné aux esclaves dans le but de porter les affaires de leurs maîtres. Ne pas en porter signifiait alors la liberté pour eux.

 

Moyen-Âge

Au Moyen-Âge, l'aumônière (aussi appelée bourse) fait son apparition, parce que les vêtements ne comportent pas de poches. C’est un petit sac fixé à la ceinture et porté autant par les femmes que les hommes. Ce sac renfermait à l’origine l’argent destiné aux aumônes, elle transportait aussi tous les objets d’usages courant tels que peignes, ciseaux, miroirs, etc.

Cette bourse se voyait conçue en matière précieuses et ornée de broderie en fil d’or pour les personnes les plus fortunées, elle devient alors le reflet de l’appartenance sociale.

L’escarcelle, une grande bourse munie d’un fermoir, sera en vogue jusqu’au  XVIe siècle, elle est fortement appréciée par Henri II qui en possédait plusieurs.

 

Renaissance

Au début de la Renaissance, le sac à main est réellement un outil de distinction sociale chez les femmes.

Ces sacs sont de plus en plus décorés par la noblesse et les perles de Venise viennent renforcer le statut social de celle qui le porte.

C’est seulement au XVIIe siècle que les poches font leur apparition sur les vêtements, elles vont alors remplacer le sac à main chez les hommes pendant des siècles et les femmes vont arrêter de porter ce sac par effet de mode, pendant plusieurs années.

Ces poches sont en réalité des sacs de toiles cachés sous les robes que, par exemple, les femmes vont souvent remplir de pot-pourri parfumé, ancêtre en quelque sorte du parfum, pour cacher les odeurs corporelles.

 

Époque contemporaine

La mode se transforme radicalement en 1795 avec les robes étroites en mousseline transparente et amène donc la disparition des poches pour amener le retour des sacs. Ces derniers portent le nom de ballantine et s’accompagnent d’une toute nouvelle mode romantique avec par exemple les ombrelles, les éventails…

En 1860, c’est l’essor du cuir, la plupart des sacs se mettent à utiliser le cuir pour leurs sacs, plus résistants que les ballantines du XVIIIe siècle. Également équipés d’une poignée et ayant la possibilité de se fermer, la praticité est nettement augmentée ainsi que la discrétion.

Mais c’est seulement au XXe siècle que le sac commence vraiment à prendre la place qu’il a de nos jours. Les fabricants se multiplient et la créativité se développe. Les créateurs commencent même à utiliser des peaux de reptiles, des fourrures ou même des plumes pour créer leurs sacs. Tout au long des années 1900, les types de sacs se multiplient avec le sac seau, le mini sac, le cabas, le sac bandoulière…

Aujourd’hui, le sac à main est un accessoire de mode qui vient ajouter la touche finale à la tenue. C’est pourquoi la tendance du sac objet sans utilité et comme unique accessoire de mode apparaît à partir des années 2010.

On le voit notamment avec des apparitions de sac sans utilité dans des défilés Chanel, et Karl Lagerfeld se moquait de ce nouvel instrument de mode avec par exemple son sac brique de lait “Lait de Coco", présenté pendant le défilé Automne-Hiver 2014-2015.

Il y a aussi une apparition plus récente en 2021, avec Christine Quinn portant un sac chaise en bandoulière dans la série Selling Sunset lors de sa quatrième saison.

 

Image véhiculée

Anciennement, le sac à main était presque exclusivement porté par des femmes. Certaines féministes y voyaient d'ailleurs un asservissement de la femme, puisque son port n'est justifié que par l'existence de nombreux accessoires (comme le maquillage) que la société rend nécessaires à la femme alors que l'homme s'en dispense. C'est, par exemple, la position d'Isabelle Alonso.

Cependant, depuis ces dernières années, le sac à main se démocratise auprès des hommes, il n’est plus exclusivement réservé aux femmes; le sac à main n’est désormais plus un objet caractéristique du genre féminin.

 

Un objet intime révélateur d'une personne

Le sac à main est un objet personnel qui fait office de véritable carte d’identité. Il contient de nombreux objets révélateurs de votre vie, cela va du porte monnaie au portable, des petits papiers aux agendas en passant par souvenirs et grigris. Que ce soit le sac en lui-même ou les objets qu’il contient, cela fournit des renseignements importants quant à la personnalité de la personne et plus encore.

En effet, l'existence de photos personnelles, d'objets porte-bonheur ou de souvenirs laissera entrevoir une personne plus sentimentale. Le fait que son contenu soit rangé ou non, soigné ou non, nombreux ou non renvoie à d'autres types de personnalités. On peut également y interpréter des statuts sociaux, des niveaux de richesse de la personne concernée.

 

Exposition

Entre le 12 décembre 2020 et le 16 janvier 2022, l'exposition « Bags : Inside Out » est organisée au Victoria and Albert Museum (Londres)

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sac_%C3%A0_main

Notes et références                                                    
RUBRIQUE   
BIOGRAPHIE  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

BPM (battement par minute)

Publié à 17:10 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire centerblog sur monde musique background merci
BPM (battement par minute)

Le BPM (battement par minute), couramment abrégé par le sigle bpm, est une unité de mesure utilisée pour exprimer le tempo de la musique ou le rythme cardiaque, quantifié par le nombre de battements se produisant en une minute.
Sur une partition de musique classique, des termes italiens (comme « allegro » ou « presto ») servent à indiquer le tempo. La mention « a tempo » suivi de la vitesse en BPM peut aussi apparaître pour spécifier le rythme exact (exemple : « a tempo 128 »). Dans les partitions de musiques actuelles comme le Rock ou le Blues, il est très rare de voir les appellations italiennes de tempo, le rythme est habituellement spécifié en bpm.

Qualificatif Tempo
Largo 40-60 bpm
Larghetto 60-66 bpm
Adagio 66-76 bpm
Andante 76-108 bpm
Moderato 108-120 bpm
Allegro 120-168 bpm
Presto 168-200 bpm
Prestissimo 200-208 bpm
A tempo tempo spécifié

Styles, tempo et bpm

Le rythme semble aussi très important dans le domaine de la musique électronique où l'on peut distinguer de nombreux styles par la rapidité de leur tempo.
Tango: 50-56 bpm
Trip hop: 60-120 bpm
Cumbia: 70-80 bpm
Crunk: 80 bpm
Hip hop: 80-90 bpm
Reggaeton: 80-90 bpm
Salsa: 80-100 bpm
Norteña: 110-120 bpm
New beat: 110-120 bpm
Minimal: 120-135 bpm
Doomcore: 120-150 bpm
Terrorcore: 120-600 bpm
House: 124-130 bpm
Techno: 125-145 bpm
Eurodance: 126-132 bpm
Electro: 126-135 bpm
Funky house: 128-136 bpm
Trance: 128-140 bpm
Goa trance: 130-146 bpm
Grime / Dubstep: 135-145 bpm
Kuduro: 135-145 bpm
Psytrance: 140-145 bpm
Hardstyle: 140-160 bpm
Ghettotech: 150-170 bpm
Schranz: 150-170 bpm
Drum'n'bass: 160-190 bpm
Hardcore / Gabber: 165-220 bpm
Happy Hardcore: 180-200 bpm
Speedcore: 200-500 bpm
Splittercore: 500-1000 bpm
Extratone: Au-delà de 1000 bpm


Calcul de BPM

Délai entre chaque temps en millisecondes = (60000 / bpm).
Délai pour 1/16e de mesure = (60000 / bpm) / 4.


Record

Le morceau reconnu comme morceau au bpm le plus élevé du monde est Thousand de Moby, qui comme son nom l'indique (« mille » en anglais) oscille jusqu'à 1 000 bpm. Il est d'ailleurs inscrit au Guinness Books of Records. Il s'agit d'un record discutable puisqu'au dessus d'un certain seuil l'auditeur ne peut plus vraisemblablement ressentir ce tempo et a plutôt le sentiment d'une masse sonore arythmique.
L'album avec le bpm moyen le plus élevé est attribué a Sunhiausa, et son EP Extreme Symphonia, dont la plupart des morceaux tournent autour de 2000-3000 bpm.
Le morceau commercialisé sur les plus grandes platformes de telechargement le plus rapide du monde est The Lost Temple de Aekhloria, sorti le 18 avril 2011, qui oscille jusqu'à 400 000 bpm. On entend durant ce passage un "bip" continu ressemblant a un ultrason . La vitesse moyenne de cette musique est d'environ 800 bpm, ce qui donne une impression de très grande vitesse, voir même de précipitation. Toutefois, la mélodie principale de la musique,à la flute, est parfaitement audible. Mais ce record n'a pas encore été reconnu par le Guinness Books of Records.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
RUBRIQUE   
BIOGRAPHIE  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Liste des films par année (Sommaire)

Publié à 18:12 par dessinsagogo55 Tags : centerblog background sur merci
Liste des films par année (Sommaire)

 

Liste des films par année (Sommaire)

 

Liste des films américain par année (Sommaire)

Liste des films belges par année (Sommaire)

Liste des films français par année (Sommaire)

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
RUBRIQUE   
BIOGRAPHIE  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Minijupe

Minijupe

La minijupe (ou mini-jupe, ou jupette) est une jupe très courte, droite ou plissée, dont la longueur se situe entre sous les fesses et la mi-cuisse. On distingue également la microjupe, qui est encore plus courte et dont l'ourlet se situe juste en dessous des fesses.

Le port de la minijupe, développé par la styliste anglaise Mary Quant au début des années 1960, a été très vite popularisé dans le monde occidental. Devenue un des symboles de la révolution sexuelle, la minijupe fut l'une des manifestations de l'évolution des mœurs vestimentaires féminines.

Le succès considérable de la minijupe conduisit au développement des collants, et à la quasi-disparition du port des bas. Au fil du temps, la minijupe s'est modernisée et diversifiée au gré des collections proposées par les créateurs de mode.

 
Histoire

Définition

La minijupe est une « jupe dont la longueur ne doit pas excéder 10 cm sous les fesses pour mériter cette appellation » d’après Le vêtement de A à Z de Sophie George, ou encore « une jupe très courte s'arrêtant à mi-cuisse » d'après le dictionnaire Larousse.

 

Des origines aux années 1960

 

De la tunique grecque à la jupette guerrière du soldat romain, cette jupe très courte est exclusivement portée par les esclaves ou guerriers masculins pendant l'Antiquité. Elle sera au fur et à mesure abandonnée au profit des tuniques plus longues, des pantalons ou des culottes. Au Moyen Âge, vont apparaître les premiers pantalons utilisés exclusivement par les hommes qui les portaient sous leurs lourdes armures rigides. De cette époque arrivera, encore que bien plus tard en fait, la démarcation pantalons pour les hommes et jupes pour les femmes, mais le port de la jupe au masculin perdurera au moins jusqu’au XVIIIe siècle et l’avènement de l’époque industrielle.

Lors de son spectacle au théâtre des Folies Bergère à Paris en 1926, Joséphine Baker porte une sorte de minijupe composée uniquement de bananes. Il s'agit ici d'un costume de scène uniquement et non d'un véritable vêtement. D'ailleurs la minijupe reste un classique du monde du spectacle lors de l'entre-deux-guerres.

Les Années folles voient la disparition du corset, à la grande joie des sportives. La jupe courte peut faire son retour, au féminin, à travers le sport : la Française Suzanne Lenglen abandonne le costume usuel de tennis qu'elle porte encore à l'occasion des Jeux olympiques d'été de 1920 pour une robe signée Jean Patou à partir de 1921. Cette robe présente deux caractéristiques qui font débat : les bras sont totalement dénudés et la jupe plissée s'arrête au-dessus du genou. C'est ensuite le patinage artistique, aux Jeux olympiques d'hiver de 1928 à Saint-Moritz où la norvégienne Sonja Henie, la jeune diva du patinage artistique, se présente pour la première fois en jupe courte, et fait sensation grâce à ses mouvements audacieux et libérés du port de la jupe longue.

Après la Seconde Guerre mondiale, l'actrice Marilyn Monroe, perpétuant son rôle d’icône « sexy et provocante », s'affiche en jupe courte bien au-dessus du genou.

 

Années 1960

Lancement de la minijupe par Mary Quant

La première minijupe est commercialisée en 1962 dans une boutique appelée Bazaar sur King's Road dans le quartier de Chelsea à Londres. Mary Quant était alors une jeune styliste de mode, autodidacte, dont le design de style Pop répondait bien à l’éclectisme des baby boomers du Royaume-Uni en matière de look (culture des Mods). Mary Quant avoue que la première jupe rase-pets qu'elle a confectionnée (plus connue sous le nom de « mini » venant de la voiture éponyme) lui était destinée. Elle précise également avoir « imaginé la mini-jupe pour les femmes qui doivent courir derrière un bus ». Puis elle a commencé à habiller ses amies qui trouvaient amusant et provocant de montrer leurs jambes. Elle prétend que son idée s'inspire des courtes robes de plage qu'elle a vues à Saint-Tropez : la rumeur veut que la jeune styliste se soit procurée sa première minijupe à la boutique des Arts de Saint-Tropez avant d'en lancer la vogue en Grande-Bretagne.

En 1965, Mary Quant met la minijupe dans sa collection, le succès est immédiat auprès des jeunes, d'abord comme symbole du Swinging London, très vite ensuite en Europe puis dans tout le monde occidental, grâce entre autres à Jean Shrimpton : si la minijupe nait à Londres dans la boutique de Quant, c'est la photo — scandaleuse à l'époque mais mondialement répandue — de Jean Shrimpton à la Melboune Cup en Australie qui va réellement la populariser. Aux États-Unis, Edie Sedgwick se fait remarquer à New York avec cette tenue. Certains pays comme les Pays-Bas feront interdire la minijupe, la trouvant alors beaucoup trop provocante.

Le styliste Jacques Delahaye avait essayé de lancer la minijupe dès 1963 en France, mais il était encore trop tôt et ce lancement ne connut aucun succès.

En janvier 1965, quatre ans après la fondation de sa maison de couture, le grand couturier français André Courrèges est le premier à se saisir du phénomène en faisant de la minijupe la pièce phare de sa collection printemps-été 1965, dans une version plus futuriste que sa cousine d’outre-Manche. Il présente plusieurs modèles haute couture de mini tenues, lui donnant ainsi ses lettres de noblesse. Ses minijupes, contrairement à celles de Quant, cessent d'être droites et prennent des ailes sur les côtés pour porter le nom de jupes trapèze.

 

Succès de la minijupe

 

Contrairement à André Courrèges, Mary Quant propose une ligne de vêtements plus populaire. À la fois bon marché, futuristes et pratiques, ses collections London look connaissent rapidement un grand succès ; la minijupe est l'élément phare de ces collections. Très vite, Mary Quant lui associe des bottes à laçage croisé pour la femme sexuellement libérée. Parallèlement, la naissance des modèles de confection en série (le prêt-à-porter), sont destinés à habiller les femmes avec élégance et à prix modérés et permettent le développement de la minijupe. Les adolescentes s'approprient ainsi ces minijupes aux couleurs hardies et claires, devenues un véritable symbole de revendication féministe dans un contexte de prospérité économique qui favorise la transgression des normes sociales mais aussi de révolution sexuelle. La minijupe devient alors l'un des porte-parole de l'évolution des mœurs pour les jeunes femmes (telle la journaliste Cathy McGowan (en) qui présente l'émission Ready Steady Go! en tenue très courte) et fait scandale dans certains milieux conservateurs. Déjà en 1964, Noële Noblecourt, présentatrice de l'émission de télévision Télé Dimanche avait été officiellement licenciée de l'ORTF pour avoir montré ses genoux à l'écran, mais interviewée par Vincent Perrot une trentaine d'années après, elle affirme avoir été renvoyée pour avoir refusé les avances de Raymond Marcillac, directeur de l'information de TF1.

Pendant des années, la minijupe reste interdite dans la plupart des lycées. Coco Chanel s'oppose violemment à l'arrivée de la minijupe. Quant au ministre de l'Éducation nationale, Christian Fouchet, il la juge « déplacée dans les lycées ». Cela n'empêche pas de nombreuses personnalités, telles Sylvie Vartan, Twiggy, Françoise Hardy, Catherine Deneuve ou Brigitte Bardot de s'habiller en minijupe, tandis que les Américaines Joan Baez ou Janis Joplin par exemple, encore plus anticonformistes osaient le jeans. Mary Quant avoue avec élégance : « Ni moi, ni Courrèges n'avons eu l'idée de la minijupe. C'est la rue qui l'a inventée ». En effet, « pour la première fois, la mode vient de la rue, de King's Road et de Carnaby Street : minijupe, imperméable court en vinyle, pull moulant, rouge à lèvres pâle et faux cils ». D'autres stylistes britanniques, tels John Bates (en) ou Barbara Hulanicki (de la boutique londonienne Biba), suivent la tendance instaurée par Mary Quant.

Dans la continuité de la mini, à partir de 1965, le raccourcissement des jupes prend véritablement la dimension d'un phénomène de mode qui ne va cesser de croître dans les années suivantes jusqu'à l'émergence d'une « mode mini » voyant les jupes mais aussi les robes raccourcir. L'importance de ce phénomène entraîne la vogue du mot « mini » lui-même, mot dont le chanteur Jacques Dutronc fera un « tube » en 1966 : Mini, Mini, Mini. Pas moins de 200 000 minijupes sont vendues en France en 1966. À la fin des années 1960 en France« l’émancipation lycéenne (…) passe par les cheveux longs pour les garçons et la minijupe pour les filles ».

En 1969, le photographe de mode Berry Berenson photographie sa sœur, Marisa Berenson, mannequin et future actrice, dans une rue passante, vêtue d'une minijupe d'Yves Saint Laurent. Cette image devient le symbole graphique de l'esprit de liberté omniprésent dans la mode des années 1960. Fin 1969, Roland Barthes écrit dans le magazine Marie Claire : « Ce n'est pas un raccourcissement mais une construction parfaite ».

 

Au Québec

Au Québec, durant les années 1960, quelques garçons ont tenté de lancer la mode des minijupes masculines, à l’aval de la mode alors naissante des pantalons pour femmes. Les principaux représentants de ce courant éphémère appartenaient principalement à la scène musicale québécoise. Notamment, les membres du groupe César et les Romains qui portaient une sorte de minijupe romaine, ou encore Georges Marchand, le batteur du groupe québécois Les Sinners qui portait parfois une minijupe pour filles. Les paroles du succès radiophonique Un Garçon en Mini-jupe lancé en 1967 par l'auteure-compositrice-interprète québécoise Caroline Vallée, dite Karo, illustrent bien l'esprit de l'époque, qui rejette cette tendance nouvelle :

« Je l'ai vu, qu'est-ce que c'est, c'est inconnu, un garçon en minijupe, oui un gars en minijupe ! C'était foudroyant, ah oui c'était criant, […] son bel habit, modernisé. C'est fou, c'est incroyable, c'est le bout, c'est pitoyable ! »

La mode des minijupes pour homme reste encore marginalisée au XXIe siècle.

 

Phénomène de mode : bottes et minijupe

 

Le 8 octobre 1968, Sheila participe à l'émission télévisée Si ça vous chante de Guy Lux ; elle y chante sa chanson La vamp en mini-jupe et cuissardes. La minijupe devient populaire, elle se porte avec des bottes mais aussi à l'opposé avec des Mary Jane, qui deviennent bientôt à la mode été comme hiver. Brigitte Bardot et Claudia Cardinale font souvent la une des journaux, vêtues d'une minijupe, de bottes et d'un col roulé, ce qui fait dire à Harriet Worsley :

« En 1968, la minijupe, les bottes et le col roulé sont l'uniforme décontracté pour le jour. »

— Harriet Worsley

Dès les années 1970, le port de la minijupe associé à celui des bottes cavalières est fréquent dans les tenues d'uniforme, de majorettes par exemple.

 

L'essor des collants

La démocratisation de la jupe courte favorise en outre l’essor des collants qui viennent remplacer les bas, et se portent généralement de couleur. Ceux-ci se sont démocratisés depuis la fin des années 1950 par leur baisse de prix et l'essor des matières synthétiques. De plus, les jeunes, vecteurs de mode dans les années 1960, rejettent presque systématiquement les principes vestimentaires de leurs ainés. La généralisation des collants, assure un nouveau confort, au grand dam des amateurs de porte-jarretelles qui disparaissent, le collant étant considéré « plus décent que le bas ».

« Qui dit minijupe, dit collant assorti pour l'accompagner. »

Le succès de la minijupe fait exploser le marché des collants, si confortables et pratiques que les femmes ne les ont pas abandonnés depuis. L’idée du collant, qui jusqu’alors était exclusivement porté par les danseuses est reprise par les industriels et commercialisée sous le nom de Mitoufle.

En 1999, l'historien français Vincent Duclert écrit :

« Le slip panty, par sa simplicité, illustre les dessous d'une nouvelle génération qui trouve dans la minijupe et les collants, particulièrement ceux, multicolores, de Dim, l'expression de cette liberté accomplie. Le porte-jarretelles, assimilé à des mœurs révolues, disparaît de cet univers de « non-lingerie », mais réapparaît vingt ans plus tard lorsque la lingerie féminine se voit à nouveau affecter une fonction érotique. »

 

Depuis les années 1970

 

Auréolée du prestige de la haute couture, la minijupe cesse de choquer. Au fil du temps, la minijupe se modernise, se diversifie et « se propage à la vitesse des mass médias ». Dans sa collection 1970, Louis Féraud propose une minijupe évasée, portée avec des cuissardes de skai noir. Mais son succès va s'amenuiser pour laisser la place aux pantalons pattes d'éléphant (déjà présents dans les années 1960 ceux-ci sont portés par les groupes hippies la décennie suivante), les shorts dits Hot Pants également dus à Mary Quant39, puis les blue-jeans.

Le 1er août 1970, le magazine Paris Match titre en couverture « La minijupe est morte ». Bien qu'étant moins à la mode dans les années 1980, les personnalités people ont continué à faire la une des magazines, vêtues de minijupes telle Stéphanie de Monaco, voire en minijupe et cuissardes telle Cindy Crawford. Mais le déclin de la minijupe date déjà de 1967 et la sortie du film Bonnie et Clyde. Faye Dunaway impose alors massivement et internationalement son style, fait d'une jupe plus longue.

Évasée, écossaise ou plissée, c'est sous d'autres formes qu'elle réapparait sur les podiums des défilés de mode au début des années 2000. Elle est ainsi toujours plus sexy et aguichante. La minijupe évolue cependant en gardant toujours le même esprit de séduction et de liberté pour les femmes. C'est le cas notamment des minijupes en cuir, en particulier pour les personnes attirées par le fétichisme du cuir ainsi que des minijupes stretch d'Azzedine Alaïa ou Hervé Léger.

 

La minijupe dans les années 2000

La minijupe est portée par des femmes de tous âges et en toutes saisons, pour des occasions courantes (école, travail, loisirs, etc.) ou plus formelles (mariage, rendez-vous d'affaires, etc.). Dans ces derniers cas, elle est parfois portée avec une veste assortie (tailleur minijupe).

Le port de la minijupe s'est développé en hiver avec le développement des collants épais, voire des leggings de couleur de préférence car il n'« y a pas plus fashion ». La minijupe adore le maxi : la minijupe en jean se marie à merveille avec le pull oversize col V et des bottes de biker, la minijupe peut aussi se mettre avec un pull près du corps et des bottes cavalières, ou encore, avec des collants de laine, une botte plate, une veste structurée égayée par un foulard.

 

 
La jupette

Dans le sport

 

Depuis de nombreuses années, le port de la robe ou de la jupette, de couleur blanche, était réglementaire dans les tournois de sports de raquettes (tennis, tennis de table, badminton). Le port du short, et de vêtements de couleur sont maintenant généralement autorisés. C'est le cas notamment au sein du règlement issu de la fédération française du tennis de table.

Lors du tournoi de Wimbledon en 2007, la Française Tatiana Golovin s'est présentée sur le court vêtue d'un shorty rouge sous une robe blanche très courte. Les organisateurs ont longtemps délibéré sur la longueur de son vêtement du fait que le règlement du tournoi impose un caractère « majoritairement blanc » de la tenue. L'année suivante au tournoi de Wimbledon, la Russe Maria Sharapova a innové en remplaçant la traditionnelle jupette blanche par un short blanc.

Le 16 septembre 2008, les joueuses du club de deuxième division néerlandais du FC de Rakt ont fait sensation en se présentant dans le stade de football, non pas en short, mais en jupette blanche de tennis. La capitaine Rinske Temming déclare alors : « Nous trouvons les jupes beaucoup plus élégantes que le traditionnel short. Et par-dessus tout, elles sont plus pratiques. »

 

Dans la danse

 

Si la jupette est généralement considérée comme « déshabillant » la femme, elle constitue un élément vestimentaire qui « habille » la danseuse classique dans la seconde moitié du XXe siècle. Elle ajoute un habillage et une marque de féminité à la stricte tenue tunique-collant utilisée en classe comme sur scène, sans rejoindre pour autant les costumes de scène traditionnels constitués par le tutu court, à la française ou long.

 

Un symbole

Naissance d'un symbole

Les années 1960 sont, en Europe, des années de contestation et de nouvelle relance économique. La culture et la mode des jeunes baby boomers se sont développées plus que jamais auparavant. C'est une période de changement des statuts sociaux et de remise en question dans de nombreux domaines. Plusieurs mouvements de jeunes tels que les Mods (abréviation des Moderns) apparus au début des années 1960 s'expriment dans les rues aussi bien avec la musique ou la peinture qu'avec leurs tenues vestimentaires. La minijupe est alors un symbole qui tourne le dos à la mode sage et guindée des années 1950. Certains y voient le signe que la société commence alors son évolution vers son désir d'égalité des sexes.

Le mannequin Twiggy personnifie cette époque et défile en minijupe pour Mary Quant. Son corps d'adolescente à la silhouette filiforme, la raie sur le côté à la garçonne et son jeune âge firent de Londres un haut-lieu de la mode. Sa visite au Japon en 1967 y aura pour conséquence un engouement pour la minijupe.

« Dans les années 1960, porter la minijupe était un signe radical de résistance face aux adultes » explique le sémiologue de la mode Alberto Cantoni. Toutefois, le spécialiste prévient que « si aujourd'hui on la trouve dans tous les placards des femmes et qu'elle a pris une connotation de séduction douce, elle n'est pas innocente pour autant ». Plus de 50 ans après les débats lancés par Mary Quant, la minijupe est toutefois devenue un « basique de la mode », porté à la fois par des jeunes mais aussi par des femmes telles que l'actrice Sophia Bush, l'actrice et chanteuse américaine Lindsay Lohan « grande adepte de la minijupe » ou encore la femme politique américaine Sarah Palin, qui portait une minijupe d'à peine 30 cm de hauteur, lors de son discours du 11 septembre 2008.

Au XXIe siècle, le port de la minijupe continue à être revendiqué par les féministes malgré les difficultés : « se promener en minijupe expose à toutes sortes de désagréments, sifflets, commentaires lourdingues, insultes, voire attouchements… Toutes sortes de violences, symboliques, verbales ou physiques contre lesquelles Ni putes ni soumises se bat, aidée en cela par Canal+, qui a ouvert, le 1er février 2005, ses programmes à l'association ».

 

Un symbole menacé

Au fil des années, le port de la minijupe s'est développé à travers le monde. La minijupe reste cependant un vêtement sexy qui attire généralement les regards. Outre le symbole véhiculé, la minijupe présente des avantages et des inconvénients pour la femme qui la porte. Le principal avantage réside dans le fait que la minijupe, puisque s'arrêtant à mi-cuisses, offre une liberté de mouvement supérieure à une jupe plus longue enserrant davantage les jambes. Le principal inconvénient réside également dans sa longueur : d'une part, une femme en minijupe droite doit savoir croiser les jambes en s'asseyant, au risque de se retrouver dans une posture impudique comme cela est arrivé lors d'une émission de télévision à Cameron Diaz où sa jupe est remontée jusqu'en haut des cuisses ; à l'inverse, la présentatrice d'une émission portant une minijupe, pourra prendre une posture pour séduire le téléspectateur, en croisant et recroisant ses jambes. Pierre Bourdieu explique que « les femmes savent sans le savoir que, en adoptant telle ou telle tenue, tel ou tel vêtement, elles s'exposent à être perçues de telle ou telle façon ».

En 2001, le règlement intérieur de l'entreprise Airbus interdisait le port de la minijupe. Durant l'été 2006, une jeune Pakistanaise de 21 ans qui habitait en Italie a été égorgée par son père qui voulait la punir de s'habiller en minijupe. Le 17 janvier 2007, le premier président de la Cour de cassation en France lance une réflexion pour savoir s'il faut proscrire le port de la minijupe par les magistrates. Le 8 mai 2007, le député polonais Artur Zawisza dépose une proposition de loi « visant à réprimer les tentations sexuelles, incluant en cela le port de la minijupe, les décolletés généreux, les chemisiers transparents ou les maquillages insistants ». Le 4 mars 2008, plusieurs centaines de personnes défilent en Afrique du Sud, dans le centre de Johannesbourg, pour défendre le droit des femmes à porter des minijupes sans être victime de commentaires désobligeants ou de gestes déplacés. Le 17 septembre 2008, Nasba Buturo, ministre ougandais de l’éthique et de l’intégrité, déclare que les minijupes devaient être interdites, arguant que ce vêtement distrairait les conducteurs et serait la cause de nombreux accidents.

En 2012, l'intégrisme musulman s'empare du sujet :

« Le 29 mars 2012, Suryadharma Ali, ministre des affaires religieuses de l'Indonésie, plus grand pays musulman du monde, compare le port de la minijupe à de la pornographie. Début mars, le parlement avait déjà annoncé un projet visant à interdire aux députées de porter des vêtements considérés comme provocants tels que des minijupes. »

 

La microjupe

La microjupe est une minijupe très courte n'excédant pas 20 cm de long, et ne couvrant que les parties intimes de la femme. La microjupe est souvent portée par les chanteuses lors de leurs spectacles, telles Fergie ou Micky Green. Lorsqu'elle présenta sa collection printemps-été 2008, la styliste Isabel Marant fit sensation en proposant la « microjupe taille haute ». Pour accroître cette sensation, la microjupe est en général portée avec un string, un collant seul sans démarcation ou sans aucune lingerie de manière à pouvoir laisser deviner le bas des fesses.

La microjupe devient fréquente dans les défilés dans les années 2000, notamment après la déclaration de Tom Ford, le styliste américain de Gucci, relative à son engouement pour la microjupe dans la collection printemps/été 2003 en plein courant « porno chic », ainsi que dans nombre d'autres collections comme l'ensemble tailleur composé d'une microjupe et veste de la collection Versace. La microjupe est souvent portée seule, mais peut être portée le reste de l'année par-dessus un pantalon ou bien avec des leggings, comme le montre la mode de la fin des années 2000, telle l'actrice américaine Gwyneth Paltrow.

Elles sont populaires au Japon où elles peuvent faire partie de l'uniforme des écolières d'été (tradition des Koromogae), portées par les kogaru et chez les jeunes filles qui pratiquent le panchira. Elles sont arrivées en Europe au début des années 2000.

 

Minijupes et humour

« De nos jours, étant donné que les minijupes se font de plus en plus courtes et les décolletés de plus en plus plongeants, il n'y a plus qu'à attendre que les deux se rejoignent. »

Le mot minijupe est parfois utilisé comme qualificatif d'un discours, d'un exposé ou d'une présentation. On parle ainsi d'un « exposé minijupe ». Ceci en référence à l'analogie formulée par le préfet Jacques Gandouin : « Un discours doit être comme une minijupe, suffisamment long pour couvrir le sujet, mais suffisamment court pour retenir l'attention. »

Cette analogie a depuis été reprise par le gouvernement français, qui sur son site officiel énonce le « principe de la minijupe » destiné aux entreprises : « Il faut en montrer assez pour attirer l'attention du chaland mais pas trop pour cacher ce qui doit l'être. ».

Wilfrid Baumgartner, ministre de l'Économie et des Finances en 1960-1961, faisait un parallèle entre les statistiques et la minijupe : « Les unes et l'autre cachent l'essentiel mais elles peuvent tout de même donner des idées ! »

 

Quelques minijupes au cinéma et la télévision

 

Dans le film Billy le menteur de John Schlesinger, Julie Christie fit sensation, déboulant dans les rues de Londres, en 1963, donc avant que la minijupe ne soit popularisée.

Dans la série Star Trek des années 1960, les officiers féminins portent toutes des collants et des minijupes très courtes.

Dans le film A Snake of June de Shin'ya Tsukamoto, l'actrice Asuka Kurosawa (en) porte une microjupe sans culotte en dessous, de même que Sharon Stone en brillante psychopathe dans le film Basic Instinct.

Dans le film Barbarella de Roger Vadim en 1968, Jane Fonda fit sensation en minijupe et bottes longues, habillée par Paco Rabanne. Elle chanta These Boots Are Made for Walkin' minijupée et bottée, ce qui fit beaucoup pour rendre populaire la mode minijupe/bottes longues. Son influence sur la mode perdure encore aujourd'hui. Cette chanson, devenue un symbole de l'émancipation des femmes pendant les années 1960, fut au départ chantée par Nancy Sinatra en 1966, toujours minijupée et bottée.

Dans le film Prête à tout, Nicole Kidman interprète le rôle d'une jeune femme qui s'habille de manière très sexy et porte presque toujours des tailleurs minijupe.

Dans la comédie romantique Pretty Woman, Julia Roberts, qui joue le rôle d'une prostituée, apparait en minijupe moulante et cuissardes en vinyle.

Dans le film La Journée de la jupe, le professeur joué par Isabelle Adjani, porte une minijupe pour montrer sa liberté et aller contre les conventions sociales du lycée de la cité où elle enseigne.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Minijupe

Notes et références                                                    
RUBRIQUE   
BIOGRAPHIE  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

Rôtissoire

Publié à 09:01 par dessinsagogo55 Tags : plat centerblog background merci sur
Rôtissoire

Une rôtissoire est un ustensile de cuisine destiné à faire rôtir les viandes.

La rôtisserie est la boutique du rôtisseur où l'on vend et déguste des viandes rôties à la broche ou au gril. C'est aussi l'appellation d'un restaurant spécialisé où l'on prépare les viandes rôties dans la salle de restauration.



Description

Une rôtissoire se compose :

d'une broche : tige pointue en métal, pour embrocher la viande ;

d'un tournebroche : mécanisme permettant de faire tourner la broche sur elle-même. Mû au Moyen Âge par de jeunes garçons appelés galopins, il a ensuite fonctionné grâce à des chiens qu'on faisait courir dans une roue puis, à partir du XVIIIe siècle, par un système d'horlogerie ou directement par la chaleur du foyer ;

d'une lèchefrite : récipient plat destiné à recevoir la graisse tombée de la broche.

Certaines rôtissoires peuvent recevoir plusieurs broches, comme les rôtissoires professionnelles (rôtisseries, restaurantkebab). On trouve souvent une rôtissoire intégrée dans les fours domestiques.

Il existe depuis peu des rôtissoires dans lesquelles la viande ne tourne pas ; cette dernière est embrochée verticalement et l'effet rôtisserie est générée par une chaleur tournante. Ces rôtissoires électriques sont d'assez faible capacité (5 kg).



 

 

   
   
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%B4tissoire
Notes et références                                                    
RUBRIQUE   
DESCRIPTION  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

 

 

 



Miss Monde (Sommaire)

Publié à 08:44 par dessinsagogo55 Tags : france merci afrique sur background centerblog monde sommaire center miss monde 2010
Miss Monde (Sommaire)

 

Miss Monde

 

May Louise Flodin : Miss Monde 1952 Suède

Denise Perrier : Miss Monde 1953 France

Petra Schürmann : Miss Monde 1956 Allemagne

  Penelope Anne Coelen : Miss Monde 1958 Afrique du Sud

Rosemarie Frankland : Miss Monde 1961 Pays de Galle

Carole Joan Crawford : Miss Monde 1963 Jamaique

Ann Sydney : Miss Monde 1964 Angleterre

Reita Faria : Miss Monde 1966 Inde

Penelope Plummer : Miss Monde 1968 Australie

Wilnelia Merced Cruz : Miss Monde 1975 Porto Rico 

Cindy Breakspeare : Miss Monde 1976 Canada

Silvana Rosa Súarez : Miss Monde 1978 Argentine

Pilin Leon : Miss Monde 1981 Venezuela  

Astrid Carolina Herrera Irrazábal : Miss Monde 1984 Venezuela

Hóllmfríður Karlsdóttir : Miss monde 1985 Islande

Ulla Weigerstorfer : Miss Monde 1987 Autriche

Linda Pétursdóttir : Miss Monde 1988 Islande

Aneta Beata Kreglicka : Miss Monde 1989 Pologne

Aishwarya Rai : Miss Monde 1994 Inde  

Irene Skliva : Miss Monde 1996 Grèce

Linor Abargil : Miss Monde 1998 Israél

Priyanka Chopra : Miss Monde 2000 Inde

Azra Akin : Miss Monde 2002 Turquie

Rosanna Davison : Miss Monde 2003 Irlande

Unnur Birna Vilhjálmsdóttir : Miss Monde 2006 Islande

Kaiane Aldorino : Miss Monde 2009 Gibraltar

Alexandria Mills : Miss Monde 2010 Etats-Unis

 

 

   
   
Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
RUBRIQUE  
DESCRIPTION  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2024
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Gymnase (sport)

Publié à 13:43 par dessinsagogo55 Tags : france sport centerblog background sur merci
Gymnase (sport)

 

 

Un gymnase (au Canada et en France) ou hall omnisport (en Belgique) est un bâtiment de hauteur généralement élevée, où l'on pratique certains sports intérieurs, comme notamment la gymnastique artistique, ainsi que le basket-ball, le volley-ball ou le handball.

Afin d'y accueillir du public, la salle principale (appelé parfois « plateau d'évolution », « espace d'évolution » ou « aire d'évolution ») recouverte d'un sol parqueté, en PVC ou en linoleum, peut être dotée de gradins. Celle-ci est presque systématiquement accompagnée de pièces annexes comme : des vestiaires dotés de sanitaires (douchestoilettes, …), des salles musculation, des locaux d'entreposage du matériel, des locaux techniques, des locaux administratifs, etc. Certains gymnases peuvent comporter plusieurs autres « espaces d'évolution » secondaires.

Le premier gymnase couvert à avoir été construit serait probablement celui initié par le gymnaste et éducateur allemand Adolf Spiess (en) vers 1852 en Hesse.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gymnase_(sport)

Notes et références                                                    
RUBRIQUE  
DESCRIPTION  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

Grenade (arme)

Publié à 19:47 par dessinsagogo55 Tags : france article center sur centerblog background bonne merci monde png histoire air
Grenade (arme)
Grenades F1 françaises.

 

Une grenade est une petite bombe dont la mise à feu est, contrairement à une mine, déclenchée volontairement par un dispositif pyrotechnique. C'est une arme particulièrement efficace contre un groupe d'ennemis dans un milieu relativement clos et qui ne peut pas être atteint directement par un tir d'arme à feu. Elle est aussi utilisée dans les feux d'artifice.

Historiquement, elles sont apparues avec les explosifs (et donc la poudre), mais leurs conditions d'emploi difficiles les ont réservées à des situations particulières comme la bataille de Culloden. La plus grande production de poudre et les guerres de tranchées ont rendu son emploi fréquent pendant la Première Guerre mondiale jusqu'à créer des unités spécialisées.

Histoire

Le précurseur de la grenade apparaît au plus tard au VIIIe siècle dans l’empire byzantin : il s’agit de récipients en céramique ou en verre remplis de feu grégeois, qui sont enflammés avant d’être lancés sur l’ennemi. De là, l’arme se diffuse à travers le monde arabe puis, via la route de la soie, en Chine, où elle évolue en un récipient métallique contenant de la poudre à canon

 

À l’époque moderne, la grenade se diffuse en Europe sous la forme d’une sphère creuse en fer percée d’un trou permettant de la remplir de poudre et par lequel passe une mèche permettant la mise à feu. Ce modèle évolue peu jusqu’à l’invention en 1903 de la grenade à détonateur à percussion par l’officier serbe Miloš Vasić, qui deviendra la grenade M12, utilisée pendant les guerres balkaniques et lors de l’attentat de Sarajevo.

 

Types

Grenade à main

 

Depuis l'invention du concept de la grenade en 1044 et son utilisation massive dans les conflits, notamment durant les deux guerres mondiales, la grenade à main s'est imposée comme une arme incontournable des unités militaires. De forme sphérique ou ovoïde, pesant quelques centaines de grammes, la grenade à main existe aujourd'hui en une multitude de variantes.

 

Les grenades à main se classent en trois catégories : « défensive », « offensive », et « spéciale ». La grenade défensive a pour objectif de saturer en éclats métalliques une zone assez large, tandis que la grenade offensive - conçue afin de produire moins d'éclats - contient une charge explosive plus élevée, générant ainsi un effet de souffle plus important (ce qui la rend destructrice dans un environnement confiné, tel une pièce d'un bâtiment). La troisième catégorie rassemble toutes les grenades qui ont un objectif prédéfini : la destruction de matériel pour la grenade incendiaire, le marquage de cibles pour la fumigène, la destruction de véhicules avec l'antichar et la neutralisation des ennemis ou des émeutes avec les grenades « flash bang » et lacrymogènes, etc.

 

Le principe de fonctionnement reste le même depuis la Mills bomb pour la majorité des grenades à main : une goupille maintient en position de sécurité le levier surnommé cuillère qui empêche le dispositif de s'armer. Une fois la goupille retirée, la main de l'opérateur peut encore retenir la cuillère, mais une fois libérée au moment du lancer, un ressort éjecte la cuillère et propulse un percuteur sur une amorce, qui allume une mèche lente, qui au bout de quelques secondes fait exploser la grenade.

 

Les grenades à main explosives sont également utilisées dans le civil pour déclencher les avalanches artificiellement

 

Grenade assourdissante

Une grenade assourdissante est une arme défensive utilisée par les polices antiémeute ou dans les manifestations pour repousser les manifestants. Elle doivent théoriquement exploser en l'air afin de ne pas risquer de blesser les manifestants. Il est cependant arrivé qu'elles blessent gravement les manifestants dans différentes manifestations 

 

Grenade à fusil

 

Entre les deux guerres mondiales, des grenades à fusil ont été développées. Elles s'adaptent au bout du canon de l'arme et utilisent l'énergie du tir d'une cartouche sans balle pour être propulsées plus loin que ne le ferait un lanceur humain.

 

Les grenades à fusil, contrairement aux grenades à main, sont des projectiles stabilisés munis d'un détonateur déclenchant la munition à l'impact. Cela permit d'en développer des versions antichar, dotées d'une charge creuse.

 

Elle est encore utilisée dans l'armée française (tirée avec un FAMAS).

Les grenades lacrymogènes peuvent également être lancées à l'aide d'un fusil.

 

Lance-grenades

 

Le lance-grenades est une arme conçue pour tirer des grenades plus précisément qu'avec un dispositif de grenade à fusil. Le lance-grenades s'est d'ailleurs imposé à partir de 1970, et a depuis lors rapidement remplacé le système de grenade à fusil dans toutes les armées du monde.

Le lance-grenades existe sous plusieurs formes : arme individuelle, module monté sous le canon d'un fusil et lance-grenades lourd.

 

 

Les grenades de 40 mm sont des grenades pouvant être tirées depuis un canon spécifique. Elles existent en plusieurs versions, dont les deux principales sont les grenades basse vélocité et les grenades haute vélocité. Les grenades de 40 mm à basse vélocité ne sont pas plus puissantes que les grenades à main.

 

Les grenades de 40 mm sont les grenades standard, mais il existe également des grenades de 20 mm et 37 mm pour les armes spécialisées.

 

Grenade propulsée par roquette

Durant la Seconde Guerre mondiale, des grenades plus lourdes propulsées par une fusée ont fait leur apparition dans les principales armées, tel le bazooka américain ou le RPG-2 russe. Ces grenades étaient des armes antichar. Bien plus tard, d'autres munitions à fragmentation, incendiaires ou thermobariques, destinées notamment à attaquer les troupes fortifiées, feront leur apparition. On nomme également ces armes lance-roquettes.

 

Grenades sous-marines

 

Les grenades sous-marines sont des dispositifs explosifs lourds utilisés dans la chasse au sous-marin, avant l'invention des torpilles guidées. Elle fut inventée, ou du moins utilisée en 1917 (son origine reste controversée), lors de la Première Guerre mondiale, pour lutter contre les U-boot. Une fois le sous-marin repéré, par sonar, radar, ou même visuellement, des navires de surface ou des avions lâchaient les grenades (ressemblant la plupart du temps à de gros barils) réglées pour exploser à une profondeur déterminée, en espérant qu'elles explosent près de la cible. Il n'est pas nécessaire de toucher directement le submersible, l'eau n'étant pas compressible les ondes de choc des explosions se propagent à bonne distance sans perdre de leur force.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Grenade_

(arme)#:~:text=Une%20grenade%20est%20une%20petite

,tir%20d'arme%20%C3%A0%20feu.

Notes et références                                                    
RUBRIQUE  
DESCRIPTION  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

Gamelle

Gamelle

gamelle d'ouvrier, années 1960.

 

 

Une gamelle est un récipient, généralement métallique, destiné à préparer, transporter ou manger des aliments lors de circonstances où il n'est pas envisageable d'employer les ustensiles habituellement utilisés au foyer.

 

Histoire

Dérivé du latin gamella, le mot « gamelle » apparaît au XVIe siècle et désigne d’abord la large écuelle de bois ou de métal dans laquelle soldats ou matelots mangeaient ensemble. Les expressions « être à la gamelle » et « manger à la gamelle », par métonymie, signifient manger à l'ordinaire.

 

La gamelle est aussi l’écuelle individuelle, munie d'un couvercle, servant à préparer ou chauffer un plat ou à transporter une ration ou un repas ; celle, à hauts bords, qui comporte deux compartiments pour servir séparément viandes et légumes, est le « gamelot ».

 
Utilisation courante

 

La gamelle a souvent été un récipient indispensable après son usage avec les « popotes » de l'armée avec ses cantinières. En fer blanc au XVIIe siècle, puis émaillée XVIIIe siècle, puis en aluminium au XXe siècle, elle a longtemps servi à transporter la nourriture préparée à la maison (généralement par la mère, la sœur ou l’épouse) sur le lieu de travail, chantier, atelier aussi bien pour les ouvriers que les ouvrières.

La gamelle n’est pas l’apanage de l’homme, les femmes aussi l’utilisent, comme mode de transport ou comme récipient à manger, mais souvent pour des plats préparés à la maison. La gamelle peut aussi être un repas froid ou chaud si l’on peut le faire réchauffer sur le poêle de la classe ou à la cantine, ou qu’il soit réchauffé au bain-marie dans d’autres cas.

 

La gamelle fait partie de la culture enfantine, « boîte à tartine » récupérée par les marques et qui crée une compétition sociale entre les parents, particulièrement aux États-Unis.

 

La gamelle fait partie de la culture ouvrière ; on en consomme le contenu entre ouvriers du même bord, à l’écart des chefs, « entre soi » ; on préfère même manger sa gamelle au vestiaire, assis par terre, plutôt que d’aller à la cantine où se côtoient cadres, employés et ouvriers. La cantine expose l’être humain à une confrontation avec d’autres, de sexe, de niveaux et de classes sociales parfois différents, ce qui peut poser un problème.

 

D’une certaine façon, la gamelle est à l’origine de la cantine, un local d’abord réservé pour y réchauffer et y manger le contenu de la gamelle. Peu à peu, de la soupe puis des repas ont été proposés dans la cantine, ce qui a amené la diminution d’emploi de la gamelle.

 

Elle reste surtout employée dans les randonnées, les bivouacs, les campings et au sein des armées.

 

Utilisation animale

La gamelle, ou « écuelle », est un récipient utilisé pour contenir l'alimentation des petits animaux, comme la nourriture pour chats, pâtée ou granulés, ainsi que l'eau.

 

Caractéristiques

Anciennement confectionnées en bois, puis en tôle émaillée, en fer battu, les gamelles sont, aux XXe et XXIe siècles, fabriquées en métal, généralement en aluminium, ou en plastique lorsqu’elles ne servent pas à la préparation des mets, pour assurer la facilité d'entretien tout en restant légères.

 

À l'usage des animaux, la gamelle est stable et assez solide pour ne pas être renversée ou cassée. Les gamelles vendues pour les animaux de compagnie dans les animaleries pour des animaux impétueux sont évasées vers la base, en plastique ou inox. Celles destinées aux rongeurs et aux psittacidés sont en inox, verre épais, grès ou terre cuite émaillée pour résister aux dents ou aux becs acérés.

 

Elles sont souvent empilables ou encastrables, ce qui permet un gain de place.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gamelle_(r%C3%A9cipient)

Notes et références                                                    
RUBRIQUE  
DESCRIPTION  
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
                                                   
CREATION (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE   
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2025
                                                       
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub