Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
19.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Différences entre les livres et la série
Albert Ingalls, James Cooper, Cassandra Cooper, Jenny Wilder, Nancy Oleson et le Dr Baker n'ont jamais existé : ce sont des personnages inventés pour la série télévisée.
La vraie Mary Ingalls ne s'est jamais mariée, n'a pas connu d'Adam Kendall et n'a jamais enseigné dans une école pour aveugles, bien qu'elle ait été réellement aveugle.
Le vrai Charles Ingalls avait une barbe imposante et il était franc-maçon en plus d'être protestant.
La vraie Caroline Ingalls n'a jamais porté d'œufs chez les Oleson. Elle a bien travaillé dans un restaurant mais pas dans celui de Nellie Oleson, car ce restaurant n'a jamais existé.
Le vrai révérend Alden ne s'est jamais marié.
Le vrai Monsieur Edwards ne s'appelait pas Isaiah, mais il est cité comme un gentil géant alcoolique et doux qui a fait fortune dans l'industrie du bois.
Entre Big Woods et Walnut Grove, les vrai Ingalls sont passés par Chariton County (Missouri) pendant un an. Dans la série, ils se sont directement installés à Walnut Grove.
Dans Un bien si précieux, Charles Ingalls Jr. n'a pas été enterré à Walnut Grove, et s'appelle Freddy Ingalls.
Harriet Oleson n'est pas aussi méchante et influente.
Dans Noël à Plum Creek, c'est Charles Ingalls et non Laura qui offre un four à Caroline.
Il n'a jamais été question de mariage pour Mlle Beadle.
Dans Une décision difficile, le vrai Jesse James n'est jamais passé par Walnut Grove, de même que son futur assassin n'a jamais été à l'école dans ce village. Tous deux ont vécu dans le Missouri.
Les paysages sont plutôt des grandes plaines que des montagnes. En effet, le tournage s'est déroulé à proximité d'Hollywood, soit à l'opposé du vrai village.
Anecdotes
La raison pour laquelle le village fut détruit est que l'équipe du tournage s'était engagée envers le Big Sky Ranch, par contrat et dès le début, à remettre à la fin de la série les lieux dans l'état dans lequel elle les avait trouvés en arrivant. D'autre part, Michael Landon ne souhaitait pas que les constructions puissent être réutilisées.
La Petite Maison des Ingalls (démontée puis remontée) serait détenue par Stan Ivar, la perruque de Nellie par Alison Arngrim, la poupée de porcelaine qui ornait la cheminée des Ingalls par Susan McCray, la poupée de Carrie par Lindsay Greenbush.
Un autre acteur était prévu pour incarner Charles Ingalls, mais il était tellement en retard pour le tournage que Michael Landon prit sa place.
Les enfants-acteurs avaient réellement classe dans l'école de la série, en dehors de leurs scènes.
Melissa Gilbert avait un bras dans le plâtre pendant le tournage de l'épisode Les Bons Amis et Alison Arngrim se trouvait dans la même situation pendant le tournage de l'épisode Bunny.
En dehors des scènes, Melissa Gilbert et Alison Arngrim, ennemies à l'écran, étaient de très bonnes amies et s'entendaient parfaitement bien.
Une partie des bénéfices était partagée de façon équitable entre tous les participants.
Commentaires
Les livres de Laura Ingalls Wilder ont aussi été adaptés en téléfilm : La Véritable Histoire de Laura Ingalls (Beyond the Prairie : The True Story of Laura Ingalls Wilder) de Marcus Cole (en deux parties 2000 et 2002) et en mini-série La Petite Maison dans la prairie (Little House on the Prairie) de David L. Cunningham (2005).
Plusieurs épisodes écrits par Michael Landon sont des reprises, dans leurs grandes lignes, d'épisodes qu'il avait écrits pour la série Bonanza : Une question de confiance (saison 2) est tiré de A Matter of Circumstance; Un beau gâchis (saison 5) est tiré de A Dream to Dream; Le Cri (saison 7) est tiré de The Sound of Sadness; Il n'avait que douze ans (saison 8) est tiré de He Was Only Seven; et Les Histoires les plus Courtes… (saison 9) est tiré de It's A Small World.
Une même scène de 25 secondes a été utilisée pour débuter deux épisodes de la saison 1, Les Paysannes (épisode 2) et La Fête au village (épisode 24). On y voit Jack, le chien des Ingalls, se rendre de la mare jusqu'aux pieds de Charles Ingalls.
Dans l'épisode « Le Jardin Extraordinaire » (saison 9), on y remarque un thème musical qui sera repris en 1984 pour le thème principal de la nouvelle série produite par Michael Landon « Les Routes du Paradis ».
Il est sous-entendu dans l'épisode/téléfilm Le Chemin des souvenirs que le personnage Albert, encore étudiant, va mourir d'une terrible maladie du sang (peut-être une leucémie). Pourtant, dans l'épisode On est bien chez soi, Laura annonce en voix hors-champ à la fin de l'épisode que Walnut Grove accueillera des années plus tard le Dr Albert Ingalls. Cette « erreur » est due au fait que lors du tournage de l'épisode, Albert devait réellement devenir médecin : sa maladie et son décès n'avaient pas encore été imaginés par les scénaristes à ce moment-là.
Dans les versions en français, selon les doublages, Carrie est parfois appelée Carine, Bunnie est parfois appelée Prairie, et Susan, la petite aveugle, est parfois appelée Aline.
Dans la première partie du téléfilm de clôture Le dernier adieu qui prend place en 1889, le personnage de Montague joue Le Vol du bourdon alors que cette pièce ne sera créée que 10 ans plus tard.
Polémique
Melissa Gilbert a lancé la polémique en écrivant dans son livre autobiographique que sur le tournage, Alison Arngrim, qui jouait la méchante Nellie Oleson, était amicale et sympathique, mais que les relations étaient difficiles avec Melissa Sue Anderson. Elle précise que cela se voit dans certaines scènes à l'écran.
Melissa Sue Anderson s'est défendue dans son propre livre autobiographique, percevant la responsabilité de la mésentente différemment.
Alison Arngrim, ayant écrit un livre autobiographique à son tour, a soutenu la version de Melissa Gilbert
Produits dérivés
Au début des années 2000, la série est éditée en DVD saison par saison. En 2006, l'intégralité sort en kiosques au rythme d'un DVD toutes les deux semaines. En 2008, l'intégrale est éditée en coffret, qui adopte la forme de la maison des Ingalls. Le coffret ressort sous différentes formes jusqu'à ce qu'il devienne plus banalement rectangulaire (en effet, de nombreuses personnes s'étaient plaintes que le coffret en forme de maison arrivait chez eux endommagé ou écrasé). Les éditions françaises ne proposent pas la VO.
En 2014 aux États-Unis, la série ressort en édition intégralement restaurée en DVD ainsi que, pour la première fois, en Blu-ray. La série est disponible par saison ainsi qu'en coffret intégrale, avec une version française.
En France, en 2015, la série ressort également en version restaurée, mais uniquement en DVD et sans version originale. Selon l'éditeur, elle ne sortira jamais en Blu-ray car cela n'a pas été estimé rentable. Une version en HD est cependant diffusée à la télévision sur la chaîne 6ter depuis le 9 février 2015. La série étant diffusée en version recadrée en 16/9, le haut et le bas de l'image sont perdus. La série était également diffusée sur Téva, en matinée jusqu'à 15 h. Depuis le 31 janvier 2022, Téva rediffuse l'intégralité de la série de 8 h 50 à 13 h 50. En 2023, la série est diffusée sur 6Ter.
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Influence et postérité
Dans l'épisode 3.24 de la série Madame est servie, les deux personnages principaux regardent séparément et sans le savoir La Petite Maison dans la Prairie.
Le titre de la série canadienne La Petite Mosquée dans la prairie est inspiré de la série américaine.
Deux tournées de spectacles en France, intitulées Confessions d'une garce de la prairie et La Malle aux trésors de Nellie Oleson, ont été tirées de la série, mettant en scène l'actrice Alison Arngrim (déjà présente dans la série).
En France, la petite maison en bois de la série a été reconstituée à Gaubiving (Lorraine) par Yves Muller (il s'agissait au départ d'une construction privée qui est devenue une curiosité touristique).
Le groupe français Marcel et son Orchestre a publié une chanson intitulée Nellie Oleson, du nom d'un des personnages.
Les humoristes français Les Nuls ont tourné une brève parodie de la série intitulée La Petite Maison dans la niaiserie.
Les humoristes français Les Lascars Gays ont joué une brève parodie de la série dans l'émission On ne demande qu'à en rire.
La Petite Mosquée dans la prairie, série humoristique canadienne.
Dans le film Les Tuche 2 a été faite une parodie du générique.
L'humoriste Élodie Poux s'en inspire dans l'un de ses sketches.
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Distinctions
1975 : Bronze Wrangler du meilleur programme télévisé aux Western Heritage Awards 1975
1976 : TP d'Or de la meilleure actrice étrangère 1976 pour Karen Grassle
1976 : TP d'Or de la meilleure série étrangère 1976
1980 : TP d'Or de la meilleure actrice étrangère 1980 pour Melissa Sue Anderson
1978 : People Choice Award du programme favori des téléspectateurs 1978
1979 : People Choice Award du programme favori des téléspectateurs 1979
1978 : Emmy du meilleur directeur de la photographie 1978 pour Ted Voightlander pour l'épisode Le Boxeur
1979 : Emmy du meilleur directeur de la photographie 1978 pour Ted Voightlander pour l'épisode L'Artisan
1979 : Emmy de la meilleure musique 1979 pour David Rose pour l'épisode L'Artisan
1982 : Emmy de la meilleure musique 1982 pour David Rose pour l'épisode Il n'avait que douze ans
1981 : Spur Award du meilleur scénario de western télévisuel aux Western Writers of America pour Michael Landon, pour l'épisode L'Incendie
1983 : Récompense de la meilleure jeune actrice dans une série pour Melissa Gilbert
1984 : Récompense de la meilleure jeune actrice dans une série pour Melissa Gilbert
2002 : Récompense de la meilleure jeune actrice en tant qu'ancienne enfant-star pour Alison Arngrim
2006 : TV Land Award du plus mémorable baiser à l'écran pour Melissa Gilbert et Dean Butler
2007 : Récompense Messenger Séries TV de Windows Live Messenger de la meilleure série vintage
2013 : Online Film & Television Association TV Hall of Fame des programmes télévisés
1977 : Golden Globe Award de la meilleure série dramatique 1977
1979 : Golden Globe du meilleur acteur de télévision 1979 pour Michael Landon
1981 : Golden Globe de la meilleure actrice dans une série dramatique 1981 pour Melissa Gilbert
1975 : Emmy Award de la meilleure création artistique 1975 pour le coiffeur Larry Germain
1976 : Primetime Emmy Award de la meilleure musique dans une série 1976 pour David Rose
1976 : Emmy Award de la meilleure photographie 1976 pour Ted Voightlander
1977 : Emmy Award de la meilleure création artistique 1977 pour le coiffeur Larry Germain
1978 : Emmy Award du meilleur maquillage 1978 pour Hank Edds et Allan Snyder
1978 : Emmy Award de la meilleure création artistique 1978 pour le coiffeur Larry Germain et la coiffeuse Gladys Witten
1978 : Primetime Emmy Award de la meilleure actrice dans une série télévisée dramatique 1978 pour Melissa Sue Anderson
1980 : Emmy Award de la meilleure photographie 1980 pour Ted Voightlander
1981 : Emmy Award de la meilleure photographie 1981 pour Ted Voightlander
1981 : Emmy Award de la meilleure musique 1981 pour David Rose
1981 : Emmy Award de la meilleure coiffure 1981 pour Larry Germain
1982 : Emmy Award de la meilleure photographie 1982 pour Ted Voightlander
1983 : Emmy Award de la meilleure photographie 1983 pour Harry L. Wolff
2004 : Mémorable homme de télévision 2004 pour Michael Landon
2006 : Professeur de l'année 2006 pour Charlotte Stewart
2008 : Personnage préféré pour faire les devoirs 2008 pour Melissa Sue Anderson
2008 : Frères et sœurs que l'on aimerait ne pas avoir 2008 pour Alison Arngrim et Jonathan Gilbert
1981 : WGA Award du meilleur scénario dramatique 1981 pour John T. Dugan pour l'épisode Coquin de Printemps
1980 : Young Artist Award de la meilleure série figurant des enfants 1980
1980 : Young Artist Awards de la meilleure jeune actrice dans une série 1980 pour Melissa Gilbert
1981 : Young Artist Awards de la meilleure jeune actrice 1981 pour Alison Arngrim
1982 : Young Artist Awards de la meilleure série pour enfants 1982
1982 : Young Artist Awards de la meilleure actrice pour une série 1982 pour Olivia Barash
1982 : Young Artist Awards de la meilleure actrice pour une série 1982 pour Melissa Francis
1983 : Young Artist Awards de la meilleure nouvelle série 1983
1983 : Young Artist Awards du meilleur jeune acteur dans une série 1983 pour David Friedman
1983 : Young Artist Awards du meilleur jeune acteur dans une série 1983 pour Matthew Laborteaux
1983 : Young Artist Awards de la meilleure jeune actrice dans une série 1983 pour Allison Balson
1983 : Young Artist Awards de la meilleure jeune actrice dans une série 1983 pour Melissa Francis
1983 : Young Artist Awards de la meilleure jeune actrice dans une série 1983 pour Shannen Doherty
1983 : Young Artist Awards de la meilleure jeune actrice invitée dans une série 1983 pour Sheri Strahl
1984 : Young Artist Awards de la meilleure jeune actrice dans une série dramatique 1984 pour Allison Balson
1984 : Young Artist Awards de la meilleure jeune actrice dans une série dramatique 1984 pour Shannen Doherty
1984 : Young Artist Awards du meilleur jeune acteur dans une série dramatique 1984 pour David Friedman
1984 : Young Artist Awards du meilleur jeune acteur dans une série dramatique 1984 pour Matthew Laborteaux
Voir aussi
Laura Ingalls Wilder, La Petite Maison dans la prairie, 1935
Pierre Brousseau, Les Héros de La Petite Maison dans la prairie, 1983 avec 80 photos en noir et blanc.
Patrick Loubatière, Walnut Grove, Terre Promise, 1999
(en) Patrick Loubatière, Little House on the Prairie from A to Z, 2006
(en) Melissa Gilbert, Prairie Tales, 2009
(en) Melissa Sue Anderson, The Way I see it, 2010
Alison Arngrim, La Petite Garce dans la Prairie, Paris, Éditions Florent-Massot, 2011, 250 p.
Melissa Gilbert, La petite maison dans la prairie: Mon livre de cuisine, La Martinière, 2014
Patrick Loubatière, Michael Landon, Les années Prairie, 2019.
Patrick Loubatière, La saga des Ingalls, 2021.
Cédric Melon, « Le bonheur est dans la prairie. Quarante-cinq ans après sa création, La Petite Maison dans la prairie continue d'être plébiscitée par des millions de fans », Télécâble Sat Hebdo no 1546, SETC, Saint-Cloud, 16 décembre 2019, p. 10-11,
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Filmographie
1949 : La Brigade des stupéfiants de László Benedek : Paul Vicola
1956 : Le Roi et moi de Walter Lang : le roi de Siam
1956 : Les Dix Commandements de Cecil B. DeMille : le pharaon Ramsès II
1956 : Anastasia d’Anatole Litvak : le général Sergueï Pavlovitch Bounine
1958 : Les Frères Karamazov de Richard Brooks : Dmitri Karamazov
1958 : Les Boucaniers d’Anthony Quinn : Jean Lafitte
1959 : Le Voyage d’Anatole Litvak : le commandant Surov
1959 : Le Bruit et la Fureur de Martin Ritt : Jason Compson
1959 : Salomon et la Reine de Saba de King Vidor : le roi Salomon
1959 : Le Testament d'Orphée de Jean Cocteau : l’huissier
1960 : Chérie recommençons de Stanley Donen : Victor Fabian
1960 : Un cadeau pour le patron de Stanley Donen : Nico March
1960 : Les Sept Mercenaires de John Sturges : Chris Adams
1961 : Aimez-vous Brahms… d'Anatole Litvak : lui-même
1962 : Les Fuyards du Zahrain de Ronald Neame : Sharif
1962 : Taras Bulba de J. Lee Thompson : Tarass Bulba
1963 : Les Rois du soleil de J. Lee Thompson : le chef Aigle Noir
1964 : Les Trois Soldats de l'aventure de Michael Anderson : le sergent Mike Takashima
1964 : Le Mercenaire de minuit de Richard Wilson : Jules Gaspard d'Estaing
1965 : Morituri de Bernhard Wicki : le capitaine Muller
1966 : L'Ombre d'un géant de Melville Shavelson : Asker Gonen
1966 : Opération Opium de Terence Young : le colonel Salem
1966 : Le Retour des sept de Burt Kennedy : Chris Adams
1966 : La Fantastique Histoire vraie d'Eddie Chapman de Terence Young : le baron von Grunen
1967 : La Griffe de Franklin Schaffner : Dan Slater / Kalmar
1967 : Les Turbans rouges de Ken Annakin : le sultan
1968 : Pancho Villa de Buzz Kulik : Pancho Villa
1969 : Le Gang de l'oiseau d'or de Sam Wanamaker : Peter Novak
1969 : La Bataille de la Neretva de Veljko Bulajić : Ivan Vlado
1969 : La Folle de Chaillot de Bryan Forbes : le président
1969 : The Magic Christian de Joseph McGrath
1971 : Adios Sabata de Gianfranco Parolini : Sabata/Indio Black (film 2)
1971 : Le Phare du bout du monde de Kevin Billington : Kongre
1971 : Le Roman d'un voleur de chevaux d’Abraham Polonsky : le capitaine Stoloff
1971 : Catlow de Sam Wanamaker : Ged Catlow
1972 : Les Poulets de Richard Colla : le sourd
1973 : Le Serpent d'Henri Verneuil : Vlassov
1973 : Mondwest de Michael Crichton : le cowboy-robot
1975 : New York ne répond plus de Robert Clouse : Carson
1976 : L'Ombre d'un tueur d'Antonio Margheriti : Peter Marchiani
1976 : Les Rescapés du futur de Richard T. Heffron : le bandit armé
1980 : Lost to the revolution de Tim Forbes (court-métrage) : le narrateur
1972 : Anna et le Roi, diffusée aux États-Unis entre le 11 septembre et le 21 novembre 1972 sur le réseau CBS et, en France, à compter du 2 mars 1973 sur la deuxième chaîne de l'ORTF
Ami de Jean Cocteau, Yul Brynner est le producteur associé du film Le Testament d'Orphée (1960) de Cocteau.
Théâtre
1951 : Le Roi et moi (The King and I), comédie musicale américaine créée par Oscar Hammerstein II et Richard Rodgers, produite à Broadway.
Voix françaises
Yul Brynner a été doublé par Georges Aminel la plupart du temps mais il lui est arrivé de se doubler lui-même, puisque le français était l'une des onze langues qu'il maîtrisait.
Georges Aminel (*1922 - 2007) dans :
Les Dix Commandements Les Boucaniers Les Sept Mercenaires Les Fuyards du Zahrain Les Rois du soleil Les Trois soldats de l'aventure Le Mercenaire de minuit L'Ombre d'un géant Opération Opium Le Retour des sept Les Turbans rouges La Griffe Anna et le Roi (série télévisée) New York ne répond plus
Lui-même dans :
Le Voyage Le Testament d'Orphée Salomon et la Reine de Saba Catlow Le Serpent Mondwest | Jean Davy (*1911 - 2001) dans : Le Roi et moi Le Bruit et la Fureur Morituri La Fantastique Histoire vraie d'Eddie Chapman
Denis Savignat (*1937 - 1998) dans :
Le Gang de l'oiseau d'or Adios Sabata
Michel Gatineau (*1926 - 1989) dans :
La Folle de Chaillot Les Poulets
Claude Péran (*1913 - 1963) dans Anastasia Jean Claudio (*1927 - 1992) dans Les Frères Karamazov Marcel Bozzuffi (*1929 - 1988) dans Tarass Bulba Serge Sauvion (*1929 - 2010) dans Pancho Villa Robert Party (*1924 - 2011) dans Le Phare du bout du monde Jean-Claude Michel (*1925 - 1999) dans Le Roman d'un voleur de chevaux Jacques Degor dans L'Ombre d'un tueur |
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Yul Brynner, né Juli Borissovitch Bryner (en cyrillique Юлий Борисович Бриннер) le 11 juillet 1920 à Vladivostok (ou sur l'île Sakhaline) et mort le 10 octobre 1985 à New York, est un acteur américain d'origines suisse et mongole par son père et russe par sa mère.
Entre 1949 et 1976, il tourne dans environ une quarantaine de films.
Resté très mystérieux sur ses origines sur lesquelles il jouait, Yul Brynner a rendu son existence encore plus exotique qu'elle ne l'a été. Il a souvent prétendu s’appeler Taidje Khan, être mi-japonais, mi-suisse, et être né sur l’île de Sakhaline en 1915 ou en 1920
Parfois, il prétendait être originaire d'une famille gitane de l'île de Sakhaline. En France, durant les années 1930, on pouvait d'ailleurs l'entendre jouer des morceaux tziganes. Au moment de sa mort, on ignorait la vérité, elle ne sera dévoilée que des années plus tard par son fils Rock Brynner. Aujourd'hui encore, son année de naissance est sujette à débat
Juli Borissovitch Bryner naît le 11 juillet 1920 à Vladivostok en Russie. Il est le fils de Boris Bryner (un ingénieur d'origine suisse par son père Jules Bryner, ainsi que russe et de l'ethnie mongole des bouriates par sa mère), et de Marousia Blagovidova, fille d’un médecin d'origine russe. Ses parents l'ont prénommé Juli en l'honneur de son grand-père paternel
Au moment de la révolution Russe de 1917, sa famille, assez aisée, fuit l'Empire russe, et s'installe surtout à Nice, où existait déjà une communauté russe. Sa famille fera de nombreux aller-retours entre la France et la Russie, surtout aux périodes où la situation sera plus calme, par exemple, lors de la période de la nouvelle politique économique (NEP). Mais après l'avènement de Staline, à la fin des années 1920, sa famille quittera définitivement la Russie.
Le 15 avril 1958, alors qu'il était invité avec le comédien Fernandel à l'émission 36 Chandelles de Jean Nohain, ce dernier racontera que Yul Brynner avait le même âge que lui, et qu'il l'avait croisé en 1924 à l'ABC, une salle de spectacles de cabaret de Marseille, où il jouait de la musique Tzigane Brynner déclarera avoir assisté à plusieurs spectacles de Fernandel, à l'Alcazar de Marseille, entre 1924 et 1927, et qu'ils étaient bons amis, avec Bréols et Andrex. Par l'intermédiaire de Fernandel, il fera la connaissance de Jean Cocteau et Marcel Pagnol.
En 1927, lorsque Boris Bryner quitte le domicile conjugal et abandonne sa famille, Marousia emmène ses enfants Yul et Vera à Harbin, en Chine, où ils fréquentent une école tenue par une Union chrétienne de jeunes gens (YMCA). Puis, en 1934, tous les trois s'installent à Paris.
Quand il arrive à Paris en 1934, Yul Brynner semble avoir bien plus que 14 ans, sans doute plus de 20 ans, et de plus, il s'exprimait déjà très bien en français, et en d'autres langues étrangères, dont l'anglais et l'allemand, preuves d'une éducation raffinée et complète, qui serait rare à trouver chez un jeune adolescent de soi-disant 14 ans à l'époque, un âge où normalement il devrait être en fin de collège, et plutôt surdoué, comme il parlait plusieurs langues étrangères.
Pour gagner sa vie, Yul Brynner joue de la guitare dans des clubs de nuit. Il rencontre des intellectuels tels que Jean Cocteau. Il est ensuite embauché dans la troupe du Cirque d'Hiver de Paris comme trapéziste où il fait la connaissance de Georges et Ludmilla Pitoëff. Une grave chute de trapèze lui cause une quarantaine de fractures, et il doit abandonner le cirque. Georges et Ludmilla Pitoëff l'engagent au Théâtre des Mathurins en tant que machiniste
Dès juin 1943, il part pour les États-Unis afin d’étudier le théâtre avec Michael Tchekhov. Lors de son entrée aux États-Unis, âgé de 40 ans, il aurait menti sur son âge, car les services de l'immigration acceptaient rarement des individus célibataires, âgés de plus de 30 ans, car il était difficile de prouver aux usines, ou entreprises, ou plus généralement, au marché du travail américain que l'individu avait une solide expérience professionnelle.
Il commence alors à se produire à Broadway sous le nom de Youl Bryner.
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Eli Whitney (8 décembre 1765 – 8 janvier 1825) est un mécanicien et industriel américain, inventeur de diverses machines. Il pressent dès 1798 la tendance croissante à la production en série et est l'un des précurseurs de l'organisation rationnelle du travail.
La machine à égrener le coton
En 1793, Whitney invente le cotton gin, une égreneuse pour séparer la graine du coton de sa fibre, pour laquelle il reçoit un brevet daté du 14 mars 1794. Cette machine permet de faciliter une étape de production exigeant alors beaucoup de main-d’œuvre. En effet, jusqu’à cette date, l’égrenage n’était pas mécanisé et cette opération, réalisée manuellement par les esclaves américains, constituait un frein à la rentabilité de la culture du coton.
Le mécanicien John Barclay revient en 1795 de Caroline du Sud et ramène l'égreneuse à coton d'Eli Whitney, dont il construit une copie pirate et dont une version est utilisée sur la plantation de Selsertown dès 1796, contribuant à un énorme progrès dans l'histoire de la culture du coton. Le négociant Daniel Clark en fait la promotion auprès des planteurs de coton du Natchez District, dont la production quadruple en deux ans.
L’invention de Whitney provoqua une explosion de la culture du coton, en particulier des variétés à fibre courte, plus faciles à cultiver. Le coton gagna en quelques années les terres vierges du Sud profond et devint la principale culture d’exportation des États-Unis4. Cette expansion de la culture du coton provoqua un accroissement du besoin en main-d’œuvre qui redonna un second souffle à la demande d'esclaves et fit de l'esclavage un élément primordial du mode de production des États du Sud. Pour John Bigelow, le consul des États-Unis à Paris en 1863, « l’invention de la machine à nettoyer le coton, vers la fin du dix-huitième siècle, donna au travail servile une valeur et une importance inconnues jusque-là, et modifia peu à peu dans les États cotonniers l’opinion publique, qui précédemment étaient loin d’être opposée à l’émancipation progressive ».
Malgré son succès, Whitney tira relativement peu de profit de son invention. Les nombreuses contrefaçons ainsi que le refus des planteurs du Sud de payer les droits du brevet entraînèrent la fermeture de l’entreprise Whitney en 1797. En 1807, le Congrès refusa de renouveler le brevet ; Whitney ne breveta plus aucune de ses inventions.
De la fabrication de mousquets à la production en série
Ayant reçu la commande de plusieurs dizaines de milliers de mousquets, Eli Whitney étudia le problème de la fabrication en série et construisit pour le résoudre la première machine à fraiser en 1818 selon certains historiens des sciences6. Dans cette recherche, il fut mis sur la voie par Thomas Jefferson, alors ambassadeur en France, après une visite de l’atelier de l’armurier Honoré Blanc à Vincennes :
« Une amélioration est faite ici dans la production de fusils qui est de nature à intéresser le Congrès : elle consiste à faire que chaque pièce en soit si exactement semblable que toute pièce de l’un puisse être utilisée dans tout autre. »
Eli Whitney est un pionnier pour la production de masse, que ce soit pour l’industrie dans le Nord des États-Unis ou pour le Sud auquel il a permis de garder sa position dominante dans la culture du coton. En 1847, l'entreprise était choisie par Samuel Colt pour fabriquer 1 100 exemplaires de son Colt Walker, l'arme qui faisait la carrière de Colt.
Après sa mort, l'entreprise fut reprise par son neveu Ely Blake Whitney et plus tard par son petit-fils, Eli Whitney IV (1847-1924), et vendue en 1888 à la Winchester Repeating Arms Company, New Haven (Massachusetts).
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Rodney Steiger, dit Rod Steiger, né le 14 avril 1925 à Westhampton (dans Les Hamptons, État de New York) et mort le 9 juillet 2002 à Los Angeles, est un acteur américain.
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Francis Scott Key Fitzgerald, né le 24 septembre 1896 à Saint Paul dans l'État du Minnesota et mort le 21 décembre 1940 à Hollywood, est un écrivain américain.
Chef de file de la Génération perdue et représentant de l'Ère du Jazz, il est aussi celui qui lance la carrière d'Ernest Hemingway. Son roman le plus célèbre reste Gatsby le Magnifique, succès planétaire qui fut adapté de nombreuses fois au cinéma, à la télévision ou sur scène.
Il se marie en 1920 avec Zelda Sayre, une jeune fille du Sud qui sera son égérie (et l'autrice d'un roman autobiographique : Accordez-moi cette valse, publié en 1932). Ils ont une fille, Frances Scott Fitzgerald, qu'ils surnomment « Scottie ».
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Martin Cooper, né le 26 décembre 1928 à Chicago, est considéré comme l'inventeur du premier combiné téléphonique portable et la première personne à avoir effectué un appel téléphonique sur un téléphone cellulaire portatif, en 1973.
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Colin Luther Powell, né le 5 avril 1937 à Harlem (New York) et mort le 18 octobre 2021 à Bethesda (Maryland), est un général et homme politique américain.
Il est chef d'État-Major des armées entre 1989 et 1993 puis secrétaire d'État entre 2001 et 2005 dans l'administration du président George W. Bush.
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