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Monde : Etats Unis

Husband E. Kimmel

Publié à 22:15 par dessinsagogo55 Tags : center création sur centerblog base merci monde mort dieu message blogs film
Husband E. Kimmel

 

 

 

Husband Edward Kimmel, né le 26 février 1882 et mort le 14 mai 1968, est un militaire de l'US Navy. Amiral, il était à la tête de la flotte américaine du Pacifique lors de l'attaque de Pearl Harbor par les Japonais en 1941.

 

Biographie

 

Husband E. Kimmel est le fils de Sibella "Sibbie" Lambert Kimmel et du Major Manning Marius Kimmel (1832–1916). Il était marié à Dorothy Kinkaid (1890–1975), la sœur de l'amiral Thomas C. Kinkaid.

 

Carrière navale

 

Kimmel est diplômé en 1904 de l' Académie navale des États-Unis à Annapolis (Maryland). Il a notamment servi durant l'occupation américaine de Veracruz, au Mexique, au cours de laquelle il a été blessé en avril 1914.

 

En 1915, il fut brièvement assistant du secrétaire adjoint à la Marine, Franklin D. Roosevelt. Après la guerre, il a servi comme officier à bord du cuirassé USS Arkansas, puis à Washington DC et aux Philippines. En 1926, il est promu capitaine à la fin du cours supérieur au Collège de guerre navale.

 

De 1926 à 1937, Kimmel a occupé plusieurs postes au Département de la Marine, ainsi que le commandement d'une escadre de destroyers et du cuirassé USS New York.

 

En 1937, il est promu au grade de contre-amiral et devient, en 1939, commandant des croiseurs de la force de combat.

 

Pearl Harbor

 

Après que l'amiral James O. Richardson a été relevé de son commandement en février 1941 pour divergences de vues avec le haut commandement de la Marine, Kimmel a été commissionné au grade de vice-amiral et nommé commandant en chef de la flotte du Pacifique, poste rétabli le 1er février 1941. La base de la flotte avait été déplacée, en mai 1940, de son siège traditionnel à San Diego (Californie), à Pearl Harbor (Hawaï). En outre, il est nommé commandant en chef de la Flotte des États-Unis. Pour exercer conjointement ces deux commandements, Kimmel a été commissionné, à partir de cette date, au grade d'amiral (quatre étoiles).

 

Le 18 février 1941, Kimmel écrit au chef des opérations navales (CNO), l'amiral Harold Rainsford Stark :

 

Je pense qu'une attaque surprise (sous-marine, aérienne ou combinée) sur Pearl Harbor est une possibilité, et nous prenons des mesures pratiques immédiates pour minimiser les dommages infligés et pour garantir que la force attaquante le paiera cher.

 

Le 18 avril 1941, Kimmel écrit au CNO pour lui demander des ressources supplémentaires pour la construction d'une base à Wake Island et pour qu'un bataillon de défense du Corps des Marines y soit stationné. Le 19 août, la première garnison de Marines permanente est à pied d'œuvre. Une base aérienne a été mise en service à Midway en août, après l'achèvement des pistes et des structures de soutien; une garnison de Marines y a été affectée peu de temps après. En novembre, Kimmel a ordonné à l'USS Enterprise de transporter des chasseurs et des pilotes de la Marine à Wake Island pour renforcer la garnison, et à l'USS Lexington de quitter Pearl Harbor le 5 décembre pour transporter des bombardiers en piqué de la Marine à Midway. En raison de ces missions, les porte-avions n'étaient pas à Pearl Harbor lors de l'attaque japonaise.

 

L' attaque japonaise sur Pearl Harbor a eu lieu lors d'un raid aérien surprise le 7 décembre 1941 et a causé la mort de 2 403 militaires et civils américains.

 

Edwin T. Layton a raconté que pendant l'attaque :

 

Kimmel se tenait près de la fenêtre de son bureau à la base sous-marine, la mâchoire serrée. Alors qu'il regardait le désastre se dérouler dans le port, une balle de mitrailleuse de calibre .50 a traversé la vitre. Elle frôla l'amiral avant de tomber au sol. "Cela aurait été miséricordieux si elle m'avait tué", murmura Kimmel à son officier de communication, le commandant Maurice "Germany" Curts .

 

Après Pearl Harbor

 

Kimmel a été relevé de son commandement dix jours après l'attaque. À l'époque, il planifiait et exécutait des mesures de représailles, notamment un effort pour soulager et renforcer l'île de Wake, ce qui aurait pu conduire à un affrontement entre les forces navales américaines et japonaises. Le vice-amiral William S. Pye devient commandant de la Force de combat de la Flotte du Pacifique) par intérim le 17 décembre. Il avait des réserves sur le plan de Kimmel et a décidé que l'opération de Wake Island était trop risquée, rappelant la force de secours. L'amiral Chester W. Nimitz a pris le relais le 31 décembre et à ce moment-là, l'île de Wake avait été envahie et occupée par les Japonais. Le commandement de Kimmel a été réaffecté à l'amiral Ernest J. King (à l'époque commandant de la Flotte de l'Atlantique), dans un rôle élargi en temps de guerre de commandant en chef de la flotte des États-Unis, qui sera également combiné avec la nomination ultérieure de King en tant que chef des opérations navales.

 

En 1941, la Commission Roberts, nommée par le président Franklin D. Roosevelt pour enquêter sur l'attaque, a conclu que Kimmel et son homologue, le lieutenant-général de l'armée de terre Walter Short, étaient coupables d'erreurs de jugement et de manquement au devoir dans les événements qui ont précédé l'attaque. Kimmel a défendu ses décisions lors de plusieurs audiences, arguant que des informations importantes ne lui avaient pas été communiquées.

 

Après son rappel aux Etats-Unis, il fut ramené au rang de contre-amiral, son grade initial, puisqu'il n'exerçait plus le commandement pour lequel il avait été commissionné au grade supérieur. La même décision a été prise à l'encontre du général W. Short. Les deux officiers ont pris leur retraite anticipée en février 1942. Kimmel a ensuite travaillé pour l'entrepreneur militaire Frederic R. Harris, Inc. après la guerre. À la retraite, Kimmel a vécu à Groton, Connecticut , où il est décédé le 14 mai 1968.

 

Après la mort du secrétaire à la Marine Knox en avril 1944, son successeur James V. Forrestal a ordonné qu'une cour d'enquête navale soit convoquée pour enquêter sur les faits entourant l'attaque japonaise sur Pearl Harbor et pour évaluer les responsabilités des membres de la marine. La cour s'est réunie le 24 juillet 1944 et a tenu des sessions quotidiennes à Washington DC, à San Francisco et à Pearl Harbor. Après avoir interrogé de nombreux témoins, elle acheva ses travaux le 19 octobre 1944. Son rapport au ministère de la Marine disculpa largement Kimmel. Le tribunal a estimé que les décisions de Kimmel étaient correctes compte tenu des informations limitées dont il disposait, mais a critiqué le chef des opérations navales de l'époque, l'amiral Harold R. Stark, pour ne pas avoir averti Kimmel que la guerre était imminente. Parce que la cour avait pu étudier les messages japonais décodés, un secret essentiel en temps de guerre, le rapport final n'a été rendu public qu'après la fin de la guerre.

 

Après avoir examiné le rapport, Forrestal a estimé que la cour avait été trop indulgente en attribuant les responsabilités de la catastrophe. La cour avait conclu que l'armée et la marine avaient coopéré de manière adéquate à la défense de Pearl Harbor ; qu'il n'y avait eu aucune information indiquant que des porte-avions japonais étaient en route pour attaquer Pearl Harbor ; et que l'attaque avait réussi principalement à cause des torpilles aériennes, une arme secrète dont l'usage ne pouvait être prédit. Forrestal a désapprouvé toutes ces conclusions, estimant que Kimmel aurait pu faire plus avec les informations dont il disposait pour empêcher ou atténuer l'attaque. Forrestal a conclu que Kimmel et Stark n'avaient "pas démontré le jugement supérieur, proportionné à leur rang et aux tâches qui leur étaient assignées, et nécessaire à l'exercice d'un commandement ".

 

Réputation posthume et débat

 

Les historiens s'accordent à dire que les États-Unis n'étaient à aucun égard préparés à l'attaque japonaise sur Pearl Harbor. Les forces militaires japonaises jouissaient sur les Américains d'une nette supériorité en termes d'entraînement, d'équipement, d'expérience et de planification. La mesure dans laquelle Kimmel lui-même portait la responsabilité du manque de préparation de sa flotte du Pacifique a fait l'objet d'un débat.

 

Certains, comme le capitaine Edward L. "Ned" Beach, ont conclu que l'amiral Kimmel et le général Short, qui avait également été démis de ses fonctions, étaient devenus les boucs émissaires des échecs de leurs supérieurs à Washington. Les partisans de Kimmel signalent une série de dérapages bureaucratiques et de circonstances indépendantes de la volonté de quiconque qui ont conduit au manque de préparation de la flotte, y compris les mauvaises conditions atmosphériques qui ont bloqué un avertissement radio du ministère de la Guerre à Pearl Harbor d'une éventuelle attaque. Il a fallu envoyer le message comme un télégramme par le réseau civil, ce qui l'a retardé suffisamment longtemps pour que l'attaque commence avant que Kimmel ne le reçoive.

 

Les historiens reconnaissent généralement que les forces américaines s'en seraient mal tirées même si Kimmel avait réagi différemment. Dans une interview de 1964, l'amiral Chester Nimitz, qui avait pris le commandement de la flotte du Pacifique trois semaines après l'attaque, a conclu que «C'était la miséricorde de Dieu que notre flotte soit restée à Pearl Harbor le 7 décembre. Si Kimmel [avait] été prévenu de l'arrivée des Japonais, il aurait très probablement essayé de les intercepter. Avec la différence de vitesse entre les cuirassés de Kimmel et les porte-avions japonais plus rapides, le premier n'aurait pas pu s'approcher du fusil pointé par l'ennemi. En conséquence, nous aurions perdu de nombreux navires en eau profonde et aussi des milliers d'autres vies.» Au lieu de cela, à Pearl Harbor, les équipages ont été facilement secourus et six des huit vaisseaux de première ligne ont finalement été réparés.

 

Le 25 mai 1999, le Sénat des États-Unis, par un vote de 52 voix contre 47, a adopté une résolution non contraignante pour disculper Kimmel et Short et a demandé que le président des États-Unis rétablisse à titre posthume les deux hommes à leur plein rang. Le sénateur Strom Thurmond, l'un des parrains de la résolution, a qualifié Kimmel et Short de « deux dernières victimes de Pearl Harbor ». Le Sénat a publié, en 2000, une longue disculpation de la conduite de Kimmel. Mais le président Clinton n'a pas donné suite à la résolution, ni aucun de ses successeurs.

 

Culture populaire

 

En 1955, il publia Admiral Kimmel's story où il décrit et explique son rôle dans l'armée ainsi que les évènements autour de Pearl Harbor.

Dans le film Tora ! Tora ! Tora !, son rôle est interprété par Martin Balsam.

Dans le film Pearl Harbor (2001), son rôle est interprété par Colm Feore.

Dans le film Midway (2019), son rôle est interprété par David Hewlett.

 

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Husband_E._Kimmel

Notes et références                                                    
RUBRIQUE   Monde : Etats Unis
BIOGRAPHIE   Husband E. Kimmel
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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DATE  
NAISSANCE   26 février 1882
DECES   14 mai 1968
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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Les sept mercenaires

Les sept mercenaires

 

 

Les Sept Mercenaires (The Magnificent Seven) est un western de John Sturges sorti en 1960. Le film est grandement inspiré du film japonais Les Sept Samouraïs réalisé par Akira Kurosawa en 1954.

 

Synopsis

 

Les habitants d'un petit village du Mexique fréquemment attaqué par une troupe de bandits mexicains, apprennent que leur chef, Calvera, compte les piller de nouveau prochainement. Réunissant leurs maigres économies, les paysans envoient une délégation dans une ville américaine frontalière pour acheter des armes. Là, un vétéran nommé Chris Adams leur explique qu'il serait plus efficace d'embaucher des tireurs professionnels pour repousser l'assaut. Ce dernier accepte alors de s'occuper du recrutement et, finalement, de prendre la tête des mercenaires pour aider les paysans mexicains.

Chris Adams rassemble autour de lui une équipe expérimentée : Vin Tanner, un aventurier qui vient de perdre sa dernière chemise au jeu, son ami Harry Luck, qui imagine que cette opération sera une affaire lucrative, Bernardo O'Reilly, un bûcheron irlando-mexicain également désargenté, Britt, un expert dans le domaine des armes qui recherche un défi à sa hauteur car ne trouvant plus d'adversaires à sa taille, Lee, un vétéran en fuite aux nerfs fragiles et Chico, le seul homme jeune du groupe, en quête d'aventures romanesques.

Les sept partent s'installer dans le village des paysans puis préparent un plan de défense, incluant les habitants, auxquels ils s'attachent au fil des jours.

Une première attaque des bandits est repoussée par les hommes d'Adams. Mais Chico, qui a infiltré le camp des bandits, apprend que ceux-ci prévoient de revenir car ils sont affamés et désespérés. Les mercenaires, qui espéraient qu'une leçon suffirait, décident de ne pas reculer et d'attaquer leurs ennemis. Mais, à leur retour du camp des bandits déserté, ils découvrent que le village s'est rendu aux pillards. Leur chef Calvera leur offre cependant le choix de repartir sains et sauf afin d'éviter des représailles, imaginant que de tels hommes ne risqueront pas leur peau une nouvelle fois pour secourir des paysans craintifs et sans ressources.

Mais Calvera se trompe : à l'exception de Harry, les mercenaires décident de revenir délivrer le village. Au cours de l'assaut decisif, Chris et ses compagnons fusillent éliminent plusieurs brigands qui dormaient. Les coups de feu réveille le reste de la bande. Les six mercenaires mènent une lutte acharnée contre les criminels mais se retrouvent rapidement submergés par le nombre.

Harry qui finit par changer d'avis, intervient dans la fusillade pour secourir son nouvel ami Chris mais est touché d'une balle dans le dos. De son côté, Lee surmonte sa peur de la mort et abat plusieurs bandits pour sauver des villageois captifs qui l'avaient réconforté alors qu'il faisait des cauchemars. Cependant, il meurt d'une balle dans le ventre alors que les villageois rejoignent le combat pour prêter main-forte au groupe des mercenaires. Harry meurt dans les bras de Chris en lui avouant qu'il ne laisserait jamais Calvera s'approprier les récoltes du village.

Alors que la fusillade tourne en faveur des villageois, O'Reilly protége les trois enfants des villageois auxquels il s'était attaché et meurt d’une balle dans le cœur. Chris ouvre mortellement le feu sur Calvera qui s'apprêtait à le prendre à revers. Britt reçoit une balle perdue dans la poitrine après avoir tué un nombre considérable de bandits. Dans ses derniers instants, Calvera apparaît désorienté et se demande pourquoi les mercenaires sont revenus sauver le village.

Le village est définitivement libéré de la menace des bandits au prix de la vie de quatre mercenaires. Chris, Chico et Vin sont remerciés par le doyen du village et partent à cheval.

Chico qui a trouvé l'amour auprès d'une jeune villageoise, choisit d'abandonner la vie d'aventurier pour se consacrer à celle de fermier, une voie qu'il méprisait pourtant jusque-là. Les deux membres fondateurs des sept mercenaires, Chris et Vin quittent le village, méditant sur la futilité de leur existence de chasseurs de primes.

 

Fiche technique

 

Titre original : The Magnificent Seven

Réalisation : John Sturges

Scénario : William Roberts, Walter Newman, Walter Bernstein, d'après le film Les Sept Samouraïs d'Akira Kurosawa

Dialogues : Thom Conroy

Musique : Elmer Bernstein

Direction artistique : Edward Fitzgerald

Décors : Rafael Suarez

Maquillage : Emile Lavigne et Daniel Striepke

Photographie : Charles Lang Jr.

Ingénieurs du son : Jack Solomon et Rafael Esparza

Effets spéciaux : Milt Rice

Montage : Ferris Webster

Montage sonore : Del Harris

Producteurs : John Sturges, Walter Mirisch et Lou Morheim

Sociétés de production : Mirisch Company

Sociétés de distribution : United Artists

Budget : 2 000 000 $1

Format : Couleurs (De Luxe) - 2.35:1 en Panavision - 35 mm

Son : Mono (Westrex Recording System)

Pays d'origine :  États-Unis

Langue originale : Anglais

Genre : Western et action

Durée : 128 minutes

Dates de sortie :

États-Unis : 23 octobre 1960

France : 1er février 1961

Image tirée de bande annonce originale du film.

 

Les sept mercenaires

Yul Brynner (VF : Georges Aminel) : Chris Adams Yul Brynner
Steve McQueen Steve McQueen (VF : Henry Djanik) : Vin Tanner
Charles Bronson (VF : Gérald Castrix) : Bernardo O'Reilly Charles Bronson
James Coburn James Coburn (VF : Jean Violette) : Britt
Robert Vaughn(VF : Roger Rudel) : Lee Robert Vaughn
Brad Dexter
Brad Dexter (VF : Claude Bertrand) : Harry Luck

 

Horst Buchholz (VF : Michel François) : Chico Horst Buchholz

 

Les autres personnages

 

Eli Wallach (VF : Jacques Dynam) : Calvera, le chef des quarante bandits

Jorge Martínez Hoyos (VF : Jean-Henri Chambois) : Hilario

Vladimir Sokoloff : le vieil homme

Rosenda Monteros (VF : Josée Steiner) : Petra

Rico Alaniz (VF : Albert de Médina) : Sotero

Pepe Hern : Tomas

Natividad Vacío : Miguel

Whit Bissell (VF : Émile Duard) : Chamlee, le croque-mort

Robert J. Wilke (VF : André Valmy) : Wallace

Val Avery (VF : Henri Virlogeux) : Henry, le vendeur de corsets

Bing Russell (VF : Pierre Hatet) : Robert, le compagnon de voyage d'Henry

John A. Alonzo : un villageois

Enrique Lucero : un villageois

Alex Montoya : un villageois

Mario Navarro et Danny Bravo : les garçons avec O'Reilly

Fernando Rey : le prêtre (non crédité)

Joseph Ruskin : Flynn (non crédité)

José Chávez : Rafael, un villageois tué par Calvera (non crédité)

Larry Duran : Santos, homme de main de Calvera (non crédité)

Valentin de Vargas : un homme de main de Calvera (non crédité)

 

Distinction

 

En 1961, Elmer Bernstein a été nommé pour l'Oscar de la meilleure musique de film et Robert Vaughn au Golden Globe du meilleur espoir masculin.

 

Autour du film

 

Le film fut essentiellement tourné au Mexique, dans l'État de Morelos (à Cuernavaca et Tepoztlán), à Durango dans l'État homonyme, à Bavispe dans l'État de Sonora, ainsi qu'aux Studios Churubusco à Mexico. Certaines scènes d'intérieur furent aussi filmées aux États-Unis dans les Old Tucson Studios à Tucson dans l'Arizona.

Akira Kurosawa, réalisateur du film Les Sept Samouraïs dont le film est un remake, en fut si satisfait qu'il offrit un nihontô à John Sturges.

Le personnage de Calvera était destiné à Anthony Quinn que John Sturges avait dirigé l'année précédente dans Le Dernier train de Gun Hill.

Yul Brynner épousa sa femme Doris sur le plateau du film. Pour l'occasion, toute l'équipe rejoua la fiesta du film lors de la réception.

Steve McQueen, alors sous contrat pour la série Au nom de la loi, simula un accident de voiture pour pouvoir jouer dans le film. Il s'agissait pour lui de son premier film important et donc du moyen de vraiment percer au cinéma.

Pendant le tournage, il y eut une tension considérable entre Brynner et McQueen, qui ne supportait pas d'avoir seulement sept lignes de dialogue dans le script original. Pour compenser, McQueen tenta d'attirer l'attention sur lui-même, en levant son chapeau, en lançant une pièce de monnaie lors d'une réplique de Brynner, en secouant ses cartouches de fusil. Brynner ne le supportait pas et le tournage de leur première scène ensemble fut éprouvant pour l'équipe de tournage. Lorsque les journaux ont commencé à mentionner leurs altercations, Brynner a publié un communiqué de presse, en déclarant : « Je ne me dispute jamais avec les acteurs. » Quelques années plus tard, Buchholz a expliqué que Brynner avait mis fin à cette rivalité en menaçant McQueen d'enlever lui aussi son chapeau car ainsi plus personne ne le verrait.

Le gouvernement mexicain hésita à accepter le tournage du film sur son sol. En effet, quelques années plus tôt, les autorités avaient accueilli le tournage de Vera Cruz avec Burt Lancaster et avaient alors estimé que le film avait donné une image trop négative des Mexicains. Il finit par accepter, à condition que soient présents sur le plateau des huissiers mandatés spécialement pour vérifier qu'on ne nuirait pas à l'image des Mexicains, y compris au niveau vestimentaire.

Le groupe de punk britannique The Clash a intitulé un de ses plus célèbres titres, The Magnificent Seven, en référence à ce film.

 

Œuvres dérivées

 

Le film a inspiré plusieurs œuvres dérivées :

 

Films

 

1966 : Le Retour des sept (Return of the Seven) de Burt Kennedy

1969 : Les Colts des sept mercenaires (Guns of the Magnificent Seven) de Paul Wendkos

1972 : La Chevauchée des sept mercenaires (The Magnificent Seven Rides) de George McCowan

 

Série télévisée

 

1998 : Les Sept Mercenaires

 

Remake

 

2016 : Les Sept Mercenaires d'Antoine Fuqua (remake)

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Sept_Mercenaires_(film,_1960)

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Lloyd Loar

Lloyd Loar

 

 

Lloyd Allayre Loar, né le 9 janvier 1886 et mort le 14 septembre 1943, est un musicien, concepteur d'instruments et ingénieur du son américain. Il est connu pour sa collaboration, au début du xxe siècle, avec la firme Gibson Mandolin-Guitar, notamment pour la conception de la mandoline modèle F-5 et de la guitare L-5.

 

En 1898, Orville Gibson fait breveter un nouveau type de mandoline qui s'inspire de la conception du violon. La table et le fond ne sont pas « pressés » en forme, mais sculptés en voûte dans la masse. Les éclisses, au lieu d'être cintrées, sont elles aussi taillées dans un seul bloc de bois. Les instruments d'Orville Gibson présentaient déjà une originalité avant que Lloyd Loar ne vienne travailler pour lui. Toutefois, ce sont les instruments conçus par Loar qui devinrent particulièrement recherchés. Les mandolines signées Loar, qui doivent leur renommée à Bill Monroe, peuvent aujourd'hui atteindre la somme de 200 000 dollars. La guitare L-5 appartenant à Maybelle Carter, fabriquée chez Gibson après le départ de Loar, fut vendue 575 000 dollars.

 

Au cours des dernières années de sa vie, il travaille sur l'amplification électrique d'instruments à cordes qu'il présente à travers tout le pays, dont un violon alto électrique, dépourvu de fond et équipé d'un bobinage placé sous le chevalet, qu'il joue en public en 1938 et qui serait capable de « couvrir la plus bruyante des trompettes ».

 

Loar a travaillé chez Gibson de 1919 à 1924. Parmi ses innovation, on note le remplacement de la rosace ronde ou ovale par des ouïe en « f », héritées du violon2, il ajoute un manche plus long aux mandolines, permettant ainsi de rapprocher le chevalet du centre de la table, et une touche flottante (précédemment, sur les instruments Gibson, la touche était collée à la table). En taillant les barrages et le bord des ouïes, Loar modifiait la table et la cavité de la caisse de ses instruments pour les accorder sur une note définie.

 

II est aussi l'inventeur du Virzi Tone Producer, un résonateur qu'il intégra à la gamme des instruments Gibson. Il s'agit d'un disque ovoïde en épicéa, placé à l'intérieur de la caisse sous le chevalet, dont le but est de produire des harmoniques. Il souhaitait ainsi enrichir la gamme sonore sur les instruments à table scluptée. Il en résulta un instrument qui, à l'instar des violons de Stradivarius, était très complexe à reproduire. Des luthiers-chercheurs comme Roger Siminoff ont étudié ces instruments dans les moindres détails.

 

Musicien réputé, Loar jouait de la mandoline, du violon alto et de la scie musicale. Il parcourut les États-Unis et l'Europe au sein de différents orchestres. Dans l'un d'entre eux, il se produisit avec sa future épouse, Fisher Shipp. Loar, qui posait déjà en photo dans les premiers catalogues Gibson, se produisit dans de nombreuses formations pour faire la promotion de la marque.

 

Loar enseigna également à l'Université Northwestern de 1930 à 1943, où il donna des cours de composition vocale, de théorie musicale avancée et de « Physique de la musique ».

 

Pionnier de l'électrification

 

Selon André Duchossoir, Loar expérimenta l'électrification d'instruments lorsqu'il travaillait chez Gibson. Lewis A Williams, l'un des fondateurs et principaux actionnaires de Gibson avait encouragé Loar et partageait son point de vue sur l'importance du développement des instruments électriques.

 

Il semblerait qu'aucun des instruments électriques originaux de Loar n'ait été conservé, mais au milieu des années 1930, Walter A Fuller, qui avait rejoint Gibson et était devenu l'ingénieur électronique en chef de la firme, avait retrouvé, en installant son laboratoire de R&D, certains des prototypes de Loar. Il affirma que ces instruments électriques étaient équipés de micros électrostatiques, mais qu'ils étaient extrêmement sensibles à l'humidité à cause de leur impédance très élevée. Fuller, les décrit comme des pastilles de la taille d'une pièce d'un dollar, avec un morceau de liège à l'arrière qui permettait de les coller sous la table de l'instrument.

 

Le livre de Duchossoir, Gibson Electrics, The Classic Years, montre un modèle L-5 conçu par Loar (numéro de série 88258) daté de 1929 (après son départ de chez Gibson), équipé d'un micro électrostatique et d'une prise jack installée sur le cordier.

 

Duchossoir affirme également que pendant son passage chez Gibson, Loar avait élaboré un prototype de contrebasse électrique de type quasi solid-body et que cet instrument ainsi que plusieurs brevets déposés par Loar entre le milieu des années 1920 et le milieu des années 1930, attestent qu’il a travaillé sur des micros de nature électromagnétique.

 

Selon Duchossoir, le remplacement de Lewis Williams à la direction générale par Guy Hart, un comptable qui éprouvait peu de sympathie a l’égard de Loar, conduisit à la résiliation du contrat de ce dernier. Après avoir quitté Gibson, Loar crée et brevette un instrument électrique pourvu d'un micro magnétique. Il fonde en 1934, avec Lewis Williams, la société Acousti-Lectric, rebaptisée Vivi-Tone en 1936.

 

Au sein de Vivi-Tone, il développe des claviers électriques qui étaient, selon Roger Siminoff, très innovants : l'un fonctionnait avec des cordes pincées à la manière d'un clavecin, l'autre avait une mécanique à anches métalliques frappées, analogue au piano Rhodes qui vit le jour après la seconde guerre mondiale.

 

Les mandolines

 

Le modèle F-5 a été popularisé par le créateur du bluegrass, Bill Monroe. Son modèle (numéro de série 739877 signé par Loar le 9 juillet 1923) l'a accompagné durant la majeure partie de sa carrière. On peut admirer cette mandoline au Country Music Hall of Fame à Nashville, où elle fait désormais partie des collections. Les mandolines Gibson-Loar ont largement contribué à évincer les modèles à dos bombé du marché américain et ont influencé les instruments dans le monde entier.

 

Loar a signé une série de mandolines F-5 dites Fern, dont on ne connaît qu'une vingtaine d'exemplaires. Le nom fait référence au dessin de fougère qui orne la tête. La première Fern référencée, datée du 9 juillet 1923, porte le numéro de série 73755 (même date que le célèbre exemplaire de Bill Monroe). C'est le seul modèle Fern connu sans « Virzi » (résonateur interne) et le seul modèle Fern connu datée du 9 juillet.

 

En 2007, le mandoliniste Chris Thile fit l'acquisition d'un modèle F-5 signé Loar de 1924 portant le numéro de série 75316, une trouvaille extrêmement rare, étant donné son état proche du neuf. Cette mandoline lui aurait coûté environ 200 000 $. Parmi les musiciens célèbres qui ont possédé un modèle F-5 signé Loar, on peut citer John Paul Jones (numéro de série 75317), Mike Marshall, David McLaughlin, Herschel Sizemore, Alan Bibey, Tony Williamson, David Grisman, John Reischman, Tom Rozum, Frank Wakefield, Ricky Skaggs et Joe Val (numéro de série 72207).

 

Il n'existe qu'une seule mandoline connue modèle A, une Gibson A5, signée par Loar. Elle a été largement copiée, à l'origine par le fabricant de mandolines Bob Givens. Cette Loar A5 fut trouvée par Tut Taylor et vendue à un musicien de bluegrass du sud de la Californie en 1974.

 

M. Taylor l'avait achetée à la sœur du Dr William B. Griffith, de la Griffith School of Music d'Atlanta, en Géorgie, dont l'épouse, également enseignante à l'école, aurait commandé une F-5 avec un corps sans pointes, ce qui avait abouti à la production du modèle Loar A5 en 1923.

 

Valeur en collection

 

Depuis janvier 2010, le prix des mandolines signées Loar en bon état se situe entre 175 000 $ et 200 000 $. Ces modèles sont particulièrement recherchés par les musiciens et les collectionneurs.

 

Darryl Wolfe, spécialiste de l'histoire de Loar, tient un registre des modèles F-5. En janvier 2010, sur les 326 exemplaires de mandolines F-5 signées Loar qui auraient été fabriqués, il en a référencé plus de 240.

 

Guitare L-5

La guitare Gibson L-5 fut produite pour la première fois en 1922, par la Gibson Guitar Corporation (alors installée à Kalamazoo, Michigan) sous la direction du maître luthier Lloyd Loar, et n'a jamais cessée d'être produite depuis (hormis entre 1941 et 1945, années pendant lesquelles Gibson, participant à l'effort de guerre, réduit considérablement sa production et suspend les modèles haut de gamme L-5 et Super 400)14. C'était le modèle de pointe de la firme à l'époque des big bands. Le modèle était proposé à l'origine en acoustique, la version électrique arriva à partir des années 1940.

 

Conception et construction

 

La L-5 est la première guitare au monde à comporter des ouïes en « f » . La conception de la L-5 est comparable à celle d'un violoncelle en termes de construction, de sculpture, de barrages et de « tap tuning » (accordage de la table d'harmonie sur une fréquence). Cette guitare, à l'instar du violoncelle, est conçue pour amplifier et projeter la vibration des cordes à travers les bois sculptés et harmonisés, les ouïes en « f » diffusant le son. De 1922 à 1934, les modèles L-5 avaient une largeur de caisse de 16 pouces. En 1934, cette largeur est portée à 17 pouces, cote encore utilisée aujourd'hui. En 1934, Gibson propose un modèle archtop de 18 pouces : la « L-5 Super », rebaptisée quelques années plus tard Gibson Super 400. Ces deux guitares acoustiques, sculptées à la main et richement ornementés, sont les modèles haut de gamme de la firme. Le prix élevé de ces guitares s'explique par le temps et la minutie qu'exigent leur fabrication.

 

   
   
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lloyd_Loar

Notes et références                                                    
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BIOGRAPHIE   Lloyd Loar
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Guitare électrique : Histoire

Publié à 07:21 par dessinsagogo55 Tags : png center blogs centerblog sur cheval merci france monde chez musique histoire
Guitare électrique : Histoire

 

L'invention de la guitare électrique a suivi de près celle de l'amplificateur électronique. Un brevet de capteur électromagnétique fut déposé en 1909 et accordé en 1911. Prévu pour le piano, il pouvait aussi bien s'appliquer à tout instrument à cordes en acier. Stromberg et Voisinet proposèrent, sans grand succès, la première guitare électrique en 1928.

 

Selon André Duchossoir, la première guitare électrique, un prototype réalisé par Lloyd Loar (en), alors luthier chez Gibson Guitar Corporation, était un modèle acoustique muni d'un capteur électrostatique  Loar quitta la firme Gibson en 1924 et poursuivit le développement des instruments à cordes acoustiques et électriques, et en breveta un avec un capteur électromagnétique, comme les guitares électriques actuelles, en 1934.

 

Les premiers musiciens à utiliser les guitares électriques travaillaient, soit dans de grandes formations, soit dans des orchestres de danse. L'amplification du son de la guitare leur permettait de sortir du rôle d'accompagnement rythmique, tenu à la guitare, au banjo ou à la mandoline, selon les genres musicaux, pour participer à l'orchestre à égalité avec les anches et les cuivres. On ajoutait un capteur et un amplificateur à des guitares qui conservaient leur lutherie acoustique. En 1936, Gibson lance l'ES-150, avec un capteur électromagnétique. Adopté par Charlie Christian, l'instrument, vendu 170 dollars (environ trois mois de salaire d'ouvrier à l'époque) complet avec son amplificateur, est le premier qui ait connu un succès commercial (504 exemplaires expédiés).

 

 

Les premières guitares électriques à corps plein, dites « solid body », par opposition à la guitare « hollow body » dont le corps présente une cavité, ont été conçues et vendues dès les années 1930 par Paul Tutmarc (Audiovox) et Rickenbacker. À partir de 1950, la guitare électrique solid body prédomine, avec les modèles Fender Telecaster, suivie en 1954 par la guitare électrique la plus répandue et copiée depuis lors : la Stratocaster, réalisations du luthier et électronicien Leo Fender, et la Gibson Les Paul conçue par le guitariste et inventeur Les Paul. Cette évolution suit le développement de la sonorisation, qui permet à de petites formations d'obtenir un niveau sonore comparable à celui des grands orchestres. La guitare solid body, moins susceptible que les électro-acoustiques et les hollow body aux sifflements de l'effet Larsen, convient mieux avec des amplificateurs électroniques à niveaux sonores élevés.

 

L'apparition des guitares électriques « solid body » reflète aussi la demande des musiciens, qui se sont rapidement aperçus que du point de vue du timbre, c'est un instrument différent de la guitare acoustique. Le son se prolonge plus longtemps (sustain), les cordes peuvent être peu tendues, permettant plus d'effets de cordes poussées (bend), le musicien peut déterminer la sonorité par plusieurs moyens, de la commutation des capteurs aux boutons de réglage de tonalité et de volume sur la guitare au réglage de la sensibilité d'entrée de l'amplificateur (overdrive). Dans le courant des années 1960, l'exploration du timbre et de ses modifications se développe avec l'invention des pédales d'effet.

 

Inventée aux États-Unis, la guitare électrique s'est diffusée tout autour de la planète, sa fabrication aussi. La facture instrumentale italienne, déjà développée dans les années 1950, s'est emparée de ce nouvel instrument, citons Eko, Davoli, Crucianelli, Meazzi, Galanti et bien d'autres. En Allemagne également, où étaient stationnés de nombreux soldats américains, de beaux instruments ont été produits ; Höfner, Hoyer… Citons aussi Hagström en Suède.

 

En France les premiers luthiers de la guitare électrique furent en 1956 les frères Jacobacci suivis en 1978 par Christophe Leduc, en 1980 par Patrice Vigier, et en 1982 par Lâg. De très nombreux artisans s'y installeront ensuite, contribuant à donner une renommée internationale à la lutherie française, citons Franck Cheval, Patrice Blanc, Maurice Dupont, Frédéric Pons et Alexandre Littee. Des luthiers français firent d'intéressantes innovations, comme la table flottante (Leduc), le manche 90/10 (90 % bois, 10 % carbone) ou le vibrato avec roulements à aiguilles (Vigier).

 

 

 
   
   
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Madonna

Madonna

 

 

Madonna Louise Ciccone est née le 16 août 1958 à Bay City dans le Michigan. Elle est la fille de Silvio « Tony » Ciccone, un italo-américainingénieur chez Chrysler et General Motors, et de Madonna Louise Fortin, d'origine franco-canadienne.

 

Son père est né en 1931 d'immigrés italiens originaires du village de Pacentro (Abruzzes) et installés aux États-Unis en 1919. Quant à sa mère, née en 1933, elle est une descendante directe de Julien Fortin, qui a émigré depuis le Perche vers la Nouvelle-France en 1650. La famille Fortin est apparentée au pionnier Zacharie Cloutier, faisant de Madonna une lointaine cousine de plusieurs personnalités québécoises dont Céline Dion, Diane Tell et Xavier Dolan. Mariés en 1955, Silvio Ciccone et Madonna Fortin auront six enfants : Anthony (né en 1956), Martin (né en 1957), Madonna (que l'on surnomme « Little Nonni » pour la distinguer de sa mère), Paula (née en 1959), Christopher (né en 1960) et Melanie (née en 1962). Élevée dans un milieu strictement catholique, Madonna prend comme prénom de confirmation Veronica, en référence à Sainte Véronique.

 

Son grand-père paternel, n'ayant aucun diplôme, dut exercer le métier de carrier pour un petit salaire, et éleva ses enfants sévèrement afin de leur apprendre la discipline, le respect et, surtout, à subsister par leur seule persévérance. Le père de Madonna appliquera la même méthode à ses enfants pour leur assurer un avenir préférable au sien.

 

En décembre 1963, à l'âge de cinq ans, Madonna perd sa mère des suites d'un cancer du sein. Sa mort sera un sujet récurrent dans ses œuvres musicales, que Madonna abordera entre autres dans les chansons Oh Father(1989) et Mother and Father (2003), et lui fera décréter qu'elle ne dépendrait jamais de personne et n'aurait aucun scrupule à se battre et à défendre sa place dans la société.

 

La jeune Madonna reste très proche de sa grand-mère, Elsie Mae Fortin (décédée le 9 mars 2011 à l'âge de 99 ans). La famille déménage ensuite dans l'agglomération de Détroit, à Rochester Hills, où Madonna poursuit avec succès ses études secondaires à la Rochester Adams High School. Son père se remarie trois ans après la mort de sa femme avec Joan Gustafson, une de ses aide-domestiques, avec qui il aura deux enfants, Jennifer et Mario (nés en 1967 et 1968). Christopher est, de toute la fratrie, le plus proche de Madonna ; il dirigera deux de ses tournées et apparaîtra dans ses premiers clips. La chanteuse est en revanche plus distante avec ses demi-frère et sœur, leur mère ne s'entendant pas bien avec Madonna qui mit du temps à accepter que son père ait des enfants avec une autre femme.

 

Très jeune, elle prend des cours de piano mais, assez vite, convainc son père de la laisser suivre à la place des cours de danse classique. Sa belle-mère l'inscrit dans une école catholique au sein de laquelle elle participe activement aux activités artistiques. Souffrant alors d'une faible estime d'elle-même, elle prend confiance en elle grâce à son professeur de danse Christopher Flynn, qui aurait été le premier à lui souligner qu'elle était belle, talentueuse et charismatique, et aurait fait naître en elle l'idée d'une carrière de danseuse à New York. Ses capacités intellectuelles lui facilitent l'accès à la prestigieuse université du Michigan, où elle reçoit une bourse d'études de danse et est un temps pom-pom girl. Malgré d'excellents résultats, elle quitte l'établissement après deux années, suscitant la déception de son père qui, s'inquiétant pour l'avenir de sa fille, prend des mesures extrêmes et décide de lui couper les vivres. Elle quitte le Michigan et s'installe alors à New York, rêvant de devenir danseuse.

 

Madonna

Très jeune, elle prend

des cours de piano

   
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Madonna : En septembre 1978

Madonna : En septembre 1978

 

 

En septembre 1978, elle arrive à New York avec 35 $ en poche, et se rend au quartier des théâtres, à Times Square, en espérant y trouver la gloire. Madonna évoquera plusieurs épisodes traumatisants à son arrivée : « Je n'y ai pas été accueillie à bras ouverts. La première année, on m'a braquée avec un pistolet. J'ai été violée sur le toit d'un immeuble, où on m'avait poussée avec un couteau dans le dos, et mon appartement a été cambriolé trois fois ». Elle devient rapidement étudiante de la très respectée danseuse classique Pearl Lang, et vit d'emplois occasionnels dans une grande précarité, esseulée et avec le peu d'argent que lui rapportent ses emplois de serveuse, danseuse ou modèle de nu. Madonna incarnera par conséquent l'image du rêve américain : réussir à partir de rien par sa seule détermination. Elle part ensuite à Durham pour décrocher une audition et suivre les cours de danse de Martha Graham et Alvin Ailey à l'American Dance Center de New York.

 

En 1979, elle fait la connaissance de Dan Gilroy, qui lui apprend la guitare. Lassée de ses relations tumultueuses avec Pearl Lang, elle laisse de côté sa carrière de danseuse pour faire de la musique et devient ainsi batteuse puis chanteuse du groupe Breakfast Club. Après bon nombre d'auditions (notamment pour Footloose et Fame), des producteurs la remarquent lors d'une audition pour Patrick Hernandez et veulent lui faire tenter sa chance en France ; elle vit alors pendant cinq mois entre Lille, Paris et Marseille, enchaînant les contrats dérisoires, mais gagnant en expérience. À nouveau lassée, elle rentre aux États-Unis en août et reprend les auditions. En octobre, elle finit par tourner dans un film à petit budget, A Certain Sacrifice de Stephen Jon Lewicki. Durant l'été 1980, elle produit son propre groupe « Emmy & The Emmys » dans le quartier de Manhattan au Music Building, avec Stephen Bray et Gary Burke, pour lequel elle écrit 14 chansons. Le groupe se produit dans les clubs, interprétant les compositions de la chanteuse.

 

Début 1981, le groupe se disloque et Madonna fait écouter une cassette à Camille Barbone, la coprésidente de Gotham Management, qui lui promet alors une carrière rock du style Pat Benatar, et produit dix titres. Selon Barbone, le talent de Madonna n'est perceptible que lorsqu'elle est sur scène : elle persuade alors Bill Lomuscio, un organisateur de concerts, de la faire jouer dans les clubs. Très vite, son style et sa façon de s'habiller vont faire des émules et ses démos intéressent alors Atlantic Records, Geffen Records et Columbia. Mais, voulant faire du funk, elle laisse tomber Gotham et retourne voir Bray. Ensemble, ils produisent une maquette de titres inspirés de la rue : Everybody, Ain't No Big Deal, Burning Up et Stay, que Madonna tente de faire jouer au club new-yorkais Danceteria (en). Mark Kamins, le DJ du club, est séduit et la présente à Seymour Stein, le PDG de Sire Records.

 

En avril 1982, elle signe avec Sire Records, filiale de Warner, qui permet la sortie de son premier 45 tours, Everybody, qui ne la fera pas connaître du grand public mais aura un certain succès dans les discothèquesaméricaines. Viendront ensuite Burning Up et Physical Attraction qui seront, encore une fois, connus principalement aux États-Unis. En juillet 1983, sort son premier album, Madonna, composé de chansons dance, pour la plupart produites par Reggie Lucas et écrites par la chanteuse elle-même. Devant le succès progressif de l'album, trois autres singles sortent, rencontrant également le succès : Holiday, Borderline, et Lucky Star. Depuis, l'album s'est vendu à plus de 10 millions d'exemplaires, dont la moitié aux États-Unis.

 

 

Madonna

Durant l'été 1980, elle produit son propre groupe « Emmy & The Emmys » dans le quartier de Manhattan au Music Building, avec Stephen Bray et Gary Burke,

   
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Madonna : C'est avec son deuxième album

Publié à 05:59 par dessinsagogo55 Tags : center tubes tube photo gif centerblog sur merci monde musique histoire art texte blogs you film
Madonna : C'est avec son deuxième album

 

 

C'est avec son deuxième album que l'artiste se fait réellement connaître internationalement. Like a Virgin, qui paraît fin 1984, s'écoulera ainsi à plus de 20 millions d'exemplaires à travers le monde, dont 10 millions aux États-Unis, grâce aux singles Material Girl, un brin controversé, AngelDress You Up et surtout Like a Virgin, titre très controversé (mélangeant sous-entendus érotiques et références religieuses) qui devient le premier vrai grand hit international de la chanteuse. Cette fois-ci, Madonna ne participe à l'écriture que pour la moitié de l'album. Le phénomène pop se répand : les jeunes filles occidentales adoptent sa coiffure et son style vestimentaire ; les sous-vêtements par-dessus et les bracelets en caoutchouc font alors des « wanabees » les premières groupies de popstar féminine.

 

En 1985, Like a Virgin est réédité avec un titre supplémentaire, le tube Into the Groove, bande originale du film Recherche Susan désespérément, dans lequel Madonna tient l'un des rôles principaux. La même année, elle épouse sur une plage privée de Malibu l'acteur Sean Penn, dont elle divorcera quatre ans plus tard. Alors que sa 1re tournée, The Virgin Tour, s'arrête dans les plus grandes villes des États-Unis et du Canada, elle participe au Live Aid avec les plus grands noms de la musique. À 26 ans, Madonna a une fortune de 50 millions de $, ce qui en fait l'une des plus jeunes multi-millionnaires au monde.


 

En 1986, alors que l'on s'attend à ce qu'elle quitte la scène, elle revient avec True Blue, album dans lequel elle s'implique davantage (elle est désormais coauteur et coproductrice de l'intégralité de l'album). Plus mature, ce disque est un nouveau succès et deviendra son album le plus vendu, avec plus de 30 millions d'exemplaires. Les cinq extraits, Live to TellPapa Don't PreachTrue BlueOpen Your Heart et La Isla Bonita, deviennent des tubesinternationaux, se classant no 1 dans la plupart des pays. Elle crée une nouvelle fois la polémique, notamment avec le clip de Open Your Heart où elle s'affiche en strip-teaseuse, et le texte de Papa Don't Preach, interprété par certains comme une chanson anti-avortement (la chanteuse dira plus tard être favorable à l'IVG). Elle coécrit ensuite avec Stephen Bray Each Time You Break My Heart, qu'elle prévoyait de chanter en solo, avant de l'offrir à Nick Kamen, en étant toutefois présente dans les chœurs.

 

En 1987, elle tient le rôle principal de la comédie Who's That Girl (qui ne trouvera pas son public), enregistre quatre chansons pour la BO du film(dont les singles Who's That GirlCausing a Commotion et The Look of Love) et se lance dans une 1re tournée mondiale, le Who's That Girl Tour, traversant le Japon, les États-Unis et l'Europe. Le 29 août, devant 130 000 spectateurs (un record à l’époque pour ce type de spectacle) au Parc de Sceaux, elle fait sensation en jetant sa culotte au public. Les recettes de ce gigantesque spectacle sont reversées à l’association de Line Renaud pour la lutte contre le Sida. L'année suivante, elle joue à Broadway dans la pièce de théâtre Speed the Plow de David Mamet, aux côtés de Joe Mantegna et Ron Silver. La pièce sera un échec critique.

 

En mars 1989, l'album Like a Prayer marque une rupture par rapport aux précédents opus : Madonna, qui a alors trente ans, s'implique plus largement dans la production, opte pour un son plus acoustique, et se dévoile davantage dans ses textes. Le premier single, Like a Prayer, est un nouveau succès, mais le clip fait scandale dans les milieux catholiques : certains groupes extrémistes n'hésitent pas à la qualifier de satanique, et l'Église catholique interdit le clip en Italie. Cette polémique n'empêche pas l'album Like a Prayer d'être no 1 dans le monde pendant plusieurs semaines, porté par les singles Express Yourself (dont le clip, réalisé par David Fincher, rend hommage à Metropolis, et est à l'époque le clip le plus cher de l'histoire), Cherish et Oh Father

 

 

 

Madonna

C'est avec son deuxième album que l'artiste se fait réellement connaître internationalement

   
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BIOGRAPHIE   Madonna
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ACTU   Madonne fête-elle la fin de son règne?
   
   
   
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CREATION (S) 1 X X X X X X X X 10  11 12 X X X X X X X X X X X X X
                                                   
                                                   
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NAISSANCE   16 août 1958
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Madonna : En 1990, elle décroche un second rôle

Madonna : En 1990, elle décroche un second rôle

 

 

En 1990, elle décroche un second rôle aux côtés de Warren Beatty dans Dick Tracy et sort l'album I'm Breathless, inspiré du film et rendant hommage au jazz et au blues des années 1930. Le premier single, Vogue, qui fait référence au voguing (danse pratiquée dans les clubs gay new-yorkais), reste l'un de ses plus grands succès, et est considéré comme l'une des chansons les plus marquantes des années 1990. Madonna, au sommet de sa gloire, se lance au printemps dans une deuxième tournée mondiale, le Blond Ambition Tour, qui sera très controversée : pour avoir simulé un acte de masturbation durant Like a Virgin, elle doit faire face à l'annulation d'une date en Italie par le Vatican et à une tentative d'arrestation par la police de Toronto. En fin d'année, elle sort son premier Best of, The Immaculate Collection qui bat tous les records de vente (plus de 30 millions d'exemplaires, record absolu de ventes pour un Best of). Le clip du single Justify My Love fait scandale, et est interdit de diffusion sur MTV ; sorti en VHS, il sera l'une des vidéos musicales les plus vendues de la décennie.

 

En 1991, elle crée l’événement avec la sortie du documentaire Truth or Dare: In Bed with Madonna, retraçant les coulisses et les scandales de la tournée Blond Ambition Tour. Il sera projeté hors-compétition au festival de Cannes en présence de Madonna et du réalisateur Alek Keshishian.

 

En 1992, elle fonde sa propre société de production, Maverick Records. Le premier produit lancé est SEX, un recueil de photos érotiques mettant en scène la chanteuse. La presse accueille très mal l’ouvrage, mais les ventes du livre (dont le tirage est limité) explosent. En octobre, paraît son cinquième album, Erotica. Jazzy, sombre et volontairement froid, il est soutenu par les singles Erotica (dont le clip hot choquera le public et sera censuré dans de nombreux pays), Deeper and Deeper, Bad Girl, Fever, Rain et Bye Bye Baby. Dès sa sortie, le disque est descendu par les médias qui ne retiennent que le caractère sexuel de certaines chansons. L'album rencontre moins de succès que les précédents opus de la chanteuse. La sortie en salles, peu après, du thriller érotique Body dans lequel elle joue, ne fait qu'accentuer la lassitude du public qui juge que Madonna en fait trop dans le genre érotique. Le film fera également un flop au box-office. Elle enregistre également en 1992 le single This Used to Be My Playground pour le film Une équipe hors du commun dans lequel elle joue : ce sera son 10no 1 au Billboard Hot 100.

 

En 1993, consciente de sa mauvaise image (certains critiques la voient s'enfermer dans un climat « porno-soft »), elle part à la reconquête du public avec The Girlie Show World Tour, un spectacle parodique et sexy dans lequel elle rend hommage à ses idoles et revisite ses tubes. La tournée est un gros succès mondial et Madonna se produit pour la première fois sur les cinq continents. À la fin de l'année, elle joue dans Snake Eyes d'Abel Ferrara, qui sera un échec commercial.

 

En 1994, elle décide de concocter un album sur la tendance musicale du moment et convoque les producteurs américains les plus en vue (Nelle Hooper, Babyface, Dallas Austin) et Björk. Sur ce disque, Bedtime Stories, Madonna chante l’amour et en profite pour revenir sur les polémiques de l'époque SEX (dans Human Nature, elle déclare n’avoir « absolument aucun regret »). Malgré ce nouveau visage et des sonorités R&B très à la mode, Bedtime Stories ne convainc pas vraiment : les ventes de l'album, bien que correctes, ne sont pas celles escomptées, et seuls deux singles rencontrent le succès (Secret et Take a Bow, qui reste sept semaines no 1 aux États-Unis). Cet album lui ouvrira toutefois les portes du monde electro et lui donnera l’élan nécessaire pour l’écriture de Ray of Light, quatre ans plus tard.

 

 

Madonna  
   
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Madonna : La campagne publicitaire pour Versace

Madonna : La campagne publicitaire pour Versace

 

 

En 1995, Madonna collabore à la campagne publicitaire pour Versace et sort Something to Remember, une compilation de ses ballades agrémentée de trois inédits : I Want You (reprise de Marvin Gaye, en collaboration avec Massive Attack), You'll See et One More Chance.

 

En 1996, alors qu'elle entame sa première grossesse et après des négociations avec le peuple argentin, elle incarne Eva Perón, célèbre épouse du président Juan Perón, dans le film Evita, adaptation de la comédie musicale du même nom. Les trois singles extraits de la bande originale, Don't Cry for Me Argentina (reprise du classique de Julie Convington), You Must Love Me et Another Suitcase in Another Hall, seront très bien accueillis. Si le film ne connaît pas le succès attendu, il permet à Madonna de remporter un Golden Globe (meilleure actrice). Le 14 octobre, elle donne naissance à son premier enfant, Lourdes Maria Ciccone Leon, dont le père est Carlos Leon, son coach sportif.

 

En 1998, sort Ray of Light, fruit de la collaboration avec le producteur William Orbit. Inspirée par la naissance de sa fille et les recherches de réponses philosophiques qu'elle a entraînées, Madonna, désormais quadragénaire, se montre moins provocatrice. L'album, apaisé, oscillant entre pop et electro permet à l'artiste de renouer avec le succès à très grande échelle et de (re)gagner le respect de la critique, qui le considère comme l'un de ses meilleurs disques. Ray of Light remporte de nombreux prix, dont quatre Grammy Awards en 1999. Les titres Frozen, Ray of Light, Drowned World/Substitute for Love, The Power of Good-Bye et Nothing Really Matters en sont extraits, se classant dans le haut des charts dans le monde entier.


 

En 1999, elle enregistre la chanson Beautiful Stranger pour le film Austin Powers 2 : L'Espion qui m'a tirée, et commence une relation avec le cinéaste britannique Guy Ritchie. Au printemps 2000, elle est à l'affiche du film Un couple presque parfait, aux côtés de Rupert Everett. Si cette comédie est un échec commercial cuisant, le single extrait, American Pie, se classera no 1 dans plusieurs pays. Le 11 août, elle donne naissance à son deuxième enfant, Rocco John Ritchie. En septembre, elle fait une nouvelle incursion dans la musique électronique et sort l'album Music. Bien qu'elle fasse appel une nouvelle fois à William Orbit, elle se repose davantage sur le producteur Mirwais Stass ; guitares sèches et vocoder caractérisent cet album qui jongle entre ballades acoustiques et morceaux électro. Dès sa sortie, l'album est un succès mondial, et le single Music devient son 12e titre classé no 1 aux États-Unis. Deux autres singles sont commercialisés : Don't Tell Me et What It Feels Like for a Girl (dont la vidéo, réalisée par Guy Ritchie, sera jugée trop violente et censurée par plusieurs chaînes de télévision). En décembre, Madonna se marie avec Guy Ritchie, obtenant ainsi la nationalité britannique, et déménage à Londres.

 

En juin 2001, après huit ans d'absence sur scène, Madonna donne à Barcelone le coup d'envoi du Drowned World Tour, un spectacle sophistiqué et plus sombre que les précédents qui fait la part belle à ses deux derniers albums. En fin d'année, paraît son deuxième best-of, GHV2.

 

En 2002, elle est de retour sur les planches en jouant dans Up for Grabs à Londres, et tente une nouvelle incursion au cinéma sous la direction de son mari dans le film À la dérive, qui sera un échec commercial dès sa sortie. Elle fait également une courte apparition dans le 20e James Bond, Meurs un autre jour, pour lequel elle interprète le titre-phare, Die Another Day, dont le clip est le deuxième plus coûteux de l'histoire

 

 

 

Madonna no 1 dans plusieurs pays
   
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Madonna : En 2003

Madonna : En 2003

 

 

En 2003, sort l'album American Life. Coproduit par Mirwais Stass, il est marqué par l'opposition de Madonna à la guerre en Irak et à la politique de George W. Bush : elle apparaît sur la pochette de l’album sous les traits du révolutionnaire Che Guevara devant un drapeau américain déstructuré, et le clip du single American Life la met en scène en sergent-major jetant une grenade à un sosie du président américain. Les radios et les chaînes télévisées pro-Bush (comme la Fox) appellent au boycott de l’album, et le public américain lui tourne le dos. Devant ce retournement de situation, Madonna essaie de calmer le jeu et censure elle-même son clip en le remplaçant par une version édulcorée. Contrairement à Justify My Love ou Erotica, ce clip musical n'a jamais été commercialisé.

 

Elle marque les esprits lors des 20es Video Music Awards">MTV Video Music Awards en embrassant sur la bouche Britney Spears et Christina Aguilera56 mais ni cet énorme coup de pub, ni sa participation au titre Me Against The Music de Britney Spears n'augmenteront les ventes d'American Life dans le reste du monde, qui sera globalement considéré comme un échec commercial. C’est en France que l'opus trouvera vraiment son public, aidé par les diffusions radios effrénées des singles Hollywood, Nothing Fails et Love Profusion (dont le clip est réalisé par Luc Besson).

 

En septembre, Madonna présente son premier livre pour enfants, The English Roses, dont les bénéfices sont reversés à une association d'aide aux orphelins, et qui connaît un gros succès en librairie. En revanche, les suivants passeront complètement inaperçus.

 

En 2004, elle lance sa tournée, le Re-Invention Tour. Les 58 dates sont complètes en quelques heures et c’est durant ce périple qu'est réalisé un nouveau documentaire, You a Secret">I'm Going to Tell You a Secret, réalisé par Jonas Åkerlund, retraçant la conception et les coulisses de la tournée, et donnant l'image d'une Madonna proche de ses danseurs et de ses enfants, plus posée, et surtout plus spirituelle que dans In Bed with Madonna.

 

Le 2 juillet 2005, elle accepte à nouveau l'invitation de Bob Geldof et participe au concert du Live 8, dont le but est d'attirer l'attention sur la situation en Afrique. En novembre, sort Confessions on a Dance Floor, écrit et composé avec le jeune producteur anglais Stuart Price, dont la mission principale est de faire « bouger les gens ». Caractérisé par un son néo-disco (une sorte de revival des années 1970-80 assaisonné à la sauce pop/dance), l'album est un énorme succès : il se classe no 1 dans 35 pays et remporte plusieurs prix, dont un Grammy Award. Le 1er single, Hung Up (qui contient un sample d’ABBA), connaît le même succès et se retrouve no 1 dans 45 pays (un record), suivi par les singles Sorry, Get Together et Jump.

 

En 2006, Madonna donne le coup d'envoi de sa septième tournée mondiale, le Confessions Tour : avec 60 dates à travers l'Amérique du Nord, l'Europe et l'Asie, la tournée engrange des revenus de 194 millions de dollars et renoue avec la provocation. Madonna apparait crucifiée pendant l'interprétation de Live to Tell et choque plusieurs communautés religieuses : entre autres, le Vatican juge la performance « blasphématoire », le représentant du pape Benoit XVI appelant à son excommunication, et les orthodoxes russes dénoncent « une parodie de la crucifixion du Christ ». Elle entrainera d'autres incidents (fausse alerte à la bombe aux Pays-Bas, menaces d'enlèvement par la mafia russe, possibilités d'actions en justice en Allemagne...), ce qui n'empêchera pas la chanteuse d'assurer la totalité des concerts.

 

En octobre, elle s'envole pour le Malawi pour aider à construire un orphelinat, et y entame des démarches pour adopter un bébé, David.

 

 

 

Madonna En octobre, elle s'envole pour le Malawi pour aider à construire un orphelinat, et y entame des démarches pour adopter un bébé, David.
   
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