Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
23.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Vassiliï Nikititch Tatichtchev (en russe : Василий Никитич Татищев) est un historien et géographe russe né le 19 avril 1686 et mort le 26 juillet 1750.
Biographie
Il est attaché au collège des mines et remplit pour ce service diverses missions en Sibérie et en Suède. En 1734, il établit un formulaire de 82 questions traitant de la géographie, de la nature, de l'histoire, des peuples et des langues de la Russie qu'il envoie aux voïvodes et aux chancelleries avant de le faire traduire en allemand pour Gerhard Friedrich Müller et Johann Georg Gmelin.
Il devient grand maître des mines en 1737 et rédige le code minier de la Russie ainsi que la deuxième version de son formulaire comprenant cette fois 98 questions dont la paléontologie, les maladies, l'artisanat, mœurs des indigènes , etc.. Il est considéré comme cofondateur de la ville d'Ekaterinbourg avec Georg Wilhelm Henning et un monument leur est élevé en leur hommage dans cette ville, place du Travail.
Il est connu pour avoir été le premier à proposer que l'on considère que l'Europe s'étende à l'Est jusqu'aux monts de l'Oural. Jusqu'alors, les cartographes européens la bornaient au cours du fleuve Don. Il répondait ainsi à la volonté du tsar Pierre Le Grand d'y faire inclure la Russie moscovite, dans un contexte où les géographes de l'époque des Lumières valorisaient les reliefs comme supports de limites régionales.
Il a laissé une Histoire de Russie, qu'il n'a pu achever et qui a été publiée par Gerhard Friedrich Müller, à Moscou, 1769-1784, en 4 volumes in-4°. Il est aussi l'auteur d'un Atlas de la Sibérie, 1745.
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Catherine II (en russe : Екатерина II) ou Catherine la Grande (Екатери́на Вели́кая), à la naissance Sophie Frédérique Augusta d'Anhalt-Zerbst, née le 2 mai 1729 à Stettin en Poméranie (aujourd'hui Szczecin en Pologne) et morte le 17 novembre 1796note 3 à Saint-Pétersbourg, épouse du prince puis empereur Pierre III (1728-1762), est impératrice de Russie de 1762 à 1796, à la suite d'un coup d'État (9 juillet 1762), suivi de l'incarcération de Pierre III, puis de son exécution (17 juillet) par un proche de Catherine.
Recevant le prénom de Catherine lors de son baptême orthodoxe, nécessaire avant son mariage avec le prince Pierre, elle devient impératrice consort après l'avènement de ce dernier (5 janvier 1762). Après son coup d'État, elle se fait proclamer « impératrice et autocrate de toutes les Russies ».
Elle règne personnellement sur l'Empire russe du 9 juillet 1762 à sa mort. Sous son règne, la Russie connaît une grande expansion territoriale vers l'ouest et le sud (plus de 500 000 km2), notamment à l'occasion des trois partages de la Pologne (1772, 1793 et 1795) et de guerres victorieuses contre l'Empire ottoman.
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Michel Alexandrovitch de Russie (en russe : Михаил Александрович Романов, Mikhaïl Aleksandrovitch Romanov) est un grand-duc de Russie, membre de la dynastie des Romanov, né le 22 novembre 1878 à Saint-Pétersbourg et mort assassiné le 12 juin 1918 à Perm dans l'Oural.
Il fut l'héritier présomptif du trône de 1899 à 1904, pendant une période où son frère le tsar Nicolas II n'avait pas encore d'héritier mâle. Il fut aussi membre du Conseil d'État (1901), membre du Conseil des ministres (1902), inspecteur général de cavalerie (19 janvier 1917), général de division de l'armée impériale de Russie pendant la Première Guerre mondiale. Après l'abdication de son frère, il a été tsar pendant 24 heures du 15 au 16 mars 1917, sous le nom de Michel II (en russe : Михаил II/Mikhaïl II), avant de renoncer au trône.
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Fils du tsar Alexis Ier (1629-1676), il règne conjointement avec son demi-frère Ivan V durant la première partie de son règne (1682-1696). À la mort de celui-ci, il se lance dans un grand tour de l'Europe durant lequel il se rend compte du grave retard de son pays sur le reste du continent. Il va alors s'efforcer de rapprocher son pays des mœurs occidentales, quitte à sacrifier une partie des traditions de sa terre natale. Par sa volonté d'écraser la noblesse et le clergé, il reste dans les mémoires comme un grand modernisateur, faisant entrer la Russie dans l'âge de l'absolutisme.
En politique extérieure, Pierre se lance dans la longue grande guerre du Nord (1700-1721) durant laquelle il est opposé à l'Empire suédois de Charles XII. Après plusieurs revers comme à la bataille de Narva, il réussit finalement à écraser l'armée suédoise à la bataille de Poltava (1709). Après cette victoire, il faut encore douze ans de combat pour que la Suède signe le traité de Nystad. La Russie gagne avec celle-ci un accès à la mer Baltique en annexant l'Ingrie, l'Estonie et la Livonie. Pierre se fait alors proclamer « grand », « père de la patrie » et « imperator ».
Pierre joua ainsi un grand rôle dans la construction d'un État russe moderne en déplaçant sa capitale de Moscou à Saint-Pétersbourg, ville qu'il fonda en 1703. Sa politique expansionniste et ses réformes ont fait de la Russie une puissance européenne.
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Alexandre Stepanovitch Popov (en russe : Александр Степанович Попов ; 16 mars 1859 - 13 janvier 1906), est un physicien et ingénieur russe, précurseur de la radio.
Né dans une petite ville de l’Oural, Krasnotourinsk (Oblast de Sverdlovsk), ce fils de prêtre s’intéressa très jeune aux sciences naturelles. Son père voulait qu’Alexandre fasse sa prêtrise et l'envoya au Séminaire d’Ekaterinbourg. Mais le jeune homme continua d'y cultiver l'étude des sciences et des mathématiques : au lieu de s'inscrire à l’école de Théologie, il s'inscrivit en 1877 à l’Université de Saint-Pétersbourg où il étudia la physique. Diplômé avec félicitations en 1882, l'université lui offrit un poste de préparateur ; mais sa rémunération ne lui permettant pas de subvenir à l'entretien de sa famille, il postula en 1883 pour l'emploi de chargé de cours et chef de laboratoire à l’École des torpilleurs de Kronstadt, dans l’île fortifiée de Kotline.
La bibliothèque fournie de l'école militaire et l'excellent équipement de son laboratoire donnaient toute latitude à Popov pour se consacrer à sa passion, le domaine nouveau des ondes hertziennes. Quelques années plus tôt, en 1888, le physicien allemand Heinrich Hertz avait montré comment créer ces perturbations électromagnétiques, et comment les détecter. En ce début des années 1890, Popov, comme bien d'autres chercheurs en Europe, se propose de poursuivre ce travail.
Circuit électrique du récepteur radio de Popov.
L'une des radios de Popov.
Récepteur Popov à cohéreur.
Popov lut le récit de l'expérience de Lodge, et entreprit la conception d'un récepteur longue-portée pouvant servir de détecteur de foudre, en détectant les impulsions électromagnétiques des éclairs. Il adapta le cohéreur de Lodge de façon à réinitialiser le circuit après chaque réception de signal (diagramme du circuit à gauche). Le cohéreur (C) était connecté à un relai (R) et à une pile (V), mettant en vibration le bras d'une sonnerie électrique (E). Lorsqu'une onde radio armait le cohéreur, ce bras le réinitialisait immédiatement, tout en déclenchant une sonnerie (B). Innovation plus hardie encore, Popov, pour améliorer la sensibilité du récepteur, y raccorda le fil d'un paratonnerre : c'était l'acte de naissance de l'antenne filaire (A), antenne tendue dans l'air jusqu'à la terre (G). Comme Lodge et Hertz n'utilisaient que de petites antennes dipôles ou une antenne boucle, on attribue à Popov l’invention de l’antenne long-fil.
Simultanément, en Italie, Guglielmo Marconi mettait au point un dispositif très similaire à celui de Popov : un émetteur à étincelles et un cohéreur à réinitialisation automatique. À la mi-1895 il était parvenu à transmettre des signaux jusqu'à 2 400 mètres. D'autres inventeurs à travers le monde commençaient à obtenir des résultats comparables : citons l'Indien Jagadish Chandra Bose (1894, 100 mètres), en Autriche-Hongrie Nikola Tesla (1893), et au Brésil le R. P. Landell de Moura (1893, 8 km).
Le 7 mai 1895 Popov présenta son récepteur à la Société Russe de Physique et de Chimie de Saint-Pétersbourg, et montra comment détecter les signaux d'un émetteur à étincelles. Depuis, la plupart des pays d’Europe de l'Est considèrent Popov comme le pionnier de la radio, et depuis 1945 le 7 mai est fêté en Russie comme la « Journée de la Radio » ; Pourtant, rien ne prouve que ce jour-là, Popov fût parvenu à reconnaître un signal clair. En vérité, le premier rapport de Popov d'une authentique communication radio est l'expérience publique qu'il fit le 24 mars 1896 à la Société de Physique et de Chimie : il parvint à recevoir distinctement en code Morse, à 250 m de distance, le message HEINRICH HERTZ, que le président de la société retranscrivit sur un tableau noir. Durant l'été 1895, Marconi était lui-même parvenu à transmettre des messages radio sur plus d'un kilomètre (expérience de Salvan), et c'est la raison pour laquelle les sources occidentales donnent la priorité d'invention à Marconi ; Kronstadt étant une base militaire, Popov s'était engagé à ne pas publier ses travaux, si bien que ses auditeurs ne purent évoquer ses expériences que bien des années plus tard1 : aussi ne disposons-nous d'aucune source contemporaine des événements de 1896.
L'article de Popov décrivant ses expériences: « Sur la réaction de la grenaille métallique aux oscillations électriques », parut le 15 décembre 1895. Il ne déposa aucun brevet pour son invention. Au mois de juillet 1895 il installa son récepteur équipé d'un enregistreur à rouleau sur les toits de l'Institut Forestier de Saint-Pétersbourg et parvint à détecter un orage distant de 50 km. Son article, dont il donna lecture le 7 mai 1895, conclut par l'appréciation suivante : « Permettez-moi d'exprimer le vœu que mon appareil soit utilisé un jour pour transmettre des signaux à longue distance par des vibrations à haute fréquence, dès que l'on disposera d'un générateur assez puissant pour créer de telles vibrations ».
En 1896, l’article décrivant l'invention de Popov fut réimprimé dans le Journal de la Société Russe de Physique et de Chimie. En mars 1896, il effectua la transmission d'ondes radio entre différents bâtiments du campus de Saint-Pétersbourg. En novembre 1897, l’entrepreneur français Eugène Ducretet construisit en laboratoire un émetteur et un récepteur radio conçus pour la télégraphie sans fil. Ducretet indiqua qu’il avait construit ses appareils en s'inspirant du détecteur de foudre de Popov. Dès 1898, Ducretet fabriquait des appareils de télégraphie sans fil d'après les indications de Popov. Au même moment, Popov effectuait une communication depuis le large sur une distance de 6 milles (9,656064 km) en 1898 et de 30 milles (48,28032 km) en 1899.
Timbre soviétique de 1989 commémorant le pionnier de la radio Alexandre Popov. Le texte est : « A. S. Popov, 1859-1906. Démonstration du premier poste de radio, 1895 ».
En 1900, on construisit sur l’île de Hogland (Suursaari) une station de radio sur les instructions de Popov, pour permettre l’émission-réception par télégraphe sans fil entre la base navale russe et l’équipage du cuirassé Amiral général Apraxine. Le vaisseau s'était échoué sur l'île de Hogland dans le Golfe de Finlande en novembre 1899. L’équipage de l’Apraxine n'était pas en danger immédiat, mais la mer commençait à geler. Par suite des mauvaises conditions météorologiques et des lenteurs bureaucratiques, on ne put établir de contact radio depuis la station de l'île de Hogland avec l’équipage de l’Apraxine qu'en janvier 1900. Le 5 février, cependant, on parvint à recevoir des messages clairs. Ces messages étaient relayés vers l'île de Hogland par une station située à 25 milles (40,2336 km) au large de Kymi (aujourd'hui Kotka) sur la côte finnoise. Le choix de Kotka venait de ce que c'était le point le plus proche de l’île de Hogland, connectée au quartier-général de la Marine.
Lorsque l’Apraxine fut dégagé par le brise-glaces Yermak à la fin d’avril, 440 messages officiels avaient été télégraphiés par le relai de l'île de Hogland. Outre le sauvetage de l’équipage de l’Apraxine, le brise-glaces Yermak permit l'évacuation de plus de 50 pêcheurs finnois dérivant sur un glacier à travers le Golfe de Finlande grâce à la réception de messages de détresse envoyés par ondes hertziennes. En 1900, Popov pouvait déclarer (lors du Congrès des ingénieurs électriciens de Russie),
« [...] l’émission et la réception de signaux par Marconi grâce aux oscillations electriques[n'avait] rien de nouveau. En Amérique, le célèbre ingénieur Nikola Tesla avait fait les mêmes expériences dès 1893. » En 1901 Alexander Popov fut nommé professeur de l’Institut Électrotechnique, qui porte aujourd'hui son nom.
En 1905 on l'élit directeur de l’institut, mais à la fin de cette même année, bouleversé par la répression féroce des émeutes estudiantines, il fut frappé d'une congestion et mourut d'une hémorragie cérébrale le 13 janvier 1906.
Alexandre Popov est enterré au cimetière Volkovo à Saint-Pétersbourg.
Postérité
Monument à l'inventeur de la radio A. S. Popov dans la ville d'Ekaterinbourg.
En 1949, sa vie est portée à l'écran par Herbert Rappaport et Viktor Eisymont dans le film biographique Alexandre Popov (en) où son rôle est incarné par Nikolaï Tcherkassov.
Une planète mineure, (3074) Popov, découverte par l’astronome soviétique Lioudmila Jouravliova en 1979, porte son nom.
Lors du congrès 2011 de l’Union internationale des télécommunications, Igor Chtchyogolev, ministre des Télécommunications et des mass media de la fédération de Russie avec le Dr Hamadoun Touré, Secrétaire général de l’UIT, a inauguré la salle de conférence « Alexander Stepanovich Popov » au quartier-général de l'Association à Genève.
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Le prince Gueorgui Ievguenievitch Lvov ou Georges Lvoff (en russe : Георгий Евгеньевич Львов, ISO 9 : Georgij Evgen'evič L'vov), né le 10 octobre 1861 à Dresde et mort le 6 mars 1925 à Boulogne-Billancourt, est un homme d'État russe, membre du Parti constitutionnel démocratique, président du gouvernement provisoire de la Russie du 23 mars au 7 juillet 1917.
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Le MAZ-7912/MAZ-7917 (en russe : МАЗ-7912/МАЗ-7917 ) est un camion lance-missiles/tracteur-érecteur-lanceur soviétique et russe conçu et développé par l'usine automobile de Minsk (MAZ) en Biélorussie.
Historique
Développé principalement pour une utilisation de déploiement et de lancement du missile Topol-M, le modèle 7912 est de conception similaire au MAZ-547, mais dispose de sept essieux au lieu de six, dont un fixe.
Dans le milieu des années 1980, la variante MAZ-7917 a été introduite, avec une longueur augmentée d'un mètre et agrémentée d'une cabine semblable à celle du MAZ-7916.
À l'heure actuelle, la variante 8-essieux MZKT-7992 est utilisée pour transporter les missiles Topol-M et le MZKT-79921 le RS-26 Rubzeh, le RS-24 Yars et le futur RS-28 Sarmat.
Annexes
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Nicolas II (en russe : Николай II), né Nikolaï Alexandrovitch Romanov (en russe : Николай Александрович Романов, en transcription universitaire Nikolaj Aleksandrovič Romanov) le 6 mai 1868 (18 mai dans le calendrier grégorien) au palais de Tsarskoïe Selo et assassiné le 17 juillet 1918 à Iekaterinbourg, est un empereur de Russie de la dynastie des Romanov. Il est « tsar de toutes les Russies », également roi de Pologne et grand-duc de Finlande, du 1er novembre 1894 à son abdication le 15 mars 1917.
Sous son règne, la Russie connaît un essor économique, social, politique et culturel sans précédent, commencé sous le règne de son père, Alexandre III. Les serfs ont été libérés pendant le règne de son grand-père Alexandre II et les impôts allégés. Le Premier ministre Piotr Stolypine réussit à développer une classe de paysans riches. Le pays devient la troisième ou quatrième puissance économique mondiale et possède le troisième réseau ferroviaire après les États-Unis et le Canada. Le rouble devient une monnaie convertible et outre un nombre important de marchands et d'industriels, l'Empire possède désormais ses propres financiers qui sont souvent des mécènes. Sur le plan culturel, la Russie connaît alors un « âge d'argent », et prend la deuxième place dans le domaine de l'édition de livres. De nouvelles universités, des écrivains, sculpteurs, peintres, danseurs sont à l'époque connus dans le monde entier.
Le gouvernement provisoire, ne sachant trop quoi faire de lui, l'enferme avec sa famille dans le palais Alexandre à Tsarskoïe Selo, puis dans la maison du gouverneur à Tobolsk, et finalement dans la villa Ipatiev, à Iekaterinbourg. Pendant la guerre civile russe, Nicolas II, son épouse, son fils, ses quatre filles, le médecin de la famille, son domestique personnel, la femme de chambre et le cuisinier sont assassinés par des bolcheviks dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918. À la suite de l'assassinat des Romanov, le Concile de l'Église orthodoxe russe canonise la famille impériale en la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou le 20 août 2000.
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Dmitri Anatolievitch Medvedev ou Dimitri Medvedev (en russe : Дми́трий Анато́льевич Медве́дев [ˈdʲmʲitrʲɪj ɐnɐˈtolʲjɪvʲɪtɕ mʲɪˈdvʲedʲɪf]), né le 14 septembre 1965 à Léningrad, est un homme d'État russe.
Premier vice-président du gouvernement russe à partir de 2005, il est élu à la présidence de la fédération de Russie en 2008. Il nomme alors à la présidence du gouvernement son prédécesseur, Vladimir Poutine, qui ne pouvait effectuer plus de deux mandats consécutifs.
En tant que chef de l’État, il mène une politique plus tournée vers le libéralisme et la technologie. Il s'efface au profit de Vladimir Poutine pour l'élection présidentielle de 2012.
Il est nommé à son tour président du gouvernement en 2012, lorsque Vladimir Poutine retrouve les fonctions de président de la Russie. Dmitri Medvedev devient par ailleurs président du parti présidentiel, Russie unie. Il est reconduit dans ses fonctions en 2018, après la réélection de Vladimir Poutine. Il démissionne de la tête du gouvernement en 2020 et est nommé vice-président du Conseil de sécurité. Auparavant vu comme une figure modérée et libérale, il se radicalise durant l'invasion de l'Ukraine par la Russie et, tout au long du conflit, il fait à maintes reprises de virulentes et violentes déclarations anti-occidentales et anti-ukrainiennes.
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Alexandre II (en russe : Александр II Николаевич) (Moscou, 29 avril 1818 – Saint-Pétersbourg, 13 mars 1881), empereur de Russie (3 mars 1855 – 13 mars 1881), dit « le Libérateur », est également grand-duc de Finlande et roi de Pologne jusqu'en 1867, date à laquelle la Pologne est formellement annexée par l'Empire russe.
Il est principalement connu pour ses réformes, notamment l'abolition du servage. Malgré les grandes réformes libérales mises en place, il est assassiné, le 1er mars 1881 (13 mars dans le calendrier grégorien), lors d'un attentat organisé par le groupe terroriste russe Narodnaïa Volia.
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