Date de création : 09.04.2012
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19.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Alexandre II (en russe : Александр II Николаевич) (Moscou, 29 avril 1818 – Saint-Pétersbourg, 13 mars 1881), empereur de Russie (3 mars 1855 – 13 mars 1881), dit « le Libérateur », est également grand-duc de Finlande et roi de Pologne jusqu'en 1867, date à laquelle la Pologne est formellement annexée par l'Empire russe.
Il est principalement connu pour ses réformes, notamment l'abolition du servage. Malgré les grandes réformes libérales mises en place, il est assassiné, le 1er mars 1881 (13 mars dans le calendrier grégorien), lors d'un attentat organisé par le groupe terroriste russe Narodnaïa Volia.
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Igor Fiodorovitch Stravinsky (en russe : Игорь Фёдорович Стравинский), né le 17 juin 1882 à Oranienbaum en Russie et mort le 6 avril 1971 à New York aux États-Unis, est un compositeur, chef d'orchestre et pianiste russe (naturalisé français en 1934, puis américain en 1945) de musique moderne, considéré comme l'un des compositeurs les plus influents du xxe siècle.
L'œuvre de Stravinsky s'étend sur près de soixante-dix années. Elle se caractérise par sa grande diversité de styles. Le compositeur accède à la célébrité par la création de trois ballets dont il compose la musique pour les Ballets russes de Diaghilev : L'Oiseau de feu (1910), Petrouchka (1911) et son œuvre maîtresse Le Sacre du printemps (1913) qui ont eu une influence considérable sur la façon d'aborder le rythme en musique classique. Dans les années 1920, sa production musicale prend un virage néoclassique et renoue avec des formes traditionnelles (concerto grosso, fugue et symphonie). Dans les années 1950, enfin, Igor Stravinsky explore les possibilités de la musique sérielle.
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Anna Pavlovna Romanova (en russe : Анна Павловна) , née le 18 janvier 1795 à Saint-Pétersbourg et morte le 1er mars 1865 à La Haye, est une grande-duchesse de Russie devenue reine consort des Pays-Bas par son mariage avec Guillaume
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Le comte Fiodor Fiodorovitch Buxhoeveden, également orthographié Buxhöwden, en russe : Федор Федорович Буксгевден, né Friedrich Wilhelm von Buxhoeveden le 4 septembre 1750 à l'île de Muhu, comté d'Ösel, dans l'actuelle Estonie, décédé le 23 août 1811 au château de Lohde dans le gouvernement d'Estland (aujourd'hui à Koluvere, petit village d'Estonie, dans la province de Laan région de l'Ouest au nord-ouest de l'Estonie actuelle).
Général d'infanterie germano-balte, il fut gouverneur de Varsovie (1792), administrateur de la Pologne (1793), gouverneur de la Baltique (1803) gouverneur militaire de Saint-Pétersbourg de juin 1797 à août 1798.
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Alexeï Anatolievitch Navalny (en russe : Алексей Анатольевич Навальный, /ɐlʲɪkˈsʲej ɐnɐˈtolʲjɪvʲɪtɕ nɐˈvalʲnɨj/), né le 4 juin 1976 à Boutyne dans l'oblast de Moscou et mort le 16 février 2024 au centre pénitentiaire de Kharp en Iamalie, est un avocat, militant anti-corruption, leader d'opposition et prisonnier politique russe. Il organise des manifestations anti-gouvernementales et se présente aux élections pour plaider en faveur de réformes contre la corruption en Russie et contre le président Vladimir Poutine et son gouvernement. Navalny est membre du Conseil de coordination de l’opposition russe. Il est le dirigeant du parti Russie du futur et fondateur de la Fondation anticorruption (FBK). Il est reconnu par Amnesty International comme prisonnier d'opinion et reçoit le prix Sakharov pour son activité en faveur des droits de l'homme.
En 2021, Navalny compte plus de six millions d'abonnés YouTube. Grâce aux réseaux sociaux, il publie avec son équipe des documentaires sur la corruption en Russie, organise des manifestations et promeut ses campagnes politiques. Dans une interview à la radio en 2011, il décrit le parti au pouvoir Russie unie comme le « parti des escrocs et des voleurs », qui devient une épithète populaire. Navalny et la FBK publient des enquêtes détaillant les allégations de corruption de la part de hauts responsables russes et de leurs associés.
En juillet 2013, Navalny est condamné avec sursis pour détournement de fonds. En décembre 2014, Navalny reçoit une autre peine avec sursis pour détournement de fonds. Ses deux affaires pénales sont largement considérées comme étant politiquement motivées et destinées à l'empêcher de se présenter aux élections futures. La Cour européenne des droits de l'homme statue ultérieurement que ces affaires violaient le droit de Navalny à un procès équitable, mais les peines n'ont jamais été annulées.
Il est autorisé à se présenter aux élections municipales de Moscou de 2013 et termine deuxième, avec 27 % des voix, dépassant les attentes mais perdant face au maire sortant Sergueï Sobianine, nommé par Vladimir Poutine. En décembre 2016, Navalny lance sa campagne présidentielle pour l'élection présidentielle de 2018, mais il est exclu par la Commission électorale centrale en raison de sa condamnation pénale antérieure ; la Cour suprême russe rejette son appel par la suite. En 2017, il publie le documentaire Ne l'appelez pas Dimon accusant Dmitri Medvedev, alors premier ministre et ancien président, de corruption, conduisant à des manifestations de masse (en). En 2018, Navalny lance le « vote intelligent », une stratégie de vote tactique qui consiste à consolider les voix de ceux qui se présentent contre le parti Russie unie pour que celui-ci perde des sièges aux élections.
En août 2020, Navalny est hospitalisé dans un état grave après avoir été empoisonné au « Novitchok ». Il est évacué médicalement à Berlin et reste hospitalisé un mois. Navalny accuse le président Poutine d'être responsable de son empoisonnement et une enquête incrimine des agents du Service fédéral de sécurité (FSB). En janvier 2021, Navalny rentre en Russie ; il est immédiatement arrêté pour violation de son contrôle judiciaire, imposé à la suite de sa condamnation en 2014, alors qu'il était hospitalisé en Allemagne ; suite à son arrestation, son équipe publie le documentaire Un palais pour Poutine : L'Histoire du plus gros pot-de-vin accusant Vladimir Poutine de corruption, conduisant à des manifestations de masse dans toute la Russie. En février 2021, sa peine avec sursis est remplacée par une peine de prison ferme de deux ans et demi de détention. Ses organisations sont ensuite désignées comme « extrémistes » et liquidées. En mars 2022, Navalny est condamné à neuf ans de prison supplémentaires après avoir été reconnu coupable de détournement de fonds et d'outrage au tribunal lors d'un nouveau procès qualifié de « simulacre » par Amnesty International ; son appel est rejeté et en juin, il est transféré dans une prison de haute sécurité. En août 2023, Navalny est condamné à 19 ans de prison supplémentaires pour « extrémisme », signifiant qu'il serait libéré en décembre 2038. En décembre 2023, Navalny disparaît de prison pendant près de trois semaines, puis réapparaît dans une nouvelle prison du cercle polaire en Iamalie. Le 16 février 2024, le service pénitentiaire russe rapporte que Navalny est mort à l'âge de 47 ans.
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Les poupées russes ou matriochkas (russe : ????????, pluriel ???????? matriochki) sont des séries de poupées de tailles décroissantes placées les unes à l'intérieur des autres. Le mot matriochka est dérivé du prénom féminin russe matriona, traditionnellement associé à une femme russe de la campagne, corpulente et robuste. On parle aussi parfois de poupée gigogne, en référence à la marionnette de la Mère Gigogne, qui représente une grande et forte femme entourée d'enfants.
Une poupée russe est une figurine creuse en bois qui s'ouvre en deux horizontalement, révélant ainsi à l'intérieur une figurine similaire mais de taille plus petite. Cette seconde figurine renferme elle-même une autre figurine, et ainsi de suite. Une série comporte 3 à 10 poupées ou plus. Elles sont presque exclusivement tournées, de forme ovale épaulée, arrondie vers le haut pour la tête et fuselée vers le bas. Elles ne possèdent pas de mains, exceptées celles qui sont peintes. La poupée la plus grande est traditionnellement une femme vêtue d'un sarafan (robe traditionnelle russe) et tenant un nid. Les autres poupées peuvent être des deux sexes, la plus petite étant habituellement un bébé qui ne s'ouvre pas. Le côté artistique réside dans les peintures de chaque poupée, qui peuvent être extrêmement élaborées. Les plus prisées sont en tilleul, mais la plupart sont en bouleau.
Une série de poupées russes suit souvent un thème particulier. Il peut s'agir par exemple de jeunes paysannes en robes traditionnelles, mais le choix du thème reste très libre, les poupées pouvant représenter des personnages de contes de fée tout comme des dirigeants soviétiques.
Ces poupées sont un symbole de fertilité.
D'après Le Trésor des Paradoxes (Philippe Boulanger & Alain Cohen, Éd. Belin, 2007) : « Le terme gigogne est lié au personnage du théâtre de marionnettes, « la Mère Gigogne », représentée avec de nombreux enfants. Symbole de fécondité, ce personnage de « Dame (ou Mère) Gigogne » est attesté dès 1602. On rapproche aussi « gigogne » du latin « gigas » (géant), à l'origine du préfixe « giga » et de « gigantesque ». En Russie, le concept de structure gigogne (à trois dimensions) a donné naissance à un artisanat spécifique, les poupées russes ou matriochkas. Selon l'agence de presse Novosti, on aurait conservé la première matriochka, façonnée à la charnière du xixe siècle et du xxe siècle : une paysanne tenant un coq. La poupée « mère » fut appelée « matriona » et ses « filles » reçurent le diminutif de « matriochka ». Le coq était jadis un symbole de fécondité, en Russie et dans toute l'Europe, notamment en France : gage de prospérité et de fécondité, son effigie caracole en girouette sur les clochers. »
Les matriochkas sont une forme d'artisanat russe relativement récente. Les premières poupées datent de 1890, et on raconte qu'elles ont été inspirées de poupées-souvenirs venant du Japon. Toutefois, le concept d'objet emboîté était déjà présent en Russie, ayant été appliqué aux pommes en bois et aux œufs de Pâques. On peut notamment citer le premier œuf de Fabergé, datant de 1885, qui renfermait un jaune, contenant une poule, renfermant à son tour un pendentif de rubis et une réplique miniature de la couronne impériale.
On raconte que Serguei Malioutine, peintre dans une boutique d'artisanat populaire de la propriété d'Abramtsevo, appartenant au célèbre industrialiste et mécène russe Savva Mamontov, aperçut une série de poupées de bois japonaises représentant Shichi-fuku-jin, les Sept Divinités du Bonheur. La plus grande poupée représentait Fukurokuju, un dieu chauve à l'air heureux et au menton particulièrement haut, et à l'intérieur étaient emboîtées les six autres déités. Inspiré, Malioutine dessina le croquis d'une version russe du jouet. Ce dernier fut sculpté par Vasiliy Zvezdochkin dans une boutique de jouets de Serguiev Possad et peint par Serguei Malioutine. Il était composé de huit poupées: la plus grande était une fille portant un tablier, et les autres alternaient ensuite un garçon et une fille, pour finir avec un bébé.
En 1900, M.A. Mamontova, la femme de Savva Mamontov, présenta les poupées à l'Exposition Universelle de Paris et le jouet remporta une médaille de bronze. Peu de temps après, de nombreuses autres régions de la Russie se mirent à élaborer divers styles de matriochkas. On distingue aujourd'hui plusieurs régions possédant un style notable : Serguiev Possad, Semionovo, Polkholvsky Maidan et Kirov.
Pendant la Perestroïka, les matriochkas représentant les dirigeants de l'Union des républiques socialistes soviétiques devinrent une variété courante. Les poupées représentaient, par ordre décroissant, Mikhaïl Gorbatchev, Léonid Brejnev, Nikita Khrouchtchev, Staline et enfin Lénine. Iouri Andropov et Konstantin Tchernenko n'apparaissent presque jamais à cause de la brièveté de leurs mandats. Des versions plus récentes commencent avec Vladimir Poutine puis continuent avec Boris Eltsine, Gorbatchev, Staline et Lénine.
Les matriochkas sont utilisées métaphoriquement comme exemple-type de conception (design paradigm) dans ce qu'on appelle le principe des poupées russes. On parle de ce principe lorsqu'on observe une relation de type « objet à l'intérieur d'un objet similaire », que l'on retrouve aussi bien dans la nature que dans des objets créés par l'homme. On peut citer entre autres le matrioshka brain, une mégastructure basée sur la sphère de Dyson.
Cette métaphore se rapproche de celle de l'oignon. Lorsqu'on épluche la couche extérieure de l'oignon, on trouve un oignon similaire à l'intérieur. Ce genre de structure est par exemple employée par les stylistes. En informatique, par les concepteurs de base de données, lorsqu'une table est incluse dans une table plus grande et contient elle-même une table plus petite ou dans une procédure qui peut s'invoquer elle-même, on dit aussi procédure réentrante voir réentrance.
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Le Beriev Be-200 «Altaïr» (russe : Бе-200 «Алтаир») est un avion amphibie bombardier d'eau réalisé par la société russe Beriev Aircraft Company.
Historique
Il s'agit d'une évolution modernisée et de taille réduite du Beriev Be-42. L'appareil peut évoluer depuis une base terrestre ou depuis un plan d'eau.
Ses missions sont la surveillance des zones maritimes, la lutte contre les incendies de forêts, la protection de l'environnement et le transport de passagers ou de fret. Pour l'exportation, il peut être équipé de moteurs Rolls-Royce ou Allison à la place des moteurs Progress habituels ; cependant les réacteurs Progress, s'ils consomment un peu plus, ont été spécialement marinisés pour résister aux agressions de l'eau de mer, inévitables sur un hydravion, ce qui n'est pas le cas de ses concurrents montés exclusivement sur avions terrestres.
Le premier vol du prototype a eu lieu le 24 septembre 1998. Il a été commandé en 1997 à 7 exemplaires par le ministère russe des Situations d’urgence (EMERCOM) et a participé efficacement à la lutte contre les gigantesques incendies de forêt de l'été 2010 en Russie, mais aussi en Grèce, en Israël et au Portugal.
Il a reçu son certificat de type de l'agence européenne de la sécurité aérienne le 9 septembre 2010.
L'appareil a été l'objet d'une campagne d'essais en France durant l'été 2011.
Description
Un Beriev Be-200 lors de l'écopage.
La coque est divisée en une partie supérieure pressurisée de dimensions 18,70 m (longueur), 2,50 m (largeur) et 1,90 m (hauteur) et une partie inférieure sans ventilation sous pression, qui abrite le matériel de lutte contre l'incendie. Des alliages d'aluminium à résistance accrue à la corrosion et des matériaux composites sont utilisés comme matériaux .
Le Beriev Be 200 est équipé de deux moteurs ZMKB Progress D-436TP situé sur le dessus du fuselage. Le train d'atterrissage est tricycle et il se rétracte vers l’arrière. La direction sur l’eau est assurée par un gouvernail. Les plans arrières sont en forme de T et son fuselage présente une forme aérodynamique à coque.
L'engin dispose d'un triple système de commandes de vol électriques et d'une avionique étendue avec six écrans couleur dans le cockpit, mesurant chacun 15 × 20 cm². Les ailes ont un angle de balayage de 23°.
Pour les opérations de lutte contre l'incendie, le Beriev Be-200 peut contenir un total de 12 000 litres d'eau dans les 8 réservoirs sous le plancher de la cabine. De plus, 6 réservoirs avec des additifs d'agent extincteur peuvent être installés dans la cabine. Le remplissage des réservoirs peut se faire en glissant sur l'eau à travers 4 entrées d'eau et prend 18 secondes.
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Dévoilé en septembre 2011 lors du salon RAE-2011 «Russian Arms Expo» de Nijni Taguil. Le T-90MS améliore toutes les fonctions de l'engin. Le tireur possède un nouveau viseur jour-nuit SOSNA-U intégrant une caméra thermique, un télémètre laser et la conduite de tir Kalina avec capacité de suivi automatique des cibles mobiles. Le chef de char dispose d'un nouveau tourelleau offrant une meilleure vision périphérique ainsi que d'un jeu de quatre caméras vidéo TVKT-95N montées sur le mât de la sonde aérologique. Il dispose également d'un viseur panoramique armé Hawkeye intégrant une voie jour vidéo, caméra thermique et un télémètre laser. L'image filmée peut être recopiée sur les deux moniteurs TV du tireur et du chef de char. Le viseur panoramique armé intègre un affût téléopéré UDP T05BV-1 pouvant être armé d'une mitrailleuse 6P7K de 7,62 mm ou d'une mitrailleuse lourde Kord de 12,7 mm. Un blindage réactif explosif Relikt protège le glacis, l'avant, les flancs et le toit de la tourelle ainsi que les deux premiers tiers du train de roulement. Le dernier tiers et l'arrière de la tourelle étant protégés par des grilles de protection statistiques. Dix des quarante obus de 125 mm embarqués sont placés dans un coffre monté à l'extérieur de la tourelle. Le carrousel du système de chargement automatique est entouré d'un carénage en aluminium et un revêtement pare-éclats en fibre d'aramide tapisse l'intérieur du compartiment de combat. La conduite du char est facilitée grâce au remplacement des leviers de direction par un guidon, le passage des vitesses est désormais assisté électroniquement à l'aide d'un boîtier électronique monté sous le levier de vitesses. Le nouveau moteur V-92S2F, développant 1 130 ch compense l'augmentation de la masse du char et possède des sécurités électroniques et un filtre à air plus performant. Un groupe auxiliaire de puissance de 10 ch est monté sur le déport de caisse, au-dessus du barbotin gauche.
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Boris Nikolaïevitch Eltsine ou Ieltsine (en russe : Бори́с Никола́евич Е́льцин [bɐˈrʲis nʲɪkɐˈlaɪvʲɪtɕ ˈjelʲtsɨn), né le 1er février 1931 à Boutka (en) (oblast de Sverdlovsk) et mort le 23 avril 2007 à Moscou, est un homme d'État russe, président de la fédération de Russie du 10 juillet 1991 au 31 décembre 1999.
Membre du PCUS à partir du début des années 1960, il est élu président du Soviet suprême de la république socialiste fédérative soviétique de Russie en 1990, ce qui fait de lui le premier président non communiste d'une république soviétique. Il joue un rôle-clé l'année suivante dans l'échec du putsch de Moscou et marginalise ensuite Mikhaïl Gorbatchev. Son action contribue, en quelques mois, à la dissolution de l'Union soviétique.
En 1991, il devient le premier président de la fédération de Russie, l’ayant emporté au premier tour avec 58,6 % des suffrages. Cinq ans plus tard, en 1996, alors qu’il est déjà très malade et que ses politiques sont impopulaires, il est donné réélu avec 53,8 % des voix, cette fois au second tour et sur fond de suspicion de fraudes, face au dirigeant communiste Guennadi Ziouganov.
Sa présidence est marquée par une succession de crises et scandales. Alors qu’il procède à d’importantes privatisations, une classe d’oligarques émerge, la corruption devient endémique et la situation économique et sociale du pays se dégrade fortement. Il doit faire face à une crise constitutionnelle avec le Congrès des députés en 1993, puis à la guerre de Tchétchénie de 1994-1996.
Toujours plus affaibli par la maladie, réputé alcoolique, il démissionne après huit ans et demi de présidence. Vladimir Poutine, qu'il a nommé président du gouvernement quelques mois auparavant, lui succède à la tête de la fédération de Russie.
Par la suite, Boris Eltsine ne prend plus part au débat public.
ou Ieltsine (en russe : Бори́с Никола́евич Е́льцин [bɐˈrʲis nʲɪkɐˈlaɪvʲɪtɕ ˈjelʲtsɨn), né le 1er février 1931 à Boutka (en) (oblast de Sverdlovsk) et mort le 23 avril 2007 à Moscou, est un homme d'État russe, président de la fédération de Russie du 10 juillet 1991 au 31 décembre 1999.
Membre du PCUS à partir du début des années 1960, il est élu président du Soviet suprême de la république socialiste fédérative soviétique de Russie en 1990, ce qui fait de lui le premier président non communiste d'une république soviétique. Il joue un rôle-clé l'année suivante dans l'échec du putsch de Moscou et marginalise ensuite Mikhaïl Gorbatchev. Son action contribue, en quelques mois, à la dissolution de l'Union soviétique.
En 1991, il devient le premier président de la fédération de Russie, l’ayant emporté au premier tour avec 58,6 % des suffrages. Cinq ans plus tard, en 1996, alors qu’il est déjà très malade et que ses politiques sont impopulaires, il est donné réélu avec 53,8 % des voix, cette fois au second tour et sur fond de suspicion de fraudes, face au dirigeant communiste Guennadi Ziouganov.
Sa présidence est marquée par une succession de crises et scandales. Alors qu’il procède à d’importantes privatisations, une classe d’oligarques émerge, la corruption devient endémique et la situation économique et sociale du pays se dégrade fortement. Il doit faire face à une crise constitutionnelle avec le Congrès des députés en 1993, puis à la guerre de Tchétchénie de 1994-1996.
Toujours plus affaibli par la maladie, réputé alcoolique, il démissionne après huit ans et demi de présidence. Vladimir Poutine, qu'il a nommé président du gouvernement quelques mois auparavant, lui succède à la tête de la fédération de Russie.
Par la suite, Boris Eltsine ne prend plus part au débat public.
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