Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
19.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Gandhi et Martin Luther King ont critiqué la violence et ont mis en pratique la non-violence, qui est tout même une force, émotionnelle selon Gandhi : donc communicationnelle.
D'autres critiquèrent cette tactique : Léon Trotski, Frantz Fanon, Reinhold Niebuhr, Subhas Chandra Bose, George Orwell, Ward Churchill et Malcolm X étaient de fervents critiques de la non-violence, soutenant de maintes façons que la non violence et le pacifisme sont des tentatives d'imposer au prolétariat la morale de la bourgeoisie, que la violence est un accompagnement nécessaire au changement révolutionnaire, ou que le droit à la légitime défense est fondamental.
Selon la définition classique de Max Weber dans Le Savant et le politique (1919), « l'État revendique le monopole de la violence légitime ». Historiquement, l'État moderne s'est construit en défaisant les autres groupes (féodaux, etc.) du droit d'utiliser la violence pour leur propre compte (pour se faire justice, etc.). Ce monopole peut être contesté (par la mafia, des groupes révolutionnaires ou des guérillas, ou encore par des « justiciers » ou « vigilantes »).
Selon les points de vue, ces différentes formes de violences peuvent être légitimes ou non, « bonnes » ou « mauvaises » : on pourra ainsi justifier la contrainte étatique (police, armée) comme nécessaire face au crime ; inversement, on justifiera la « violence révolutionnaire » (Walter Benjamin, « Thèses sur le concept d'histoire ») des opprimés contre l'État, considéré par Marx et Engels comme le « bras armé de la bourgeoisie », ou encore contre la violence structurelle et symbolique (racisme institutionnel qui justifiait, selon les Black Panthers, la constitution de milices d'auto-défense). Dans la sphère privée, certains justifieront la violence comme moyen légitime d'exercer une autorité (fessée pour les enfants, violence conjugale ou violence contre les femmes : on tentera alors de justifier la violence en distinguant différents seuils : une gifle serait acceptable mais pas une bastonnade, etc.) ; d'autres critiqueront au contraire ces comportements comme sexistes ou autoritaires, conduisant à terroriser les sujets afin de les contraindre à la soumission. La définition même de ce qui constitue une violence, a fortiori une violence « légitime », fait ainsi l'objet de débats politiques et philosophiques. Ce débat entre violence, force et justice est ramassé par Pascal dans un aphorisme célèbre des Pensées :
« Il est juste que ce qui est juste soit suivi ; il est nécessaire que ce qui est fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu'il y a toujours des méchants ; la force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force et pour cela faire en sorte que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste.
La justice est sujette à dispute, la force est très reconnaissable et sans dispute. Ainsi on n'a pu donner la force à la justice, parce que la force a contredit la justice et a dit qu'elle était injuste, et a dit que c'était elle qui était juste. Et ainsi ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste...
Ne pouvant faire qu'il soit forcé d'obéir à la justice, on a fait qu'il soit juste d'obéir à la force. Ne pouvant fortifier la justice, on a justifié la force, afin que le juste et le fort fussent ensemble, et que la paix fût, qui est le souverain bien. »
Selon Howard Bloom, la violence est l'outil de la nature pour améliorer notre comportement social.
Au-delà de la mort et des blessures, des formes de violence largement répandu (telles que la maltraitance sur mineur et la violence conjugale) entraînent de sérieux traumatismes non physiques à vie. Il arrive alors que ces victimes adoptent des comportements à risques tels que la consommation d'alcool et l'usage de stupéfiants, la consommation de tabac et les rapports sexuels à risques, ce qui peut dès lors participer au développement de maladies cardio-vasculaires, de cancers, de dépressions, de diabètes et du virus du SIDA ou d'autres maladies conduisant à une mort prématurée.
Dans les pays présentant un niveau de violence élevé, la croissance économique peut être ralentie, la sécurité dégradée et le développement social entravé. Les familles sortant peu à peu de la pauvreté et investissant dans l'éducation de leurs enfants peuvent être ruinées par la mort violente ou la sévère infirmité de la principale figure de famille générant les ressources. Les communautés peuvent être prises au piège dans la pauvreté, où la violence omniprésente et la précarité forment un cercle vicieux qui étouffe la croissance économique. Pour les sociétés, le fait de couvrir les dépenses directement liées aux coûts de la santé, de la justice et de la protection sociale résultant de la violence empêche les gouvernements d'investir dans des mesures sociales plus constructives. La majeure partie des coûts indirects de la violence provenant de la productivité perdue et de l'investissement dans l'éducation perdu contribuent ensemble à ralentir la croissance économique, à dessiner davantage les clivages socio-économiques et à dégrader le capital humain et social.
Violence pathologique : certains désordres mentaux sont accompagnés de bouffées de violence. On a récemment trouvé dans l'urine et le sang des patients touchés par ces maladies mentales une toxine qui semble anormalement produite par leur organisme. Cette toxine (une bufoténine) n'a été trouvée à ces doses que chez des patients présentant des troubles psychiques, et aussi chez des patients non drogués, n'ayant pas eu de contacts avec des amphibiens, mais violents. On la retrouve dans l'urine ou le sang des patients pour toutes les grandes maladies psychiatriques, au point de la proposer comme indicateur de diagnostic.
La toxine est identique à celle qu'on trouve parmi les bufotoxines (hallucinogènes et provoquant des symptômes évoquant une psychose de type schizophrénie) du venin des nombreuses espèces de crapauds. Mais on ignore encore si le même processus est en jeu dans les deux cas et à déterminer si cette molécule est à l'origine des troubles mentaux chez l'homme, ou si elle est elle-même un sous-produit d'un autre processus pathologique. Des indices plaident en tous cas pour certaines similitudes entre l'action de bufotoxine sur le cerveau, et en particulier sur la dégradation de la sérotonine et des processus intervenant dans les désordres mentaux.
Violence symbolique : c'est notamment la thèse de Pierre Bourdieu, qui désigne plusieurs sortes de violences : verbale (éventuelle première étape avant passage à l'acte) ; ou invisible, institutionnelle : c'est aussi la violence structurelle (Galtung) face à laquelle les individus semblent impuissants. Celle-ci désigne plusieurs phénomènes différents qui favorisent la domination d'un groupe sur un autre et la stigmatisation de populations, stigmatisation pouvant aller jusqu'à la création d'un bouc émissaire.
Les prédictions pour décembre 2012 sont un phénomène sociologique basé sur plusieurs croyances annonçant de grands changements ou des évènements cataclysmiques pour le 21 décembre 2012. À l'origine, cette date marque la fin des 5 125 années d'un cycle du compte long du calendrier maya, interprétée par certains comme la fin définitive de ce calendrier.
Détail de la stèle de La Mojarra comportant une date en compte Long.
L'interprétation New Age de cette transition postule que cette date marquera le début d'une nouvelle ère au cours de laquelle la Terre et ses habitants connaîtront une transformation spirituelle ou physique radicale. Selon d'autres, le 21 décembre 2012 marquera la fin du monde ou une catastrophe similaire. Parmi les différents scénarios évoqués on peut citer un maximum du cycle solaire ou une collision de la Terre avec un trou noir, un objet géocroiseur ou l'hypothétique planète Nibiru.
Des spécialistes de nombreuses disciplines ont rejeté l'idée de tels cataclysmes pour 2012. Les mayanistes professionnels avancent que des prédictions concernant une catastrophe imminente n'ont été trouvées dans aucun codex maya existant et que l'idée de la « fin » du compte long du calendrier maya en 2012 serait une mauvaise interprétation de l'histoire et de la culture maya. Les astronomes qualifient ces prédictions de pseudo-science et font remarquer qu'elles sont contredites par de simples observations astronomiques.
Le plus ancien manuscrit du Popol Vuh datant de 1701.
Il existe une forte tradition d'« âges du monde » dans la littérature maya, mais les documents ont été déformés, ouvrant la voie à de nombreuses interprétations. Selon le Popol Vuh, une compilation des mythes de la cosmogonie du peuple Quiché, nous sommes actuellement dans le quatrième monde. Le Popol Vuh décrit les créations divines de trois mondes ayant échoué, suivies par celle d'un quatrième monde créé avec succès. C'est dans ce monde que l'humanité fut placée. Dans le compte long maya, l'ancien monde se termina après 13 baktuns, soit environ 5 125 années. La « date zéro » du compte long marquant la fin du troisième monde et le début du quatrième monde a été située à une date correspondant au 11 août 3114 av. J.-C. dans le calendrier grégorien proleptique. Cela signifie que le quatrième monde atteindra la fin de son 13e baktun ou la date maya du 13.0.0.0.0 le 21 décembre 2012. En 1957, la mayaniste et astronome Maud Worcester Makemson écrivit que l'« achèvement de la Grande Période de 13 baktuns aurait été d'une importance extrême pour les Mayas ». En 1966, Michael D. Coe écrivit dans The Maya qu'il « y a une suggestion ... que l'Armageddon frapperait les peuples dégénérés du monde et toute la création le dernier jour du 13e [baktun]. Par conséquent ... notre univers actuel [serait] annihilé [en décembre 2012) lorsque le Grand Cycle du Compte Long atteindra son terme. »
Compte long du calendrier mésoaméricain
Assemblé à partir de 6 ficjiers
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55
Décembre 2012 marquerait la fin d'un baktun, une unité de temps employée dans le compte long du calendrier mésoaméricain qui était utilisé en Amérique centrale avant l'arrivée des Européens. S'il est probable que le compte long ait été inventé par les Olmèques, il est devenu indissociable de la civilisation maya dont la période classique s'étendit du IIIe au IXe siècle ap. J.-C.. L'écriture maya a été largement déchiffrée et un corpus de leurs écrits datant d'avant la conquête espagnole nous est parvenu.
À la différence de la roue calendaire de 52 ans toujours utilisée de nos jours par les Mayas, le compte long était linéaire plutôt que cyclique et mesurait le temps à l'aide d'un système basé sur des unités de 20 : 20 jours font un uinal, 18 uinals (360 jours) font un tun, 20 tuns font un katun et 20 katuns (144 000 jours ou environ 394 ans) font un baktun. Ainsi la date maya du 8.3.2.10.15 représente 8 baktuns, 3 katuns, 2 tuns, 10 uinals et 15 jours