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Monde : (Comportement)

Adultère : Au cinéma

Publié à 11:39 par dessinsagogo55 Tags : amour homme chez femme air film sur
Adultère : Au cinéma

 

 

François Truffaut a réalisé un film sur l'adultère avec La Peau douce (1964) dans lequel Pierre Lachenay, écrivain à succès, trompe sa femme avec Nicole, une hôtesse de l'air, mais multiplie les maladresses de sorte que sa femme découvre l'adultère et que sa maîtresse refuse de s'installer avec lui. La même année, Jean-Luc Godard représente l'infidélité féminine dans Une femme mariée. Le thème de l'infidélité se retrouve dans d'autres films de Truffaut par exemple dans Domicile conjugal où Antoine Doinel quitte le domicile conjugal. Éric Rohmer s'est intéressé à l'adultère dans L'Amour l'après-midi (1972) dans lequel Frédéric, un jeune homme marié, est tenté par l'adultère mais se ravise au dernier moment et rentre chez sa femme. En 2012, on retrouve le thème dans Les Infidèles, un film qui analyse l'adultère sous le point de vue de sept réalisateurs différents.

 

 

 

 

Adultère : Répression

Publié à 11:31 par dessinsagogo55 Tags : femmes sur france vie enfants article mort center
Adultère : Répression
 
 
L'adultère, en tant que violation du devoir de fidélité entre époux, a été et reste considéré, dans de nombreuses civilisations, comme répréhensible.

Adultère : Répression
Le supplice des adultères, de Jules-Arsène Garnier

Adultère : Répression
Couple adultère exposé en public, Japon 1860

Adultère : Répression
Non moechaberis, Église de la Madeleine

Les amérindiens Illinois punissaient sévèrement l'adultère féminin : la victime avait le nez coupé, les cheveux arrachés ou subissait un viol collectif. Les Athéniens de l'époque classique (Ve siècle av. J.-C.) quant à eux, punissaient non seulement le couple adultère mais également tous ceux qui, au courant, n'avaient rien fait pour les dénoncer.
L'adultère est réprimé pénalement dans certains États. En islam la peine concerne à la fois les hommes et les femmes, c'est notamment une infraction passible de la peine de mort par lapidation, dans les pays appliquant la loi islamique. Cette disposition étant fondée sur un Hâdith, et non sur le Coran qui n'y mentionne nullement la lapidation.
En France, l'adultère n'est plus une faute pénale depuis 1975, mais demeure une faute civile. Il reste cependant la première cause de divorce au titre de l'article 212 du Code civil français qui dispose que « les époux se doivent mutuellement fidélité ». Le « divorce pour faute » sera prononcé lorsque l'infidélité de l'un des conjoints devient une violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage, et rendant intolérable le maintien de la vie commune.
Il faut noter également que jusqu'à loi du 3 janvier 1972, le droit français faisait une discrimination vis-à-vis des enfants nés d'une relation adultérine : ces enfants (considérés jusqu'ici comme « enfants naturels » au même titre que ceux conçus hors mariage) n'avaient pas les mêmes droits que les enfants nés d'une liaison légitime (dits « enfants légitimes »). Ainsi les droits de l'enfant étant considérés comme n'ayant pas à tenir compte de la situation légale de ses parents géniteurs, le législateur français a donné les mêmes droits à tous les enfants, et supprimé depuis toute notion d'« enfant adultérin » dans le Code Civil, après l'ordonnance du 4 juillet 2005. Les droits de l'autre parent légitime se trouvent ainsi diminués à la succession du parent adultère

.

 

 

 

Adultère : un manque dans le couple

Publié à 11:25 par dessinsagogo55 Tags : vie center
Adultère : un manque dans le couple

 

 

Gérard Leleu, médecin psychothérapeute explique que l'adultère est l'expression d'un manque dans le couple. Ses origines proviennent de besoins légitimes insatisfaits. Les raisons invoquées sont :
quand l'un rend la vie impossible à l'autre
quand l'un ressent un manque d'attention et de tendresse
quand l'un n'a pas l'appétit sexuel rassasié
quand l'un ressent la perte de désir dans le couple
Le recours à la prostitution par un des époux est aussi vu comme une violation du devoir de fidélité.

 

 

 

Adultère : statistiques

Publié à 11:18 par dessinsagogo55 Tags : enfants sur france vie center femmes
Adultère : statistiques

Il est difficile d'avoir des statistiques précises sur le pourcentage d'hommes et de femmes adultères. En effet, lors des sondages, les hommes ont tendance à exagérer et les femmes à minimiser le nombre de leurs relations adultérines.



Gérard Mermet indique que, en France, en moyenne, les hommes revendiquent 11,3 partenaires dans leur vie, et pour les femmes 3,4. Un sondage réalisé en 2005 établissait que 39 % des hommes et 25 % des femmes avaient trompé leur partenaire.
Le célèbre rapport Hite indique qu'aux États-Unis, 70 % des femmes ayant plus de cinq ans de mariage déclarent avoir été infidèles au moins une fois, et 72 % des hommes.
Selon des études sur les groupes sanguins, confirmées par des tests de paternité résultant de l'étude de l'ADN, on estime qu'environ 4 % des enfants ne sont pas ceux du père de famille. Évelyne Sullerot donne une estimation qui se monte au double.

Adultère : Jusqu'en 1810

Publié à 11:12 par dessinsagogo55 Tags : sur france center homme femme dieu fille maison
Adultère : Jusqu'en 1810

 

 

Jusqu'en 1810, très peu de sociétés civiles semblent avoir criminalisé l'adultère masculin, la femme étant traditionnellement considérée comme une ressource et le mariage, un échange de propriété contracté entre hommes (cf. Claude Lévi-Strauss). Sur le plan religieux en revanche, l'adultère est condamné dans le judaïsme, le christianisme et l'islam.
Le Code d'Hammurabi condamne la femme adultérine à la noyade.



L'adultère masculin et féminin est condamné dans le judaïsme, « Mais si le fait est vrai, si la jeune femme ne s'est point trouvée vierge, on fera sortir la jeune femme à l'entrée de la maison de son père ; elle sera lapidée par les gens de la ville, et elle mourra [...] Si l'on trouve un homme couché avec une femme mariée, ils mourront tous deux, l'homme qui a couché avec la femme, et la femme aussi [...] Si une jeune fille vierge est fiancée, et qu'un homme la rencontre dans la ville et couche avec elle, vous les amènerez tous deux à la porte de la ville, vous les lapiderez, et ils mourront, la jeune fille pour n'avoir pas crié dans la ville, et l'homme pour avoir déshonoré la femme de son prochain. » Dt 22. 20-24. Dans le christianisme, l'adultère est tout aussi condamné formellement dans le Nouveau Testament, tout en affirmant le pardon de Dieu en cas de repentance dans l'épisode de la femme adultère (Jn 8,2-11).
Depuis la fin du Moyen Âge, l'État royal récupère à son profit toutes les causes matrimoniales et impose une législation inégalitaire pour la femme adultérine (jusqu'à la loi Naquet sur le divorce pour faute en 1884 et la dépénalisation totale en 1975 en France) : la peine de « l'authentique » consiste à l'enfermer dans un couvent après lui avoir fait subir certains châtiments (crâne rasé, fouet jusqu'au XVIIe siècle). La Révolution française constitue à cet égard une parenthèse puisqu'elle en dépénalise l'adultère.

 

 

 

Adultère

Publié à 11:07 par dessinsagogo55 Tags : homme center femme
Adultère

L'adultère est « le fait pour un époux d'avoir des relations sexuelles avec une personne autre que son conjoint ».



L'homme avec qui une personne, qui n'est pas son conjoint, a des relations sexuelles est appelé amant.
La femme avec qui une personne, qui n'est pas son conjoint, a des relations sexuelles est appelée maîtresse ou amante.

Dans certains textes, le mot adultère désigne n'importe quelle relation sexuelle hors mariage (donc par exemple entre célibataires), cependant, en français, le terme consacré pour ceci est fornication. La confusion est d'autant plus fréquente que dans les pays islamiques qui ont hérité de culture anglo-saxonne (Koweït, Arabie saoudite...), les textes locaux en anglais utilisent le mot adultery pour désigner à la fois adultère et fornication, et le terme français adultère est repris, par proximité, dans les textes français.

 

 

 

Nymphette

Publié à 12:34 par dessinsagogo55 Tags : fille homme roman sur livre
Nymphette

 

 

La nymphette est une pré-adolescente sexualisée par le regard d'un homme mûr, le nympholepte. Les deux termes ont été popularisés suite à la publication par Vladimir Nabokov de son roman Lolita (1955).

Humbert Humbert, le narrateur de Lolita, donne les précisions suivantes sur les nymphettes.
La nymphette n'est pas nécessairement jolie.. La nymphette se définit comme une fille qui aiguise l'appétit sexuel du nympholepte et le nympholepte comme l'homme attiré par les nymphettes. Le livre est dépourvu de définition rigoureuse de l'un ou de l'autre, puisqu'il est justement écrit du point de vue d'un tel homme. Le caractère circulaire de la définition est souligné quand le narrateur dit que seuls les hommes comme lui peuvent reconnaître les nymphettes parmi les jolies filles.
Une nymphette est obligatoirement prépubère.
Dolorès « Lolita » Haze représente la plus parfaite des nymphettes.

De nos jours, le terme est largement utilisé pour désigner des jeunes filles, soit pour souligner leur beauté, soit pour souligner le fait qu'elles sont fortement aguicheuses, tout en donnant l'impression de ne pas en avoir conscience.
Le critère de la puberté n'est pas retenu, et le terme s'applique aux filles suffisamment jeunes sans en tenir compte.
Il est utilisé presque de manière interchangeable avec lolita, devenu un nom commun.

 

 

 

Violence

Publié à 17:45 par dessinsagogo55 Tags : soi image sur vie monde center place société mort divers nature cadre pouvoir
Violence
 
 
La violence peut être instituante et instituée. Les relations sociales évoluent dans le cadre de rapports de force généralement inégalitaires qui se traduisent par des impositions et l'établissement temporaire d'un statu quo fondé sur cette violence initiale.
Karl Marx a décrit la violence qu'a représentée l'accumulation primitive.
Michel Foucault a montré la violence instituée sous la forme de la répression étatique.
Pierre Bourdieu a démontré que la violence symbolique recouvre une situation de domination légitime ou non d'une personne sur une autre, d'un groupe de personnes sur un autre, mal vécue par l'une des deux parties. Exemples : autoritarisme d'une hiérarchie d'entreprise ou d'armée, organisation politique d'un pays, vie de famille mal vécue par un membre de la famille.
Max Weber considère que tout État possède le monopole de la violence physique légitime. Celle-ci s'exprime par le fait que les sujets de l'État consentent, soit par tradition ou par un désir d'égalité, à ce que l'État soit le seul pouvant, de façon légitime, exercer une violence sur son territoire, que ce soit par les forces policières, militaires ou bien juridiques.
Pour Michel Maffesoli, la violence serait consubstantielle à la dynamique de toute société qui, dès lors, se doit de la gérer. C'est pourquoi la violence est tantôt assumée institutionnellement dans le droit de mort que s'arrogent les États (guerres, exécutions capitales), tantôt ritualisée et canalisée dans la vie sociale à travers les arbitrages sociaux (syndicaux, politiques), les extases sportives ou les débordements juvéniles en tous genres ;
Michel Maffesoli, à la suite de Georges Sorel, a montré la violence réactionnelle qui, d'en bas, s'oppose à la violence instituante et instituée ; Karl Marx a légitimé la violence révolutionnaire.
Pour Charles Rojzman la violence est à distinguer impérativement du conflit : « Les mots « violence » et « conflit » sont souvent pris l'un pour l'autre. Ainsi par peur de la violence, ce sont les conflits que nous taisons. Et c'est l'impossibilité d'exprimer ces conflits qui provoque la violence. Au cours d'un conflit, nous envisageons la personne avec laquelle nous avons un différend et non plus seulement le groupe qu'elle est supposée représenter ou l'image que nous nous faisons d'elle. Nous ne considérons pas l'autre comme mauvais par essence. » Ainsi préconise-t-il la nécessité de « transformer la violence destructrice en conflit constructif ».
Le philosophe Krishnamurti affirme que « le conformisme est une forme de violence. » Être soi même naturellement serait une maladie, une déviance, sortir des rangs être créatif et penser c'est-à-dire être anticonformiste et libre-penseur est un crime car c'est un danger pour le pouvoir et le système en place, qui par nature est une force conformiste, force centripète.
Le conformisme des personnes conformiste punit d'eux-mêmes les personnes sortant des rangs (pression ou force sociale), le pouvoir et la violence de l'"état" n'a généralement pas besoin d'intervenir. Pour Krishnamurti le conformisme est un facteur des idéologies, idéologies qui sont pour lui la cause de la quasi totalité des problèmes de société, ainsi que des conflits, et des actes de violence à l'échelle humaine ou à l'échelle des états, les guerres.
Krishnamurti propose également des écoles et systèmes éducatifs plus ouvert, s'éloignant de la conception de l'éducation comme 'processus de socialisation' ou d'institution disciplinaire'. La socialisation des organismes sociaux obligent à se conformer, le synonyme en biologie est ici domestication avec des exemples de domestication génétique sur plusieurs génération, de même que tout système organisé doit dans la pensée humaine ainsi que dans la pensée de celui qui veut avoir l'ascendant est de contrôler et d'exercer un pouvoir - sans pouvoir de plus s'en empêcher (non-agir) -, ce qui équivaut dans la forme à un système fermé et hiérarchique conduisant à une vision du monde, qui peut même être à l'opposé des intentions des personnes composant cette organisation (ex : la gauche).
Pour Theodore Kaczynski, la sur-socialisation est parmi les pires choses, la pire violence, qu'un être humain peut infliger à un autre.
« La pensée et le comportement d'une personne sur-socialisée sont bien plus aliénées que celles d'une autre modérément socialisée. »
« La personne sur-socialisée ne peut même pas avoir une expérience, sans culpabilité, de pensées ou sentiments qui soient contraires à la morale en place ; elle ne peut avoir de « mauvaises » pensées. Et la socialisation n'est pas juste une question de morale ; nous sommes socialisés pour nous adapter à de nombreuses normes qui n'ont rien à voir avec la morale proprement dite. Ainsi, la personne sur-socialisée est maintenue en laisse et sa vie avance sur les rails que la société a construit pour elle. Pour beaucoup de personnes sur-socialisées, cela se traduit par un sentiment de contrainte et de faiblesse qui peut être un terrible handicap. Nous affirmons que la sur-socialisation est parmi les pires choses qu'un être humain peut infliger à un autre." »
Le tiqqun invite à s'éloigner de toute "organisation", et à se diriger vers des "non-organisations", des systèmes ouverts et libre, et des auto-organisations.
Les libertaires placent la liberté comme valeur sine qua non pour un humain, et reconnaissant la violence systémique présente dans la société et les organisations, ils proposent également des sociétés plus ouvertes, humanistes, et libres.
La violence froide est un terme utilisé en opposition à la violence agressive. Elle consiste à contraindre directement ou par exécutants interposés, autrui à entrer et demeurer dans une situation de souffrance (par exemple : séquestration, déportation, extermination).
Elle peut être retournée contre soi-même par une personne qui décide de ne pas tenir compte de tous ses besoin dans ses actions et d'accepter des tâches qui l'écrasent.
La violence éducative est perpétrée à des fins éducatives, à ne pas confondre avec la maltraitance laissant des marques sur le corps et qui n'ont pas de but éducatif.
La violence primitive est celle qui découle d'une simple opportunité de prédation hors de toute catégorie décrite ci-dessus, qu'il s'agisse de prédation matérielle (appropriation de biens) ou narcissique (appropriation du corps d'autrui, voir ci-dessous).
La violence sexuelle est le fait d'une personne consciente d'avoir un {{wikt:ascendant|ascendant}}(hiérarchique, parental, physique, psychologique) qui impose à une autre des actes sexuels non désirés ;
La domination par une personne ou un organisme : après avoir établi un {{wikt:ascendant|ascendant}}, impose à une autre des souffrances psychiques et/ou physiques, pouvant avoir pour conséquences :
Des suicides
L'assassinat ;
La violence conjugale et/ou familiale dont la maltraitance laissant des marques sur le corps, sans but éducatif : le comportement d'un conjoint ou d'un autre membre de la famille, est identifiable à l'une des violences décrites ci-dessus sur l'autre conjoint ou sur divers membres de la famille.
 
 
 
 

Violence criminelle

Publié à 17:40 par dessinsagogo55 Tags : soi société center bonne sur nature
Violence criminelle
 
 
Ces violences criminelles sont également en relation d'inférence avec la violence globale (institutionnelle, structurelle, systémique...), elle en sont donc lié parfois plus ou moins directement, et parfois sont de réel écho ou feedback/retour de la violence globale.
Les quatre causes majeures identifiées comme favorisant la violence criminelle:
L'urbanisme,
Les conflits, (violence institutionnelle, structurelle, systémique, patronale, interpersonnelle...)
La pauvreté,
Les inégalités.
La nature humaine n'est ni bonne ni mauvaise, ces facteurs sociétaux sont la cause du retour de violence. Il existe des cas de criminels ayant de réel problème psychologique, n'ayant pas pour cause ces facteurs sociétaux, ceci représente un pourcentage minime de ce que l'on considère aujourd'hui comme la violence criminelle.
Les criminels font partie et sont issus de la société, contrairement au processus mental qui voudrait que l'on rejette le mal pour ne pas comprendre l'implication de soi ou du système/société à laquelle on appartient, et que l'on défend alors consciemment ou inconsciemment le statu quo (hypocrisie, cynisme). Ce déni de la réalité et le refus de prendre ses responsabilités, le refus de voir les relations, en éjectant le mal hors et loin de nous est analysé notamment par le sociologue Slavoj Žižek. "La vérité n'est pas hors de nous, elle est en nous. La vérité n'est pas à chercher ou à repousser loin de nous, la vérité est en nous" (ou dans la société).
Ce déni du mal et de ces causes est également décrite par Georges Bernanos au sujet des totalitarismes et fascismes avec pour conséquences des crimes contre l'humanité26 : « Les imbéciles mettent le nez sur le bubons et ils se disent entre eux : ” Comment diables ces choses violacées, dont la plus grosse atteint à peine la taille d'un œuf de pigeon, peuvent elle contenir tant de pus ! ” L'idée ne vient pas aux imbéciles que le corps tout entier refait à mesure cette purulence, qu'il faut en tarir la source. Et si par hasard, une telle idée leur était venue, ils se seraient bien gardés de l'avouer, car ils sont un des éléments de cette pourriture. La Bêtise, en effet, m'apparait de plus en plus comme la cause première et principale de la corruption des Nations. La seconde, c'est l'avarice. L'ambition des dictateurs ne vient qu'au troisième rang. »
 
 
 
 
 
 
 
 

Violence interpersonnelle

Publié à 17:28 par dessinsagogo55 Tags : center enfants amis travail pouvoir
Violence interpersonnelle

 

 

 

La violence dans les relations interpersonnelles (patron/employé, parent/enfant, entre amis, entre collègue, etc.) est un phénomène qui se manifeste sous de multiples formes : abus de pouvoir, agression physique, intimidation verbale, menaces voilées, insultes et injures, humiliation, etc.. Ces violences sont en relation d'inférence avec la violence globale (institutionnelle, structurelle, systémique...), elle en sont donc liées parfois plus ou moins directement, et parfois sont de réel écho ou feedback/retour de la violence globale. En tous cas, selon pédopsychiatre et psychanalyste Daniel Schechter, la violence dans les relations interpersonnelles a des conséquences importantes pour les victimes ainsi que pour leurs enfants.

Violence conjugale, Violence féminine, Homophobie, Violences urbaines
Violence à l'école
Violence au travail.