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Art : Peintre

François Gérard : Gif dessinsagogo55

Publié à 13:18 par dessinsagogo55 Tags : gif
François Gérard : Gif dessinsagogo55

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François Gérard : Mme Charles Maurice de Talleyrand Périgord

Publié à 12:53 par dessinsagogo55
François Gérard : Mme Charles Maurice de Talleyrand Périgord

François Gérard : Madame Charles Maurice de Talleyrand Périgord

Louis Lafitte : Régulus retourne à Carthage

Publié à 14:39 par dessinsagogo55 Tags : search art base sur mode centerblog
Louis Lafitte : Régulus retourne à Carthage
 

 

Louis Lafitte
Régulus retourne à Carthage
1791
 
 
 
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Louis Lafitte

Publié à 14:24 par dessinsagogo55 Tags : png article travail sur prix france roman place chez mort nature fille papier center
Louis Lafitte
 
 
 
 

Louis Lafitte, né le 15 novembre 1770 à Paris et mort dans la même ville le 3 août 1828, est un peintre français.

 

Biographie

 

Louis Lafitte naît à Paris le 15 novembre 1770. Il est fils d'un maître perruquier qui héberge, vers 1778, le peintre Simon Mathurin Lantara (1729-1778), un artiste doué mais pauvre. Lantara décèle un don pour le dessin chez le fils de son hôte. Louis Lafitte devient ainsi l'élève de deux graveurs : Gilles Demarteau (1750-1802) puis, en 1786, Jean-Baptiste Regnault (1754-1829).

Admis à l'Académie royale de peinture et de sculpture à Paris, il obtient le grand prix de Rome de peinture de 1791. Il est le dernier peintre envoyé à Rome sous le règne de Louis XVI.

En 1793, il doit fuir la villa Médicis à cause du soulèvement italien contre les Français. Il se réfugie à Florence, où il est nommé professeur d'académie.

En 1795, il rentre à Paris et s'installe au 17 rue du Théâtre Français (aujourd'hui 21 rue de l'Odéon). Il peint en compagnie des artistes Constance-Marie Charpentier (1767-1849), qui habite les lieux depuis son mariage en février 1793, et Pierre Bouillon, qui demeure dans la même rue

Il se marie en 1796 et a une fille.

Des embarras financiers l'obligent à s'orienter vers la décoration et l'illustration. En 1796, il fournit douze dessins du Calendrier républicain. Il produit aussi des décorations peintes sur papier huilé, destinées à être éclairées et vues par transparence (gravée par Salvatore Tresca).

En 1800, il travaille au château de Malmaison avec l'architecte Charles Percier. Il y orne plusieurs pièces, dont la salle à manger où il peint sur stuc, en camaïeu, huit danseuses dans le style pompéien.

En 1809, le Sénat lui commande une toile monumentale représentant L'Établissement de la République Cisalpine à Milan le 9 juillet 1797. Mais il n'arrive pas à commposer la scène.

En 1810, il décore la maquette en grandeur nature de l'arc de triomphe de l'Étoile, sous lequel l'Empereur et Marie-Louise doivent passer lors de leur entrée à Paris, le 2 avril. Il peint en trompe-l'œil les bas-reliefs représentant Les Embellissements de ParisLa Législationl'Industrie nationaleLa Clémence de l'Empereur et L'Arrivée de l'Impératrice.

Le 9 juin 1811, à l'occasion du baptême du prince impérial, il dessine une médaille commémorative que grave Jean-Bertrand Andrieu (1761-1822). L'avers représente l'Empereur de profil, couronné de lauriers. Le revers le montre debout devant son trône, en costume d'apparat, soulevant son fils au-dessus des fonts baptismaux. Une seconde médaille porte, au revers, l'inscription : « À l'Empereur, les bonnes villes de l'Empire : Paris, Rome, Amsterdam […] » (quarante neuf villes en tout)

De 1800 à 1814, il dessine des modèles pour la Manufacture de Sèvres, dont le vase intitulé Louis XIV règne par lui-même, 1661 (Salon de 1828).

De 1807 à 1808, il réalise les décors du Théâtre de l'Impératrice, reconstruit par Chalgrin.

De 1814 à 1816, il collabore, avec Merry-Joseph Blondel, à douze motifs de papier peint, en camaïeu de gris ou de sépia, sur le thème des Amours de Psyché et de Cupidon, d'après le roman de Jean de La Fontaine.

En 1816, il se rend à Londres. Le roi Georges III lui commande des dessins pour Carlton House, à l'occasion d'une fête.

Revenu en France, il réalise des dessins pour la naissance du duc de Bordeaux en 1820, et pour le sacre de Charles X en 1825.

En 1823, il reçoit les insignes de chevalier de la Légion d'honneur comme dessinateur du cabinet du roi.

Il meurt après une courte maladie, en son domicile sis place des Quatre-Nations (actuelle place de l'institut - 6e arrondissement de Paris), le 3 août 1828.

Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise, dans la (28e division).

Ses biens sont vendus aux enchères du 18 au 24 décembre 1828.

 

 

 
Tombe au cimetière du Père-Lachaise.

 

Tamara de Lempicka

Publié à 23:07 par dessinsagogo55 Tags : femme femmes sur france vie saint center chez place belle histoire rose fille art voyage centerblog
Tamara de Lempicka

Tamara de Lempicka, née Maria Gorska le 16 mai 1898, probablement à Varsovie, en Empire russe, maintenant Pologne (voir: Partitions de la Pologne), et décédée le 18 mars 1980 à Cuernavaca, au Mexique, est la peintre polonaise la plus célèbre de la période Art déco. Brillante, belle et audacieuse, inclassable, mystérieuse et contradictoire, elle a fait de sa vie une succession de mises en scène très élaborées. Elle prône le luxe et la modernité. Elle aimait avant tout les femmes mais elle s'est mariée deux fois.


Fille de Boris Gorski, un juif russe, et d'une mère polonaise, son enfance se passe dans un milieu aisé et cultivé entre Saint-Pétersbourg, Varsovie et Lausanne. En 1914, elle est retenue par la guerre à Saint-Pétersbourg où elle s'inscrit à l'académie des Beaux-Arts. Elle épouse Tadeusz Lempicki, un jeune avocat polonais en 1916. La Révolution d'octobre bouleverse sa vie et après un détour par Copenhague, elle gagne Paris où elle est recueillie par ses cousins qui l'ont précédée dans l'exil. Tamara commence alors avec beaucoup de ténacité une carrière de peintre.
En 1920, à l'Académie Ranson, elle reçoit l'enseignement de Maurice Denis et à l'Académie de la Grande Chaumière celle d'André Lhote. C'est là qu'elle forge petit à petit son style qui, dans une synthèse inattendue de l'art maniériste de la Renaissance et du néo-cubisme, va coller parfaitement à son époque. L'envol de sa carrière coïncide avec sa première exposition personnelle à Milan en 1925. C'est là qu'elle fait la connaissance de Gabriele D'Annunzio et de son entourage, aussi aristocratique qu'excentrique. De retour en France, elle participe pleinement à la vie artistique et mondaine parisienne où elle rencontre de nouveaux modèles : André Gide, Suzy Solidor, de riches industriels, des princes russes émigrés, etc.
En 1929, appelée par Rufus Bush, un riche américain qui lui a commandé le portrait de sa fiancée, Tamara fait son premier voyage à New York. Outre le portrait de commande, elle exécutera sur place plusieurs tableaux, dont d'intéressantes études de gratte-ciel. Elle expose simultanément en Pologne (médaille de bronze à l'exposition internationale de Poznan), à Paris (dans quatre salons et à la galerie Colette Weil) et aux États-Unis (Carnegie Institute de Pittsburgh)! Pour un peintre dont la production est relativement limitée, c'est un exploit.
Elle divorce en 1928 pour se remarier, en 1933, avec le baron Raoul Kuffner (décédé en 1962). Ce passage de l'état de comtesse à celui de baronne (Baroness Kuffner) coïncide avec une crise morale et artistique qui provoque un ralentissement de sa production. Fuyant les menaces de guerre, elle s'installe aux États-Unis en 1939 où elle fait trois expositions à New York et à San Francisco chez Paul Rheinardt et chez Julien Levy. Après-guerre, son œuvre tombe dans un profond oubli jusqu'à ce que la redécouverte de l'Art déco, dans les années 1970, fasse ressurgir son nom.
Madonna a rendu hommage à Tamara dans son clip vidéo "Vogue" ainsi que dans "Open Your Heart" avec la toile "Andromède" (L'Esclave).


Tamara de Lempicka occupe une place à part dans l'art du xxe siècle : malgré une production peu abondante (à peine 150 tableaux dans sa meilleure période qu'on situe entre 1925 et 1935), ce sont ses peintures qui sont choisies le plus souvent aujourd'hui lorsqu'il s'agit d'illustrer les années folles de l'entre-deux-guerres.
Ses modèles se caractérisent par des regards interrogateurs et sensuels, une bouche pulpeuse pour les femmes et pincée pour les hommes, des couleurs vives, mais en nombre limité, mises en valeur par des fonds gris ou noirs. Derrière une stylisation néo-cubiste, qui les situe parfaitement dans leur temps, les portraits de Tamara de Lempicka ne négligent aucune des magistrales recettes de composition qui furent élaborées par ses grands prédécesseurs de la Renaissance italienne.


Œuvres

Portrait de Kizette, (1924)
Le Modèle, (1925)
Portrait de la Duchesse de La Salle, (1925), collection privée
Portrait du Marquis d'Afflitto, (1925)
Portrait du marquis Sommi, (1925)
Portrait du Prince Eristoff, (1925)
La Belle Rafaela, (1927), collection privée
L'esclave , (1927-1928), collection privée
Printemps, (1928)
Portrait de Tadeuz de Lempicki (1928), Paris, Musée national d'art moderne
Portrait d'Arlette Boucard (1928)
Première communiante, (1929)
Mon portrait, (1929)
Nu aux buildings, (1930)
Femme endormie, (1930)
Portrait de Mrs Alan Bott, (1930)
Portrait de Madame M., (1930)
Dormeuse, (1931-1932)
Adam et Ève (1932), collection privée
Portrait de Suzy Solidor, (1933), Cagnes, Château-musée
La Chemise rose, (1933)
Bretonne, (1934)
Dormeuse (1934)
Femme endormie, (1935)
Réfugiés, (1931) musée d'Art et d'Histoire, Saint-Denis
La Mère supérieure (1939)
Améthyste (1946)
Deux amies (1923)
Femmes se baignant
Idylle (1931)
Femme à la colombe (1931)
Kizette balcon (1927)
Kizette en rose (1926)
La Musicienne (1929)
Portrait d'Ira P. (1930)
Portrait de Madame Boucard (1931)
Portrait de Marjorie Ferry (1932)
Portrait de Nana de Herrera (1928)
Portrait de S.A.I. le grand duc Gabriel (1926)
Groupe de quatre nus (1925)
Saint-Moritz (1929)
Le Turban orange (1945)
Le Turban vert (1929)
L'éclat

 

 

 

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