Date de création : 09.04.2012
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30.01.2025
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Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
Betty Grable naquit à St.Louis, (Missouri), de John Conn Grable et de Lilian Rose Hoffman. Ses ancêtres les plus récents étaient américains, mais son héritage généalogique fait apparaître des souches hollandaises, irlandaises, allemandes et anglaises. Sa mère, qui souhaitait vivement faire une star d'une de ses filles, l'encouragea dans la carrière de comédienne. Elle obtient son premier rôle de chorus girl dans le film Happy Days en 1929 à l'âge de 13 ans, ce qui était illégal pour jouer, mais comme toutes les filles se produisaient le visage passé au cirage, il était impossible de dire quel âge elle avait.
Pour son film suivant sa mère essaya de lui obtenir un contrat en utilisant une fausse identité, mais quand on le découvrit, Grable fut renvoyée. Elle obtint finalement un rôle de Goldwyn Girl dans Whoopee! (film) (1930) dont la vedette était Eddie Cantor. Elle fit par la suite des figurations pour différents studios, jusqu'à la fin de la décennie, entre autres dans La Joyeuse Divorcée (1934) avec Fred Astaire et Ginger Rogers.
En 1937, elle épousa Jackie Coogan, un acteur célèbre pour son rôle d'enfant dans Le Kid de Charlie Chaplin. Mais Coogan était soumis à un stress très important, suite à un procès qui l'opposait à ses parents concernant ses gains durant son enfance, et le couple divorça en 1940.
C'est à cette époque - après une cinquantaine de rôles mineurs dans des films hollywoodiens des années 1930, Grable obtint finalement la consécration nationale grâce à son rôle à Broadway dans la pièce à succès de Cole Porter : La Du Barry était une dame (1939).
L'année de son divorce d'avec Coogan, elle obtient un contrat avec la 20th Century Fox et devient la star de la compagnie pour toute la décennie, avec de somptueux films en Technicolor comme Sous le ciel d'Argentine (Down Argentine Way) (1940), Soirs de Miami (Moon over Miami) (1941), (tous les deux avec Don Ameche), Springtime in the Rockies (1942), L'Île aux plaisirs (Coney Island) (1943) avec George Montgomery, Rosie l'endiablée (Sweet Rosie O'Grady), avec Robert Young (1943), Pin Up Girl (1944), Diamond Horseshoe (1945) avec Dick Haymes, Les Dolly Sisters (The Dolly Sisters) (1945) avec John Payne et June Haver et son film le plus populaire Maman était new-look (Mother Wore Tights) (1947) avec son partenaire favori Dan Dailey.
C'est pendant son règne de championne du box-office qu'elle posa en 1943 pour la fameuse photo de pin-up, qui devait devenir son symbole au même titre que ses films, et qui apporta bientôt rêve et évasion aux soldats américains qui combattaient outre-mer pendant la Seconde Guerre mondiale. Malgré la solide concurrence de Rita Hayworth, Dorothy Lamour, Veronica Lake et Lana Turner, Grable devint sans conteste la pin-up numéro un pour les soldats américains. Elle était aussi au maximum de sa popularité dans son pays, plaçant un de ses films dans la liste des dix plus grands succès de l'année pendant dix ans. À la fin des années 1940, elle était la star féminine la mieux payée d'Hollywood.
On peut relever entre autres parmi ses films d'après-guerre La Dame au manteau d'hermine (That Lady in Ermine) (1948) avec Douglas Fairbanks Jr., When My Baby Smiles at Me (1948), de nouveau avec Dan Dailey comme partenaire, La Rue de la gaieté (Wabash Avenue) (1950) avec Victor Mature, remake de L'Île aux plaisirs précédemment cité, My Blue Heaven (1950) et Meet Me After the Show (1951). Le chef du studio Darryl F. Zanuck produisait sa star numéro 1 dans de coûteux films en technicolor et la maintenait constamment en activité (Grable tourna près de vingt-cinq comédies ou films musicaux en treize ans). Son dernier grand succès pour la Fox fut Comment épouser un millionnaire, (How to Marry a Millionaire) avec Marilyn Monroe et Lauren Bacall.
Elle est morte d'un cancer du poumon le 2 juillet 1973 à Santa Monica en Californie.
1929 : Happy Days, de Benjamin Stoloff : Chorus girl
1930 : Let's Go Places, de Frank R. Strayer : Chorine (non créditée)
1930 : Whoopee!, de Thornton Freeland : Goldwyn Girl (non créditée)
1931 : Kiki de Sam Taylor : Goldwyn Girl (non créditée)
1931 : Palmy Days, de A. Edward Sutherland : Goldwyn Girl (non créditée)
1932 : Probation, de Richard Thorpe : Ruth Jarrett
1932 : Hold 'Em Jail, de Norman Taurog : Barbara Jones
1933 : Cavalcade, de Frank Lloyd : Une fille
1933 : Jeunes filles à louer (Child of Manhattan), de Edward Buzzell : Lucy McGonegle
1933 : Virginité (What Price Innocence?), de Edward Buzzell : Beverly Bennett
1934 : La Joyeuse Divorcée (The Gay Divorcee), de Mark Sandrich : Une danseuse
1934 : Avec votre permission (By Your Leave), de Lloyd Corrigan : Frances Gretchell
1935 : The Nitwits, de Lloyd Corrigan : Mary Roberts
1935 : Old Man Rhythm, d'Edward Ludwig : Syvia
1936 : Collegiate, de Ralph Murphy : Dorothy
1936 : En suivant la flotte (Follow the Fleet), de Mark Sandrich : Une chanteuse
1936 : Gardez-les sous les verrous ! (Don't Turn 'em Loose), de Benjamin Stoloff : Mildred Webster
1937 : Pigskin Parade, de David Butler : Laura Watson
1937 : This Way Please, de Robert Florey : Jane Morrow
1937 : Romance burlesque (Thrill of a Lifetime), de George Archainbaud : Gwen
1938 : College Swing, de Raoul Walsh : Betty
1938 : Give Me a Sailor, d'Elliott Nugent : Nancy Larkin
1939 : Campus Confessions, de George Archainbaud : Joyce Gilmore
1939 : L'Irrésistible Monsieur Bob (Man about Town), de Mark Sandrich : Susan Hayes
1939 : Million Dollar Legs, de Nick Grinde : Carol Parker
1939 : The Day the Bookies Wept, de Leslie Goodwins : Ina Firpo
1940 : Sous le ciel d'Argentine (Down Argentine Way), de Irving Cummings : Glenda Crawford
1940 : Tin Pan Alley, de Walter Lang : Lily Blane
1941 : Soirs de Miami (Moon over Miami), de Walter Lang : Miss Adams
1941 : Un Yankee dans la RAF (A Yank in the R.A.F.), de Henry King : Carol Brown
1941 : Qui a tué Vicky Lynn ? (I Wake up Screaming), de H. Bruce Humberstone : Jill Lynn
1942 : Filles des îles (Song of the Islands), de Walter Lang : Eileen O'Brien
1942 : Swing au cœur (Footlight Serenade), de Gregory Ratoff : Pat Lambert
1942 : Springtime in the Rockies, de Irving Cummings : Vicky Lane
1943 : L'Île aux plaisirs (Coney Island), de Walter Lang : Kate Farley
1943 : Rosie l'endiablée (Sweet Rosie O'Grady), de Irving Cummings : Madeleine Marlowe/Rosie O'Grady
1944 : Pin Up Girl, de H. Bruce Humberstone : Lorry Jones
1945 : Broadway en folie (Diamond Horseshoe), de Irving Cummings : Bonnie Collins
1945 : Les Dolly Sisters (The Dolly Sisters), de Irving Cummings : Yansci 'Jenny' Dolly
1946 : Voulez-vous m'aimer ? (Do you love me ?) de Gregory Ratoff : (non créditée)
1947 : The Shocking Miss Pilgrim, de George Seaton : Cynthia Pilgrim
1947 : Maman était new-look (Mother Wore Tights), de Walter Lang : Myrtle McKinley Burt
1948 : La Dame au manteau d'hermine, de Ernst Lubitsch et Otto Preminger : Francesca/Angelina
1948 : When My Baby Smiles at Me de Walter Lang : Bonny Kane
1949 : Mam'zelle mitraillette (The Beautiful Blonde from Bashful Bend), de Preston Sturges : Francesca/Angelina
1950 : La Rue de la gaieté (Wabash Avenue), d'Henry Koster : Ruby Summers
1950 : My Blue Heaven, de Henry Koster : Kitty Moran
1951 : Call Me Mister, de Lloyd Bacon : Kay Hudson
1951 : Meet Me After the Show, de Richard Sale : Delilah Lee
1953 : The Farmer takes a wife, de Henry Levin : Molly Larkin
1953 : Comment épouser un millionnaire (How to Marry a Millionaire), de Jean Negulesco : Loco Dempsey
1955 : Tout le plaisir est pour moi (Three for the Show) de H. C. Potter : Julie Lowndes
1955 : La Blonde fantôme (How to be very, very popular), de Nunnally Johnson : Stormy Tornado
Isabelle Yasmina Adjani, née le 27 juin 1955 à Paris, est une comédienne française, cinq fois lauréate du César de la meilleure actrice.
Elle débute à 14 ans au théâtre, puis entre à 17 ans à la Comédie-Française et devient célèbre au milieu des années 1970 grâce au cinéma. Elle y interprète fréquemment des personnages névrosés, fragiles, mystérieux, perturbés, déments ou psychologiquement instables.
Elle grandit à Gennevilliers, au nord-ouest de Paris avec son frère cadet Éric Hakim (qui deviendra plus tard photographe), va au collège Paul Lapie à Courbevoie et poursuit ses études secondaires au lycée Jean-Jaurès, à Reims. Elle obtient un premier rôle à 14 ans dans un film pour enfants, Le Petit Bougnat qui met en vedette d'autres grandes stars en devenir du cinéma français, telles Nathalie Baye et Isabelle Huppert.
Elle entre à la Comédie-Française en 1972. Sa carrière cinématographique et théâtrale est prolifique depuis.
En 1972, Isabelle Adjani joue avec la troupe de Robert Hossein, La Maison de Bernarda de Federico García Lorca, au côté d'Annie Ducaux. La pièce, qui est un triomphe, sera reprise plus tard au théâtre de l'Odéon.
En 1973, Annie Ducaux recommande sa partenaire à Jean-Paul Roussillon qui prépare une mise en scène de L'École des femmes de Molière à la Comédie-Française et cherche l'Agnès idéale. Elle prend le rôle, dans lequel elle fait sensation aux côtés de Bernard Blier/Arnolphe. Elle sera ensuite une étonnante Ondine de Jean Giraudoux, mise en scène au Français par Raymond Rouleau.
Au cinéma, elle est révélée au grand public en 1974 grâce à son rôle de jeune fille en rébellion contre son père dans La Gifle de Claude Pinoteau, dont le succès la propulse au rang des jeunes actrices françaises les plus en vue. Plusieurs cinéastes de premier plan l'engagent : François Truffaut avec L'Histoire d'Adèle H., André Téchiné avec Barocco et Les Sœurs Brontë, Roman Polanski avec Le Locataire ou encore Werner Herzog avec Nosferatu, fantôme de la nuit. Ces quatre interprétations révèlent son goût de mystère et de la complexité psychologique. Elles illustrent par ailleurs déjà son registre de prédilection : la fragilité et la passion, jusqu'à la perdition, la folie ou la mort.
En 1996, Adjani quitte la capitale française et s'établit en Suisse, à Genève. Elle déclarera : « lorsqu'on a la possibilité d'offrir à ses enfants une meilleure qualité de vie, il ne faut plus hésiter ». Elle reviendra en France présider le jury du 50e Festival de Cannes en 1997.
Elle a deux fils : le premier du chef opérateur et réalisateur Bruno Nuytten, Barnabé Saïd, né en avril 1979 et le second de l'acteur Daniel Day Lewis, Gabriel-Kane, né le 9 avril 1995.
Le jour de Noël 2010, son frère, Eric Hakim, meurt subitement d'une crise cardiaque. Il avait 53 ans.
En 1981, elle est à l'affiche de Possession d'Andrzej ?u?awski et de Quartet de James Ivory, deux films pour lesquels elle remporte le Prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes. Ces deux succès, joints à celui, immense, de L'Été meurtrier de Jean Becker en 1983 en font, dans les années 1980, la star féminine française la plus populaire et la plus adulée. La même année, Mortelle randonnée de Claude Miller lui offre un autre nouveau rôle mythique et sombre de jeune meurtrière, poursuivie par Michel Serrault qui croit reconnaître en elle sa fille disparue et efface les quelques traces laissées sur les scènes de crime.
Dans Possession, elle interprète un double rôle sulfureux, halluciné et extrême qui fait d'elle l'incarnation-type de l'héroïne romantique, tumultueuse et exaltée. Elle reçoit pour son interprétation sur le fil du rasoir un premier César en 1982. Vingt ans plus tard, en pleine promotion de La Repentie de Laetitia Masson, elle déclare à Studio Magazine détester ce film : « je dois à la « mystique » d'Andrzej ?u?awski de m'avoir révélé des choses que je ne voudrais jamais avoir découvertes... Possession, c'était un film infaisable, et ce que j'ai fait dans ce film était tout aussi infaisable. Pourtant, je l'ai fait et ce qui s'est passé sur ce film m'a coûté tellement cher... Malgré tous les prix, tous les honneurs qui me sont revenus, jamais plus un traumatisme comme celui-là, même pas... en cauchemar ! ».