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22.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Faute de découvertes archéologiques antérieures, les premiers exemples archéologiquement datés de verre plat à vitre (vitrum) font remonter son invention, au ier siècle avant notre ère, et plus précisément par les Romains à l'époque augustéenne. Il s'agissait de verre coulé (5 à 6 mm) sur des lits de sable, des plateaux de bois ou des dalles de marbre poli, puis étiré grâce à une pince. Ceci par contrainte faisait apparaître des bulles d'air dans le verre et lui donnait une qualité médiocre, d'autant qu'il s'agissait de verre composé de soude, ce qui le rendait plus ou moins opaque (le verre à base de potasse ne le remplacera qu'à partir des Xe et XIe siècles). Cependant, son usage était relativement rare en cette période et était restreint aux thermes – notamment sur des oculi – et en moindre nombre aux riches demeures, notamment pompéiennes, sur des châssis fixes de plus grandes ouvertures mais quadrangulaires, comme à Herculanum. Son usage courant ne débute qu'au troisième quart du ier siècle de notre ère. Les fenêtres étaient auparavant obstruées par des peaux, panses ou vessies animales tendues et séchées, de la corne ou, au mieux, par des pierres spéculaires plus ou moins translucides, suffisamment pour laisser passer la lumière et éclairer les pièces sans trop de déperdition de chaleur. Lorsque cette dernière était trop importante, les Romains recouraient au double vitrage, on peut donc dire qu'ils en sont également les inventeurs
https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_verre
Un ressort est un organe ou pièce mécanique qui utilise les propriétés élastiques de certains matériaux pour absorber de l'énergie mécanique, produire un mouvement, ou exercer un effort ou un couple
Des peintures rupestres attestent que l'homme a inventé cette pièce depuis plus de 10 000 ans, sous la forme de l'arc, constitué essentiellement d'une pièce courbe flexible dont l'élasticité permet de ramener la pièce à sa position initiale lorsqu'elle est déformée ; le ressort a ainsi joué un rôle déterminant dans l'essor des civilisations.
Un ressort idéal est parfaitement élastique et reprend sa forme de repos, ou l'une de ses formes de repos s'il en a plusieurs, après avoir subi une déformation.
On peut distinguer plusieurs grandes catégories de ressorts en fonction des matériaux utilisés, qui peuvent être des métaux, des élastomères, des matériaux composites ou encore des gaz.
L'amphore est, dans l'Antiquité, le récipient le plus utilisé pour le transport de produits de base : le vin, l'huile d'olive, la bière (zythum et zythogala) et les sauces de poissons (de type garum).
D'usage extrêmement courant dans le pourtour méditerranéen, on la trouve parfois réutilisée, soit broyée afin d'entrer dans la composition du mortier au tuileau romain, soit telle quelle comme canalisation ou pour ménager un vide sanitaire. Parfois, elle sert de cercueil pour une sépulture d'enfant. Enfin, on la jette souvent dès que son contenu est consommé : c'est ainsi que le mont Testaccio s'est formé de l'accumulation de débris d'amphores à Rome.
Dans le domaine de l'archéologie, l'amphorologie est une spécialité très développée. L'existence d'un grand nombre de types répertoriés d'amphores, leur évolution sur une longue durée et une vaste zone dans l'antiquité constitue un élément important de datation établie par la chrono-typologie.
L'amphore quadrantal est une mesure de capacité pour des liquides. Elle est équivalente à un pied cube.
La jarre actuelle est une amphore de terre cuite, de forme ovoïde et de différentes dimensions, où l'on conserve l'eau, l'huile, les olives.
L'amphorisque est une amphore d'origine grecque de petite taille destinée à contenir principalement des onguents et parfums. Pourvue de deux anses latérales, reposant sur un petit pied ou dépourvue de pied, elle est proche du modèle panathénaïque avec un corps qui s'évase vers le haut tandis que le col est étroit.
Amphores au château de Bodrum en Turquie.
L'amphore apparaît au IIIe-IVe millénaire au Proche-Orient où l'insuffisance de forêts, source de bois, favorise la fabrication de récipients en terre cuite. Les Phéniciens découvrent et utilisent l'amphore vers 1500 av. J.-C.. La substitution progressive du tonneau aux amphores (dont les inconvénients — poids, fragilité, peu empilable — en font un récipient peu pratique) à partir du IIIe siècle de notre ère, a fait parfois disparaître une source précieuse pour l'écriture de l'histoire économique de l'antiquité. Néanmoins l'usage des amphores est poursuivi à l'époque tardive, au dernier siècle de l'empire romain et aux premiers de l'empire byzantin, notamment dans le bassin oriental de la Méditerranée.
Amphorisque en verre, Méditerranée orientale, IIe-Ier siècles av JC
C'est le caractère jetable des amphores qui fait leur valeur archéologique pour l'amphorologie : sauf réemploi dans une maçonnerie ou exception, une amphore n'était pas réutilisée à une période différente de celle de sa fabrication et de sa consommation. Objets de céramique, les tessons d'amphores sont quasiment indestructibles. Par des analyses chimiques, il est possible de retrouver leur lieu de fabrication. La reconstitution de l'histoire de l'évolution des formes d'amphores a débouché sur des classements typologiques qui correspondent aussi à une chronologie. À la forme des amphores, il faut ajouter d'autres éléments de typologie : des sceaux, appelés timbres amphoriques, gravés dans l'argile ou des gravures ou encore des marques peintes. Ainsi les amphores portant la marque Sestius furent produites vers Cosa en Étrurie romaine et exportées vers la Gaule du Sud à l'époque de Cicéron.
À partir d'un tesson d'amphore un archéologue peut dater, à quelques décennies près souvent mais parfois bien plus précisément, la couche stratigraphique où le tesson a été retrouvé, ou encore l'épave du navire qui les contenait. Ainsi les amphores d'époque romaine portent des noms et une numérotation qui permettent aux archéologues de les retrouver dans la typologie et de les dater. Ces noms renvoient souvent aux savants qui ont établi la chronologie (Heinrich Dressel, Pascual) où à l'origine de l'amphore (Gauloise). Les amphores Dressel 1a et 1b sont typiques des amphores vinaires de la fin de la république romaine. La Gauloise 4 est une amphore à fond plat qui correspond à l'essor du commerce du vin gaulois. Les amphores Dressel 20 correspondent à des amphores à huile. Reporter les trouvailles du même type d'amphore sur une carte peut alors permettre de retracer - si les trouvailles sont assez nombreuses - des flux commerciaux.
L'étude de ces amphores est relativement récente et s'est construite à partir des travaux de John Riley qui a défini, au début des années 1980, sept types d'amphores romaines tardives : Late Roman Amphoras (LRA1 à 7). Ces amphores tardives ont servi, dans leur grande majorité, à contenir du vin, leur étude attestant du dynamisme de ce commerce à cette époque et de son organisation autour de Constantinople et du commerce maritime. Si les zones de production sont de mieux en mieux identifiées et si la recherche a mis en évidence des phénomènes d'imitation, l'étude des amphores tardives en est encore largement à ses débuts.
Amphore du type Dressel 1B
Légende : 1 : lèvre - 2 : col - 3 : anse - 4 : épaule - 5 : panse - 6 : pilon ou pied
L'amphore est fabriquée à partir d'argile épurée. Il faut de l'eau pour délayer l'argile, et du bois ou un autre combustible pour la cuisson. Le plus fréquemment, c'est le tournage qui est utilisé pour la façonner.
Afin de la fabriquer, le potier façonne d'abord un fût, puis y ajoute col, pointe, anses.
Une fois mise en forme, elle est mise à sécher au soleil, ou à défaut dans un lieu ventilé. Elle est ensuite mise à cuire pendant plusieurs heures.
Le poissage ou le cirage est parfois utilisé pour la rendre plus étanche : on verse à l'intérieur de la poix liquide ou de la cire, de manière à former un film imperméable. L'amphore conservant le vin est bouchée par une bourre de paille, recouverte d'une épaisse couche d'argile ou dès l'Antiquité par un bouchon de liège.
Une opinion répandue veut que le pied soit fabriqué en forme de cône pointu pour offrir à l'amphore une meilleure stabilité (on raconte ainsi à tort qu'elle est fichée dans le sable tapissant le fond des bateaux), en réalité ce pied est une poignée permettant une troisième prise au creux de la main pour verser son contenu.