Date de création : 09.04.2012
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19.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Le musée de Tahiti et des Îles, créé en 1974 et situé à Punaauia, valorise et présente le patrimoine naturel et culturel polynésien. Grâce à son partenariat avec le musée du quai Branly, il participe au rayonnement international du patrimoine culturel polynésien.
Le musée se trouve à Punaauia, à 15 km de Papeete, à la Pointe-des-Pêcheurs, près de l'embouchure de la rivière Punaruu. Il comprend un terrain couvrant presque 4 haentièrement clôturé, donnant sur le lagon de Tahiti. Une digue de protection avec enrochement a été construit pour briser les vagues du large traversant la passe de Nuuroa lui faisant face
Il a pour rôle de recueillir, conserver, restaurer des collections liées à l'Océanie, plus particulièrement à la Polynésie, et de les présenter au public. Il est chargé de la valorisation, de l'étude et de la diffusion du patrimoine polynésien. Il a acquis un rôle d'expertise dans la préservation des biens culturels et mobiliers
Historique
L'histoire du Musée de Tahiti et des Îles commence en 1967, lorsque le gouvernorat acquiert le terrain pour y accueillir un établissement public territorial. Il faudra ensuite attendre sept ans pour qu'en 1974, l'Assemblée territoriale vote sa création et commence les travaux, mais une fois l'argent trouvé, la construction est rapide et dès 1975 le musée ouvre ses portes, alors que le PSC (projet scientifique et culturel) est encore en discussion.
L'équipe muséologique comprend le graphicien parisien René Dessirier (surtout connu comme créateur de timbres), des chercheurs du malacologue Bernard Salvat du Muséum national d'histoire naturelle de Paris et sous couvert de ce dernier, de Mihai Băcescu du Muséum roumain de Bucarest pour la partie consacrée au patrimoine naturel, et, pour la partie consacrée au patrimoine culturel, les équipes de l'archéologue et préhistorien José Garranger et d'Henri Lavondès de l'ORSTOM, nommé directeur du Musée et auteur du panneau sur les langues polynésiennes.
La laïcité n'étant pas appliquée en Polynésie française, deux salles sont concédées à une association religieuse œcuménique : « Tenete », dont le directeur, le prêtre catholique O'Reilly, conçoit une présentation de l'histoire de la Polynésie et de la culture polynésienne traditionnelle très discutée, puisque la partie anté-chrétienne y est à peine évoquée et en termes jugés peu objectifs et peu flatteurs par les critiques, l'accent étant mis sur l'évolution de la société depuis l'arrivée des navigateurs européens. En outre, pour inaugurer ses réalisations le 30 mai 1977, O'Reilly organise au Musée un festival d'hymnes religieux (himene Tarava, himene Ruau et himene Nota). Les critiques estiment aussi que les objets exposés sont « disparates et de qualité très inégale », que l'authentique matériel lithique ancien n'est pas suffisamment mis en valeur, que l'espace pour de futures acquisitions ou expositions est insuffisant, et que la thématique par archipels induit un déséquilibre dans la présentation (l'archipel des Marquises étant sur-représenté en raison de l'abondance de pièces).
Face à ces critiques, en 1978, René Dessirier et son équipe reviennent à Tahiti pour achever l'aménagement des deuxième et troisième salles consacrées à la culture polynésienne, en collaboration avec le personnel du Musée, le maquettiste Hiro Ouwen et l'adjoint de conservation François Ollier qui pilote notamment la décoration des salles et la construction de l'abri à pirogues. Ils choisissent alors de répartir les objets et les éléments d'exposition qui viendraient les compléter (gravures, œuvres d'art, panneaux) par techniques et par thèmes environnementaux et historiques (par exemple le marae, l'atoll, la navigation hauturière, le peuplement de l'Océanie...) plutôt que par archipels. L'espace consacré à l'archéologie préhistorique est agrandi, et la présentation de l'époque coloniale et du rôle des missionnairesest rendue plus objective, historiquement et scientifiquement parlant.
Enfin d'autres partenaires que « Tenete » (par exemple l'association pour la protection de la nature « Ia Ora te Natura », l'office de Développement du Tourisme pour les fêtes de Juillet, des troupes de musiciens et de danseurs...) ont été invitées à collaborer avec le Musée, ce qui en a considérablement accru la notoriété et les ouvertures. En novembre 2000, le musée a acquis le statut d'EPA.
De 2008 et jusqu'à sa disparition en 2011, son directeur est l'écrivain Jean-Marc Pambrun.
En 2011, la direction du musée est confiée à Mme Théano Jaillet, suivie depuis avril 2017 par Mme Miriama Bono
Tahiti : Le musée de Tahiti et des Îles
De nombreuses traditions existent au sein de la culture maohi. Les légendes représentent l'histoire de la culture et l'île renferme de nombreux contes. Le mois de juillet est propice à la découverte de ces traditions puisque de nombreuses manifestations culturelles sont organisées dans le cadre ou en marge du Heiva. Le Heiva de Tahiti est le plus grand festival culturel de la Polynésie française, et regroupe des compétitions de chants et de danses, ainsi que des compétitions sportives et artisanales (préparation du coprah, tressage, etc.). Le Heiva de Tahiti met également à l'honneur l'artisanat de l'ensemble des archipels polynésiens, au travers d'expositions et de démonstrations.
Tahiti participe également au rayonnement et à la professionnalisation de la danse tahitienne, avec notamment la troupe des Grands Ballets de Tahiti.
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Les Grands Ballets de Tahiti sont une troupe polynésienne de [Danse mêlant traditionnel et contemporain] établie à Tahiti en Polynésie française. La danse tahitienne est communément appelée le tamure.
Fondés en 1998, ils comptent 25 danseuses, 20 danseurs, 20 musiciens et 6 chanteurs-choristes.
Les Grands Ballets de Tahiti n'ont jamais participé à aucun concours de danse car leurs créations sont extrêmement libres et n'entrent pas dans le cadre des règlements des concours qui se déroulent à Tahiti.
Afin de préserver leur liberté de créer, les chorégraphes de la troupe se situent délibérément en marge de la création traditionnelle.
Affichant une volonté d'être au-delà du folklore, leur dernière création (septembre 2006) appartient davantage au genre comédie musicale et est directement inspirée, de leur propore aveu, du Cirque du Soleil.
La qualité de l'exécution ouvre la voie à une professionnalisation de la danse tahitienne.
Tahiti : Le musée de Tahiti et des Îles
Les récits de Louis Antoine de Bougainville. et de James Cook de la découverte de Tahiti dans les années 1768-1779 vont propulser l’île dans l’imaginaire européen. Plus spécifiquement, en interprétant de manière erronée l'accueil des Tahitiens, les découvreurs vont diffuser une image idéalisée de l'île, « Nouvelle-Cythère », où règne la plus grande liberté sexuelle : « Vénus est ici la déesse de l’hospitalité, son culte n’y admet point de mystères, et chaque jouissance est une fête pour la nation ». Tandis que la découverte des îles Marquises par Álvaro de Mendaña et Pedro Fernandes de Queirós n’avait pas suscité un tel engouement, l’exploration scientifique d’une nouvelle terre au milieu du Pacifique sud va passionner les savants et les artistes du xviiie siècle. C’est notamment le récit des relations avec les Tahitiens, leur accueil, la description de la société et des mœurs tahitiennes qui va enflammer l’imagination du public européen et susciter une littérature abondante
Les philosophes des Lumières voient en Tahiti une incarnation de l’utopie de la vie sauvage et de la pureté originelle, où des Tahitiens simples et heureux ne sont pas contraints par des règles artificielles et pesantes mais privilégient avant tout la liberté, et la fraternité. Diderot écrit ainsi en 1772 dans son conte philosophique Supplément au voyage de Bougainville : « La vie sauvage est si simple et nos sociétés sont des machines si compliquées ! l'Otaïtien touche à l'origine du monde et l'Européen touche à sa vieillesse ». De son côté, Voltaire déclare après avoir lu les récits de navigateurs : « On peut assurer que les habitants de Tahiti ont conservé dans toute sa pureté la plus ancienne religion de la terre »
Après la colonisation de l'île par la France, l'administration coloniale encourage la vision idyllique de Tahiti. Ainsi, lors de l'exposition universelle de 1889, Tahiti est représentée par deux cases d'indigènes et une dizaine de Tahitiens. De multiples productions agricoles et artisanales sont présentées au Pavillon central. De nombreuses publications en marge de l'événement contribuent à véhiculer une image mythique de l'île et de ses habitants. Dans le Livre d'or de l'Exposition, on peut ainsi lire : « Je parlais des paradis restés, voici le plus délicieux de tous (…), Tahiti. Tahiti, ce pays sans intempérie, où le printemps est éternel, comme l'amour des femmes tahitiennes (…). »
Les écrivains s’emparent également de cette île mythique dans leurs récits. En 1872, lors d’un séjour à Tahiti, « ce pays des rêves », Pierre Loti écrit Le mariage de Loti, roman exotique sur sa liaison avec une jeune Tahitienne, Rarahu. Publié en 1880, le roman reçoit un accueil enthousiaste du public et de la critique. Ce récit contribue à alimenter le mythe tahitien. En 1898, le récit est adapté à l’opéra par Reynaldo Hahn, sous le nom de L’Île du rêve.
En 1891, Paul Gauguin s'installe à Tahiti où il espère pouvoir fuir la civilisation occidentale et tout ce qui est artificiel et conventionnel. Influencé par les écrits des lumières, il se lance à la recherche de cette pureté originelle. Il vit d'abord à Papeete, mais il trouve la ville trop occidentalisée. Il s'installe alors aux Marquises, en espérant y découvrir la polynésie authentique. Ses peintures contribueront activement au mythe polynésien.
Aujourd'hui, l'île est restée la plus célèbre de l'archipel polynésien et Tahiti reste un nom chargé d'exotisme qui enflamme l'imaginaire des Occidentaux, bien plus que le terme Polynésie française. Les guides touristiques ne s'y trompent d'ailleurs pas, puisque tous utilisent le terme Tahiti dans le titre de leurs ouvrages sur la Polynésie : « Tahiti et la Polynésie française » ou encore « Tahiti et les îles de la Société ». Même l'office du tourisme de la Polynésie française, d'ailleurs baptisé « Tahiti Tourisme », présente la Polynésie française sous l'expression « Tahiti et ses îles ». Par métonymie, le nom de l'île est souvent utilisé pour désigner la Polynésie française dans son ensemble.
Tahiti : Le musée de Tahiti et des Îles
Mareva Georges, née le 29 mai 1969, est un mannequin français. Elle a été élue Miss Tahiti 1990 puis Miss France 1991. Elle est la 61eMiss France.
Mareva Georges est d'origine allemande par son père, et Polynésienne et Américaine par sa mère. Elle est la nièce d'Edna Tepava, Miss Tahiti 1973 et Miss France 1974, et la cousine de Vaimalama Chaves, Miss Tahiti 2018 et Miss France 2019.
Mareva Georges commence jeune sa carrière dans le mannequinat.
Son compagnon de l'époque, Matahi Salmon, l'a incitée à se présenter au concours Miss France, alors qu'ils faisaient tous deux leurs études à Aix-en-Provence. Mareva Georges est élue Miss Tahiti 1990 à Punaauia (dans sa ville natale) à Tahiti. Son titre la qualifie pour l'élection de Miss France 1991
L'élection de Miss France 1991 se déroule le 30 décembre 1990 au CNIT Paris La Défense. Elle est retransmise sur FR3 et présentée par Yves Lecoq. Mareva Georges, 21 ans, est élue Miss France face à 43 candidates. Elle est la deuxième Miss Tahiti élue Miss France, 17 ans après sa tante Edna Tepava, et succède à Gaëlle Voiry, Miss France 1990.
Ses dauphines sont :
Alors qu'elle est élue Miss France, Mareva Georges met en pause son projet de mariage avec Matahi Salmon (une Miss France n'a pas le droit de se marier), ils ne vivront pas ensemble non plus dans le même appartement ; les deux situations étant interdites par le Comité Miss France.
Le 17 mai 1991, Mareva représente la France au concours Miss Univers 1991 à Las Vegas. Finalistes, elle fait partie du Top 10 de l'élection (9e sur 77 candidates).
Le 28 décembre 1991, elle est demi-finaliste (classée dans le Top 10) du concours Miss Monde 1991 qui a lieu à Atlantaaux États-Unis.
Elle n'est pas présente lors de l'élection de Miss France 1992 se déroulant au CNIT Paris La Défense pour transmettre sa couronne, étant retenue pour l'élection de Miss Monde. Elle s'en explique lors d'un duplex entre la France et les États-Unis. Elle est alors remplacée par sa première dauphine Catherine Clarysse qui passe le relais à Linda Hardy, Miss Pays de Loire, élue Miss France.
Carrière post Miss France
Après son année de Miss France 1991, sa carrière de mannequin se confirme : elle défile pour les plus grands couturiers. Mareva doit son parcours, avant tout, à sa beauté naturelle, son aisance sur un catwalk, son intelligence ainsi qu'à son éloquence[non neutre].
Le 14 décembre 2003, elle est membre du jury de l'élection de Miss France 2004 se déroulant à Deauville et retransmise en direct sur TF1.
Mareva est actuellement l'épouse de Paul Marciano, propriétaire et créateur-designer pour les marques Guess - Guess by Marciano - Guess Jeans - Diesel - Gasoline. Ils sont les heureux parents de deux enfants : un garçon et une petite fille.
Elle défile et pose pour les différentes marques de son époux.
Elle fait aujourd'hui la promotion du tourisme à Tahiti aux États-Unis. Elle est aussi animatrice d'une émission à la télévision américaine sur les sports de glisse.
Elle est aussi une femme engagée dans diverses actions caritatives. En Polynésie française notamment, une de ses actions a consisté à distribuer des vêtements de la dernière collection de la marque Guess à des enfants de familles démunies. Elle sert également des repas aux sans-abris en Polynésie.
Sur l'initiative de Sylvie Tellier, Mareva a posé avec 11 autres Miss France, sous l'objectif de Peter Lindbergh, en Polynésie française, pour le calendrier 2008 des Miss France en faveur de l'association ELA parrainée par Zinédine Zidane. Cette promotion s'est faite partout en France. Certaines Miss telles que Mareva ont fait la joie du public en lui offrant des journées spéciales dédicaces.
Le 5 décembre 2010, à la salle Wagram de Paris, elle fait partie du jury de l'élection de Miss Nationale 2011 (rebaptisé ensuite Miss Prestige National), concours concurrent de Miss France créé par Geneviève de Fontenay en octobre 2010 et dont la présidente est Christiane Lillio. L'élection est retransmise sur BFM TV.
Mareva apporte son soutien aux jeunes candidates de Miss France (la société présidée par Sylvie Tellier), leur porte conseil, surveille leurs parcours et est un membre actif du jury du comité Miss Tahiti.
Elle s'est beaucoup intéressée au parcours de Miss Tahiti 2013, Mehiata Riaria, élue 1re dauphine de Miss France 2014, Flora Coquerel, avec presque 2 % de moins que la Miss France élue. Dans un entretien accordé à un magazine en Polynésie Française, Mareva avoue que « Mehiata a le potentiel d'aller loin, comme moi auparavant ».
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