Fandeloup

Il vit en couple avec une poupée en silicone !

Ce couple ne connaît ni conflit ni dispute. Le secret de leur amour ? Jenny est une poupée en silicone !  La vie de couple est un défi permanent. Lorsqu’on décide d’emménager avec sa moitié, on ne pense pas systématiquement à tous les compromis qui nous attendent… Et pourtant, il faut savoir écouter, communiquer, faire des concessions et surtout accepter les défauts de l’autre pour réussir son ménage. Autant d’efforts à fournir qui ne semblent pas concerner ce couple pour le moins étrange… Rencontre.

Des vêtements et de la lingerie sexy Dirk (prénom d’emprunt) vit une histoire d’amour avec Jenny depuis maintenant quatre ans. Une relation pas tout à fait comme les autres, disons même hors du commun des mortels (c’est le cas de le dire et vous allez comprendre pourquoi). L’homme en question est fou amoureux : il achète à sa belle de beaux vêtements ainsi que de la lingerie sexy.

Jusqu’ici, rien d’extraordinaire en soi. Si ce n’est que sa famille et ses amis ignorent tout de leur idylle, y compris de leur union célébrée il y a déjà trois ans.

Et pour cause : Jenny est… une poupée en silicone ! Une poupée de 50 kilos qu’il a décidé aujourd’hui de dévoiler au grand jour. Sous couvert d’anonymat, Dirk a autorisé Sandra Hoyn, une photographe allemande, à venir prendre des clichés dans son appartement et ainsi immortaliser l’intimité de ce couple pour le moins insolite.

Des rapports sexuels avec sa poupée

Devant l’objectif de la photographe, Dirk s’est confié sur sa vie intime. Il avoue avoir régulièrement des rapports sexuels avec sa poupée même si ce n’est plus vraiment sa priorité. Car aujourd’hui, Jenny le réconforte. Grâce à elle, le quarantenaire a enfin retrouvé sa joie de vivre. Un bonheur qu’il était loin de partager avec son ex-femme. Effectivement, avec Jenny, pas de risque de connaître des prises de bec.

Il faut dire aussi que l’homme passe beaucoup de temps à s’occuper de sa bien-aimée. Entre les douches et les massages, en passant par les séances de maquillage, Dirk est prêt à tout pour sublimer sa poupée. Mais la plastique de Jenny commence fortement à s’effriter…

Dirk songera-t-il à remplacer la femme de sa vie par une autre ?

Des poupées en silicone plus vraies que nature ? 6 000 euros. C’est la somme que Dirk a déboursée pour acquérir sa poupée. Un achat qui a su combler la vie de cet ancien dépressif. Initialement conçues pour assouvir les pulsions sexuelles, les poupées en silicone sont également commercialisées dans le but de combler la solitude des hommes. Blonde ou brune, petite ou grande, ces poupées ultra-réalistes à taille humaine connaissent un énorme succès auprès de la gent masculine, en particulier au Japon où les poupées gonflables sont vendues à prix d’or !

Un réalisme impressionnant à tel point que certains acheteurs ne font même plus de distinction entre ces modèles siliconés et les femmes comme en témoigne l’histoire de Dirk et Jenny. Et il se pourrait bien qu’avec le temps, ces poupées deviennent encore plus vraies que nature avec la possibilité de parler voire de bouger. De quoi avoir froid dans le dos !

C’est quoi cette bête avec une effrayante coulée gluante? La vidéo a été publiée par un internaute taiwanais, Wei Cheng Jian, qui est tombé par hasard sur ce « monstre ».

Alors qu’il pêchait dans le port de Penghu, il a fait cette étrange découverte, qui semble être une espèce de ver ruban… Normalement, ces animaux vivent dans les eaux tropicales très profondes, mais certaines espèces pourraient survivre sur terre.

Appelé Némertes (Nemertea ou Némertiens), ces vers aquatiques trochozoaires prennent des aspects forts différents, parfois fluos comme ici ou rouges à lignes comme des serpents, parfois de couleur terre ou sable, où ils se nichent d’ailleurs le plus volontiers à l’abri des regards.

Certains Némertiens se meuvent toutefois en eaux douces ou dans la terre humide, voire à la surface de l’eau. Mais principalement dans les régions (sub)tropicales.

Outre leur couleur, c’est leur allure dévertébrée peu ragoûtante qui suscite l’attention. Certains ressemblent fortement à des morceaux d’intestins emmêlés mais ces carnassiers deviennent encore plus effrayants lorsque, comme dans le cas qui nous occupe, ils partent à la recherche de proies qu’ils saisissent à l’aide de ce qui ressemble à une langue rose détachable, mais est en réalité une trompe dévaginable qui semble se dérouler à l’infini.

Cet appendice de succion leur permet de happer leur nourriture en dégageant d’abord une colle paralysante sur la proie.

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JUSTICE

L’homme a été interpellé samedi à la sortie d’un parloir à la maison d’arrêt de Villefranche avec de la drogue sur lui et dans sa voiture… Il a été cueilli, en possession de drogue, à la sortie d’un parloir à la maison d’arrêt de Villefranche-sur-Saône, près de Lyon.

Lundi, un homme de 34 ans a été condamné par le tribunal correctionnel à dix mois de prison, dont six mois avec sursis, pour « usage, détention, acquisition de produits stupéfiants ».

Samedi, cet homme de 34 ans, domicilié à Annonay, était venu rendre visite à un détenu à la prison, en compagnie d’un copain de 28 ans, chargé de l’attendre dans une voiture, stationnée le long du mur d’enceinte de l’établissement pénitentiaire.

Une balance, des couteaux, de la drogue… A la demande du personnel de la prison, interpellé par la présence de ce véhicule mal garé, les policiers étaient intervenus et avaient retrouvé l'homme installé dans le véhicule, un joint à la bouche.

En sortant du parloir, le trentenaire avait également été fouillé et retrouvé en possession de stupéfiants. Dans sa voiture, les enquêteurs avaient découvert un sac contenant 110 grammes de résine de cannabis, une balance de précision, deux couteaux et 34 grammes de cocaïne, précise ce mardi la Direction départementale de la sécurité publique du Rhône.

Son camarade, simple consommateur, a été laissé libre et devra s’expliquer devant la justice le 26 juin. Le trafiquant condamné a passé, lundi, sa nuit en prison...

Lorsque la nuit vient silencieusement se poser dans des replis endormis...et tout doucement... elle dispose de nos âmes enfouies. Lorsque la nuit parvient à nous murmurer à l'oreille une douce mélodie magique gravée dans une pierre. Quand nous vient le sommeil...elle nous laisse... nous emporter dans nos rêves... avec des sentiments qui nous ensorcellent et qui nous émerveillent... ...Douce et belle nuit à tous .

Les villageois ont voulu rendre justice eux-mêmes à des tueurs de chiens

La scène s’est produit au Shaping, un village de la province d’Hunan, au sud de la Chine, Deux hommes ont été pris en flagrant délit de vol et d’abattage de chiens par les habitants. À environ matin 7 heures du matin, les deux voleurs de chiens ont été pris la main dans le sac avec les deux chiens qu’ils venaient de tuer, vraisemblablement pour leur viande.

Une foule en colère s’est rapidement amassée autour des deux voleurs qui ont été battus avant que les animaux morts ne leur soient attachés autour du cou. La police a dû intervenir pour libérer les deux hommes retenus par les villageois qui avaient décidé de rendre justice eux-mêmes.

Mais lorsque les officiers ont voulu emmener les voleurs au poste, ils en ont été empêchés par les villageois qui leur ont réclamé 1 million de yens (soit 145.000 euros) pour qu’ils acceptent de les libérer. Vers 16 heures, les policiers ont même été attaqués à l’aide de barres de fer et de pierres jetées sur leur véhicule.

Deux heures plus tard et avec l’aide de renforts policiers, la situation est finalement revenue au calme. Les deux suspects ont été placés en garde à vue et une enquête a été ouverte.

Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.

Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.

L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.

Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.

Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.

En France, un enfant sur cinq vit sous le seuil de pauvreté

Ce sont les conclusions accablantes d'un rapport de l'Unicef publié mardi matin. Plus de trois millions d'enfants, soit un enfant sur cinq, vivent sous le seuil de pauvreté.

Dans son enquête, l'Unicef scanne tous les chiffres concernant la précarité de l'enfance et livre un résumé édifiant. Ainsi, l'on apprend qu'entre 2008 et 2012, 440 000 enfants supplémentaires ont «plongé» avec leur famille sous le seuil de pauvreté. 18% des enfants marginalisés.

Pour la présidente de l'Unicef France Michèle Barzach, «ce rapport est un cri d'alarme qui doit pousser les autorités à agir d'urgence et de manière plus efficiente pour chaque enfant».

Car si le texte n'indique pas le degré d'éloignement du seuil de pauvreté, la durée d'exposition de l'enfant à cette situation, ni encore les conséquences sur la vie quotidienne, il est très clair sur la marginalisation des plus jeunes.

17,7% des enfants et adolescents français sont en situation sociale d'intégration précaire ou très précaire. 9 000 enfants dans des bidonvilles.

L'enquête pointe également les chiffres du mal-logement.

31 000 enfants seraient sans domicile.

En 2013, le Samu social accueillait 29 000 parents et leurs enfants. C'est quatre fois plus qu'en 2004. Le texte pointe également «la situation inacceptable des enfants migrants non accompagnés et/ou vivant en bidonvilles» au nombre de 8 000 à 10 000. Privés de leurs droits fondamentaux, victimes de discriminations, ces mineurs isolés étrangers «comptent parmi les plus vulnérables».

Cela conduit «à des situations indignes» comme la traite des êtres humains, alerte Michèle Barzach, Pas de véritable politique publique de l'enfance. La patronne d'Unicef France conclut : «La stratégie globale pour l'enfance n'existe toujours pas» en France. «Il n'y a pas de véritable politique publique de l'enfance et de l'adolescence consolidée et articulée, ni de mécanisme de suivi et d'évaluation à la hauteur. 

Nous pourrions faire beaucoup mieux avec les mêmes moyens». En Espagne, un enfant sur trois vit dans la pauvreté. Ces chiffres de la pauvreté infantile sont quasiment égaux à ceux de la Roumanie.

Les animaux de l’après apocalypse vu par Josh Keyes Une fois n’est pas coutume, nous vous présentons aujourd’hui un nouvel artiste aux réalisations interpellantes. A mi-chemin entre le surréalisme et le post-apocalyptique, les peintures surprenantes de Josh Keyes mettent en exergue le conflit permanent qui régit la relation entre la société humaine et les animaux.

Découvrons quelques-unes de ses œuvres ensemble. Originaire de Tacoma dans l’état de Washington, Josh Keyes voit le jour en l’an de grâce 1969. Il sort bachelier en 1992 de la « School of the Art Institute of Chicago » puis avec un master en poche, obtenu à l’Université de Yale. Son travail fut exposé à l’échelle nationale puis internationale et plusieurs de ses œuvres se retrouvent aujourd’hui dans des collections privées et publiques.

L’artiste Américain, inspiré par la philosophie et l’esthétique du 18ème et 19ème siècle, peint dans un style qui n’est pas sans rappeler celui des diagrammes anatomiques. Ses œuvres se caractérisent par la dichotomie existante entre milieux naturels et artificiels, l’artiste déplaçant souvent les animaux de leur cadre habituel pour les mettre dans des situations périlleuses ou fantastiques.

Le thème de la migration et du déplacement est omniprésent dans le travail de Josh Keyes, reflétant sa préoccupation grandissante quant au changement climatique global, tandis que le mélange incompatible de nature et d’artifice dénonce l’impact humain sur la nature.

Ses œuvres peuvent à ce titre être considérées comme une satire implacable où l’humanité oscille fébrilement entre environnement et modernité.