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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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joffrey

Publié à 07:57 par fandeloup Tags : vie anniversaire cadeau
joffrey

Ca y est!! une dizaine de franchie, ne t'inquiète pas tu ne vas pas te réveiller ce matin avec des rides et des cheveux blancs!!! Dur dur de trouver un plus beau cadeau que celui que tu m'a fais le jour où tu es né. A trente ans on n'a pas de peine infinies parce qu'on a encore trop d'espérance, pas non plus de désirs exagérées parce qu'on a dèja trop d'expérience Sache que nos forces résident dans nos responsabilités face aux choix de notre vie Conclusion à 20 ans, la volonté est Reine à 30 ans, c'est l'esprit à 40 ans, le jugement . Tu es la star du jour ! Je te souhaite un joyeux anniversaire en espérant que ce jour soit aussi spécial que toi.

ne plus

Publié à 07:24 par fandeloup
ne plus

Ne plus penser et ne plus vouloir, ne plus s’interroger sur le pourquoi et sur le comment, mais se contenter de laisser venir.

bonne nuit

Publié à 20:18 par fandeloup Tags : monde nuit
bonne nuit

Il est dur parfois de remonter la pente, et l'espoir, n'en parlons pas. Mais il nous reste la nuit et nos lumières.. tout ce monde inconnu qui éveille nos rêves et nous font voyager au plus profond de nos illusions et nous envolent vers nos secrets les plus profonds.. Dormons, rêvons et voyageons avant de nous retrouver demain. Je vous souhaite une nuit magique .

Auschwitz: la vérité

Auschwitz: la vérité

Auschwitz: la vérité Par Eric Conan et Denis Peschanski

[Archives]

Depuis près de cinquante ans, on attendait l'ouverture des archives nazies conservées à Moscou par le KGB. Jean-Claude Pressac les a consultées. Résultat: un document terrifiant sur la construction et le fonctionnement du camp. Et des révélations sur le nombre des victimes comme sur la date de mise en application de la solution finale. Un ouvrage qui servira de référence aux historiens du monde entier.

Il aura donc fallu attendre près d'un demi-siècle pour voir s'ouvrir les archives soviétiques de la Solution finale: 80 000 documents saisis à Auschwitz en 1945 et conservés aujourd'hui dans les Archives centrales de Moscou, au 3 de la rue Vyborskaïa. Grâce à ces pièces - la majeure partie des archives relatives au camp d'extermination - vient d'être réalisée la première synthèse des connaissances sur l'un des événements majeurs du xxe siècle. Il s'agit là d'une avancée historique considérable. Non seulement elle permet une compréhension désormais totale de la mise en place et du fonctionnement technique des chambres à gaz et des fours crématoires, mais elle conduit à réviser la chronologie de l'extermination et débouche sur un nouveau comptage, précis et sans doute définitif, des victimes.

 

L'auteur de ce travail, le premier à avoir dépouillé les archives d'Auschwitz conservées depuis la fin de la guerre par le KGB, est un Français. Jean-Claude Pressac attendait cette opportunité depuis des années. Consultant du musée d'Auschwitz, conseiller du musée de l'Holocauste, à Washington, ce pharmacien de formation est le spécialiste incontesté des recherches sur les techniques de l'extermination nazie. Déjà auteur de l'ouvrage essentiel (en anglais) sur la question , écrit à partir des archives polonaises et allemandes, il ne lui manquait plus que l'accès aux archives soviétiques pour connaître l'intégralité des procédés techniques, combler de nombreuses lacunes et répondre à bien des interrogations. C'est l'objet de l'ouvrage que publie aujourd'hui le CNRS et qui va désormais faire office de référence mondiale sur le sujet: Les Crématoires d'Auschwitz. La machinerie du meurtre de masse .

 

Tous les travaux sur la politique d'extermination nazie se heurtent au problème de la dissimulation: la décision et l'exécution du judéocide furent entourées par leurs auteurs d'un secret absolu. Il n'existe ni film ni photo représentant un gazage homicide et aucun discours officiel ne mentionne le processus de l'entreprise criminelle. Les diverses opérations aboutissant à la disparition physique des victimes étaient camouflées derrière un langage de service anodin ("traitement spécial", "action spéciale", etc.). Et, lors de l'évacuation du complexe concentrationnaire, en janvier 1945, les SS prirent soin de dynamiter les installations criminelles (et elles seules) et de brûler la quasi-totalité des archives de la "section politique" du camp. Ne restèrent intactes que les archives de la Direction des constructions SS (SS Bauleitung), chargée des travaux de construction et d'entretien et des rapports avec les différentes entreprises intervenant dans le camp. Mais ces archives essentielles furent immédiatement partagées en deux: les Soviétiques, ayant libéré le camp, en saisirent les deux tiers (transportés à Moscou et bloqués par le KGB pour des dizaines d'années), l'Etat polonais conservant le reste, déposé aux Archives du musée d'Auschwitz.

 

L'événement "indicible"

Pendant longtemps, même la petite partie disponible en Pologne demeura inexploitée. D'abord parce que les récits des témoins et de certains exécutants, et la présence de nombreux survivants, paraissaient suffisants. Mais aussi parce qu'un courant important de la mémoire juive refusait toute approche rationnelle de la Solution finale, qualifiée d'événement "indicible" et "impensable". Or, à partir des années 70, la littérature négationniste choisit précisément comme angle d'attaque les modalités techniques du génocide, pour contester l'existence même des chambres à gaz. Cette stratégie du soupçon se limitait en fait à relever systématiquement les erreurs, imprécisions ou invraisemblances techniques, logiquement nombreuses dans les récits de témoins ou dans les textes soviétiques et polonais de l'après-guerre qui firent d'Auschwitz un thème de propagande idéologique. Pharmacien et scientifique, Jean-Claude Pressac partagea au départ plusieurs objections d'ordre technique avancées par les négationnistes. Il se plongea alors dans la lecture des archives polonaises et fit rapidement le tri entre les inexactitudes, faciles à relever ici ou là, et la réalité du génocide. Il s'aperçut cependant que, contrairement aux apparences, l'étude détaillée de l'extermination des juifs, simple dans son principe, mais complexe dans sa machinerie, n'avait pas, jusque-là, été entreprise. L'histoire technologique de la Solution finale restait encore à écrire.

 

Dans une première étape, le dépouillement des pièces disponibles en Pologne et en Allemagne lui permit de démontrer, sur le terrain technique, qu'ils avaient choisi, les contrefaçons des négationnistes. Ce travail, encouragé et publié il y a quatre ans par la fondation Beate Klarsfeld, ouvrait les pistes d'une histoire du processus de mise à mort industrielle à Auschwitz: malgré les consignes nazies de dissimulation et la destruction des archives politiques d'Auschwitz, l'étude de ces archives techniques permettait de retracer précisément l'activité du camp et de répondre à un certain nombre de questions restées jusqu'ici ouvertes. Mais les archives polonaises (250 dossiers, contenant 50 000 documents et plans) et allemandes, suffisantes pour répliquer aux négationnistes, ne permettaient pas de reconstituer l'intégralité du processus.

On comprend ainsi l'enjeu que représentait l'ouverture des Archives centrales (ex-spéciales) de Moscou, où se trouve depuis 1945 la partie la plus importante de ces archives techniques (600 dossiers, contenant 80 000 documents et plans). Après deux années de travail sur les documents de Moscou et de Weimar (archives de l'ex-Allemagne de l'Est), Jean-Claude Pressac livre donc, aujourd'hui, la première reconstitution des techniques d'extermination, à partir des seules sources écrites contemporaines (et donc affranchie des témoignages).

 

Ainsi, derrière Hitler, Himmler ou Eichmann, apparaissent de nouveaux personnages, bien moins connus, alors qu'ils jouèrent un rôle décisif: les fonctionnaires de cette Direction des constructions SS (Bauleitung SS), mais aussi les ingénieurs et responsables des firmes civiles chargées des travaux. Karl Bischoff, le "Bauleiter".

Ses adjoints directs, Walter Dejaco et Fritz Ertl. Et surtout l'ingénieur principal Kurt Prüfer, qui équipa Auschwitz de crématoires surpuissants, fabriqués par la société qui l'employait, la Topf und Söhne d'Erfurt, totalement associée à l'entreprise criminelle.

 

Tout ce qui fut projeté, étudié, édifié et réparé à Auschwitz, y compris chambres à gaz et crématoires, dépendait de la Bauleitung. Laquelle consignait et archivait tout. Lorsqu'elle entreprenait la construction ou l'aménagement de bâtiments, elle établissait des dessins, des tirages de "bleus", des devis des matériaux nécessaires et lançait des offres de marché ciblées auprès des firmes régionales, en fonction de leur spécialité (terrassement, isolation, toiture, plomberie, etc.).

Jean-Claude Pressac a découvert que la Bauleitung conservait également les pièces des entreprises ayant emporté les marchés: plans, états d'avancement des travaux, bordereaux récapitulatifs des travaux effectués, lettres mentionnant les obstacles rencontrés, factures, etc.

A la fin, chacune des réalisations était réceptionnée officiellement par la Bauleitung, ce qui donnait lieu à de nouveaux documents (répertoriant les différentes installations qu'elle remettait à l'administration du camp).

 

Ingénierie criminelle

Au sein de cette masse de documents, Jean-Claude Pressac a retrouvé les preuves de l'organisation de l'homicide. Ici ou là, et souvent à propos de questions techniques incontournables, la vérité apparaît: sur un plan, dans un devis ou dans une lettre urgente, des indications précises trahissent les consignes de secret en attestant l'existence des chambres à gaz homicides.

 

Quelques exemples peuvent illustrer ces "bavures". Pourtant très prudent, le chef de la Bauleitung lui-même, Karl Bischoff, commet un lapsus dans une lettre adressée le 29 janvier 1943 à son supérieur, à Berlin: il désigne la morgue 1 du crématoire II comme "cave à gazage".

Le 6 mars suivant, un technicien en chauffage de la Bauleitung, Rudolf Jährling, presse la firme Topf d'effectuer rapidement l'installation du système de réchauffement de cette morgue 1: un tel local doit par définition rester frais, mais son utilisation en chambre à gaz réclamait une température supérieure à 27 degrés, afin de permettre la vaporisation rapide du zyklon B (granulés de silice imprégnés d'acide cyanhydrique).

Le 14 mars, c'est un contremaître civil de Topf, Heinrich Messing, qui laisse échapper le terme de "cave à déshabillage" à propos d'une salle du crématoire II.

Le 31 mars, Hans Kirschneck, ingénieur sous-lieutenant SS de la Bauleitung, signale que la morgue 1 du crématoire II est équipée d'une porte étanche au gaz avec un oeilleton de verre épais de 8 millimètres. Dans la lettre et le télégramme échangés les 11 et 12 février 1943 entre la Bauleitung et Topf est mentionnée une soufflerie en bois destinée à désaérer une salle désignée comme "morgue": preuve que l'air extrait n'était plus celui d'une morgue, mais de l'air contenant de l'acide cyanhydrique, gaz corrosif, ne pouvant être aspiré par une soufflerie classique en métal.

Le même mois, juste au moment de la pose d'un système de ventilation, la Bauleitung demande à Topf de lui envoyer des détecteurs de gaz mesurant les restes d'acide cyanhydrique dans le crématoire II. Or, dans une vraie morgue, on utilise des désinfectants (comme, à l'époque, l'eau de Javel ou le Crésyl), mais non un produit destiné à tuer les poux...

Le crématoire III fut livré le 24 juin 1943. Les bordereaux de réception mentionnent que sa "morgue" comprend une "porte étanche au gaz" et quatorze (fausses) douches, ce qui trahit une fois de plus son utilisation en chambre à gaz. Etc.

 

La richesse du fonds russe d'archives permet une compréhension presque parfaite de l'ingénierie criminelle et de sa conception. La technique des fours d'incinération en fut l'élément central: la difficulté principale, pour les nazis, était non pas le gazage, mais l'élimination des cadavres. Le rythme de l'extermination dépendait donc de celui de la crémation.

D'où l'enjeu représenté par la conception de fours crématoires d'une capacité et d'une efficacité inégalées. Jean-Claude Pressac retrace minutieusement le rôle essentiel joué par la firme Topf und Söhne, ses dirigeants, et en particulier l'un de ses ingénieurs, Kurt Prüfer, considéré alors comme un génie de la crémation. Jour après jour, à travers l'histoire industrielle de cette entreprise, nous pouvons suivre les efforts de Prüfer et de son équipe, qui vont faire passer la technique des crématoires d'un stade artisanal et purement sanitaire, dans les premiers camps de concentration, à l'usine de mort d'Auschwitz II-Birkenau, disposant de complexes constitués de chambres à gaz reliées (parfois par monte-charge d'une capacité de 1 500 kilos) à des fours d'incinération.

A partir de son four civil, modèle 1934, chauffé au gaz de ville, Prüfer, essai après essai, adapte ses fours au coke, améliore le tirage, la puissance des souffleries d'air pulsé, l'isolation.

Objectif: réduire au minimum la durée d'incinération, afin d'accélérer le débit. Il parvient ainsi à passer de quelques incinérations par jour, dans un crématoire normal, à un rendement de 1 000 et même de 1 500, dans les crématoires II et III de Birkenau.

 

Des pannes fréquentes

La sécheresse technique de l'étude de Jean-Claude Pressac, dénuée de tout commentaire et de tout témoignage, nous fait pénétrer la réalité humaine d'une usine. Sa vie quotidienne. Ses problèmes. Il y a des pannes fréquentes: il est rare que l'ensemble des crématoires fonctionnent en même temps. Certains sont abandonnés, déficients après avoir été surexploités ou à cause d'un défaut de structure. La Bauleitung a aussi de gros ennuis avec les cheminées, qui, soumises à un rythme de plus en plus rapide, se fissurent souvent sous l'effet de la chaleur. Topf, comme toutes les entreprises, a des contentieux de facturation avec son client. Il lui arrive de faire du dumping pour évincer ses concurrents (notamment Kori, à Berlin) et emporter le maximum de marchés dans les différents camps du Reich. Prüfer, qui touche personnellement 2% sur les bénéfices des ventes, veut être présent partout.

 

La chronique de la vie professionnelle de ces fonctionnaires, techniciens et employés, constitue par sa banalité l'un des plus terribles documents sur la Solution finale. Car c'est à cause de ce travail appliqué de mise au point de techniques incinératrices surpuissantes qu'Auschwitz devint un lieu d'anéantissement massif des juifs. Les premiers gazages eurent lieu à Auschwitz I, le camp principal, en décembre 1941 (et non en septembre, comme on le pensait jusque-là), sur des malades qualifiés d' "irrécupérables" et des prisonniers soviétiques, et en 1942 et 1943 furent réalisés à Auschwitz II-Birkenau les crématoires II, III, IV et V, à très grande capacité.

 

"Traitement spécial"

Les documents soviétiques analysés par Jean-Claude Pressac apportent donc des confirmations minutieuses, décisives et sans réplique à ce que l'on savait des camps d'extermination. Ils donnent aussi un nouvel éclairage au processus et à la chronologie de la Solution finale. La date du début de la phase industrielle de l'extermination apparaît ainsi plus tardive que ne le pensaient les historiens.

Plus précisément, et au détriment de l'importance accordée jusqu'ici à la conférence de Wannsee (20 janvier 1942), la nouvelle chronologie publiée par Jean-Claude Pressac montre que l'opération a eu lieu en deux temps. Quand, en septembre 1941, Hitler ordonne la déportation vers l'Est des juifs du Reich, il a clairement décidé de les éliminer à plus ou moins long terme, progressivement ou rapidement, en fonction de la résistance des organismes, soumis à des épreuves destructrices.

Cette procédure est élargie à l'ensemble des territoires occupés lors de la conférence de Wannsee. Mais ce n'est que fin mai-début juin 1942 que la volonté politique et idéologique de mort trouve dans les innovations techniques mises en oeuvre à Auschwitz (grâce à Prüfer) les moyens d'une extermination industrielle, devenue alors un objectif prioritaire du régime nazi.

La première "sélection" date ainsi du 4 juillet 1942 et vise un convoi de juifs slovaques: les "aptes au travail" (hommes et jeunes femmes sans enfants) étaient séparés des "inaptes au travail" (enfants, femmes et vieillards), voués au gaz. C'est précisément à la fin du mois de juillet qu'apparaît, pour la première fois, l'expression "traitement spécial".

Dès cette époque, gênés par de fréquentes pannes des fours d'incinération du crématoire I, incapable d'assurer un rendement suffisant pour la réalisation du programme d'extermination, les responsables de la Bauleitung signent avec Topf un contrat pour l'installation urgente de quatre nouveaux crématoires.

Autre apport décisif rendu possible par l'étude des documents soviétiques: le bilan précis des victimes d'Auschwitz, en retrait par rapport aux calculs connus et déjà récemment révisés à la baisse. Plusieurs chiffres erronés ont été avancés après guerre. En 1945, la Commission soviétique d'Auschwitz estimait le nombre total de morts à 5 500 000. La Pologne communiste s'en est longtemps tenue au chiffre de 4 millions de victimes, affiché jusqu'en 1990 sur le site d'Auschwitz II-Birkenau et repris en 1956 dans le célèbre film d'Alain Resnais Nuit et brouillard. La première estimation sérieuse, établie par l'Américain Raul Hilberg (3), s'élevait à 1,2 million (1 million de juifs et 200 000 non-juifs) et la plus récente, proposée par l'historien polonais Francis Piper, à 1,1 million.

 

Environ 800 000 tués

Jean-Claude Pressac a pu, quant à lui, s'appuyer, le premier, sur la source exceptionnelle que constituent pour Birkenau les registres de décès ("Sterbebücher") des déportés astreints au travail (et donc immatriculés), soit 46 registres conservés à Moscou. Pour les autres victimes, sélectionnées comme "inaptes" et gazées dès leur arrivée (sans immatriculation), Jean-Claude Pressac se sert des données techniques afin de modifier sensiblement le comptage des victimes polonaises et hongroises.

Environ 800 000 personnes ont été tuées à Auschwitz: 15 000 prisonniers de guerre soviétiques, une dizaine de milliers de Tsiganes, morts du typhus ou par gazage, 130 000 détenus, juifs et non-juifs, morts de maladie ou d'épuisement par le travail, et 630 000 juifs, adultes et enfants, assassinés dans les chambres à gaz dès leur arrivée.

Un travail du même type, sur les autres camps, amènera sans doute d'autres révisions et, parallèlement, une réévaluation de la responsabilité de la Wehrmacht dans ses opérations de massacres de juifs, comme sans doute de l'importance de la mortalité dans les ghettos. Mais la nature de la Solution finale reste inchangée: des millions d'hommes, de femmes et d'enfants sont morts, comme l'a écrit Arthur Koestler, "d'être nés dans un lit et non dans un autre".

viol

Publié à 18:15 par fandeloup Tags : merci chien
viol

PÉTITION

Un chien sans défense a encore été violé au Danemark. Il n'arrive plus à s'assoir ou se poser tant l'abus était violent et la douleur le ronge. Pour rappel la zoophilie est légale au Danemark ! Les établissement pullulent... Merci de signer pour que le Danemark abolisse cette pratique immonde, immorale et perverse ! -------------

http://www.thepetitionsite.com/974/828/581/sexual-use-of-animals-is-legal-in-denmark-help-us-stop-this-evil-and-make-it-illegal

Sécurité sociale

Publié à 17:49 par fandeloup Tags : france texte article enfants mode femmes bébé solidarité revenu
Sécurité sociale

Sécurité sociale : le gouvernement donne un coup de rabot aux prestations familiales

Dans le projet de budget de la Sécurité sociale, le gouvernement envisage de réaliser 700 millions d'économie sur la branche famille

 Sans de nouvelles mesures d'économies, la Commission des comptes de la Sécurité sociale a indiqué, ce lundi que le déficit du régime général devrait s'amplifier à 14,7 milliards d'euros en 2015.

En dévoilant lundi le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015, Marisol Touraine et Christian Eckert, les ministres de la santé et du budget ont donc annoncé que plusieurs prestations allaient subir un large coup de rabot.

Désormais, le déficit prévisionnel du régime général et du fonds de solidarité vieillesse de la Sécurité sociale devrait être de 13,4 milliards en 2015, au lieu de 15,4 milliards en 2014.

Le gouvernement ne prévoit pas de retour à l'équilibre avant 2019. Au total, 700 millions d'euros d'économies seront réalisées sur la branche famille Une prime de naissance divisée par trois à partir du 2ème enfant.

Aujourd'hui cette prime de 923 euros est versée au septième mois de grossesse à 85 % des nouveaux parents, c'est à dire aux familles dont le revenu annuel ne dépasse pas 46 888 euros pour un couple ayant deux revenus. Désormais, à partir du deuxième enfant cette prime ne sera plus que d’environ 308 euros.

Cela devrait permettre de dégager 250 millions d’euros d’écononmies dès 2015. Par ailleurs, la prestation d’accueil de jeune enfant (PAJE) ne sera plus versée qu’à partir du mois suivant la naissance et non plus dès le premier mois.

Selon le gouvernement, les parents ont déjà acheté l'essentiel du matériel lors de la naissance du premier bébé. Donc, les achats à l'arrivée du deuxième enfant sont plus limités. Un congés parental partagé Si la période de trois ans à partir du deuxième enfant du congé parental ne change pas, le gouvernement souhaîte allongé celui que peut prendre le père.

Ce congé qui est destiné aux parents pour s'occuper de leur enfant devra être répartie entre les deux parents. Un seul parent ne pourra plus prendre l'intégralité de ce congé. Le père et la mère pourront prendre 18 mois chacun par exemple.

Aujourd'hui, 96% des femmes utilisent ce congé rémunéré entre 145,63 euros et 390,52 euros ce qui n'est pas le cas des hommes. En réduisant la durée de congé pour les femmes, le gouvernement compte faire des économies en espérant que les hommes ne l'utilisent pas. Baisse de 20% des aides à la garde d'enfant

Aujourd'hui, le complément de mode de garde versé par les caisses d'allocations familiales pour aider les parents qui emploient une nounou va être réduit de 20% pour les familles les plus aisées.

Actuellement cette aide varie de 87,19 euros à 460 euros. Il existe actuellement trois niveaux de revenus qui conditionnent le montant de cette aide. Le gouvernement va en créer un quatrième pour abaisser la somme versée aux familles les plus aisées. Les plafonds seront définis plus tard par décret.

Une toute petite hausse des allocs de 88 centimes pour une famille trois enfants Marisol Touraine a déjà annoncé qu'elle avait renoncé à geler toutes les prestations familiales en 2015. Toutefois, ce dégel est très symbolique.

Si les nouvelles prévisions d’inflation se vérifient, la hausse ne devrait être que de 0,3 % au 1er avril 2015, soit 88 centimes de plus par enfant pour les familles de trois enfants...

Si le gouvernement avait maintenu le gel, cela aurait représenté une économie d’à peine 100 millions d’euros (1 % de hausse des allocations familiales coûte 300 millions d’euros). Une majoration des allocs réduite

Aujourd'hui, toutes les familles touchent des allocations familiales à partir de deux enfants. Quand l'un d'eux atteint l'âge de 14 ans, il y existe une majoration de 64,67 euros. Désormais, cette majoration ne sera versée qu’à partir des 16 ans de l’enfant. 460 000 retraités assujettis désormais au taux normal de CSG

Ce projet de budget de la Sécurité sociale prévoit que 460 000 retraités assujettis à la contribution sociale généralisée (CSG) passeront du taux réduit au taux normal. Cette mesure, présentée comme "plus équitable", est fondée sur un nouveau seuil de revenus. Elle vise les retraités qui bénéficiaient jusqu'alors du taux réduit de 3,8% «uniquement grâce à des réductions fiscales».

Ils passeront donc au taux normal de 6,6%. Un plan d'économie de 3,2 milliards d'euros sur la branche maladie Marisol Touraine et Christian Eckert tablent sur un plan d’économies de 3,2 milliards sur la branche maladie. il devrait permettre de limiter à 2,1 % la hausse des dépenses de santé en 2015.

Plusieurs pistes sont connues: un contrôle renforcé sur les prescriptions de certains médicaments très onéreux, comme le Solvadi, un nouveau traitement contre l’hépatite C. En outre, le gouvernement veut favoriser le développement de la chirurgie ambulatoire dans les hôpitaux pour réduire la durée de séjour des patients.

honteux

Publié à 16:34 par fandeloup Tags : nature
honteux

Une moralité exemplaire comme d'habitude en fait !!! Continuez , la nature va de plus en plus vous réguler, de vrais parasites pour notre planète!!

souffrance

Publié à 16:29 par fandeloup Tags : google article travail vie chez enfants france 2010 nuit carte revenu
souffrance

Enfants en souffrance… La honte", une enquête choc

Enfants placés, foyers d'accueils, adoption… Alors qu'une proposition de loi sur la protection de l’enfance vient d’être dévoilée au Sénat par les sénatrices Michèle Meunier (PS) et Muguette Dini (UDI), deux journalistes lancent un pavé dans la mare de l'Aide sociale à l'enfance. Une enfant dans la cour d'une école primaire à Strasbourg, le 2 septembre 2014.

Lyes, 20 ans, revenu de "l'enfer des foyers" Novembre 2011. Sous le ciel gris de Dunkerque, des centaines de travailleurs sociaux défilent silencieusement. Quelques jours plus tôt, on a retrouvé le corps de l’un des leurs, pendu sous le pont Rosendaël, le plus passant du port. Fabrice Hrycak avait soigneusement préparé sa sortie. La veille de son suicide, le père de famille de 38 ans avait déclaré : "Je vais faire exploser l’association".

Depuis des mois, après une altercation physique avec un de ses jeunes, il se battait contre l’irresponsabilité de l’Association d’action éducative et sociale (AAE) qui l’employait. Son équipe, en sous-effectifs, devait gérer une vingtaine d’adolescents perdus, déscolarisés, errants dans un foyer dégradé pour lequel la direction ne cessait de réduire les coûts.

A peine un mois plus tard, un rapport réalisé par le cabinet d’audit Syndec vient renforcer encore un peu plus l’indignation collective : en examinant les comptes, les experts comptables mandatés ont découvert que certains dirigeants se font rembourser leurs factures personnelles d’électricité, de chauffage, de gaz, de téléphone, d’internet mais aussi leurs taxes foncières et taxes d’habitation…

Voilà où commence l’enquête d’Alexandra Riguet, Bernard Laine et Pauline Legrand. Pendant deux ans, caméra au poing, les journalistes et réalisateurs ont sillonné une France méconnue, celle de l’Aide social à l’enfance (ASE).

Des couloirs des Conseils Généraux aux foyers d’hébergement, ils ont plongé dans les arcanes d’un système opaque, où la prise en charge des enfants relève parfois d’une simple "loterie", où les maltraitances psychiques et physiques sont courantes, où les disparités régionales autorisent tous les abus, où l’absence de contrôle favorise toutes les dérives…

Après leur documentaire diffusé sur France 5, qui a réuni 850.000 téléspectateurs, leur ouvrage "Enfants en souffrance… La honte" sera publié lundi 29 septembre chez Fayard. Largement documenté et étayé de nombreux exemples, leur travail risque de déranger l’institution.

En moyenne : un contrôle tous les… 26 ans ! L’ASE, ce sont plus de 150.000 enfants pris en charge par les départements pour un budget annuel de près de 8 milliards d’euros. En 2009, un rapport de la Cour des comptes avait fait scandale, en révélant que les structures d’accueil, financées par les départements, reposaient essentiellement sur des structures associatives.

En 180 pages, la Cour évoquait un risque de "maltraitance institutionnelle" contre les enfants, dénonçait des "délais très excessifs" pour les décisions de placement, "une évaluation des besoins sommaires" et des "contrôles qui n'interviennent que lorsqu’un scandale ou une carence grave y oblige". "Au rythme actuel, un établissement du secteur associatif est contrôlé par l'Etat en moyenne tous les 26 ans!", s’était ainsi ému Philippe Séguin, alors premier président de la Cour.

Cinq ans après, rien n'a changé. C’est ainsi qu'à Reims, Alexandra Riguet et Bernard Laine sont tombés sur un foyer de l’horreur. En 2010, un jeune garçon avait alerté l’un de ses éducateurs : le veilleur de nuit l’emmenait, lui et d’autres garçons, dans une cachette et leur faisaient subir des attouchements sexuels. Trois ans plus tard, l’homme, Pierre-Louis Falala, déjà condamné dans pour "attentats à la pudeur" plusieurs années auparavant, a reconnu les faits et purge une peine de 18 années de prison. L’histoire, en elle-même, est dramatique.

Mais le pire n’est pas là. La journaliste Alexandra Riguet raconte : En épluchant le dossier d’instruction, nous nous sommes rendus compte que les faits étaient connus du directeur au moins deux ans avant la première plainte." En novembre 2008, le directeur du foyer Saint Rémi avait envoyé une lettre au surveillant dans laquelle il s’inquiétait de plusieurs "initiatives personnelles" et "cadeaux" qu'il faisait aux enfants.

A cette époque, c’est contre ces "cadeaux" que Pierre-Jouis pratiquait, sous la menace, fellations, masturbations et sodomies sur des enfants de 8 à 14 ans. Un mois plus tard, le directeur lui adressait un nouvel avertissement. Puis rien ne se passe. Silence radio. Est-ce à cause des liens de ses liens de parenté avec son cousin Francis, alors, ironie de l’histoire, en charge de la protection de l’enfance au Conseil Général de la Marne ?

Pierre-Louis Falala n’est pas inquiété et continue ses "affaires", en toute impunité. "Quand on est allé demander au responsable de la Protection de l’enfance au conseil général pourquoi il n’avait pas été alerté du comportement suspect de leur employé, il nous a dit, très désinvolte :

Vous savez, on n’est pas l’œil de Moscou'". 2Famille d’accueil : la loterie Si les contrôles sont rares dans les foyers, ils sont totalement inexistants dans les familles d’accueil. En 2010, 71.880 enfants, soit un peu plus de la moitié des enfants placés, vivaient chez les 45.000 "assistants familiaux" que compte la France. "C’est une profession qui embauche", explique Alexandra Riguet, "parce que c’est la solution la plus économique et souvent la mieux adaptés aux enfants[en moyenne, les familles sont rémunérées 1.200 euros par mois pour un enfant, NDLR]". Pourtant, là encore, c’est la " loterie" : Malgré l’existence de sept organismes chargés de mener des enquêtes (l’Odas, l’Odef, l’ODPE, l’Oned, l’Anesm, la Drees et l’Igas), l’omerta règne.

Nous avons découverts que l’institution faisait tout pour étouffer les scandales, allant même jusqu’à dissuader les familles de ne pas porter plainte dans des cas de maltraitances". En avril 2012, à la demande du ministre des Solidarités et de la cohésion sociale, l’inspection générale des Affaires sociales (Igas) a relevé plusieurs défaillances, tels qu’un suivi scolaire et de santé insuffisants et une absence de données de la part des conseils généraux. Elle préconisait aussi les séjours longs dans une seule famille d’accueil pour garantir l’équilibre de l’enfant.

"Or, depuis la réforme de la protection de l’enfance du 5 mars 2007, tout est fait pour préserver le lien familial avec la famille biologique, quelquefois en dépit du bon sens. Parfois, un simple déménagement d’un parent ou d’un accueillant suffit pour que l’enfant soit transféré dans un autre lieu de vie, sans réflexion préalable". LIRELyes, 20 ans, revenu de "l'enfer des foyers"

Une autre enquête d’une association de la Vienne, menée auprès de 370 assistants familiaux, montre bien leur peur de se voir enlever brutalement des enfants avec qui ils vivent depuis plusieurs années. C’est ce qui est arrivé à Gouvieux, dans l’Oise, à Anne-Charlotte, 11 ans et son petit frère Emilien, 6 ans. Maltraités par leur mère, ils étaient parvenus à se reconstruire harmonieusement auprès d’un couple "chaleureux" depuis cinq ans.

Brutalement, ils ont été envoyés séparément en foyer, les services sociaux estimant que cette famille d’accueil s’était "trop" attachée à eux et empêchaient le renforcement du lien avec leur mère. Il a fallu sept mois de procédure, en appel, pour que la famille d’accueil obtienne finalement le droit de récupérer les deux enfants, avec l’accord de leurs parents biologiques. 3Les oubliés de l’adoption Dans leur rapport de 2009, les magistrats de la Cour des comptes font ce constat, terrible :

"Il n’est pas exclu que, dans certains cas, des enfants en situation d’abandon soient 'oubliés' par les services sociaux alors qu’ils pourraient devenir pupilles et avoir vocation à l’adoption".

En 2005, ils relèvent qu’un quart seulement des enfants ayant eu un statut de pupilles en 2005 ont bénéficié d’une adoption. Comment expliquer cette frilosité face aux demandes exponentielles des familles ? L’histoire du petit Paul est édifiante. Quand il avait deux ans, des voisins l’avaient retrouvé errant dans la cité où il vivait.

Quelques jours plus tard, une enquête sociale permet d’établir que l’alcoolisme de ses parents les rend inaptes à s’occuper de lui. Dans sa famille d’accueil, tout se passe très bien, ses parents viennent lui rendre visite régulièrement. Mais à cinq ans, son père meurt après une crise d’éthylisme.

Pendant un an, la mère ne donne plus aucune nouvelle. Les éducateurs de Paul demandent à la justice d’entériner le constat d’abandon pour permettre de lancer une procédure d’adoption, conformément aux souhaits de la famille d’accueil et du petit garçon. Mais le juge décide de faire rechercher la mère afin de recueillir son assentiment pour "rompre la filiation avec son enfant".

Les gendarmes, lancés sur les traces de la mère, parviennent à la retrouver mais cette dernière ne donne pas son assentiment. Plus rien ne se passe pendant des années et la procédure est finalement abandonnée. Lorsque Paul a eu neuf ans, sa mère a de nouveau disparu depuis dix-huit mois. La procédure a été relancée. Aujourd’hui, à 11 ans, il n’est toujours pas adopté.

Il faut encore que le "conseil de famille" se réunisse à la demande du préfet et tranche son cas… En moyenne, la procédure d’adoption dure environ six ans, mais la lourdeur des démarches administratives peut rallonger considérablement ce délai : Parfois, il suffit d’une absence d’un membre du conseil de famille pour que le processus d’adoption échoue. D'autres fois, il suffit d’une carte postale par an de la part d’un parent biologique pour qu’on s’imagine que le lien perdure et que l’enfant n’y ait pas droit", constate Alexandra Riguet.

Il en résulte que la plupart des enfants adoptables (environ 0,14% des enfants de l’ASE) ont aux alentours de 10 ans à ce moment là. Mais ils sont alors trop âgés pour les candidats à l’adoption. Pupilles ils sont, pupilles ils resteront…

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Un jeune loup abattu mercredi sur le plateau de Canjuers

 Un loup a été tué lors à Canjuers d'une battue aux sangliers.D.R Partager L’animal, pesant 15 kg, a été tiré mercredi à Aiguines au cours d’une battue aux sangliers. Deux tirs de prélèvements sont encore autorisés jusqu’en novembre dans le camp militaire.

Autorisé par un tout récent arrêté préfectoral, le tir de l’animal a eu lieu durant la traque, en bordure du grand Plan, un quartier sur lequel pâturent quotidiennement plusieurs milliers d’ovins.

Le louveteau a tout d’abord été vu en compagnie de trois autres prédateurs, dont une femelle adulte. Passant à portée d’un chasseur formé pour le tir du loup, il aurait reçu un projectile. La louve aurait également été tirée mais manquée.

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Publié à 14:59 par fandeloup Tags : nuit fille amoureux argent femme france photo
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La Boule" de Fort Boyard est décédé

Yves Marchesseau, alias "La Boule", est décédé d'un cancer lundi 29 septembre. Il sonnait le gong dans l'émission Fort Boyard. 10008 48 Yves Marchesseau (au centre) devait son surnom de "la Boule" à son ancienne activité dans un magasin de pétanque.

Sa silhouette massive ne sonnera plus le gong. Yves Marchesseau, alias

La Boule, est décédé d'un cancer de l'œsophage, à l'hôpital de Saintes (Charente-Maritime).

Il était âgé de 62 ans. Yves Marchesseau était un pilier de Fort Boyard : ce vendeur de boules de pétanque, d'où son surnom, avait intégré l'émission en 1994 et ne s'est arrêté qu'en mai dernier pour se soigner. Il souffrait également de diabète, mais espérait pouvoir revenir en 2015.