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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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agressé, il est dans le coma

Publié à 10:46 par fandeloup Tags : article photo vie homme mort histoire nuit gratuit voiture
agressé, il est dans le coma

Beaune : agressé, il est dans le coma

L'homme a été transféré au centre hospitalier de Dijon.

L'homme a été transféré au centre hospitalier de Dijon. La nuit de samedi  à dimanche , un Beaunois d’une trentaine d’années s’est fait agresser. Il est aujourd’hui entre la vie et la mort. A  la sortie des boîtes de nuit de Beaune, un jeune homme d’une trentaine d’années se serait fait violemment agresser par quatre personnes, raconte son employeur, gérant d’un restaurant de Pommard.

Les faits se seraient déroulés alors que le jeune homme quittait les lieux, au volant de son véhicule, accompagné d’un ami. « Il pourrait ne pas survivre » « Une voiture lui est alors rentrée dedans. Il est descendu pour dresser le constat et c’est à ce moment qu’ils se sont fait agresser. Ils seraient restés une heure sans que personne ne se rende compte de leur présence.

C’est un pompier qui revenait de service qui les a trouvés », raconte son employeur. Le passager aurait été emmené au centre hospitalier de Beaune et, à l’heure actuelle, en serait sorti. En revanche, pour le conducteur, la situation serait beaucoup plus inquiétante.

« Il a rapidement été emmené au centre hospitalier de Dijon. Il est dans le coma, c’est très grave. Les médecins disent qu’il pourrait ne pas survivre à ses blessures. En fait, il a reçu un coup derrière la tête, a priori, il souffre d’une fracture du crâne. » D’origine Tunisienne, l’homme vivait à Beaune et occupait le poste de chef cuisinier dans le restaurant de son employeur, à Pommard.

« Il est arrivé ici, il y a quatre ou cinq ans de cela. Comme plongeur, au début, puis il est devenu cuisinier avant de prendre le poste de chef. C’est vraiment un brave garçon », raconte le gérant que toute cette histoire semble véritablement bouleverser.

« Un acte gratuit » « Toute sa famille est en Tunisie, son père devait peut-être venir dans les prochains jours. Il ne parle pas français, les médecins doivent faire des traductions de son état en arabe. C’est très grave ce qui s’est passé. C’est un acte gratuit que ces quatre individus ont commis de manière délibérée. »

Contacté, le commissariat de police de Beaune s’est refusé à tout commentaire.



sérénité

Publié à 10:28 par fandeloup
sérénité

La paix dans, la sérénité dans l'incroyance est un plus haut abri à l'usage d'esprits plus raffinés.



a force

Publié à 10:16 par fandeloup
a force

A force d'entendre, on en oublie que l'on peut voir, A force de voir, on oublie d'écouter.



moche

Publié à 10:07 par fandeloup Tags : vie moi monde chez amour enfants belle mort histoire soi chat bande aimer livres air richesse
moche

Voici l'histoire de Moche le chat, un chat abandonné.

Tout le monde, dans le complexe résidentiel dans lequel je vivais, connaissait Moche. Moche était le chat de gouttière du quartier. Dans la vie, Moche aimait trois choses en particulier : les bagarres, fouiller les poubelles et... disons, l'affection des autres.

Ces trois passions, combinées à une vie entière passée dans la rue, avaient laissé leurs traces sur lui. Tout d'abord, il n'avait qu'un seul œil, et là ou aurait du se trouver l'autre, il n'y avait qu'un trou béant.

Il lui manquait aussi une oreille du même côté, sa patte gauche avait probablement été cassée un beau jour et elle s'était ressoudée dans un angle bizarre, ce qui lui donnait l'air de toujours vouloir tourner au prochain coin de rue.

Moche avait dû être un chat tigré gris sombre par le passé, mais c'était bien difficile à dire étant donné qu'il était couvert de cicatrices: sa tête, son cou, et même ses épaules.

A chaque fois que quelqu'un voyait Moche, il avait la même réaction : "Mais qu'il est moche, ce chat !" Ce sobriquet était au fil du temps devenu son nom, c'était désormais ainsi que tout le monde le désignait. On disait bien à tous les enfants de ne surtout pas le toucher. Les adultes lui lançaient des pierres, ou bien lui balançaient de l'eau pour le faire partir. Quand le chat miaulait devant leur porte, ils lui claquaient la porte au nez.

Moche le chat réagissait toujours de la même manière. Si vous l'arrosiez, il restait là, à se faire tremper, jusqu'à ce que vous finissiez par vous lasser. Si vous lui jetez des choses, il venait pelotonner son pauvre corps contre vos pieds en signe de pardon. Dès qu'il apercevait des enfants, il courait vers eux en miaulant éperdument, et venait frotter sa tête sur leurs mains ou leurs jambes, dans une quête désespérée d'amour.

Si vous le ramassiez, il se mettait tout de suite à téter un bout de votre chemise, de votre pantalon, tout ce qui se trouvait à sa portée. Un jour, Moche le chat a voulu partager son amour avec les huskys du voisin. Mais ces derniers n'ont pas vraiment apprécié l'initiative, et Moche a été salement amoché.

J'ai entendu ses cris depuis chez moi. J'ai essayé de courir à son secours, mais le temps que j'arrive jusqu'à lui, il m'a semblé clair que sa pauvre vie misérable approchait de sa fin. Il gisait là, étendu dans une flaque humide. Ses pattes arrière et le bas de son dos étaient grossièrement tordus hors de leur position normale, et une déchirure béante traversait la bande de poils blancs qui descendait le long de son pelage.

Alors, je l'ai pris dans mes bras pour le ramener à la maison, et j'entendais sa respiration qui sifflait et qui était entrecoupée de petits hoquets. Je le sentais qui luttait pour arracher, encore, quelques dernières minutes à la vie pourtant si ingrate. Je me suis dit que je devais lui faire terriblement mal. Et puis, j'ai senti une sensation de succion familière sur ma chemise.

Moche, malgré la douleur qui le lacérait, et visiblement sur le point de mourir, essayait encore de me mâchouiller le col de ma chemise. Alors, je l'ai serré un peu plus fort contre moi, et il a doucement posé sa tête contre le creux de ma main. Puis il a tourné vers moi son œil de cyclope doré, et j'ai pu entendre le bruit d'un petit moteur qui se mettait en marche sous le poil rêche, le son particulier d'un ronronnement.

Même dans cet état de souffrance absolue, ce chat moche et couvert de cicatrices ne demandait qu'un peu d'affection, peut-être même un peu de compassion. À ce moment, je me suis dit que Moche était la créature la plus belle, la plus aimante que j’avais jamais vue. Il n'a pas essayé de me griffer, ni de s'échapper.

Moche le chat m'a simplement regardé, dans une confiance totale pour alléger ses souffrances. Il est mort dans mes bras, avant que je n'arrive chez moi, mais je me suis assis et je l'ai serré contre moi encore pendant encore un long moment. Je me suis dit que ce petit chat errant, insignifiant, balafré avait changé ma perception de ce qu'était, vraiment, la pureté d'esprit.

Je me suis dit qu'il était l'expression même de l'amour, entier, complet et véritable. Moche m'en a plus appris sur le don de soi, le pardon et la compassion que ne l'auraient fait un millier de livres, de conférences, de shows télé.

Je lui en serai à jamais reconaissant. Il était blessé à l'extérieur mais moi, j'etais blessé à l'intérieur. Il m'a fait prendre conscience que je devais apprendre a aimer véritablement et simplement, sans attendre quoi que ce soit en retour.

Beaucoup de gens recherchent la richesse, le succès, l'admiration ou encore la beauté. Mais moi, j'essaierai toujours d'être Moche.



Son hamburger à la saveur

Publié à 09:12 par fandeloup Tags : fond pub news
Son hamburger à la saveur

Son hamburger à la saveur de la chair humaine

Un hamburger au goût de chair humaine. Pour assurer la promo de la cinquième saison de la série «The Walking Dead» au Royaume-Uni, un chef britannique s’est inspiré des témoignages culinaires de cannibales! Et il paraît que c’est bon…

La préparation contient du porc et de la moelle. Un peu de sel et poivre mais pas trop.

La recette (pour ceux qui auraient envie de changer du goût McDo), peut être consultée sur la page facebook du cuisinier James Thomlinson, qui a concocté ce hamburger macabre expressément pour qu’il soit dégusté dans un restaurant londonien hier, jour du lancement de la cinquième saison de la série «The Walking Dead» au Royaume-Uni.

Pour donner à la viande exactement le même goût que la chair humaine, relate le quotidien Daily News, relayé par le Nouvel Obs, James Thomlinson s’est inspiré des conseils avisés de cannibales. Il a notamment lu l’ouvrage «Jungle Ways», du journaliste William Seabrook qui, dans les années 20, avait réussi à persuader un étudiant en médecine de lui fournir un morceau de cadavre.

«C’est excellent! Un goût à la croisée du veau et du bœuf», s’était-il exclamé. Le chef britannique s’est également inspiré des déclarations du tueur cannibale japonais Issei Sagawa, pour qui «la viande humaine fond dans la bouche comme du thon cru dans un restaurant de sushis».

Suffisant pour reproduire avec exactitude la saveur de la viande humaine? Vous pouvez essayer, mais ça a plutôt le goût du coup de pub!



réveil

Publié à 08:40 par fandeloup Tags : monde mort nature
réveil

Il ne faut pas mettre tous le monde dans le même panier mais ou es tu peuple Français...as tu perdu cette grandeur qui faisait que ton peuple était reconnu comme vaillant et guerrier ?? Ton gouvernement a déclarer la guerre à la nature....réveille toi....ou il ne te restera plus que les larmes pour pleurer la mort des loups, bouquetins et autres....



bonne nuit

Publié à 19:58 par fandeloup

vrai

Publié à 19:54 par fandeloup

Sept trisomiques saisissent le Conseil d’Etat

Publié à 19:47 par fandeloup Tags : moi monde chez société heureux femmes you tube aimer blog
Sept trisomiques saisissent le Conseil d’Etat

Sept trisomiques saisissent le Conseil d’Etat contre le CSA

 Une initiative pour défendre la vidéo Dear Future Mom a été lancée par des familles de personnes trisomiques en faisant un recours pour excès de pouvoir auprès du Conseil d'Etat.

La Fondation soutient cette initiative. Nous publions ici le Communiqué de Presse de ces familles : Pour la première fois dans l’histoire de la Justice, de jeunes adultes porteurs de trisomie 21, sans avocat, viennent de saisir le Conseil d’Etat pour faire annuler une décision du CSA qui censure leur libre parole.

A l’occasion de la j ou rnée mondiale 2014 de la trisomie 21, TF1, M6, Canal+ et D8 ont diffusé gracieusement un clip intitulé « Dear Future Mom ». Ce clip mettait en scène plusieurs jeunes français et étrangers porteurs de trisomie 21.

Ils expliquaient que, malgré leur handicap, ils étaient heureux et qu’ils p ou vaient vivre, travailler et aimer comme t ou t le monde. Ce clip, repris sur You tube, a connu un succès foudroyant : il a été vu par plus de 5 millions de personnes.

https://www.youtube.com/watch?v=Ju-q4OnBtNU

Mais le 25 juillet dernier, le CSA annonçait sur son site qu’il venait d’écrire aux chaines de télévision pour leur indiquer que ce clip n’était « pas d’intérêt général », pour leur reprocher de l’avoir diffusé et pour leur demander de ne pas recommencer à l’avenir.

Le CSA a motivé cette décision par le risque de générer un trouble chez les femmes qui pourraient décider de ne pas garder le fœtus porteur de trisomie qu’elles attendraient. Informés de cette censure, six jeunes porteurs de trisomie 21, majeurs non protégés (c'est-à-dire dans le plein exercice de leurs droits d’adultes), viennent de déposer un recours pou rexcès de pouvoir devant le Conseil d’Etat.

Ils n’ont pas pris d’avocat. Une des jeunes actrices du clip, mineure de 16 ans, s’est jointe à eux par l’intermédiaire de sa mère. C’est une première dans l’histoire de la Justice. Ordinairement, on parle, on agit et on pense pour les personnes en situation de handicap mental, réputées « incapables »… et donc sans voix.

Le CSA explique même, dans sa décision, que la parole des personnes trisomiques ne peut être diffusée à la télévision que dans des émissions « encadrées et contextualisées » ! Ni le clip, ni ces jeunes ne font la moindre allusion à l’Interruption Médicale de Grossesse. Les 7 requérants ignorent t ou t de cette problématique : eux, ils sont vivants, ils ont une conscience aigüe de leur handicap (« j’ai mal » dit l’un d’eux), ils demandent juste leur place dans la société et des regards bienveillants, au lieu de la curiosité appuyée ou du rejet qu’ils perçoivent trop souvent.

Aujourd’hui, ces jeunes exercent directement leur droit de prendre la parole, parce que, selon leurs propres mots : « C’est un peu difficile pour les trisomiques » ; « Il faut les éc ou ter quand ils parlent ». Et, comme l’explique Jean-Baptiste : « Moi je ne me défends pas t ou t seul devant les méchants.

Si ils m’embêtent, je préfère un juge ». Afin d’éviter toute manipulation, leur consentement a été recueilli en dehors de toute pression. La preuve en est apportée au Conseil d’Etat sous la forme de l’enregistrement vidéo intégral de leurs propos durant 2h30. Ces jeunes ont le droit d’être vus et entendus sur des chaines publiques sans être stigmatisés encore et toujours.

Ils veulent juste être écoutés, reconnus, acceptés sans restriction, ni gêne, ni condescendance : ils demandent au Conseil d’Etat le droit d’être des citoyens à part entière.

http://www.fondationlejeune.org/blog/blog-evenement/10-evenement/940/sept-trisomiques-saisissent-le-conseil-d-etat-contre-le-csa#sthash.cHTjYGVd.dpuf



il confond sa femme avec un sanglier

Publié à 18:51 par fandeloup Tags : chez femme animal nuit chien voiture
il confond sa femme avec un sanglier

Accident de chasse : il confond sa femme avec un sanglier et passe la nuit avec l’animalde

 Lors d’une partie de chasse organisée à La Bresse (88), Bernard D., 51 ans, a pris un sanglier pour sa femme et l’a emmené au domicile familial où il a passé la nuit avec l’animal dans le lit conjugal.

Le drame s’est déroulé dimanche à l’occasion de l’ouverture de la chasse dans le département des Vosges. Selon des témoins, le chasseur avait emmené son épouse, Françoise D., 49 ans et retraitée de l’Éducation Nationale, à une battue organisée par un cercle de passionnés sur les hauteurs de La Bresse.

Le couple partage cette passion depuis de longues années. Ils s’étaient d’ailleurs rencontrés lors d’une partie de chasse. La confusion en forêt En forêt, Bernard B. s’était positionné à trois cent mètres de son épouse dans un abri spécialement conçu pour l’affût.

Sa femme s’était placée parallèlement à lui en lisière du bois. Toutes les consignes de sécurité avaient été respectées. Mais c’est au moment de regagner son véhicule que le chasseur a confondu sa femme avec un sanglier.

« J’ai vu bouger dans le fourré. D’habitude, quand il lève un gibier, mon chien aboie et se met à l’arrêt. Mais comme ce con de chien n’a rien fait, j’ai pensé que c’était ma femme qui rentrait du poste de battue. Je me suis trompé » nous raconte le chasseur, encore sous le choc.

En rassemblant les affaires dans les sacs, Bernard B ne remarque rien. Le sanglier prend place à ses côtés dans la voiture du couple et tous les deux prennent la direction du domicile familial à Cornimont (88). En rentrant chez lui, là encore, Bernard B. ne se doute de rien. « J’ai bien remarqué qu’elle ne parlait pas.

Mais bon, comme elle tire toujours la gueule, je n’y ai pas prêté attention ». Une nuit inoubliable Après un dîner copieux, le couple fait la vaisselle et Bernard B. rejoint l’animal vers 23h00 qui avait déjà pris place dans le lit conjugal.

« J’ai commis une erreur de débutant. Je n’ai pas identifié ma cible avant de tirer ». Le regard plein de désir, le chasseur prend tendrement l’animal dans ses bras en lui glissant aux oreilles des mots coquins. « J’ai passé une nuit inoubliable, on a fait l’amour comme des bêtes » nous confie Bernard, gêné par la situation. C’est au moment du petit-déjeuner, que Bernard prend conscience de son erreur.

« J’ai entendu sonner à la porte. En ouvrant, c’était Françoise qui avait passé la nuit en forêt et qui était revenue à pied à la maison ».

Placé en garde à vue, Bernard D. est poursuivi pour actes de barbarie et cruauté envers un animal. Il encourt jusqu’à 2 ans de prison et 30.000 euros d’amende. Le sanglier a été remis en liberté et relâché sur les hauteurs de La Bresse.



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