Fandeloup

Le fait divers du jour : mineure, elle est forcée à coucher avec 1800 hommes

PAYS DE GALLES – Une jeune fille, qui a servi pendant des années d'objet sexuel dans une secte sataniste prônant les relations les plus perverses avec des enfants, raconte son calvaire dans un livre.

 DR Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour "J'allais à l'école le jour et j'étais une esclave sexuelle la nuit. A un moment donné, j'ai pensé à me suicider." Annabelle Forest (un nom d'emprunt), âgée aujourd'hui d'une vingtaine d'années, raconte sa terrible histoire dans un livre qui vient de paraître en Grande-Bretagne (The Devil on the Doorstep : My Escape From a Satanic Sex Cult).

Un sommet dans l'horreur, rapporte le Daily Mail. "On n'osait même pas le regarder dans les yeux" A 7 ans, elle a été initiée au culte de la secte Kidwelly, du nom du petit village du Pays de Galles où le gourou Colin Batley, son beau-père, se livrait à des rituels sataniques : celui-ci l'a alors forcée à assister à ses relations sexuelles avec sa maman. A 11 ans, le même homme l'a violée à deux reprises.

Trois ans plus tard, c'est sa propre mère qui l'agressera lors d'une orgie sexuelle. Selon la jeune femme, à 18 ans, elle avait couché avec 1800 hommes après avoir été obligée de se prostituer pour récolter des fonds pour la secte. Annabelle Forest, qui affirme qu'elle "ne pardonnera jamais à sa mère", était sous l'emprise de son bourreau. "On n'osait même pas le regarder dans les yeux. Tout le monde devait faire ce qu'il disait.

Il me demandait souvent si j'aimais bien avoir eu de relations sexuelles avec lui. J'étais obligée de répondre oui, sinon il pouvait me tuer." Tombée enceinte à l'âge de 17 ans, elle parviendra finalement à s'enfuir un an après la naissance de son enfant, avec son bébé. Colin Batley et sa mère sont quant à eux toujours derrière les barreaux.

Lors de leur procès en 2011, ils avaient été condamnés à respectivement 11 ans et 12 ans de prison pour avoir agressé des enfants durant des décennies.

A TOUS

Le saviez-vous ? Une orque peut engloutir 220kg de chaire fraîche par jour. Pour cela certaines orques assomment leurs proies avant de les manger.

DERNIÈRE PROPOSITION DE LANAUD DU GRAY : UN PARC AQUATIQUE AU LAC KIR

David Lanaud du Gray, municipales dijonnons_lac04 A deux jours du premier tour des municipales, David Lanaud du Gray abat ses dernières cartes et tente une ultime proposition, dans la veine des précédentes (rapatrier la Tour Eiffel à Dijon ou installer des aquariums géants rue de la Liberté).

Cette fois, le candidat du « Dijonnons ensemble » souhaite repenser le lac Kir à l’occasion de ces cinquante ans, en y bâtissant un parc aquatique, des boutiques, des salles de jeux et un casino. Il détaille cette fantasque intention de campagne dans un communiqué, à lire ci-dessous.

« En 2015, à Dijon, le lac Kir aura cinquante ans. Cinquante ans à voir promeneurs, coureurs et badauds lui tourner autour. Pourtant, Dieu sait que son géniteur, le Chanoine Kir, fut mal accueilli lorsqu’en 1965, il soumit son projet au vote du conseil municipal. Une seule main se leva : la sienne !

Aujourd’hui, que serait Dijon sans son lac ?

Agréable, essentiel, le tour du lac Kir l’est pour tous les Dijonnais. Pourtant, hors des horaires de promenade, le lac s’endort alors qu’il renferme un potentiel de développement considérable. Avec David Lanaud du Gray, nous voulons faire souffler un vent nouveau sur ses rives : celui des loisirs à toutes heures.

La Cité Chanoine Kir se propose de déployer un grand ponton le long du plan d’eau sur lequel s’ouvrirait un parc aquatique semi-couvert, des restaurants, quelques boutiques, des salles de jeux et un casino ; le tout complété d’une tour d’observation dont la charpente métallique créerait un signal à l’entrée de la ville natale de Gustave Eiffel.

Les parcours des promeneurs et des sportifs n’en seraient pas pour autant sacrifiés grâce à la grande prairie couvrant le toit de l’édifice qui permettrait de développer l’attractivité du site sans le dénaturer. Dijon Plage pourra continuer de cohabiter pour la période estivale. Des animations populaires seront organisées à plus grande envergure avec la participation de toute la population afin de recréer du lien social avec Dijon et ses habitants, mais aussi avec ses touristes nombreux à Dijon en été.

A Dijon, aucun lieu n’est fermé au progrès : la Cité du Chanoine Kir est là pour montrer qu’il est possible de construire sur un lieu naturel sans sacrifier son paysage. faire vivre ce paysage à toute heure, c’est rentabiliser l’entretien des espaces verts, des rives du lac et de ses chemins. y développer des activités de loisirs , c’est offrir de nouvelles opportunités de développement économique, de nouvelles ressources à la ville.

C’est toute l’attractivité de Dijon qui s’en trouve renouvelée. Enfin, créer cet ensemble au moyen d’une architecture résolument contemporaine le long d’un lac cinquantenaire, c’est donner au visiteur l’image d’une ville tournée vers l’avenir mais fière de son passé. Nous espérons vivement que notre sénateur-maire acceptera le poste de ministre de l’Intérieur, car une fois en charge de ce ministère prestigieux nul doute qu’il offrira le droit d’ouvrir un établissement de jeux à la ville à laquelle il doit tant.

Il s’agit d’un projet réalisable, fruit d’un équilibre idéal entre ressources et investissements publics comme privés au bénéfice d’une cité à même de se projeter de manière sereine dans les cinquante prochaines années. Le financement de ce complexe de 5000 m2 sera réalisé à 70 % par des investisseurs privés dont la construction sera coordonnée par la municipalité propriétaire du site. Le coût sera donc extrêmement limité pour le contribuable. »

Véritable drame d’horreur: un tigre dévore un étudiant dans un zoo!

Un véritable drame d’horreur s’est produit en Inde alors qu’un étudiant a grimpé sur une clôture d’un enclos où se trouvaient plusieurs félins. L’étudiant a ensuite sauté dans l’enclos pour des raisons qui demeurent encore mystérieuses, les autorités croient que le jeune homme aurait pu être sous l’effet de quelconques substances. Pris au piège par un tigre, le jeune homme ne pouvait plus rien faire pour se défendre et il était trop tard pour lui.

Le tigre l’a sauvagement agrippé et l’a amené plus loin…

Le Mée-sur-Seine : elle se jette dans le vide avec son enfant Gisèle

 Le drame s'est produit vers 2 heures du matin, ce mardi, au Mée-sur-Seine (Seine-et-Marne). Une femme, dont on ignore encore l'âge et l'identité, s'est jetée dans le vide avec son enfant depuis le cinquième étage d'un immeuble d'habitation.

Elle est morte sur le coup.

L'enfant, dans un état critique, a été transféré à l'hôpital Necker, à Paris. Une enquête a été ouvert

Une clinique vétérinaire gratuite pour le quartier le plus pauvre au Canada Vancouver a beau être la ville canadienne où le coût d’achat d’une résidence est le plus élevé au pays, c’est aussi la ville où l’on retrouve le quartier le plus déshérité au Canada, le Downtown Eastside.

Des intervenants sociaux ont mis sur pied une Clinique vétérinaire gratuite dans ce que les anglophones au pays appellent « le code postal le plus pauvre au Canada. »

Pour de nombreux citoyens de la métropole de la Côte Ouest, vivre dans cette ville est un défi quotidien. L’essentiel des revenus passant au registre du logement, hypothèque ou loyer, le réconfort qu’apporte un animal domestique prend toute sa valeur. Par contre, c’est aussi une source de stress financier.

Ce dimanche, les résidents du Downtown Eastside, des gens à faibles revenus, d’autres souffrant de déficience physique, des itinérants, ont pu amener leur animal  domestique à une clinique vétérinaire gratuite, un service que les organisateurs entendent offrir plus souvent et sur une plus large échelle. C’est en fait la troisième clinique du genre à être offerte en un peu plus de dix-huit mois par l’organisme Paws for Hope Foundation (trad. : Fondation des pattes pour l’espoir) en coopération avec Raincity Housing, un organisme social qui fait la promotion du logement abordable à Vancouver et qui tire son nom du surnom de Vancouver, une ville où il pleut beaucoup et souvent.

Kathy Powelson de Paws for Hope dit que pour plusieurs résidents que Downtown Eastside, leur animal de compagnie est souvent leur seul ami et que souvent les gens qui sont confrontés à des difficultés financières mettront les besoins de l’animal en premier, au détriment des leurs. « Il est très rare ici que nous recevions un animalmaltraité,» dit-elle.

« Les gens du Downtown Eastside vont très souvent faire passer les besoins de leur animal de compagnie avent les leurs, ce qui facilite notre tâche. Cela nous aide à renforcer le lien entre le maître et son animal et le mieux-être de l’humain défavorisé. » D’autres cliniques sont prévues Kathy Powelson souligne qu’il y aura trois autres de ces cliniques gratuites l’année prochaine. Les propriétaires d’animaux de compagnie pourront faire examiner leur compagne, le faire vacciner; les bêtes pourront recevoir des traitements contre les puces et tous les autres essentiels de base pour leur mieux-être.

De plus, les médicaments prescrits sont presque tous donnés gratuitement à Paws for Hope par des compagnies pharmaceutiques. Par contre ce sont les suivis médicaux qui coûtent cher.

« De plus, la Vancouver’s Homelessness Action Week (trad.: semaine d’action contre l’absence de domicile) s’en vient à grands pas. Un événement du genre peut être un élément de conscientisation du problème» de conclure madame Powelson.

Le danger pour l'homme est de vivre dans l'unique dessein de plaire à la société au point d'en perdre son entité.

De généreux inconnus aident à payer les soins d'une chienne maltraitée

Chienne blessée et brûlée

Il n’y a pas plus grande joie que celle de retrouver un être cher qui était porté disparu. Et les retrouvailles entre un animal et son maître font partie des scènes les plus émouvantes pouvant exister.

Pourtant, quand Kirk Knisely a enfin été réuni avec son chien, son bonheur ne fut que de courte durée et sa joie s’est teintée d’une profonde tristesse.

Car son fidèle compagnon à quatre pattes était gravement blessé, le résultat sans aucun doute de la malveillance de certaines personnes n’ayant pas la moindre considération pour les bêtes.

La grande solidarité des amis des animaux Diamond (« diamant » en anglais) s’est échappée de la maison de ses maîtres, à Indianapolis (États-Unis) lors d’un moment d’inattention.

Quand elle fut retrouvée presque deux jours plus tard, elle était dans un bien triste état. « C’était juste horrible. Sa tête saignait et était brûlée et son œil droit était fermé », raconte-t-il, ému. « J’ai 47 ans, et j’ai vu beaucoup de choses, mais je n’avais encore rien vu de tel.

Elle fut amenée immédiatement aux urgences vétérinaires de la ville, mais le coût était trop élevé : entre 5 000 $ et 8 000 $ (entre 3 894 € et 6 230 €) pour une greffe de peau.

Un montant bien trop élevé pour la famille, qui se rendit alors dans la Clinique pour Petits Animaux de Purdue. Les docteurs de Purdue offrirent de nettoyer et soigner un minimum la blessure pour 170 $, ce qui permettrait au moins à Diamond de ne pas vivre avec une plaie béante sur le crâne.

Knisely et sa fille se mirent alors à rassembler l’argent nécessaire, quand une vieille dame dans le hall d’entrée proposa d’aider financièrement, ne pouvant laisser cette chienne dans cet état. Elle offrit alors 50 $ à ajouter à la maigre cagnotte de Knisely et de sa fille.

Ce à quoi un ami de cette dame rajouta 100 $, sans la moindre hésitation. Cet argent a permis de soigner temporairement Diamond, au plus grand soulagement de ses maîtres. Diamond, avant sa disparition - DR .Mais la solidarité des inconnus et anonymes partageant le même amour pour les animaux que Kirk Knisely ne s’est pas arrêtée là.

Une cagnotte a été lancée en ligne pour permettre à Diamond de bénéficier de cette greffe de peau. Plusieurs milliers de dollars ont déjà été rassemblées, et le nombre de donateurs ne semble pas vouloir décroître.

Une belle chaîne de solidarité qui réchauffe le cœur des maîtres de Diamond, qui ont bien cru perdre leur chienne.

Cet adolescent a voulu harceler un autre élève. Il l'a vite regretté !

Tel l'arroseur arrosé, cet adolescent qui cherchait des ennuis à l'un de ses camarades a été rapidement calmé par ce dernier. En effet, celui-ci était un champion de karaté qui le lui a fait chèrement payer !

 Il ne faut jamais sous-estimer un ennemi. Voilà une leçon que cet adolescent a appris à ses dépens. Car en voulant chercher des poux à un camarade qu'il pensait plus faible que lui, celui-ci en retour a eu une drôle de surprise dont sa mâchoire doit encore se souvenir !

Appuyé contre un arbre un jeune homme qui n'avait pourtant rien demandé à personne s'est fait tout à coup harceler par cet adolescent et son ami en train de filmer. Mais au lieu de battre en retraite, la victime de ce harcèlement s'est levée et a fait face à son agresseur.

D'abord surpris, l'autre adolescent bagarreur l'a ensuite invité à se mesurer à lui. Et c'est là que l'inattendu s'est produit ! Doué pour les arts martiaux, l'autre en une prise de karaté rapide comme l'éclair a réussi à le mettre à terre en lui décochant un violent coup de pied dans la mâchoire.

Évidement après ça, difficile de faire le fier pour ce jeune homme qui n'a vraiment pas vu venir le coup! Tel est pris qui croyait prendre!