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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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sein

Publié à 13:25 par fandeloup Tags : vie bonne france femme sport
sein

Cancer du sein : prévenir la récidive.

Plus le cancer du sein est grave lorsqu’il est diagnostiqué, plus le risque de récidive est important ! 7 à 8 % des patientes opérées d’un cancer du sein récidivent dans les dix ans qui suivent l’intervention, 15 à 18 % dans les vingt ans.

C’est pourquoi une surveillance post-opératoire rigoureuse et une bonne observance des traitements préventifs sont essentielles. Les explications de Krishna Clough, chirurgien cancérologue à l’Institut du Sein.

En France, une femme sur neuf développera un cancer du sein au cours de sa vie.

Pour éviter les récidives, un traitement est systématiquement proposé aux patientes après l’intervention chirurgicale.

Reste ensuite à effectuer des contrôles réguliers et à adopter une bonne hygiène de vie pour prévenir les rechutes.

Beaucoup de progrès ont été réalisés ces dernières années dans le traitement du cancer du sein ; c’est un cancer dont on guérit dans un grand nombre de cas.

L’intervention chirurgicale, qui consiste en l’ablation de la tumeur (chirurgie conservatrice) ou de la totalité du sein (mastectomie) est suivie le plus souvent d’un traitement préventif par radiothérapie, chimiothérapie ou hormonothérapie.

La radiothérapie concentre des rayons pour détruire localement les éventuelles cellules cancéreuses résiduelles.

La chimiothérapie utilise des médicaments anticancéreux qui agissent sur les cellules malignes, soit avant l’intervention chirurgicale, afin de réduire la taille de la tumeur, soit après, pour prévenir le risque de rechute.

Enfin,l’hormonothérapie propose des médicaments qui empêchent l’action stimulante des hormones féminines sur la croissance des cellules cancéreuses.

Un suivi indispensable

Après les traitements, un suivi du cancer du sein est indispensable. Il permet de détecter le plus tôt possible les signes d’une éventuelle rechute ou l’apparition d’un cancer dans l’autre sein. Vous verrez votre médecin plusieurs fois par an pendant les cinq premières années, puis chaque année par la suite. Il vous prescrira la réalisation d’une mammographie et, éventuellement, d’une échographie mammaire de contrôle. Ce suivi a également pour objectif de traiter d’éventuels effets indésirables tardifs et de veiller à votre qualité de vie après les traitements.

Adopter une bonne hygiène de vie

Pendant et après les soins en cancérologie, une activité physique modérée améliore la qualité de vie et diminue la sensation de fatigue. On en effet constaté des effets positifs sur l’anxiété, la dépression, le sommeil, l’image du corps et le bien-être. La pratique d’une activité physique après un traitement pour cancer du sein réduit le taux de récidive de 24 % et le risque de mortalité de 34 %. Accompagné par des professionnels, conseillés par les établissements hospitaliers, il s’agit de retrouver progressivement une activité physique de 30 minutes par jour en bougeant, en marchant, en nageant ou en pratiquant un sport adapté. De même, le respect d’une alimentation équilibrée et la diminution de la consommation d’alcool et de tabac contribuent à réduire le risque de récidive.

boeuf

Publié à 11:22 par fandeloup Tags : france animaux animal bretagne
boeuf

Grande-Bretagne : du bœuf contaminé par la tuberculose exporté en France.

Nouvel épisode dans le scandale de la viande.

Selon le Sunday Times , repris par le Figaro, 28 000 bêtes abattues au Royaume-Uni et testées positives à la tuberculose seraient offertes à la consommation en France, Belgique et Pays-Bas chaque année. De grandes enseignes comme les supermarchés Tesco, Sainsbury's, ou Waitrose, ainsi que les chaines McDonald's et Burger King ont refusé de vendre cette viande.

En France, selon le Sunday Times, la viande serait écoulée essentiellement dans des cantines scolaires ou les restaurants hospitaliers.

Une partie de cette viande est transformée en nourriture pour animaux.

Les bêtes testées positives sont retirées des troupeaux afin d'éviter d'autres contaminations, moyennant une compensation de l'Etat à l'éleveur.

Une agence vétérinaire publique (Animal Health and Veterinary Laboratories Agency) les revend ensuite, en toute connaissance de cause, à un abattoir du Sommerset, filiale du grossiste en viande irlandais ABP UK.

Les carcasses sont exportées sans étiquetage particulier. Un risque de transmission faible

L'exportation de cette viande est légale car le risque de contamination à l'être humain est très faible, selon les experts scientifiques.

Mais si le risque est faible, il n'est pas nul pour autant. Il faut savoir que les élevages français sont exempts de tuberculose et que le développement de cette maladie peut prendre des années donc il est difficile de remonter à la cause de contamination.

Le lait peut également être porteur de la bactérie. L'agence de santé du Royaume-Uni a lancé une nouvelle étude pour tenter d'établir l'origine des cas de contamination récente à la tuberculose.

«Cette pratique devrait être immédiatement arrêtée. Il est bizarre qu'une agence publique soit impliquée là-dedans. Le principe de précaution devrait s'appliquer lorsqu'il s'agit d'alimentation et de santé», a réagi Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne dans le Sunday Times.

Le grossiste ABP reconnaît que «environ dix à vingt animaux sont traités chaque semaine» envoyés à la France sous forme de carcasses.

vaccin

Publié à 10:28 par fandeloup Tags : vie chez enfants france
vaccin

Vaccination : où en êtes-vous ?

Plus de 3 millions de personnes sont sauvées en France chaque année grâce à la vaccination. Pourtant, la couverture vaccinale diminue en France. Parce que de nombreux jeunes adultes et adolescents n'ont pas fait leur rappel de vaccination ROR, on assiste aujourd'hui à une résurgence de l'épidémie de rougeole. Pour éviter de contracter cette maladie grave, mais aussi d'autres infections, il en encore temps de vous faire vacciner.

L'importance d'une protection vaccinale

La vaccination permet de nous protéger contre les virus et les bactéries qui sont à l'origine des maladies infectieuses. Grâce à la vaccination, de nombreuses maladies infectieuses telles que la poliomyélite, la diphtérie ou la variole ont été éradiquées en France. Cependant il reste encore des maladies contre lesquelles une large couverture vaccinale est essentielle : la coqueluche, la rougeole, la rubéole... Se faire vacciner, dans l'enfance comme à l'âge adulte, contribue à préserver sa santé et permet d'éviter la transmission de ces maladies infectieuses. En se vaccinant, on protège aussi les autres.

Des vaccins obligatoires

Pour protéger l'ensemble de la population, certains vaccins sont obligatoires pour les enfants et les professions à risque. On se fait vacciner contre la diphtérie depuis 1938, le tétanos depuis 1940, la poliomyélite depuis 1964. L'immunité d'une personne vaccinée contre le tétanos dure environ dix ans, c'est pourquoi il est important de tenir à jour son carnet de santé et d'effectuer des rappels. Il existe des vaccins associés qui permettent de se protéger à la fois contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et la poliomyélite. Le vaccin ROR, qui nécessite deux injections, protège contre la rougeole mais également contre la rubéole et les oreillons. Il est proposé gratuitement aux adolescents qui n'auraient pas reçu leur deuxième injection dans l'enfance. Les vaccins contre l'hépatite B, le pneumocoque ou le méningocoque C ont été récemment introduits dans le calendrier vaccinal, ce qui explique le faible taux de protection de la population contre ces maladies.

Des vaccins recommandés

Le BCGest recommandé dès la naissance et jusqu'à 15 ans chez les enfants exposés à un risque élevé de tuberculose, résidant notamment en Ile-de-France et en Guyane.

La vaccination contre l'hépatite B, très efficace contre cette maladie du foie, est recommandée dès l'âge de 2 mois et jusqu'à 15 ans.

Les nourrissons sont particulièrement concernés par la vaccination contre le pneumocoque et le méningocoque C, qui sont sources d'infections graves, mais un rattrapage peut être effectué à partir de l'âge de deux ans.

La vaccination contre lepapillomavirus humain (HPV), virus responsable de 70 % des cas de cancers du col de l'utérus, est conseillée à toutes les jeunes filles de 14 ans, avant le début de leur vie sexuelle.

Un rattrapage est possible jusqu'à 23 ans sous certaines conditions. Enfin, la vaccination contre la grippe est recommandée chaque année, notamment à partir de 65 ans.

Dans tous les cas, il n'est jamais trop tard pour se faire vacciner ! Si vous constatez que certains rappels n'ont pas été faits à temps, il vous suffit de consulter votre médecin traitant qui reprendra votre programme de vaccination là où il a été interrompu.

pétition

Publié à 09:36 par fandeloup
pétition

1 minute pour signer cette cyberaction afin de soutenir la déclaration européenne pour les Galgos et Podencos espagnols! C'est vraiment important: enfin quelque chose qui peut vraiment faire bouger les choses pour les lévriers massacrés en espagne (et ailleurs!)

http://www.galgos-ethique-europe.eu/esignature/

tolérance

Publié à 09:17 par fandeloup
tolérance

La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents ...

bonne nuit

Publié à 20:14 par fandeloup Tags : bonne nuit bonne nuit

drogue

Publié à 20:10 par fandeloup Tags : internet enfant vie chez
drogue

Les jeunes et la drogue.

Propices à l’expérimentation et à la consommation de drogues, les vacances d’été riment souvent avec discothèques, soirées sur la plage ou chez des copains. 42% d’entre eux reconnaissent avoir déjà fumé du cannabis et 7% se définissent comme des consommateurs réguliers. D’autres drogues sont également prisées comme l’ecstasy ou la cocaïne.

Quel attrait revêt la drogue pour les jeunes ?

Sont-ils conscients des risques ?

On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans

Il n’existe pas une drogue, mais des drogues. Le cannabis, l’ecstasy, la cocaïne, l’héroïne, le cristal meth ou les amphétamines ont un point commun, elles agissent sur le cerveau. Premiers concernés, les jeunes expérimentent l’une ou plusieurs de ces substances psychoactives de plus en plus tôt. A 17 ans, 41,5 % des jeunes de 17 ans ont déjà testé le cannabis, 3,3 % la cocaïne et 2,9 % l’ecstasy. La prévention est essentielle pour les aider à ne pas devenir des consommateurs réguliers, ce qui pourrait entraîner des conséquences graves pour leur santé, leur vie relationnelle ou leurs études. Connaître les risques et les dangers des drogues, savoir à qui s’adresser pour s’informer et en parler, toutes les réponses figurent dans ce dossier.

La consommation de substances psychoactives par les adolescents et les jeunes adultes est aujourd’hui une préoccupation importante des familles et des pouvoirs publics, face à une augmentation des comportements à risque. En effet, à un âge où se joue l’avenir social et professionnel des jeunes adultes, la consommation de drogues met en danger leurs performances scolaires, leur sécurité (violence, rapports sexuels non désirés, accidents de la route) et leur maturation cérébrale, avec des conséquences négatives sur leurs performances futures et leur prédisposition à la dépendance. Des consultations jeunes consommateurs ont été mises en place depuis 2004 à destination des jeunes qui souhaitaient en savoir plus.

Un effet sur le fonctionnement du cerveau

Les drogues ou substances psychoactives illicites, qu’elles soient naturelles ou de synthèse, ont toutes un point commun : elles agissent sur le fonctionnement normal du cerveau. Les psychostimulants, comme les amphétamines, l’ecstasy ou la cocaïne augmentent la vigilance et diminuent la sensation de fatigue. Les opiacés, comme la morphine ou l’héroïne, ont un effet de sédation. Enfin, le cannabis et le LSD transforment la perception de la réalité. Toutes ces substances augmentent dans le cerveau la libération d’une molécule fabriquée par les neurones, la dopamine. Celle-ci active un circuit de neurones appelé le « circuit de la récompense » qui renforce les comportements alimentaires ou sexuels à travers une sensation de plaisir cérébral. En activant artificiellement cette partie du cerveau, la consommation régulière de drogues perturbe la recherche du plaisir et entraîne des phénomènes de dépendance.

Les risques et les dangers de la drogue

Dès la première consommation de substance psychoactive, les risques existent. La consommation d’une drogue avant de conduire un véhicule (automobile, deux-roues, machine agricole?) provoque une altération de l’attention qui peut avoir des conséquences sur les mouvements. La consommation de cannabis entraîne des troubles du comportements (attention, mémoire?) et augmente le risque de maladie mentale.

La prise de cocaïne provoque des troubles du risque cardiaque, une instabilité de l’humeur et une dépendance psychique importante. Les effets d’euphorie et de stimulation liés à sa consommation laissent la place à un état dépressif et anxieux. Enfin, selon les modes de consommation, les risques de transmission du virus du sida ou des hépatites B et C sont réels.

Des lieux pour se faire aider

Les jeunes qui s’interrogent sur les conséquences de leur consommation de substances illicites et qui souhaitent se faire aider peuvent s’adresser à l’une des 280 consultations jeunes consommateurs mises en place par les pouvoirs publics. Anonymes et gratuites, ces consultations offrent une information personnalisée, une écoute et une aide pour arrêter et si nécessaire, une orientation vers des structures de soins. Elles peuvent également accueillir les familles, sans leur enfant, afin de les conseiller. De nombreux sites Internet permettent aussi de s’informer sur les dangers des drogues et sur les mesures de prévention existantes, ainsi que le service téléphonique Drogues Info Service au 0 800 23 13 13.

ligera et snow

Publié à 18:57 par fandeloup
ligera et snow

Je l'aurais un jour lol

avion

Publié à 18:49 par fandeloup Tags : nuit bonne bonne nuit mode film voyage
avion

Prévenir les crises d’angoisse en avion.

hobique de l’avion et des longs trajets ? Quelques conseils pour éviter les crises d’angoisse et vivre son trajet avec sérénité.

Il existe de multiples raisons de déclencher une peur en avion ! Une mauvaise expérience ou un film catastrophe marquant peuvent suffire à intimider les plus grands habitués de ce mode de transport.

Et, pourtant, l’avion est le moyen de transport le plus sûr par rapport au nombre de kilomètres parcourus !

Et 15 à 20 000 avions effectuent chaque jour environ 80 000 vols reliant 14 000 aéroports?

Pour éviter l’anxiété incontrôlable à l’approche d’un départ, il suffit de mettre en place quelques habitudes.

Tout d’abord, accordez-vous une bonne nuit de sommeil et prévoyez d’arriver largement en avance à l’aéroport pour ne pas accentuer le stress du voyage.

Il est également recommandé de réserver un siège au niveau des ailes, à l’avant pour alléger les sensations causées par les turbulences.

Dans l’avion, installez-vous confortablement et prévenez, si besoin, les hôtesses et votre voisin de votre stress.

Ce qui vous permettra d’être réconforté lors des phases de décollage et d’atterrissage, les plus anxiogènes.

Sachez, enfin, qu’il existe des stages antistress pour comprendre le fonctionnement d’un avion et les véritables risques encourus à bord.

honteux

Publié à 18:19 par fandeloup Tags : chez animaux pensée monde pensées
honteux

Le jour où les humains comprendront qu’une pensées sans langage existe chez les animaux , nous mourons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires…Est ce que ce monde est serieux .... Et certains vont trouver ceci normal que cela preserve les especes tsss