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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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transparence et fraude

Publié à 18:58 par fandeloup Tags : vie patrimoine enfants création travail nuit internet texte bande lecture monde
transparence et fraude

Transparence et fraude fiscale :l'Assemblée vote une série de mesures.

Promis au lendemain des aveux de Jérôme Cahuzac concernant la détention d'un compte bancaire en Suisse, les projets de loi sur la transparence de la vie publique et sur la lutte contre la fraude fiscale ont été adoptés mardi 25 juin en première lecture par les députés. Les textes ont fait l'objet de nombreuses tractations et certaines mesures voulues par l'exécutif ont été aménagées ou retoquées par les députés. Le Monde.fr fait le point sur le contenu des projets de loi.

 LES PRINCIPALES MESURES VOTÉES

Création d'une haute autorité de la transparence de la vie publique

Le texte institue une Haute Autorité de la transparence de la vie publique, gendarme de la moralisation censée recevoir et contrôler les déclarations d'intérêt et de patrimoine de près de 7 000 personnes (membres du gouvernement, parlementaires et grands élus locaux). Bien lourd travail pour six hauts magistrats et quatre "personnalités qualifiées" choisies par l'Assemblée et le Sénat et élus pour six ans. Cette autorité indépendante pourra saisir l'administration fiscale soixante jours après le dépôt de la déclaration et à tout moment être interpellée par des citoyens qui soupçonneraient une fraude. Ces "lanceurs d'alerte" bénéficieront d'une protection.

 Les déclarations de patrimoine consultables à la demande

Deuxième mesure et nouveau bémol, avec la publicité des déclarations de patrimoine . Ce nœud de la crise entre l'exécutif et la majorité a été finalement dénoué par une pirouette. Pour protéger la vie privée des élus – et faire aboutir deux mois et demi de négociations, ces déclarations ne seront consultables que sur demande en préfecture par un électeur du département. Quiconque s'aventurera à divulguer les informations recueillies s'exposera à une peine d'un an de prison et de 45 000 euros d'amende. Une "ligne Maginot", reconnaît un élu socialiste, qui n'empêchera pas les publications sauvages sur Internet ou sur des tracts anonymes.

Les déclarations d'intérêts publiées sur Internet

Enfin, et c'est probablement la mesure la plus importante, les déclarations d'intérêt des élus seront publiées sur Internet, c'est-à-dire les activités professionnelles de l'intéressé, mais aussi des conjoints, des enfants et parents remontant jusqu'à cinq ans avant l'entrée en fonction. En cas de déclaration mensongère, l'élu risquera cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende.

L'amendement "Sarkozy"

Les membres du Conseil constitutionnel seront également touchés par les mesures de moralisation de la vie publique. Les parlementaires ont adopté, mercredi 19 juin, un amendement au projet de loi sur la transparence, débattu depuis lundi à l'Assemblée, qui vise à "interdire aux membres du Conseil toute activité, rémunérée ou non, durant l'exercice de leur mandat". L'auteur de l'amendement, le député PS de Saône-et-Loire Thomas Thévenoud, assurait récemment que le texte ne visait "personne en particulier et tous les membres en général". Pourtant, il risque de créer un "cas d'école" qui pourrait faire jurisprudence. M. Thévenoud précisait que, "si le texte est présenté au Conseil constitutionnel, cela voudrait dire que l'un de ses membres, qui a fait savoir qu'il avait été rémunéré par une grande banque pour une conférence [Nicolas Sarkozy, rémunéré près de 80 000 euros par la banque Goldman Sachs pour donner une conférence à Londres], pourrait être amené à juger de la conformité de cette loi". Le député de Saône-et-Loire a retiré son second amendement, qui visait "à élargir aux membres du Conseil constitutionnel l'obligation d'adresser à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique une déclaration de situation patrimoniale et une déclaration d'intérêts".

Pas d'activités professionnelles interdites

Les rémunérations annexes ne seront pas plafonnées, comme il fut un temps envisagé, et aucun métier ne sera interdit (il sera simplement impossible de commencer une activité de conseil au cours du mandat). Enfin, les dons aux partis politiques seront limités à 7 500 euros par an et non plus 7 500 euros par parti.

Un nouvel arsenal contre la fraude fiscale

Les nouvelles dispositions de lutte contre la fraude fiscale font l'objet d'un projet de loi à part. Le texte complète les dispositions déjà adoptées dans les deux derniers collectifs budgétaires de 2012. Celles-ci aggravent les peines en cas de fraude, renforcent les pouvoirs de l'administration fiscale et des douanes et prévoient une meilleure coopération entre le fisc et la justice. La fraude fiscale aggravée, c'est-à-dire commise en bande organisée ou avec des circonstances qui la rendent plus difficilement détectable (notamment avec la détention de comptes bancaires à l'étranger dissimulés), sera passible de sept années d'emprisonnement et d'une amende pénale de 2 millions d'euros. Il est aussi prévu d'élargir le champ de la procédure judiciaire d'enquête fiscale aux fraudes résultant de l'utilisation de comptes bancaires ouverts ou de contrats (d'assurance-vie) souscrits à l'étranger, ou de l'interposition d'entités établies à l'étranger (dans un paradis fiscal ou ailleurs). Dans les cas de fraude aggravée, les enquêteurs pourront recourir aux "techniques spéciales d'enquête" que sont la surveillance, l'infiltration, la garde à vue de quatre jours, les interceptions de communications téléphoniques au stade de l'enquête, les sonorisations et fixations d'images de certains lieux et véhicules, les captations de données informatiques et les saisies conservatoires, à l'exclusion des perquisitions de nuit. Il s'agit là de "pouvoirs exorbitants", estime le Conseil national des barreaux, qui s'indigne que le fisc puisse par ailleurs utiliser tous modes de preuves, y compris litigieuses.

poisson

Publié à 17:29 par fandeloup Tags : mer enfants annonce femmes
poisson

Alimentation : le poisson, ce n'est pas si bon !

L'agence de sécurité alimentaire (ANSES) préconise de ne pas dépasser deux portions de poissons par semaine.

Dans un avis rendu public vendredi, l'Anses pointe les risques de contamination des poissons en dioxine, en mercure et en PCB (un isolant industriel).

Cela fait un an que l'agence travaille sur le sujet.

Elle ne conteste pas l'aspect bénéfique des Oméga 3 présents principalement dans les poissons gras (saumon, sardine, maquereau, hareng ou truite fumée) mais émet une quelques réserves.

Une consommation trop régulière pourrait s'avérer néfaste pour la santé.

Selon elle, certaines espèces d'eau douce peuvent constituer un risque encore plus grand pour les femmes et les jeunes enfants. Les substances chimiques qui peuvent être contenues dans ces poissons sont plus particulièrement toxiques « pendant la période périnatale ». Pour ce qui concerne les anguilles, les barbeaux, les brèmes, les carpes et les silure, l'Anses préconise deux portions par mois.

C'est l'aggravation de la pollution des eaux de mer et de rivière qui est responsable de cette recommandation de l'Anses.

La déforestation relâche de grande quantité de mercure auparavant retenue dans les sols.

La quantité de ce produit présente dans les 100 premiers mètres de profondeurs des océans a doublé en 100 ans. Cette annonce de l'Anses fait suite aux déclarations des autorités norvégiennes concernant leur saumon d'elevage.

Au mois de juin, elles avaient conseillé elle aussi, de ne pas consommer plus de portions de poissons d'elevage par semaine.

loi

Publié à 16:48 par fandeloup Tags : texte vie monde article france travail
loi

Loi sur l'emploi : le Conseil constitutionnel valide l'essentiel.

Le Conseil constitutionnel a globalement validé jeudi la loi sur la sécurisation de l'emploi, à l'exception d'une disposition concernant le choix des complémentaires santé, selon un communiqué des Sages.

 Ce que change l'accord emploi" Fruit de l'accord sur l'emploi du 11 janvier entre le patronat et trois syndicats, cette loi, définitivement votée le 14 mai, accorde plus de flexibilité aux entreprises (accord de maintien dans l'emploi, mobilité interne, refonte des procédures de licenciement...) et crée de nouveaux droits pour les salariés (accès élargi aux mutuelles, droits rechargeables au chômage, compte individuel formation...).

Quatre-vingt-douze sénateurs UMP avaient saisi le Conseil constitutionnel, mercredi 15 mai, à propos d'une disposition du projet de loi de sécurisation de l'emploi relative à la généralisation de la complémentaire santé.

Ce recours visait spécifiquement la clause qui donne le droit aux partenaires sociaux d'une branche professionnelle donnée de désigner l'organisme assureur qui prendra en charge la complémentaire santé de tous les salariés de cette branche.

Se félicitant de la décision sur les "clauses de désignation" qui permettent aux partenaires sociaux de désigner un organisme unique, notamment en matière de complémentaire santé, pour toutes les entreprises d'une branche, les députés UMP Christian Jacob, Gérard Cherpion et Jean-Pierre Door ont relevé dans un communiqué que "le Conseil constitutionnel a rappelé que le texte proposé par le gouvernement portait une atteinte à la liberté d'entreprendre et à la liberté contractuelle".

"Oui à la généralisation de la complémentaire santé collective, mais oui aussi à la concurrence !", ont-ils lancé.

Les clauses de désignation des assureurs retoquées

Seule la disposition sur les clauses de désignation des assureurs (article 1er, II, 2°) est jugée inconstitutionnelle, au nom de "la liberté d'entreprendre" et de la "liberté contractuelle", les autres recours sont rejetés.

Dans sa décision, le Conseil constitutionnel juge inconstitutionnel l'article L. 912-1 du code de la sécurité sociale qui permettait jusqu'à présent aux partenaires sociaux des branches professionnelles d'imposer un assureur santé pour l'ensemble des entreprises de la branche.

"On prend acte de cette décision mais elle ne remet pas en cause la généralisation des complémentaires santé", commentait-on au ministère du travail.

Cette validation, pour l'essentiel, de la loi rend applicable son volet flexibilité, et certains nouveaux droits.

Pour d'autres mesures, comme la généralisation des complémentaires santé, des délais sont prévus

Mesures applicables dès promulgation de la loi et décrets

Accords de maintien de l'emploi.

Une entreprise en "graves difficultés" pourra "aménager" temps de travail et salaires (sans diminuer ceux inférieurs à 1,2 Smic) pendant deux ans maximum.

Pour cela, un accord est nécessaire avec des syndicats représentant 50 % des salariés.

L'entreprise s'engage à maintenir l'emploi, sous peine de dommages et intérêts dus aux salariés.

Refus individuels passibles de licenciements, sans déclencher de plan social. Parallèlement, l'autre parade aux baisses d'activité, le dispositif de chômage partiel, est simplifiée.

Mobilité obligatoire.

Pour restructurer sans licencier, l'entreprise peut passer un accord sur la mobilité géographique obligatoire avec des syndicats totalisant 30 % des salariés.

Conditions : respect de la vie personnelle et familiale et salaire ou classification égale. Refus passibles de licenciements, sans déclencher de plan social.

Reforme des licenciements.

Licenciements collectifs (plus de dix) : après le 1er juillet, tout plan social devra être validé par un accord avec des syndicats représentant 50 % des salariés, ou à défaut être homologué par l'administration, qui appréciera dans les 21 jours sa conformité au regard des moyens de l'entreprise. Nouveaux délais de consultation des instances du personnel et expertises. Licenciements individuels : le salarié contestant son licenciement peut conclure aux prud'hommes un accord pour mettre fin au litige selon un barème d'indemnités préfixées à l'ancienneté. Sinon, le juge reste souverain. Réduction de la plupart des délais de prescription.

"Mobilité volontaire sécurisée".

Avec l'accord de son employeur, un salarié d'une entreprise de plus de 300 personnes peut aller "exercer une activité dans une autre entreprise". Son contrat est suspendu avec l'assurance de retrouver un poste similaire.

Consultation des CE.

Les comités d'entreprise devront être consultés chaque année sur les orientations stratégiques et l'utilisation du crédit d'impôt.

Taxation des CDD.

Au 1er juillet, hausse de la cotisation d'assurance-chômage pour les contrats à durée déterminée liés à des surcroîts d'activité (+3 points pour les contrats de moins d'un mois, +1,5 point entre 1 à 3 mois) et les CDD dits d'usage (+0,5 point).

Contrats saisonniers ou de remplacement non concernés. Trois mois d'exonération de cotisation chômage patronale pour l'embauche en CDI d'un jeune de moins de 26 ans.

Mesures d'application plus lointaine

Temps partiels encadrés.

Au 1er janvier 2014, les contrats devront être au minimum de 24 heures par semaine, sauf dérogations (accord de branche garantissant des horaires groupés et réguliers, demande du salarié) et cas des étudiants et particuliers.

Les contrats en cours ont jusqu'au 1er janvier 2016 pour s'y conformer.

Droits rechargeables à l'assurance chômage.

Au 1er janvier 2014, les chômeurs pourront plus largement conserver leurs reliquats de droits à l'indemnisation quand ils retrouvent un emploi.

Patronat et syndicats doivent l'organiser lors de la renégociation des règles prévue fin 2013.

Compte personnel de formation.

En 2014, ce compte doit remplacer le Dif.

Individuel et transférable en cas de changement d'entreprise ou perte d'emploi, il sera abondé de 20 heures par an par l'entreprise dans la limite de 120 heures et pourra bénéficier de financements complémentaires de l'Etat et des régions.

La concertation s'est engagée en mai.

La loi sur la formation annoncée pour la fin d'année devra en préciser les modalités.

Complémentaires santé généralisées.

Au 1er janvier 2016, toutes les entreprises devront proposer une complémentaire santé à leurs salariés et la financer au minimum à moitié.

Représentation des salariés.

Avant la fin 2014, les grands groupes (5 000 salariés en France ou 10 000 dans le monde) devront avoir modifié les statuts de leurs conseils d'administration pour faire rentrer un à "au moins deux" salariés dans les organes de décision.

Information partagée en amont.

Dans un délai d'un an (à compter d'un décret prévu en fin d'été) pour les entreprises de plus de 300 salariés, de deux ans pour les autres, l'employeur doit mettre à disposition des représentants des salariés une base de données économiques et sociales.

abandon

Publié à 15:59 par fandeloup Tags : voiture noel enfant cadeau chien chiens mer
abandon

Certains maitres pendant les vacances décicent d'abandonner le cadeau de noel de leur enfant... Ils décident que leurs chiens n'est pas du tout indispensable mais que au contraire il est ENCOMBRANT !! Alors quand les valises sont fermés Quand ils quittent la maison pour de bon ils appellent leur fidèle chien Le chien ne connait pas son sort et croit partir avec ses maitres adorés au bord de la mer ... Mais quand ils sont sur une petite route de campagne a milles bornes de leurs arrivés , La mère emmène l'enfant au toilet et le père fais faire a son chiens une petite balade rien que pour se dégourdir les jambes ....? Mais la balade s'écourte très vite il prend une corde et attache son chien a un arbre ! L'enfant remonte dan la voiture et ne s'aperçoit même pas que le chien a soudainement disparu ... Quand la voiture démarre le chien aboit !! L'enfant regarde par la fenetre et voit son chien qui s'étrangle a essayé d'arracher la corde qui le retiens . L'enfant hurle ! Le chien aboit de toute ses forces ! Mais la voiture avance

greve

Publié à 15:18 par fandeloup Tags : france cadre texte
greve

Les avocats, "exaspérés" par le gouvernement, menacent de faire grève

Le président du Conseil national des barreaux (CNB), Christian Charrière-Bournazel, a menacé, jeudi 4 juillet, d'appeler les avocats à faire grève si ces derniers, "exaspérés" par différents projets gouvernementaux qui les "prennent pour cible", n'étaient pas entendus d'ici à la rentrée.

"Nous avons le sentiment d'être la cible ou les laissés-pour-compte des réformes du gouvernement. Le sentiment qui se dégage de cette première année du président Hollande et de la garde des sceaux Taubira, c'est une sorte de mépris, de défiance à l'encontre de la profession d'avocat", a déclaré Me Charrière-Bournazel lors d'une conférence de presse.

"S'IL FAUT, NOUS FERONS GRÈVE"

"Si je ne suis pas entendu, j'ai demandé aux bâtonniers de France de signer une pétition et nous nous ferons entendre dans la rue. Et s'il faut nous ferons grève", a prévenu l'avocat. "Dès la rentrée de septembre, nous serons mobilisés, a-t-il promis, "trop c'est trop, nous n'en pouvons plus." Le représentant des cinquante-six mille avocats de France s'en est pris au projet de loi sur la transparence adopté à l'Assemblée, dans le cadre duquel il avait été envisagé un temps d'interdire aux parlementaires la profession d'avocat d'affaires. "Lorsqu'on a eu la révélation qu'un ministre de la République, médecin de son état, aurait été un fraudeur fiscal, c'est aussitôt contre les avocats que le gouvernement a projeté de faire voter une loi qui leur aurait interdit de devenir parlementaire, comme s'il y avait une sorte d'incompatibilité entre les deux", a dit l'avocat.

LES LOIS SUR L'EMPLOI, LA CONSOMMATION ET LA TRANSPARENCE VISÉES

Le texte adopté par l'Assemblée interdit finalement aux parlementaires les activités de conseil, sauf pour les professions réglementées, comme les avocats, par exemple. Lire : Transparence et fraude fiscale : l'Assemblée vote une série de mesures Me Charrière-Bournazel a ensuite critiqué la loi sur la sécurisation de l'emploi promulguée en juin, accusée de tenir les avocats en dehors des négociations sur les accords de restructuration en entreprise. Il a aussi pointé, pêle-mêle, "l'instauration d 'actions de groupe au rabais" dont les "avocats sont écartés", une "réforme fiscale extravagante et dangereuse" qui favorise la délation, le financement de l'aide juridictionnelle qui est une "injure" aux avocats.

eux

Publié à 14:27 par fandeloup Tags : chiens moi
eux

On les reconnaît à leurs yeux. On y voit tout dedans. Et même quand ils sont baissés on y voit tout dedans. Vous ne vous trompez jamais. Vous les reconnaîtrez. Ceux qui ont les yeux baissés ,les yeux tristes à pleurer. Des chiens laissés tomber au bord des routes. Ceux qui gênent d'un seul coup. Ceux qui n'ont rien demandé. Eux ils sont bien comme moi qui ai connu le chaud. Qui ai connu le froid. Eux ils savent bien ce que c'est celui qui attend seul .Celui qui ne comprend pas pourquoi d'un coup d'un seul on le laisse planté là

scandale

Publié à 13:46 par fandeloup Tags : cheval société travail
scandale

Scandale de la viande : Spanghero repris par... Spanghero

Le tribunal de Carcassonne vient de valider l'offre de reprise de Laurent Spanghero de l'entreprise Spanghero de Castelnaudary impliquée dans le scandale de la viande de cheval.

Le tribunal de Carcassonne a retenu l'offre de reprise de l'entreprise Spanghero de Castelnaudary (Aude) qui était aux abois depuis qu'elle a été désignée, mi-février, comme l'un des principaux responsables du scandale européen de la viande de cheval, revendue pour du bœuf à des entreprises produisant elles-mêmes des plats cuisinés à de grands distributeurs.

Laurent Spanghero va présenter son projet de reprise aux salariés Spanghero :

le comité d'entreprise examine les deux projets de reprise Reprise de Spanghero:

incertitude sur le projet des salariés Laurent Spanghero seul en lice pour reprendre l'entreprise familiale 

Après avoir été sous le feu des projecteurs et discréditée auprès des ses clients, cette sociétéavait été mise en liquidation judiciaire en avril en menaçant l'avenir de ses 230 employés.

Après cette affaire, Laurent Spanghero qui avait créé cette société d'agroalimentaire avant de la céder en 2009 à la coopérative basque Lur Berri, s'était dit prêt à 74 ans à reprendre les rênes de l'entreprise pour laver le nom de sa famille bien connue dans l'univers du rugby.

90 emplois pourraient être sauvés avec le soutien de deux partenaires, un promoteur immobilier de Narbonne, Jacques Blanc, et la société de capital-risque Investeam, Laurent Spanghero envisage dans un premier temps de sauver 90 emplois pour la préparation de plats cuisinés et la transformation de la viande.

Son projet va bénéficier d'un apport de 2 M€ de fonds propres et de près de trois fois plus pour les besoins en fonds de roulement.

Dans sa décision, le tribunal «prend acte de ce que M. Spanghero s'engage à ne pas céder les actifs pendant 5 ans et à garder le personnel repris au moins pendant deux ans» en ajoutant que «prise de possession sera immédiate».

Pour les 130 salariés qui vont se retrouver sur le carreau, ils devraient recevoir une indemnité de départ de l'ordre de 3500 €.

Il est probable que Laurent Spanghero va maintenant s'atteler à faire renouveler le dernier contrat que l'entreprise avait avec Lidl, spécialiste allemand des supermarchés à bas prix qui lui permettait de faire travailler une cinquantaine de personnes.

L'enseigne de hard discount avait fait savoir qu'elle attendait de connaître le nouveau repreneur avant d'envisager son renouvellement. «Saveurs occitanes» tentera de faire oublier le scandale Laurent Spanghero a fait état de nouveaux contacts avec Lidl et avec Casino.

Il a indiqué aussi qu'il discutait actuellement avec un producteur de tomates de Perpignan, «pour mettre en place la semaine prochaine une chaîne de tomates farcies».

Le projet de Laurent Spanghero mise sur le «développement homogène» des deux activités viandes et plats cuisinés de l'entreprise, qui s'appellera désormais «Saveurs occitanes», rompant ainsi avec un nom désormais discrédité.

Les repreneurs devront non seulement retrouver des clients mais aussi honorer une dette de 11 M€ souscrite en 2007 pour la construction de l'usine de Castelnaudary, même s'ils ont obtenu un rééchelonnement sur 22 ans au lieu de 10.

Les salariés entre espoir et scepticisme Castelnaudary (Aude), ce vendredi 5 juillet. Les salariés de l'usine Spanghero écoutent le repreneur de leur usine qui devra tout de même se séparer de 130 d'entre eux.

La nouvelle de la reprise par le fondateur a été accueillie dans un mélange de soulagement et de scepticisme par le personnel réuni à l'usine, que Laurent Spanghero est venu immédiatement rencontrer. «Cela fait six mois qu'on a la tête sous l'eau.

Est-ce que cela va tenir ou est-ce que les problèmes vont recommencer dans deux mois», s'interrogeait Raymonde Tomasella, depuis 14 ans dans l'entreprise de plats cuisinés et de transformation de viandes.

«Les salariés qui vont retrouver du travail, c'est pour combien de temps ? Si c'est pour donner de l'espérance et que dans deux ou trois mois, ça s'arrête, cela n'aura servi à rien», tonne de son côté le secrétaire du CE (FO) Jérôme Lagarde.

«Ça va être compliqué mais on va essayer de s'y atteler» Laurent Spanghero Laurent Spanghero s'est voulu rassurant, sans toutefois minimiser l'ampleur du défi.

«On va y arriver, mais j'ai besoin de vous», a-t-il déclaré aux salariés de l'entreprise qui n'a plus de clients depuis le 30 juin, à l'expiration du contrat avec le géant allemand de la distribution Lidl.

«Il fallait surtout éviter que l'entreprise ferme. C'est fait. Le reste est devant nous et ça va être compliqué mais on va essayer de s'y atteler», a-t-il déclaré, qualifiant la décision du tribunal de «victoire au goût amer»

et témoignant de sa sympathie pour les 130 salariés qui ne seront pas repris. En 2009, des difficultés financières avaient déjà poussé Laurent Spanghero à céder l'entreprise pour un euro symbolique à Lur Berri, «afin de sauver les 450 emplois de l'époque».

Même si l'avenir reste compliqué, et si des détracteurs dans l'entreprise doutent de la capacité de Laurent Spanghero à faire mieux cette fois, la décision du tribunal s'apparente à un répit, après cinq mois de descente aux enfers.

abandon

Publié à 11:36 par fandeloup Tags : aimer
abandon

LA HONTE!!!!!!!Humaine pauvre il demande juste a être aimer eux aussi

paix

Publié à 11:29 par fandeloup
paix

Se mettre en paix avec son passé afin de ne pas ruiner son présent...

nature

Publié à 11:23 par fandeloup Tags : photo histoire vie amour enfants mode nature animaux
nature

Les Bishnoïs : une histoired'amour avec la nature

 Au Rajasthan, les Bishnoïs vivent en harmonie avec leur environnement depuis le XVe siècle.

Un photographe est allé à leur rencontre.

Un dixième de la récolte de chaque famille bishnoï est mise de côté pour nourrir les animaux sauvages.

Cela n'est pas la prophétie d'un sympathisant écologiste ni celle d'un militant de la décroissance, mais un précepte qui date de cinq siècles.

Ce constat d'urgence est même le point de départ d'une communauté indienne au mode de vie respectueux de la nature, les Bishnoïs.

Franck Vogel, photographe, en a ramené un reportage qu'il expose en ce moment à Paris.

La légende dit qu'une terrible sécheresse s'abattit sur le Rajasthan au milieu du XVe siècle.

Les hommes devinrent fous et, pour survivre, coupèrent les arbres et tuèrent de nombreux animaux.

Dans son immense sagesse, le prophète Jambo-Ji réfléchit et établit 29 règles pour vivre en harmonie avec l'environnement et assurer l'avenir de la communauté.

Parmi elles : ne jamais manger d'animaux, ne jamais couper d'arbres, conserver une hygiène irréprochable ou encore que chacun plante un arbre par an.

Ces règles régissent encore aujourd'hui la vie du peuple bishnoï, qui représente à peu près 700 000 personnes.

Mourir pour une gazelle Ils respectent la nature à tel point qu'ils considèrent les animaux comme leurs propres enfants.

Ils sont prêts à mourir pour protéger une gazelle, ce qui est déjà arrivé par le passé et a valu à l'un d'eux la plus haute distinction de l'État indien en matière de protection de l'environnement.