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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Pour retrouver son coeur d'enfant, Il faut savoir briser des choses, Ces carapaces que l'on pose, Pour protéger nos sentiments
L'arbuste symbole du jour de l'an Il porte chance. Alors pendant les fêtes de fin d'année, embrassez-vous sous le houx ! La particularité de cette plante est d'être dioïque, c'est-à-dire qu'il existe des houx mâles et des houx femelles. Les mâles ont de belles feuilles dotées de piquants tandis que les femelles ont des feuilles arrondies, mais qui se couvrent de baies. On connaît les boules rouges du houx mais cet arbuste très résistant peut également se doter de boules orange ou jaunes. Malgré son attrait le houx est toxique car il contient dans son feuillage des alcaloïdes, dont l'ingestion peut entraîner des troubles digestifs. A Noël, préférez les marrons !
Communiqué FERUS / Pays de l’Ours-ADET, le 8 décembre 2011
Pays de l’Ours-Adet et FERUS demandent à l’État l’autorisation de lâcher deux ourses dans les Pyrénées en 2012 .
Compte tenu de l’extinction imminente de l’espèce en Pyrénées Occidentales et des obligations internationales de la france en la matière, les associations FERUS et Pays de l’ours-Adet viennent de déposer officiellement deux demandes d’autorisation de lâcher d’ours dans les Pyrénées, qui pourraient se concrétiser dès 2012.
Les deux dossiers, concernant chacun le lâcher d’une femelle, ont été transmis aux Préfets des Pyrénées-Atlantiques et de Haute-Garonne en début de semaine.
FERUS et Pays de l’Ours-Adet bénéficient du soutien de la coordination associative « Cap Ours », la SEPANSO Pyrénées-Atlantiques étant partenaire de l’opération pour le Béarn.
Il appartient maintenant à l’État d’organiser une consultation du public avant de se prononcer dans les six mois.
Selon les experts, il faudrait lâcher au total 17 ours pour viabiliser les deux sous-populations pyrénéennes et non un seul comme l’a laissé entendre la Ministre récemment.
Confier aux associations les prochains lâchers d’ours, comme cela avait déjà été le cas en 1996, présente pour l’État plusieurs avantages :
- Cela évitera à la france d’être poursuivie devant la Cour de justice européenne pour manquement à la directive « Habitats Faune Flore » N°92/43 ;
- Le coût des opérations sera financé sur des fonds privés, ce qui évitera des dépenses publiques, mêmes modestes pour un État, en période de crise.
Si l’on considère par ailleurs que le retour de l’ours dans les Pyrénées Centrales a déjà créé plusieurs centaines d’emplois, et que le potentiel de valorisation économique de la présence de l’ours pour les Pyrénées reste fort, l’État a toutes les raisons d’accéder à notre proposition. La valorisation locale du patrimoine naturel est en effet un secteur d’avenir pour lequel une espèce comme l’ours constitue un atout incontestable pour l’économie pyrénéenne.
Et puisque la Ministre de l’Ecologie semble douter encore du soutien des Français et des Pyrénéens, nous lançons simultanément une grande cyberaction, à laquelle chacun est invité à participer en se connectant au site www.cyberaction.paysdelours.fr
L'ombre d'un félin sauvage Quel rêve inaccessible que de pouvoir observer le lynx en hiver... Et pourtant, hôte des Alpes, Vosges ou Jura, cet animal mythique peut s'apercevoir au détour d'un épicéa ou surplombant un rocher. Mais comme tout félin, la discrétion est son mot d'ordre et il faut être patient pour pouvoir distinguer ne serait-ce que la prunelle de ses yeux ambrés.
Il se trouve que l'on en apprend tout les jours le long de la vie jusqu'à notre mort et bien encore... Il n'y a pas d'âge précis, cela dépend des êtres... De leur sagesse, certain ne l'acquiert même pas... Après il est vrai qu'arriver un moment l'on se pose afin de penser à sa vie passé, mais certains ne quittent pas le passé et continue d'avancer en restant habité par le souvenir... Souvent les réponses nous parviennent quand on en a plus besoin mais tout vient à point à qui sait attendre !
Quand certains s'envolent, d'autres se cachent Alors que certaines espèces animales peuvent migrer vers des cieux plus cléments, d'autres s'adaptent aux conditions climatiques extrêmes en hibernant. En dormant et en abaissant leur température corporelle, les petits mammifères économisent jusqu'à 90 % de leur énergie. Certaines espèces comme la marmotte hibernent complètement. D'autres, comme l'ours, sont des semi-hibernants. Même si leur rythme cardiaque diminue, leur température corporelle reste stable, ce qui leur permet d'être réveillés plus facilement
il est dit que le temps guérit les blessures..ce n'est vrai..il y a des cicatrices qui laissent des marques...alors on met des pansements par des mots...on sourit sans envie..et on continue á vivre...
Le renard polaire s'adapte pour se nourrir Le froid n'inquiète pas le renard polaire, parfaitement adapté à cet environnement inhospitalier. Sa fourrure, elle aussi, s'adapte, et devient blanche avec l'hiver, pour se confondre avec la neige. Ses poils contenant de l'air s'épaississent pour le protéger jusqu'à des températures pouvant chuter à -70°C. Il s'adapte également au manque de nourriture : le renard polaire n'hiberne pas et il arrive qu'il suive les ours polaires en mangeant les restes de leurs repas ; en cas de disette extrême, il peut même se nourrir de leurs excréments.
Dans le jardin des roses,ma Plume, je repose à la recherche de mes proses pour des idées moins moroses...