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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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le loup

Publié à 13:44 par fandeloup Tags : vie
le loup

La vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.



rené dary

Publié à 13:42 par fandeloup Tags : coeur enfants création mort bébé écran
rené dary

René Dary (de son vrai nom Anatole Antoine Clément Mary), né le 18 juillet 1905 à Paris 6e et mort le 7 octobre 1974 à Plan-de-Cuques (Bouches-du-Rhône), est un acteur et réalisateur français.René Dary est le fils de l’artiste de café-concert Abélard, dit le Comique Idiot. Il est l'une des vedettes à avoir commencé le plus jeune sa carrière cinématographique. En effet, on le voit sur grand écran, dès l'âge de trois ans sous le nom de bébé Abelard au temps du muet, sous la direction de Louis Feuillade. Il tourne avec lui pas loin de quatre-vingts courts-métrages en trois ans. Dès 1916, il fait ses débuts sur les planches avec Lucien Guitry. Il abandonne assez vite ce métier pour aider son père à la gestion d’un cinéma dans le XXe arrondissement de Paris. Il retrouve le chemin du théâtre bien plus tard, interprétant en particulier, Le temps des cerises de J.L. Roncoroni, Marius de Marcel Pagnol et Ce soir à Samarcande de Jacques Deval. Ses rôles les plus marquants au cinéma sont Nestor Burma dans 120 rue de la Gare, Riton, le complice de Jean Gabin dans Touchez pas au grisbi, et le maire du village dans Les Risques du métier avec Jacques Brel. Mais à son tout début, il faut noter ses performances dans Le Révolté en matelot anarchiste à la forte tête, et dans Le carrefour des enfants perdus qui relatait la difficile création d'une maison de redressement pour délinquants. Sportif accompli, René Dary fit également de la boxe dans les années trente, sous le nom de Kid René, mais aussi du music-hall sous le pseudonyme de René Duclos. Il participa à des opérettes comme Normandie de Paul Misraki et Trois valses d'Oscar Straus. Entre 1934 et 1937, il fit partie de la troupe du Théâtre des Bouffes-Parisiens. Il participa également à des séries télévisées comme Les Cinq Dernières Minutes, dans les épisodes On a tué le mort et Les enfants du Faubourg, mais c'est en 1965, qu'il acquiert une très grande notoriété en incarnant le commissaire Ménardier dans la célèbre série Belphégor ou le Fantôme du Louvre de Claude Barma, avec Juliette Gréco et François Chaumette. On le voit aussi comme commissaire Lefranc dans sept épisodes de la série Les Compagnons de Baal en 1968. Il écrivit aussi des romans, comme Express 407. Il tourne une dernière fois en 1968, pour le cinéma, dans Goto, l’île d’amour de Walerian Borowczyk et pour la télévision en 1974 dans Une affaire à suivre. Second rôle durant toute sa carrière, il était l'incarnation même du français, petit, râleur bagarreur mais bon coeur.



sourire

Publié à 13:40 par fandeloup Tags : vie fleurs
sourire

Quelques mots, quelques fleurs, ce n'est pas le Pérou Mais parfois, dans la vie, ça peut changer beaucoup. Quand ton âme est chagrine, le sourire d'un ami Ensoleille ta journée et dissipe tes soucis ... Douce Journée à tous



claude dauphin

Publié à 13:35 par fandeloup Tags : homme femme belle mort actrice
claude dauphin

Claude Marie Eugène Legrand, dit Claude Dauphin, né le 19 août 1903 à Corbeil-Essonnes, mort le 16 novembre 1978 à Paris, est un acteur français. Père du comédien Jean-Claude Dauphin et fils du poète Franc-Nohain, il est aussi le frère de l'homme de radio et de télévision Jean Nohain (1900-1981). Il a eu pour femme l'actrice Maria Mauban. Le lendemain de la fin du tournage de La belle aventure, en 1942, il embarque à Nice, à l'aube, à bord d'un sous-marin britannique à destination de l'Angleterre. Il est l'auteur de Les Derniers Trombones qui relate des anecdotes croustillantes sur les derniers monstres sacrés



amitié

Publié à 13:33 par fandeloup Tags : amour
amitié

Ce qui fait notre force c'est notre capacité d'aimer. L'arme la plus efficace,c'est notre bonté face à l'adversité. Ce que nous donnons avec amour,nous est toujours rendu en retour. D'une façon ou d'une autre c'est à chacun son tour.



glen ford

Publié à 13:29 par fandeloup Tags : image france film mort actrice
glen ford

Glenn Ford, de son vrai nom Gwyllyn Samuel Newton Ford, (né le 1er mai 1916 à Sainte-Christine-d'Auvergne, Portneuf, Québec, Canada et mort le 30 août 2006 à Beverly Hills en Californie, aux États-Unis), était un acteur américain d'origine anglo-québecois.Alors qu'il est âgé de huit ans, sa famille s'installe en Californie. La médecine l'attire, mais bientôt le théâtre va occuper tout son temps. Il participe à des tournées sur la côte ouest. C'est la Fox film qui le fait débuter au cinéma en 1939, puis la Columbia Pictures. Dans l'emploi de jeune premier séduisant, il participe à des films de série B, des westerns et des films d'action. Sa carrière est interrompue par la Seconde Guerre mondiale. Engagé volontaire dans le corps des Marines en 1942, il sert dans le Pacifique mais aussi en france. Marié avec l'actrice Eleanor Powell en 1943, il est démobilisé l'année suivante. Peu après son retour, il trouve en 1946 dans le rôle de Johnny Farell (Gilda), aux côtés de Rita Hayworth, l'occasion de se hisser au sommet du box-office. Il enchaîne alors les films, notamment des westerns, dont ceux de Delmer Daves ou des thrillers, à l'image de Règlement de comptes de Fritz Lang. Dans les années 1970, il joue dans le feuilleton télé Sam Cade qui le rend encore plus populaire auprès du public.



montagne

Publié à 13:27 par fandeloup Tags : belle nature animal
montagne

Vivre en harmonie avec tout l'univers, voila le secret du bonheur. Respectons toutes personnes, comme nous même, quelque soit sa nature, son origine,animal,végétal,minéral, et autres merveilles qui font partit, de notre si belle planète. Faire en sorte que tout se passe bien, tous les jours pour un meilleur lendemain.



laurel et hardy

Publié à 13:23 par fandeloup Tags : france film enfant vie écran affiche
laurel et hardy

Laurel et Hardy formèrent un couple comique du XXe siècle, un duo du cinéma américain de l'Entre-deux-guerres, réunissant Stan Laurel et Oliver Hardy et basé sur un rapport de force et de protection, souvent dans des bagarres ritualisées et polies (pas de critique sociale). Ils ont joué dans de nombreux films burlesques muets et parlants.Dans la vie, Stan Laurel est l’inverse de son personnage à l’écran, dans le duo, c’est lui le cerveau. Leur première rencontre à l'écran a lieu fin 1920, début 1921 dans The Lucky Dog, ils partagèrent ensuite l'affiche dans des films produits par Hal Roach durant les années 1920. Le duo se forma officiellement à l'occasion du film The Second Hundred Years en 1927. Au fil des films, les rôles des deux personnages s'imposent. Hardy, de par sa corpulence, sera le chef de l'association, le Maître, l'incarnation du Père et dirigeant toujours les opérations. Il sera aussi l'éternelle victime des maladresses de son co-équipier. Laurel, qui apparaissait comme un être dominateur, conquérant, séducteur et irrésistible dans les films sans Hardy, va acquérir une place de grand enfant, de naïf ébahi, de curieux et de chétif. En 1940, les deux comédiens tentent de fonder leur propre maison de production, sans succès. Ils signent alors un contrat d'exclusivité avec la 20th Century-Fox et la MGM pour huit films à tourner dans les cinq années à venir. En 1947 ils entament une carrière au music hall. La plupart des films tournés avant 1940 ont été produits par Hal Roach et realisés par Leo McCarey L'affiche du film The Lucky Dog Dans les versions en langue française nos héros étaient doublés par des acteurs francophones s'exprimant avec un accent anglo-américain : « Dans Men O'War, de Lewis Foster, en 1929, le cinéma d'Hollywood parle maintenant des États-Unis d'Amérique, et les versions doublées expédient aux quatre coins du monde deux de ses héros les plus ahurissants : Stan Laurel et Oliver Hardy. Voyons la version doublée pour le public français de ce film américain dont l'action ne se passe pas en france : pourquoi donc dans cette version française, Laurel et Hardy se parlent-ils en français avec un accent nasillard amplifié par le ton haut de Hardy, transposé par les acteurs de doublage qui leur furent attribués : Fernand Rauzena et Richard Œstermann (et, à partir de 1935, Frank O'Neill et George Matthews)  Pour nous, public francophone, cet accent américain fait partie du caractère des deux compères, de leur charme, de leur drôlerie… » 1 L'explication de cet accent date en fait de l'avènement du parlant : la postsynchronisation n'étant pas encore au point, la nécessité de tourner plusieurs versions d'un même film s'imposait pour l'exportation. Souvent, des acteurs de langues étrangères en remplaçaient les vedettes, ce qui ne fut guère possible pour notre duo. Aussi exécutèrent-ils eux-mêmes des versions françaises et allemandes de leurs premiers talkies (parlants) avec des accents très forts parce qu'ils ignoraient les langues. En france, le succès de cet accent fut tel qu'il n'était plus concevable dorénavant de les doubler autrement Les deux héros se retrouvèrent complètement fauchés à la fin de leur aventure. En effet, ils ont signé un contrat quasi identique des plus désavantageux : ils ne touchaient pas un dollar pour toutes les rediffusions télé qui auraient lieu par la suite. Leur salaire respectif n'a jamais atteint la hauteur de leur talent...



amitié

Publié à 13:22 par fandeloup Tags : coeur
amitié

LA VALEUR DES PERSONNES EST PLUS DANS LE QUE DANS L'APPARENCE. IL EST SAGE DE SAVOIR LE RECONNAITRE. ACCEPTER LA DIFFÉRENCE C'EST SE MONTRER CAPABLE DE COMPASSION ENVERS SON PROCHAIN. LA BONTÉ EST UNE GRANDE QUALITÉ QU'IL FAUT PARTAGER SIMPLEMENT AVEC LES LES GENS QUE NOUS CROISONS SUR NOTRE CHEMIN.



charlie chaplin

Publié à 13:14 par fandeloup Tags : belle travail mort enfant chien vie
charlie chaplin

Charlie Chaplin, nom usuel de sir Charles Spencer Chaplin, Jr., est un acteur, réalisateur, producteur, scénariste, écrivain et compositeur britannique né à Londres le 16 avril 1889, et mort le 25 décembre 1977 à Vevey, en Suisse. Par son jeu de mime et de clownerie, il a su se faire remarquer, et devenir l'un des plus célèbres acteurs d'Hollywood. Charlie Chaplin fut l'une des personnes les plus créatives de l'ère du cinéma muet. Réalisateur, scénariste, producteur, monteur, et même compositeur de ses films, sa carrière durera plus de soixante-cinq ans, du music-hall en Angleterre, jusqu’à sa mort, en Suisse. Son personnage Charlot, pour les francophones, The Tramp (le vagabond) dans les pays anglo-saxons, apparaît pour la première fois dans Charlot est content de lui (Kid Auto Races at Venice), le 7 février 1914. C'est un sans domicile fixe qui a des manières raffinées dignes d'un gentleman, muni d'une canne de bambou, coiffé d'un chapeau melon, vêtu d'une veste étriquée et d'un pantalon qui tombe sur des chaussures trop grandes. Cette allure lui vaudra la réputation de « vagabond » misérable et roué, asocial et obstiné, révolté et sentimental. Il fut fortement inspiré par l'acteur burlesque français (il apprend le théâtre avec sa mère) Max Linder : tous deux choisiront un costume bien à eux. Mais Max Linder, au contraire de Charlie Chaplin, ne se fera pas représenter comme une victime de la société. La vie publique et privée de Charlie Chaplin fera l'objet d'adulation, comme de controverse. Né à Est Lans dans le quartier de Walworth, un quartier très pauvre de Londres, le 16 avril 1889, quatre jours avant Adolf Hitler5, Charles Spencer Chaplin est le fils de Charles Chaplin et de Hannah Hill (connue sous le nom de scène Lili Harley), tous deux artistes de music-hall. Il fut baptisé à l'Église anglicane, mais il sera plus tard agnostique. Il n'a qu'un an lorsque son père part en tournée aux États-Unis. Il a alors plusieurs demi-frères, l’un plus vieux que lui (Sydney Chaplin, né en 1885 d’une relation de sa mère avec Sydney Hawkes), l’autre plus jeune (Wheeler Dryden né en 1892 et ayant pour père Léo Dryden et lui-même père du musicien Spencer Dryden). Lorsqu'il revient des États-Unis, Chaplin senior découvre la nouvelle situation conjugale et abandonne sa famille, Charles Spencer n'avait alors que trois ans. La misère s'installe au foyer : Hannah, atteinte d'une maladie mentale, est internée dans un hôpital psychiatrique en juin 1894. Charlie et ses frères sont alors placés dans un orphelinat, à Hanwell. Deux mois plus tard, la mère de Chaplin obtient son congé de l'hôpital. Quelques années plus tard, Hannah sera de nouveau admise à l'hôpital et y restera, cette fois, huit mois. Pendant ce temps, Charlie vécut avec son père et sa belle-mère alcoolique, dans un environnement intenable pour un enfant, dont les souvenirs inspireront Le Kid. À cinq ans, Chaplin monte sur scène pour remplacer au pied levé sa mère qui ne peut plus chanter, victime d'une extinction de voix. C'est sa première apparition sur scène. Puis, en 1896, son père, ne trouvant plus d'engagement, sombre dans l'alcoolisme avant de mourir à l'âge de 37 ans, d'une cirrhose du foie8. Le frère de Charlie, Sydney, quitte le foyer parental pour travailler dans la marine. Charles Spencer est alors seul avec sa mère. Entre neuf et douze ans, c'est grâce à son frère que Charlie entame une carrière d'enfant de la balle dans la troupe des Eight Lancashire Lads. Puis, il obtient à partir de 1903 une succession de contrats au théâtre, et en 1908, il est engagé dans la troupe de Fred Karno, alors le plus important impresario de spectacles avec des sketches. Il y rencontre le futur Stan Laurel. Au cours d'une tournée de la troupe en Amérique, les studios Keystone lui adressent une proposition de contrat qu’il accepte : l'aventure cinématographique commence Les cadences de l’époque étaient rapides et les films mis en boîte en quelques heures. Ne supportant pas les pressions dues à ces temps très brefs, Chaplin s'adapte très mal aux conditions de travail de la compagnie, à tel point que les incidents avec les metteurs en scène sont fréquents. Sur les ordres de Mack Sennett qui avait ouvert à Hollywood en 1912, le studio Keystone, celui-ci lui demande de se créer un maquillage au pied levé, il crée en 1914 le personnage raffiné de Charlot le vagabond, et recentre tout son comique autour du nouveau personnage et de sa silhouette qu'il inaugure dans Charlot est content de lui (1914). Mécontent du travail des réalisateurs, Chaplin prend en main, à partir de juin 1914, la mise en scène de ses films. L'ascension est alors fulgurante. Ses salaires décuplent d'année en année, il change régulièrement de studio (Essanay, Mutual Company). En 1918, il signe un contrat de distribution d’un million de dollars avec la First National, qui lui laisse la production et la propriété de huit films prévus. Il fait alors immédiatement construire son propre studio dans lequel il réalise neuf films dont Une vie de chien, Le Kid et Charlot soldat. En 1919, un vent de révolte souffle sur Hollywood où les acteurs et cinéastes se déclarent exploités ; Chaplin s'associe alors à David Wark Griffith, Mary Pickford et Douglas Fairbanks pour fonder la United Artists. Puis, Chaplin fait peu à peu entrer dans son univers comique celui du mélodrame et de la réalité sociale comme dans La Ruée vers l'or (1925).



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