Fandeloup

De tous je suis un incompris mais jamais je ne leur serai soumis. Je vais et viens comme la brise

Futilités adolescentes, Vanités si insolentes, Quelle est cette nouvelle génération Dénuée de toute vocation?

Pour avoir jadis effleuré les portes de l'éternité, le besoin en moi s'est installé de chercher à me protéger. C'est ainsi que s'est construit cette carapace, ce bouclier, que nul ne devait percer.

Ce que le miroir nous renvoie Ne nous ressemble pas parfois.

De ma vie , jamais je n’oublierai cette rencontre fortuite et féérique. Je savais que son chant résonnerait en moi; une éternelle musique.

Les saisons tristement se fondent, été et hiver tendent à s’évanouir, l’Homme dans sa splendeur immonde ne s’interroge pas sur son devenir.

La planète irrémédiablement se meurt, l’atmosphère polluée à grands pas par l’humain qui ne s’en inquiète pas, fourvoyé par bien des leurres.

Je veux partir au loin sur des vagues plus calmes, Je ne veux plus pleurer, je ne veux plus de larmes,

Lorsque vient le soir, jaillit ce soudain espoir qu'un jour prochain, là, bien, la patte dans la patte nous entamerons le plus long des chemins, tous deux bercés par nos doux songes illusoires.

Elle vole vers cet ange, cet être merveilleux. Elle ressent le mélange puissant et harmonieux Unissant les deux âmes de ces êtres incarnés.