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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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tristesse

Publié à 09:14 par fandeloup Tags : coup monde bonne mer sur création divers nature animaux prix paysage presse revenu
tristesse

Catastrophe écologique , pour toute sa biodiversité .... Alaska , terre des animaux sauvages tels les Loups , des Grizzlys des Bisons ....... Pour quoi ?? L'or noir "maudit prétrole ... Dans les années à venir , sur ces terres c'est un giganteste génocide qui va y avoir et il a déjà commencé avec l'autorisation de tuer les Ours et Loups

 

Deux bœufs musqués baguenaudent dans un paysage vierge de toute trace humaine. Les monts Sadlerochit se dressent au loin.

L'Arctic National Wildlife Refuge est l'une des plus vastes aires protégées des États-Unis, et l'un des endroits les plus sauvages de la Terre... jusqu'à présent.

 Le petit avion à hélice a tangué en quittant la piste de graviers, a survolé le village de Kaktovik, et s’est bientôt réduit à un point jaune au-dessus de la mer brune de la toundra – un recoin d’Alaska qui est peut-être le terrain le plus controversé des États-Unis. Pendant des millénaires, la plaine côtière de ce qui est devenu l’Arctic National Wildlife Refuge (réserve naturelle nationale de l’Arctique) a vu transhumer des hardes de rennes, estiver des nuées d’oiseaux migrateurs, hiverner des ours blancs et chasser les autochtones alaskans. Mais son sous-sol recèlerait environ 7,7 milliards de barils de pétrole, et c’est là tout le problème.

Le Congrès américain a voté la création de la réserve de 78 000 km2 en 1980. Le monde affrontait alors son second choc pétrolier en moins de dix ans. Les législateurs se sont donc laissé la possibilité de trancher plus tard sur le sort d’une zone de 6 070 km2 de la plaine côtière, potentiellement riche en pétrole. Depuis, le débat sur son utilisation n’a jamais cessé.

« Lors de ma première visite ici, au début des années 1970, c’était un pays sans limites, m’a dit le pilote Pat Valkenburg, biologiste en retraite du Département de la chasse et de la pêche de l’Alaska. Maintenant, dès que la presse évoque la réserve, ça fait débarquer des flopées de gens. »

Le vol avec Valkenburg remonte à 2005 mais, récemment, les médias ont beaucoup parlé de la réserve de l’Arctique. En près de quarante ans, les républicains ont tenté une douzaine de fois de l’ouvrir à l’exploration pétrolière. Puis, l’an passé, Lisa Murkowski, sénatrice de l’Alaska, a glissé un amendement autorisant les forages dans le projet de loi fiscale voté par son parti. Les forages n’interviendront pas avant de nombreuses années, affirment les experts.

Mais l’actuel gouvernement des États-Unis souhaite ardemment procéder à la vente de deux concessions prévue par la nouvelle loi. Une fois levés les divers obstacles réglementaires et légaux, l’Alaska et le gouvernement fédéral envisagent de se partager la recette, soit 2,2 milliards selon le bureau du Budget du Congrès des Etats-Unis – une estimation plus qu’optimiste si l’on se fonde sur les prix récents des concessions.

Or l’Alaska court après l’argent, car cet État ne prélève ni TVA ni impôt sur le revenu. L’industrie pétrolière et gazière finance 90 % de son budget (et verse un dividende de 1 000 dollars par an à chaque Alaskan), notamment grâce à une taxe sur l’acheminement du pétrole du North Slope via le pipeline trans-Alaska. Mais, depuis la chute des cours du pétrole, en 2014, le déficit budgétaire de l’État se chiffre en milliards de dollars.

Plus inquiétant, malgré un rebond récent, la quantité de pétrole qui transite par le pipeline diminue régulièrement depuis 1988. En 2012, un rapport de l’Agence d’information sur l’énergie des Etats-Unis (USEIA) estimait que, si les prix restent bas, le pipeline fermera d’ici à 2026. Plus d’un tiers des 300 000 emplois du secteur privé en Alaska dépendent du pétrole et du gaz. À l’ouest de l’Arctic National Wildlife Refuge, la réserve nationale de pétrole de l’Alaska (NPR-A) et des terres publiques limitrophes sont déjà ouvertes à l’exploration.

De nouvelles découvertes portent les capacités estimées de la zone à 8,7 milliards de barils de pétrole récupérable – 1 milliard de plus que dans la réserve naturelle de l’Arctique. Les politiciens de l’Alaska ont peut-être terriblement besoin du pétrole. Mais, dans le reste du pays, aujourd’hui inondé de pétrole et de gaz de schiste, le rapport coût-bénéfice des forages dans ce territoire reculé est perçu différemment. « C’est la question qui tue, analyse Mouhcine Guettabi, économiste à l’université de l’Alaska, à Anchorage.

Quel bien-être faut-il optimiser ?

Faut-il considérer la valeur que chaque citoyen américain accorde à la nature sauvage ?

Ou bien le seul intérêt des Alaskans ? »

« Il n’existe rien de comparable en Europe, même de loin, s’extasie le photographe allemand Florian Schulz. C’est l’un des derniers paysages authentiquement vierges. » Il a consacré une bonne partie des quatre dernières années à explorer la réserve de l’Arctique : 78 000 km2 d’un écosystème intact, depuis la taïga du Sud, en passant par les escarpements et prairies alpines de la chaîne de Brooks, et jusqu’aux vallonnements de la toundra qui plonge en mer de Beaufort. Seules quelques cabanes éparses révèlent la main de l’homme. La rivière Canning marque la frontière de la réserve naturelle. Le contraste est frappant : sur l’autre rive s’étend Point Thomson, le champ gazier d’ExxonMobil, avec ses 120 ha de lits de graviers, ses bâtiments et réservoirs en acier, ses quais, sa piste d’atterrissage et ses 18 km de routes.

Un pipeline file vers l’ouest et le brouillard marron suspendu à l’horizon au-dessus de Prudhoe Bay, le centre industriel du North Slope. Alors que notre avion virait au-dessus de la Canning, en 2005, Pat Valkenburg m’a désigné des taches brunes qui, bien vite, sont devenues des troupeaux de rennes épars. Nous avons survolé les contreforts des monts Sadlerochit.

D’un coup, des dizaines de milliers de rennes sont apparus devant une étroite vallée, baignés par la lumière dorée du soleil arctique. Aujourd’hui, cette harde dite « de la rivière Porcupine » compte 218 000 têtes – un record. Plus de la moitié de ses femelles mettent bas dans la réserve.

blé

Publié à 18:22 par fandeloup Tags : création
blé

C'est la substance même de la création...

loups

Publié à 18:12 par fandeloup Tags : animal loisirs
loups

Je ne fais pas parti de l'espèce humaine. Je ne veux pas en faire parti . Je me sens différent , presque anormal . Aussi longtemps que l'animal sera considéré comme une espèce inférieure , Qu'on lui infligera toutes sortes de maux et de souffrances, Qu'on le tuera pour nos besoins, nos loisirs et nos plaisirs, Je ne ferai pas parti de cette race insolente et sanguinaire

crocodiles

Publié à 17:02 par fandeloup Tags : photos image google mer vie monde sur 2010 animaux signature
crocodiles

Gabon: Des crocodiles orange vivent coincés dans des grottes depuis 3.000 ans

E Ce crocodile unique au monde se nourrit de chauve-souris orange…

Au Gabon, connu pour sa diversité géologique et sa faune, des scientifiques ont eu l’incroyable surprise de découvrir des crocodiles de couleur orange, uniques au monde, vivant au milieu d’excréments de chauves-souris dans des grottes obscures.

« Quand je me suis approché avec la lampe torche dans la grotte, j’ai vu des yeux rouges… de crocodiles ! C’était en 2008. Deux ans plus tard, nous avons sorti un premier spécimen de la grotte et nous avons remarqué qu’il était orange », se souvient le géoarchéologue Richard Oslisly. Une double découverte exceptionnelle faite alors qu’avec une équipe de chercheurs, il essayait de trouver des restes de traces humaines, dans les grottes d’Abanda.

Ce « crocodile orange cavernicole », qui peut atteindre 1,70 mètre, est unique au monde et n’a été observé que dans ces grottes du Gabon, selon Richard Oslisly. 

Manque de lumière et urine de chauve-souris

« Au début, nous avions pensé que la couleur pouvait venir de leur alimentation, car nous avons remarqué que ces reptiles mangent des chauves-souris orange », explique le chercheur français. Mais après des études plus poussées, les chercheurs ont avancé d’autres hypothèses : une « dépigmentation » due au manque de lumière dans ces grottes ou encore la nocivité du « guano », une substance faite d’excréments de chauves-souris dans laquelle ces animaux marinent tout au long de leur vie souterraine. Ces crocodiles vivent dans des caves depuis 3.000 ans. Ces crocodiles vivent dans des caves depuis 3.000 ans. -

« L’urine des chauves-souris a commencé à attaquer leur peau et transformé leur couleur », explique Olivier Testa, spéléologue et membre de l’équipe scientifique. Depuis 2010, Richard Oslisly, Olivier Testa et le chercheur américain Matthew Shirley ont multiplié les expéditions scientifiques pour en savoir plus sur ces crocodiles hors du commun. En cartographiant les grottes, ils ont à ce jour recensé quatre crocodiles orange sur une quarantaine de cette espèce « cavernicole ».

Des dizaines de crocodiles avec une coloration « normale » vivent dans des grottes voisines connectées à la surface, explique Olivier Testa, alors que les crocodiles orange croupissent dans des grottes accessibles uniquement par des puits verticaux. Piégés dans la grotte par leur taille

« On pense que ces dizaines de crocodiles se seraient installés dans les grottes d’Abanda il y a environ 3.000 ans, ce qui correspond relativement bien avec une période où le niveau de la mer avait baissé et où cette zone côtière est redevenue terrestre », explique Shirley. Les crocodiles orange, bloqués dans la grotte, se seraient « retrouvés piégés après être entrés par des couloirs quand ils étaient petits, puis ils ont grossi », selon Richard Oslisly.

Plusieurs couloirs plus ou moins étroits et interconnectés forment un réseau de grottes à Abanda où ils se bouchent parfois avec la montée de la nappe phréatique. Selon Matthew Shirley, les crocodiles se sont installés dans leur grotte parce qu’ils y trouvent leur compte et ils n’y sont peut-être pas tous bloqués depuis 3.000 ans. Dans le noir absolu, ces animaux survivent avec un régime alimentaire particulier.

Dans les grottes, pas de poissons ni de crustacés. Ils se nourrissent de chauves-souris, de criquets, de grillons. « C’est un environnement particulièrement exigeant », indique Matthew Shirley. Selon les chercheurs, cette population cavernicole appartient au groupe des crocodiles nains Osteolaemus tetraspis et est « en mutation ». Un groupe de gènes uniques L’ADN de cette population n’est pas assez différent de son cousin nain de la surface pour en faire une nouvelle espèce, explique Matthew Shirley, mais ces animaux ont développé leur propre « signature génétique ».

Les crocodiles des grottes sont en effet dotés d’un groupe de gènes unique transmis de génération en génération, ont constaté les chercheurs, après comparaison de leur ADN avec celui de leurs cousins nains vivant exclusivement en surface au Gabon. Bien que le crocodile soit déjà une espèce protégée au Gabon, Richard Oslisly plaide pour que le site des grottes d’Abanda devienne un « sanctuaire », « intégralement protégé ».

« Il reste encore beaucoup à découvrir dans les grottes d’Abanda », estime le géoarchéologue qui espère y développer le « tourisme scientifique ».

ombre

Publié à 15:01 par fandeloup Tags : place
ombre

Pour vous, quelle est cette ombre noire qui grossit et vous étouffe quand vous cherchez à la fuir? Et qui occupe une juste place quand vous lui faites face avec bienveillance, pour l'apprivoiser? Une émotion, un schéma mental, une sensation physique, un bruit...?

loups

Publié à 11:53 par fandeloup Tags : hiver bonne france chez sur
loups

J'trouve le chiffre élevé , mais le Loup n'est pas prêt à disparaître ..... Cela est une bonne/mauvaise nouvelle La bonne c'est que l'instinct des loups se sentant menacés , ce sont reproduit le plus possible .....

 

La Mauvaise , c'est toujours les mêmes , l'Union sacrée du gouvernement , des lobbies de la chasse et de l'élevage . Alors avec une augmentation des populations venant des Balkans et d'Europe de l'est . Je crains , que les tirs illégaux selon le traité Berne s'intensifient .

 

 

430 loups en France l'hiver dernier : "L'expansion du loup va continuer" Par franceinfo

 Il faut aussi s'attendre à une dispersion des populations, en France et en Europe, explique le biologiste mardi sur franceinfo. "L'expansion du loup va continuer, ça c'est clair", prévient le biologiste Jean-Marc-Landry mardi 26 juin sur franceinfo, alors que l'Office national de la chasse et de la faune sauvage a calculé qu'il y avait 430 loups sur le territoire français l'hiver dernier (2017-2018), soit une augmentation de 20% par rapport à l'hiver 2016/2017. "L'expansion du loup va continuer.

A quel rythme, ça va dépendre du nombre de loups qui seront tués, braconnés, accidentés, mais c'est clair qu'une population de loups sur un territoire comme la France va continuer sa colonisation", prévoit le directeur de la fondation Jean-Marc Landry, qui œuvre en faveur du développement durable et de la biodiversité. Une dispersion en France et en Europe Le loup, actuellement présent dans les Alpes principalement, mais aussi dans le Jura, les Vosges et les Pyrénées, va augmenter en nombre dans le Massif central et dans le grand est de la France.

"Il faut aussi s'attendre ces prochaines années à ce qu'on ait des loups issus des pays de l'Est qui arrivent chez nous", le loup de Balkans étant déjà arrivé en Italie. "Il faut s'attendre ces 20 prochaines années à une dispersion sur toute l'Europe et pas seulement sur la France ." Un décompte difficile Le biologiste ajoute par ailleurs qu'il préfère compter en "meutes" ou en "familles" : "Donner le nombre exact de loups n'est pas la bonne solution.

Ce sont surtout les autorités qui veulent ça, pour savoir combien de loups on peut tirer. Nous, ce qui nous intéresse, c'est de savoir combien de meutes il y a, combien de zones en présence permanente il y a, c'est cela qui est important et de voir l'évolution", mais il reconnaît que "c'est toujours difficile de dire si on a le nombre exact de loups". Malgré cette augmentation et les alertes et contestations des agriculteurs, le "seuil de viabilité" des loups, fixé à 500 individus, n'est pas atteint, rappelle l'Office.

fleurs

Publié à 08:55 par fandeloup Tags : fleurs douceur
fleurs

J'ai dans le cœur la douceur parfumée des fleurs !!!

horreur

Publié à 08:41 par fandeloup Tags : sur
horreur

C'est comme ça que l'industrie laitière traite une mère

Enquête : Farmwatch & SAFE La vérité sur l'industrie laitière : kinderworld.org/videos/dairy-industry

humour

Publié à 08:34 par fandeloup Tags : humour

chenille

Publié à 08:22 par fandeloup Tags : nature papillon
chenille

La chenille d'un papillon Saturniidae. Magnifique nature.