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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Je sombre à la dérive. Mes pensées s'affairent. Mes pensées se perdent. Mes pensées désertent. Je ne contrôle plus aucun de mes faits. Je tombe brisée par cet énième coup. Abattue par un ultime choc L'anéantissement n'est plus éphémère. Les dépressions fugitives d’antan ne subsistent plus. Pourquoi donc les sensations m'abandonnent ? Pourquoi donc l'effervescence me quitte ? Pourquoi donc mes sentiments se retirent ? Le bouillonnement insurmontable dans ma tête déjoue mes réflexions. Je ne peux réfléchir hantée par cette appréhension de ce qui pourrait advenir. Mes idées sont confuses. Mes obsessions se brouillent. Mon fantôme s'efface. Pourquoi ne m'avait-on pas dit que déprimer pouvait être mortel ?
-Pourquoi je ne peux plus être heureuse ?
- Il te manque simplement une chose.
- Pourtant je dispose de tout ce dont j'ai besoin.
- C'est peut être là qu'est le problème.
Laisse le sol s’effondrer, laisse toi porter, laisse toi couler. C'est dans la possesion qu'on perd la raison, ce n'est qu'une illusion de notions. Peut être que tout perdre te fera t'envoler, te libérer. Le poids des choses te cloue au sol, te maintiens sur le béton ancré par la saleté.
Regarde le, touche le du bout des doigts. Fixe l'horizon sans y laisser ton ombre. Émerveille toi d'un simple paysage. Cette splendeur n'est que de passage.
"Monde fermé, blessures ouvertes." "Nous ne souhaitions pas que ça se termine comme ça. Nous voulions vivre, mais il n'y a pas d'amour dans ce monde. Ce monde est en train de mourir. Ce monde ne nous mérite pas c'est pour ça que nous devons partir. Notre histoire est déjà tracée, nous partons et vous restez
C'est la solitude, quand on nous impose un debat contre nous même. Je crois que ça m'a rendue un peu folle, un peu lunatique. J'aime ce combat mais lorsque mes membres flanchent je laisse des émotions me submerger, ces émotions que j'avais oublié, tenté d'effacer. Et puis je me suis mise à aimer cette réflexion, ce temps qu'on prend pour réfléhir, trop réflechir jusqu'à ne plus penser. Je me suis regardée pendant longtemps, assez de temps pour que mon reflet n'est plus aucun sens, puis j'ai essayer de me comporter comme quelqu'un de censer pour finalement me rendre compte que ce sont eux les fous. J'ai finis par écrire, j'ai un peu trop pris goût aux films romancés et aux musiques qui donnent envie de voyager. Je hais cette façon que j'ai de tout rendre beau et je ne fais que me bercer d'illusions, comme une envie d'avoir mal. Un jeu fatal auquel je ne saurais dire quelle partie de moi gagne ou perd, comment font les gens en perpétuelle accord avec eux. Je ne suis jamais vraiment seule, quand personne n'est là je me retrouve en compagnie de mon corps, mon esprit essaie de le raisonner mais rien n'y fait. Mon corps proteste, mon esprit se noie. Ce n'est qu'un ramassis de conneries, j'écris pour soulager ma rage et je ne sais rien sortir d'autre que des mots sans valeurs et aucun sens. La seule chose pouvant me ramener à la raison serait de fuir, me fuir. Je dois partir et laisser une partie de moi ici, seule et ne jamais revenir. Je veux voir, découvrir, voyager et je ne veux pas d'un écran pour observer la beauté du monde. Je veux le sentir, rencontrer l'Humanité, la vraie mais aussi tuer les désillusions.
Comme une profonde inspiration, le temps d'un souffle. La renaissance d'un monde, le nôtre. Une large entaille ancrée dans notre dos que nous portons, pliants nos membres sous ce poids devenue notre meilleur allié. Puisque nous succombons de nos chaines et que le temps nous tue, alors marchons, courrons, rattrapons la vie et existons. Une renaissance nouvelle, inattendue et terrifiante à la fois. J'inspire, j'expire. Et meurt en vivant
Ce dont tu te souviens ne rattrapera jamais ce que tu as pu ressentir. Comme chercher un songe perdu a jamais. Une course effrénée sans aucun répit ni point d'arrivé. Les souvenirs volés par ce que tu as pris pour une expérience. Quand arrêtera-tu de te croire dans un livre? Ton histoire n'est pas un chapitre que tu pourras relire à ta guise, les mots s'effacent avec l'usure et tu ne vis pas au moment où tu le devrais. Oublis, c'est si simple. Pourquoi se rappeler que le temps est assassin ?
Ce ne sont, au final, que les pixels d'un écran de honte et de lâcheté. La mise en garde contre un danger concentre les cerveaux sur leur monde, leur petit bien être. Que quelques veines paroles pour combler les cœurs assoiffés de choses auxquelles se soucier. Le monde ne cesse de tourner, et ils trouvent de quoi nous troubler, nous occuper. Le vrai danger serait la découverte et surtout la preuve de tout ce qui importe véritablement, la manipulation interne et externe. Je ne saurais dire le chaos engendré par une faille du système de propagande. Les septiques auraient-ils tort ? Les saints d'esprits ne sont pas a confondre avec les fous mais leur moyen de survie se résume à l'ignorance direct ou indirecte de la chose. Les démarches de la société pour nous garder dans les rails pourrait-être pures. Et même si j'essaie de me convaincre à échouer je ne peux que l'accepter, il n'en sera jamais autrement. Nous ne sommes qu'une infime partie menée à leur guise.
Chante moi quelque chose, un petit air de ce que c'était. Chante moi l'horizon, un petit bout du monde. Fais moi oublier tout le reste, éteins tout ce qui a à l'intérieur. Tue les abîmes. Et n'essaie pas de me sortir de cette mélodie. Tente juste de me libérer, fais le pour moi. Promets de ne jamais tomber dans leurs pièges, souviens toi de ce que j'étais. Et ils ne t'auront jamais. Si tu flanche, demande une chanson. Une chanson pour partir. Une chanson pour ne jamais revenir.