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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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horreur

Publié à 19:34 par fandeloup Tags : chien photo voiture
horreur

Des automobilistes témoins d’une scène horrible: un chien accroché à un pare-chocs et traîné sur l’autoroute

Un automobiliste néerlandais a été photographié ce lundi sur l’autoroute A1, aux Pays-Bas, un chien accroché à son pare-chocs.

La photo de la voiture, qui roulait entre Hoenderloo et Apeldoorn, a été publiée sur facebook.

Frank Wegman, un automobiliste néerlandais, a assisté à une scène horrible, ce lundi, alors qu’il se trouvait sur l’autoroute A1, entre Hoenderloo et Apeldoorn, expliquent plusieurs médias néerlandais, dont ad.nl.

Comme de nombreuses autres personnes circulant sur ce tronçon, il a pu voir avec quelle cruauté un chien avait été attaché au pare-chocs arrière d’une voiture et traîné à une vitesse supérieure à 100 km/h.

Dégoûté, Frank Wegman a ensuite posté le cliché sur le mur Facebook du groupe « Permis acheté? ».

La police de la zone, contactée par des confrères néerlandais, a affirmé ne pas (encore?) avoir reçu de plainte à ce sujet.



l'homme interpellé condamné à six mois ferme

Publié à 18:45 par fandeloup Tags : actualité homme
l'homme interpellé condamné à six mois ferme

Dégradations à Dijon : l'homme interpellé condamné à six mois ferme

L'individu interpellé suite aux dégradations ayant eu lieu durant la manifestation du 1er novembre a été condamné ce mardi après-midi à six mois de prison ferme, par le tribunal correctionnel de Dijon.

Suite aux dégradations qui avaient eu lieu lors de la manifestion du 1er novembre, à Dijon, un seul individu interpellé a été jugé ce mardi après-midi, en comparution immédiate.

Le prévenu, Hakim Hayane, âgé de 34 ans et SDF, se trouvait à Dijon depuis trois semaines. Il a été identifié comme étant l'auteur d'un bri de vitrine rue Charrue. Il a été condamné à six mois de prison ferme. L



sans fin

Publié à 18:16 par fandeloup
sans fin

Je suis ici depuis le commencement et y serai jusqu'à la fin des temps, car mon existence n'a pas de fin.



harmonie

Publié à 17:54 par fandeloup Tags : bonne soi pouvoir
harmonie

Pour une bonne entente, il faut pouvoir entendre sans y apporter quelque chose de soi, et il faut entendre ce que nous sommes pour le dire sans crainte, sans trouble. Alors la liberté étant en cela, rien ne vient perturber l'harmonie.



sos

Publié à 17:33 par fandeloup
sos

Nous faisons aujourd'hui l'expérience d'une jungle, qui en chaque instant apporte son lot de souffrances,



sida

Publié à 17:23 par fandeloup Tags : article photo texte pouvoir monde chez animal
sida

Sida : la piste des koalas pour guérir la maladie

L'être humain serait capable de se guérir de cette maladie, en intégrant le virus à ses propres gênes.

 Deux équipes de chercheurs français, de l'Inserm de Créteil et de l'Inserm-Université d'Aix-Marseille et des hôpitaux de Marseille, ont fait une découverte qui pourrait être déterminante pour les malades infectés par le virus du Sida.

Selon eux, l'être humain serait capable de guérir de cette maladie en intégrant le virus à ses propres gênes. L'étude est publiée ce mardi 4 novembre par la revue Clinical Microbiology and Infection. La découverte est venue... du monde animal.

C'est en effet en observant les koalas que les scientifiques français ont fait cette avancée qui pourrait s'avérer considérable. Ils ont constaté que ces mammifères commençaient à devenir résistants à un rétrovirus, similaire au sida humain, qui les décimait depuis les années 1920.

Les chercheurs affirment que cette résistance n'est pas nouvelle, qu'elle s'est déjà produite pour beaucoup de grandes épidémies. Des rétrovirus désactivés dans 8% du génôme humain « Il y a plusieurs millions d'années, la riposte de l'espèce humaine pour lutter contre les retrovirus a été d'intégrer ses gènes en les détériorant. C'est en fait la plus ancienne façon de lutter contre les microbes», explique le professeur Didier Raoult, directeur de l'unité des maladies infectieuses et tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille.

Ce dernier ajoute que 8% du génome humain contient des rétrovirus désactivés. Certains patients ont ainsi déjà réussi à vaincre les retrovirus à la manière des koalas. Les chercheurs ont trouvé chez deux personnes les anticorps du VIH, alors qu'elles n'avaient pas les symptômes de la maladie et que le virus n'était pas détectable dans leur sang.

Une analyse réalisée grâce à des technologies modernes de séquençage massif a permis de reconstituer le génome du VIH présent dans leur organisme, et de constater que ces gènes ont été «interrompus», toujours aux mêmes endroits. Brisé, le virus ne peut donc plus se multiplier, même s'il reste présent à l'intérieur de l'ADN des patients.

Ils ont spontanément guéri de l'infection de cette façon. C'est l'enzyme Apobec permet d'ordinaire aux hommes de lutter contre les virus mais elle est neutralisée par une protéine du VIH. Raison pour laquelle le virus peut se dupliquer. Or, en 2014, des chercheurs de l'université de Nashville (Tennessee), aux États-Unis, ont montré que cette enzyme pouvait être réactivée.

D'où l'immense espoir ouvert par la recherche sur l'«intégration du rétrovirus désactivé» : grâce à la stimulation de l'Apobec, on va pouvoir aider à guérir les malades du sida, mais aussi permettre de détecter chez les patients nouvellement infectés ceux qui ont une chance de guérir spontanément, sans recourir à l'arsenal des trithérapies...



désolant

Publié à 16:19 par fandeloup Tags : merci image
désolant

Cette poule a vécu un an dans un élevage en batterie. Voici l'état dans lequel elle allait partir pour l'abattoir, comme des milliers d'autres, avant d'être recueillie par un refuge. Merci de diffuser autour de vous cette image qui en dit plus qu'un long discours.



le méthanol

Publié à 15:58 par fandeloup Tags : monde
le méthanol

Après l’hydrogène, le biométhane et les autres biocarburants, le méthanol pourrait à son tour faire parler de lui.

En exploitant les émissions de CO2 de centrales géothermiques, il pourrait fournir un carburant écologique pour nos transports. methanol volcans Centrale thermique de Svartsengi où ce déroule le test de technologie.

L’Islande possède une douzaine de volcans actifs, des geysers et des sources chaudes. L’énergie géothermique y est donc très utilisée pour chauffer les bâtiments. Mais les émissions de ces volcans contiennent du CO2, d’où l’idée folle de les convertir en carburant !

La centrale géothermique de Svartsengi, sur la péninsule de Reykjanes, dans le sud-ouest de l’Islande, fonctionne depuis 1977 en cogénération. D’une puissance de 76,5 MW électrique et de 150 MW pour le chauffage, elle était la candidate idéale.

L’entreprise Carbone Recycling International (CRI) capte désormais le CO2 émis par cette centrale pour former un nouveau carburant renouvelable, le « vulcanol », ou plus simplement du méthanol ! L’usine alimentée par le volcan tourne pour démontrer la faisabilité de la technologie. Une quantité équivalente à la consommation de dizaines de milliers de voitures a déjà été produite.

Des émissions concentrées La centrale géothermique est alimentée par de l’eau chauffée par les roches chaudes souterraines, à proximité du volcan. Ce qui fait du Vulcanol, un carburant produit donc indirectement avec l’énergie d’un volcan ! Le dioxyde de carbone émis par cette nouvelle usine provient notamment de la décomposition dans l’eau des roches carbonatées souterraines.

La quantité de dioxyde de carbone émise est relativement faible : environ vingt fois moins qu’une centrale au charbon par kilowattheure d’électricité produite. En bonus, ces émissions sont très concentrées et faciles à séparer.

Il n’en fallait pas moins pour essayer d’exploiter ce filon. Ce process pourrait être adapté pour capturer et recycler le dioxyde de carbone partout. La capture du CO2 est aussi testée dans les centrales thermiques au charbon ou d’industries très émettrices.

Mais produire du combustible à partir de ces émissions s’est avéré difficile, car les émissions sont complexes et contiennent plusieurs produits chimiques coûteux à séparer. La capture, la séparation et la synthèse peuvent souvent nécessiter plus d’énergie que celle fournie par le carburant lui-même…

En revanche, grâce à ce type de centrales électriques, les émissions sont plus faciles à capturer ! Un carburant « renouvelable » Pour produire du méthanol à partir de dioxyde de carbone, il faut aussi de l’hydrogène. Cet hydrogène est obtenu par électrolyse de l’eau, grâce à l’électricité produite par la même centrale géothermique.

La réaction entre l’hydrogène et le dioxyde de carbone forme ensuite le méthanol. Lors de sa combustion, il réémettra le CO2 utilisé pour sa production et de l’eau. Contrairement aux carburants traditionnels, la combustion du méthanol n’émet donc pas de monoxyde de carbone, de suies ou de substances cancérogènes.

Ce méthanol peut être mélangé à l’essence pour propulser des véhicules classiques. Des voitures électriques pourraient également utiliser ce carburant.

« Si nous voulons passer des moteurs à combustion au véhicule électrique, des piles à combustible à méthanol deviendront un élément important pour les futurs véhicules à batterie avec extension d’autonomie – avec l’avantage supplémentaire que ces véhicules peuvent utiliser l’infrastructure de stations-services déjà existante », explique KC Tran, PDG et co-fondateur de carbone Recycling International.

À l’heure actuelle, environ 20 millions de tonnes de méthanol sont utilisés dans le monde chaque année, mais la plupart sont issues d’énergies fossiles. Selon le co-fondateur de Carbone Recycling International, il pourrait le devenir. « Le méthanol obtenu à partir de combustibles fossiles est déjà disponible à de faibles coûts et en grandes quantités.

Mais le méthanol est également en train de devenir la source la plus polyvalente de carburant vert sur la planète, car il peut être fabriqué à partir de CO2 recyclé, de biométhane, ou de déchets solides issus de la biomasse, même à partir de déchets municipaux non triés. » prévient-il.

Pour ceux qui n’auraient pas de volcan sous la main, pas de panique: le méthanol peut être produit en grandes quantités ailleurs, par exemple dans les incinérateurs de déchets ménagers. Alors, entre le biométhane, le méthanol, l’hydrogène et l’électricité d’origine renouvelable, n’aurions-nous pas là une occasion de propulser nos transports de façon plus propre ?



fermé

Publié à 15:03 par fandeloup
fermé

Avoir les yeux fermés ne veut pas toujours dire qu'on dort, ni les avoir ouvert qu'on voit.



s'étonner

Publié à 14:41 par fandeloup Tags : monde
s'étonner

Savez-vous encore vous étonner .. ? Sans regard, sans curiosité comment peut-t-on apprendre, et découvrir les autres, notre environnement, le monde ? ...



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