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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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vies

Publié à 19:57 par fandeloup Tags : chat chats mort
vies

Selon la légende, les chats ont 9 vies, mais en connaissez-vous l'origine ?

Il faut remonter à l'Egypte antique, il y a près de 4000 ans pour la comprendre. Les Egyptiens furent parmi les premiers à domestiquer le chat qu'ils portaient au rang de divinité, une divinité à double visage : Bastet, la chatte, était la protectrice des foyers et elle se transformait en la redoutable Sekmet, la lionne, quand un danger se présentait. Sa fureur et sa vengeance étaient craintes par l'ensemble du peuple.

Les chats revêtirent donc une place importante dans la culture égyptienne, à tel point qu'à leur mort, ils étaient momifiés et bénéficiaient des même rites funéraires que les humains.

Les 9 vies dont on les a attribué ne tient pas au hasard : 9 étant le triple de trois, il représente donc la triple trinité primordiale, un chiffre qui gardera tout son symbolisme dans la plupart des autres cultures durant les siècles qui suivirent, jusqu'à nos jours encore. Bon weekend !

pont

Publié à 19:13 par fandeloup Tags : sport femme
pont

Voici "Clifton Suspension Bridge", un pont suspendu de 76 mètres de hauteur et 213 mètres de longueur qui se trouve à Bristol, en Angleterre.

Ce pont attire les courageux en manque d'émotions fortes depuis sa construction, et a vécu bon nombre d'histoires incroyables. En 1885, une femme du nom de Sarah Ann Henley s'est jetée du pont après une dispute avec un ami, et fut sauvée par sa robe et son jupon crinoline qui, tel un parachute, ralentirent sa chute.

Elle devint célèbre après cet évènement qui fut souvent parodié au cinéma. En 1957, un lieutenant d'aviation de la RAF a réussi à passer sous le pont avec un jet de type Vampire à 724 km/h.

Il a brièvement célébré, mais lui et son jet se désintégrèrent en frappant les falaises de la rive sud quelques instants plus tard. Après ces quelques évènements, les règles devinrent plus strictes et l'accès au pont fut restreint.

Cependant, avec la venue du bungee, certains amateurs ne manquaient pas d'aller y faire un tour. Un habitué de l'endroit, James Brown (nom fictif), 22 ans, a eu une idée des plus saugrenues afin d'attirer l'attention sur lui.

Il marcha sur le pont, attacha son élastique et sauta. Son plan était de s'immoler par le feu, couper la corde et s'éteindre en tombant dans la rivière. Malheureusement pour lui, son couteau n'était pas à la hauteur de la tâche. Il lui fallut pas moins de 26 secondes avant de parvenir à couper la corde, avant de finalement tomber dans l'eau et éteindre les flammes.

James a été emmené au Bristol Royal Infirmary, puis transféré à l'unité des grands brûlés de la ville. Un porte-parole du Club Dangerous Sport déclaré à la BBC: «Son cœur est au bon endroit, mais des cascadeurs misent généralement sur des costumes ignifuges." James lui-même déclaré à la BBC que c'était sa recherche de sensations fortes qui a horriblement mal tourné. Après cette brève remarque, il demanda £ 1000 pour une interview complète

massacre

Publié à 18:16 par fandeloup Tags : homme chez mort histoire heureux animal animaux jardin vie
massacre

Terry Thompson aimait beaucoup les tigres. Ancien vétérinaire, il avait transformé sa vaste demeure de Zanesville, Ohio (USA), en grande ménagerie où ils gardaient de grands félins. Il en possédait plusieurs et cela semblait faire son bonheur. Cependant, il semblerait que cet homme n'était pas vraiment heureux.

Dans un moment de détresse, le 18 octobre 2011, il prit son révolver et se fit éclater la cervelle. Avant de s'enlever la vie, il décida de rendre la liberté à ses nombreux animaux.

On pourrait croire qu'il désirait leur permettre de continuer leurs vies librement dans les forêts américaines, mais en tant qu'expert en grand félin et vétérinaire, il aurait dû se douter de la suite de l'histoire.

C'est un de ses voisins qui fut le premier à sonner l'alerte lorsqu'il vit un lion traverser son jardin. Il avertit rapidement la police qui se rendit ensuite chez Thompson, afin de l'avertir qu'un de ses animaux s'était enfui. Cependant, à leur arrivée, ils virent un tigre blanc dévorant le cadavre du vétérinaire.

L'animal fût immédiatement abattu. Ne sachant pas combien d'animaux Thompson gardait, l'alerte générale fut sonnée. Tous les policiers et groupes d'intervention furent déployés avec des armes de gros calibres: un homme était mort, ces animaux ne devaient pas quitter le périmètre.

Ce qui arriva par la suite fut tout simplement un massacre. Pendant huit longues heures, les chasseurs improvisés ont traqué les bêtes égarées. Certaines tentèrent d'attaquer leurs poursuivants, mais ils furent rapidement criblés de balles.

Certains policiers ont même rapporté s'être fait tendre une embuscade par un tigre, qui passa bien près de blessé l'un des leurs.

Au lever du jour, le décompte du massacre est troublant. Les policiers creusèrent une grande fosse dans laquelle ils jetèrent les corps de 2 loups, 2 ours grizzly, 18 tigres, 17 lions, 6 ours noirs, 3 guépards et 2 singes. Ce triste évènement est aujourd'hui connu sous le nom du massacre de Zanesville.

tentation

Publié à 17:29 par fandeloup
tentation

L’homme est incapable de choix et il agit toujours cédant à la tentation la plus forte.

tristesse

Publié à 17:15 par fandeloup Tags : nuit
tristesse

Les jours passent, la nuit reste. Maintenant, tu me manques.

espoir

Publié à 16:58 par fandeloup Tags : oiseau
espoir

Je suis malheureuse parfois, heureuse de temps en temps, cela dépend de l'espoir, s'il vient ou s'éloigne... Un drôle d'oiseau l'espoir, il ne tient pas en place.

apprendre

Publié à 16:27 par fandeloup Tags : moi argent
apprendre

Apprends-moi le refrain que les ailes du vent emportent au-delà des étoiles d'argent. Apprends-moi l'arc-en-ciel du reflet de tes yeux quand tu lèves sur moi un regard lumineux

solitude

Publié à 16:04 par fandeloup Tags : amour
solitude

La solitude nous amène vers la plus simple lumière: nous ne connaîtrons jamais d'autre perfection que celle du manque. Nous n'éprouverons jamais d'autre plénitude que celle du vide, et l'amour qui nous dépouille de tout est celui qui nous prodigue le plus

Sauvetage du 02 mai 2014

Sauvetage du 02 mai 2014

LE CAMION DE LA LIBERTESauvetage du 02 mai 2014

Je souhaite vous faire partager ma première expérience lors de ce sauvetage, en tant que bénévole pour l'association Terre des Lévriers, cela fût une très belle aventure remplie d'émotions, de belles rencontres avec les bénévoles espagnoles mais aussi avec les adoptants où la fatigue ne s'est pas fait ressentir certainement due à l'excitation de participer à ce sauvetage. Christine et moi sommes partis le jeudi à 11h30 de Lille, notre camion de location bien remplis de dons et de cages vides... en destination du Lot pour rejoindre Perrine, bénévole de l'association. Après une bonne nuit de sommeil, c'est à 3 que nous partions vers la frontière espagnole au point de chute avec les bénévoles espagnoles, nous avions rendez-vous pour 17h. Le sauvetage se fesait de nuit afin de permettre aux loulous de voyager dans la fraicheur. Fabienne, une bénévole nous rejoint avec son mari, ensemble nous attendons impatiemment sous un vent violent agrémenté de soleil le fourgon qui avait un peu de retard. 17h30, le fourgon arrive, mon cœur commence à battre... les portes s'ouvrent... je me retiens de pleurer, là des regards inquiets se dirigeants tous en notre direction, je saute sur l'appareil photo est-ce vraiment pour me cacher derrière l'objectif pour disimuler mes larmes ou d'immortaliser la scène et le rapatriement de chaque chiens dans nos cages de transport?

Je me mets à leur place, que ressentent-ils? Que pensent-ils? Qui d'autre mieux que moi pourrait raconter la suite de ce sauvetage que l'un de ces galgo, podenco, mastin ou podenquito. Penseraient-ils ainsi? «?Des portes claques, le fourgon démarre, nous sommes tous en cage de transport, que se passe-t-il?? On roule, on roule, on roule... quelle est notre destination?? Est-ce notre dernier convoi?? Les portes s'ouvrent, des humains devant nous, ils sourient, ils rient, certains parlent une langue que je ne connais pas... J'ai peur, tout bascule dans ma tête, je veux rejoindre mes frères restés là bas, si loin de moi... je n'entends plus leurs cris, leurs aboiements, ils me manquent... Est-ce notre dernière heure??

On nous transvide de cages en cages, je suis inquiet, une main touche mon dos je sursotte dans ma cage, que me veulent-ils?? On nous replace dans un autre camion, je tremble... Quelqu'un me caresse et me parle, je ne comprends pas ces mots mais ce langage est paisible presque un chuchotement, il me rassure... Les portes se referment doucement, je jette encore un œil sur la terre ou j’ai grandi, dois-je lui dire adieux à jamais? Où va-t-on de nouveau? Quel est mon avenir? J'ai entendu dire qu'il existait des camions de la liberté, en fais-je parti?

Après quelques heures, nous nous arrêtons de nouveau, de nouvelles personnes se dirigent vers nous, je vois deux de mes frères sortir de leur cage, je ne voudrais pas être à leur place, que vont ils leur faire? Encore des sourires, ils discutent tous ensemble et toujours dans cette drôle de langue, quelqu'un revient vers moi et me caresse de nouveau, ça me fait du bien mais je ne me sens pas rassuré pour autant et pourtant je sens quelque chose de bons en ces humains. Il ne faut pas que je me fasse de fausses joies en pensant à ces camions de la liberté, j'ai tellement enduré, tellement souffert, le bonheur n'est pas pour moi...

Les portes se referment, que vont devenir mes frères? Il fait presque nuit mais la petite lumière laissée dans le camion par ces humains me rassure, mon frère qui est par-dessus ma cage n'arrête pas d'aboyer, on dirait même qu'il chante, c'est parfois agaçant et plaisant. A plusieurs reprises le camion s'arrête, mes frères en descendent, j'aperçois que certains humains viennent avec d'autres chiens, ils ont l'air heureux, mes frères auront-il le même bonheur? D'autres humains nous donnent des friandises, quel régal, ça me fait bien fou. Toujours cette même personne qui me caresse et me rassure entre les arrêts... Mais que me prend-t-il? Je viens de lui faire une léchouille et je remue la queue. Mes frères de convoi ont l'air plus sereins que moi, ont-ils aussi entendu parler des camions vers la liberté?

Encore un arrêt, il fait presque jour, on vient vers moi, mon cœur bât si fort que j'ai l'ipression qu'il va sortir de mon corps. C'est mon tour, on me sort de ma cage, ça me fait du bien aux pattes mais quel sera mon sort? On me caresse, on me parle, on m'embrasse, on ne me veut aucun mal, mon inquiétude se fait moins ressentir, je me sens de plus en plus apaisé, on me prend même en photo! Je commence à comprendre que je fais partie de l'un de ces convois vers la liberté...

On m'instale dans une voiture avec tout le confort, je ne suis plus en cage, on me donne à manger, à boire, je l'aime déjà ma nouvelle famille. Par-dessus le coffre, je jette un dernier coup d'œil vers mes frères en les rassurant, je crois qu'ils ont compris... A présent je découvre ce que signifient les mots bonheur, respect, dignité et liberté. Peu à peu, j’oublierai les mots souffrance, martyre, humiliation et terreur. » Cela aurait pu être un témoignage de l'un de ces loulous s'il avait la parole. Nous sommes rentrés dimanche en début d'après-midi avec des cages vides... des couchages où l'on pouvait encore sentir leurs présences, des souvenirs pleins la tête, des photos souvenirs et de jolies adoptions. Je tiens à remercier cette magnifique association : Terre des Lévriers, ayant planifié des semaines au par avant l'organisation de ce sauvetage, même si quelques jours avant le départ, leur camion a rendu l'âme, elles se sont débrouillées pour louer un utilitaire afin que tous ces petits innocents puissent rejoindre leur famille. Merci aux adoptants pour leur générosité, leur soutien et leurs petits cadeaux qui nous vont droit au cœur, à Anne fidèle au poste avec son café et ses croissants, et particulièrement aux bénévoles espagnoles qui font un travail grandiose et extraordinaire pour sauver ces vies et aussi pour leur confiance. Moi, je ne suis qu'un tout petit maillon de cette chaîne de solidarité, je dédie ce texte à Queca, qui fût mon coup de cœur de ce convoi vers la liberté.

Thérèse, bénévole Les petits chanceaux qui ont pu enfin connaitre le bonheur d'un foyer sont les galgos : MADEIRA, ARIANE, PEPA, SAMANTHA, TAKI et TRABUCO, les podencos : CHER, COOPER, QUECA, VINCENT, MASHA, QUELITA et LUNA, les mastins : FURIA, BONDAND, MUSTANG et CORAJE.

Perrine Mallet http://terredeslevriers.wordpress.com/ http://www.facebook.com/TerreDesLevriers

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Publié à 14:42 par fandeloup Tags : message