Fandeloup

Grand dévoreur d'escargots, un ver terrestre plat de Nouvelle-Guinée a été découvert dans une serre d'un jardin botanique de Caen.

Une première en Europe, surveillée de très près par les scientifiques.

 Après l'écureuil de Corée ou le frelon asiatique, c'est au tour de Platydemus manokwari, un ver terrestre carnivore très plat qui mesure 5 cm de long pour 5 mm de large, de s'inviter en Europe.

Mais il fait partie de la liste des cent espèces exotiques envahissantes les plus néfastes au monde.

Huit spécimens de cette petite terreur ont été découverts dans une serre du Jardin des plantes de Caen (Basse-Normandie).

C'est la première fois que l'on en trouve en Europe. Son identification a été réalisée par une équipe internationale menée par Jean-Lou Justine, du Muséum national d'histoire naturelle de Paris.

Ces travaux ont été publiés dans la revue PeerJ (une version en français est disponible à https://peerj.com/articles/297).

Les mollusques terrestres sont ses principales proies, avec une forte prédilection pour les escargots. Mais il ne dédaigne pas pour autant les vers de terre et autres invertébrés mous. Ce ver plat est originaire de la région indo-pacifique. Il y a même été introduit volontairement, et avec succès, dans certains territoires pour lutter contre l'escargot africain géant, Achatina fulica.

Mais en France, ce n'est pas le cas.

«Ce genre de parasite va de continent en continent via les transports de plantes en pot, explique Jean-Lou Justine. Ce doit être le cas pour Caen, mais il n'a pas été possible de trouver précisément comment.»

«L'invasion d'un site par Platydemus manokwari peut avoir un impact direct et indirect sur les espèces terrestres et arboricoles indigènes et introduites et, dans une moindre mesure, sur la faune semi-aquatique d'invertébrés à mouvements lents », écrivent les chercheurs.

«Des mesures fortes » «Il faut absolument l'éradiquer, souligne avec force Jean-Lou Justine, avant de perdre le contrôle et qu'il colonise plus de territoires. Quitte à prendre des mesures fortes.»

Les chercheurs espèrent que leur publication va permettre de connaître l'ampleur de cette invasion, de savoir si elle est limitée à la serre de Caen.

Ils espèrent également trouver la source probable primaire de l'incursion en cours, et la dispersion possible secondaire à travers des échanges de plantes entre les jardins botaniques et les centres de jardinage ou les supermarchés de plantes.

Il n'existe que très peu de moyens de lutte contre ces vers plats. Ils appartiennent à l'embranchement des Plathelminthes, et si d'autres sont déjà en Europe (comme celui dit de Nouvelle-Zélande dans le nord des îles Britanniques, ou le ver plat australien bleu des jardins), aucun n'est aussi «dangereux » que celui de Nouvelle-Guinée.

Ce dernier est originaire d'un pays tropical mais habite les régions montagneuses de l'île à une altitude de 3 000 m. Ainsi, il n'est pas impossible qu'il survive et se développe en France et dans une grande partie de l'Europe.

Avec de graves conséquences pour des centaines d'espèces d'escargots, dont certaines sont déjà très menacées.

Que faire si on trouve dans son jardin ou dans ses plantes un ver plat bizarre? Jean-Lou Justine a un site Internet très complet (http://bit.ly/Plathelminthe) et est très demandeur de photos, ou plus.

Nul besoin de faire de la Terre un paradis : elle en est un. A nous de nous adapter pour l'habiter.

Mimizan-Plage (40) : au milieu des déchets de la tempête, un cadavre de cétacé

Des tas de déchets jonchent la digue. Parmi les détritus rejetés par l'océan, le cadavre d'un cétacé.

Les habitants de la commune n'ont "jamais vu ça". Appareils photos en main, les habitants ou habitués de Mimizan-plage n'en reviennent pas. "C'est impressionnant, c'est hallucinant" temoigne Isabelle, 43 ans. Originaire du massif central, elle habite ici depuis 25 ans. "C'est la première fois que je vois ça, ça fait mal au coeur. On se demande d'où ça vient".

Bouteilles, morceaux de plastique, cotons tiges, chaussures... des tas de déchets se sont échoués sur la digue avec les fortes vagues des derniers jours.

A mesure que l'on avance, une odeur nauséabonde se répand. Celle d'un cachalot échoué avec la tempête.Par endroits, la mer a grignoté la dune. Des escaliers d'accès à la plage ont été emportés

On était venu en janvier, après les précédentes tempêtes. Cette fois-ci, c'est encore plus impressionnant" racontent Régine et Francis, du Tarn. Le couple de sexagénaires qui dispose d'une résidence secondaire sur place, exprime "un sentiment de déception". "Quand on marche seul, on se sent obligé de se parler à voix haute. C'est une catastrophe"..

Loin d'altérer certains visages, les rides du temps les rendent encore plus émouvants. Ce n'est pas la vieillesse du visage que nous devons redouter, mais celle du cœur et de l'esprit, qui fige le langage et alourdit les traits.

7 mois plus tard, cette chienne perdue et apeurée retrouve celui qu’elle n’espérait plus (VIDEO)

Dora est partie de chez elle à cause d’un feu d’artifice qui l’a effrayée. Sa famille l’a cherchée désespérément, sans succès.

7 mois après, ils reçoivent l’appel d’un abri pour chien errants...

Pierre Zaegel  à San Francisco, Dora a sauté par-dessus la clôture du jardin à cause d’un feu d’artifice qui lui faisait peur. Sa famille, affolée, l’a cherchée partout. Après plusieurs semaines, les chances de la retrouver étaient très faibles… Mais le 5 février, sept mois plus tard, un centre d’hébergement pour chien errants scanne la puce électronique d’un chien à Mc Kinney, au Texas. Les propriétaires de Dora avaient fait placer une puce d’identification électronique sur leur chien. C’est grâce à cela que les retrouvailles ont pu avoir lieu. Une scène très émouvante…

Qui veut un café?

Horrible: découvrez ces chiots et chatons testés en laboratoire et laissés pour mort(vidéo)

Un terrible reportage mené par un comité de lutte contre la vivisection circule actuellement sur les réseaux sociaux et fait froid dans le dos.

Une membre de l’association a réussi à s’infiltrer au sein d’un laboratoire de Cambridgeshire, en Grande-Bretagne, où des tests sont menés sur des animaux, même en bas âge.

La vidéo fait actuellement le tour du net malgré les images terribles et sanglantes qui sont diffusées : l’Union Britannique pour l’Abolition de la Vivisection (BUAV) a infiltré un laboratoire licencié par le gouvernement britannique pour prouver que les tests en laboratoire ne sont pas encore terminés outre-Manche…

Des animaux sont encore disséqués, testés et tués pour des besoins scientifiques, comme le prouvent les images filmées durant huit mois par la femme qui a pu s’infiltrer dans ce laboratoire, nommée « Susie ».

Cette jeune femme était présente dans le laboratoire jusqu’au mois de décembre dernier et a ensuite donné les images à la BUAV.

Une vidéo de sept minutes a ensuite été postée sur YouTube pour confirmer les terribles douleurs de ces animaux. Les chercheurs n’hésitent d’ailleurs pas à prendre des chatons ou des chiots pour poursuivre leurs expériences.

On voit notamment un chercheur disséquer un chaton avant de le jeter : « C’est bon pour toi, tu peux aller dans la poubelle ».

Un autre chiot peut être entendu en train de crier avant qu’il soit pris en charge par deux chercheurs qui vont prendre son sang pour divers tests menés par l’entreprise pharmaceutique américaine Merck Sharp & Dohme.

Une autre jeune chienne commence à aboyer alors qu’une employée essaye de trouver une veine afin de lui injecter un produit. « Oh mon dieu, sa jambe est peut-être trop faible. C’est à cause de tous ses saignements ? Oh mon dieu », continue-t-elle de dire en essayant de piquer la chienne à l’autre patte : « Je t’ai ». La dose était finalement létale…

On découvre également dans cette vidéo des employés en train d’insérer des seringues et des scalpels dans le corps de chiots et chatons…

Selon l’employée qui a pu s’infiltrer dans ces laboratoires, 92 chatons, 10 chiennes adultes, et au moins 15 chatons ont été tués durant ces quelques mois.

Une enquête en cours montre également que plusieurs animaux seraient nés dans le laboratoire dans le seul but d’être testés et disséqués à un âge plus jeune.

Le ministre des affaires intérieures Norman Baker a déjà confirmé au Sunday Express que de nouvelles enquêtes vont être lancées, notamment à Cambridgeshire, et que des poursuites sont envisagées.

A TOUS

Selon nos informations, le décès du premier patient ayant reçu un ♥ artificiel Carmat n'est pas lié à une thrombose. Le premier patient greffé par un ♥ artificiel Carmat, décédé dimanche à l’hôpital Pompidou, 75 jours après son opération, n’est pas mort d’une thrombose. Selon nos informations, c’est l’un des premiers résultats de l’autopsie, pratiquée lundi avec accord de la famille sur le corps de cet homme de 76 ans, premier au monde à s’être vu implanter un ♥ bioartificiel.

Les causes précises de sa mort, 75 jours après l’opération sont encore soumises à analyses, mais pour les médecins, comme pour Carmat, ce premier résultat est capital. Le professeur Carpentier, qui a mis 25 ans à mettre ce prototype au point, recouvert de biomatériau, issus de tissus animaux, tenait en effet à ce qu’il s’affranchisse notamment des deux inconvénients majeurs, qui rendent jusqu’ici les greffes de coeur artificiel périlleuses : le risque de rejet, contre lequel les patients doivent habituellement prendre de lourds traitements, et le risque de voir se former des caillots, ce qui les contraint à prendre des anticoagulants à vie. L’autopsie n’a révélé aucun caillot dans le corps du patient, alors qu’il ne se trouvait plus sous anticoagulants depuis un mois. Le Pr Daniel Duveau (CHU de Nantes), qui a participé à l'implantation en décembre avec le Pr Christian Latrémouille, a expliqué sur le site internet du journal La Dépêche que le patient avait «souffert de difficultés sur le plan respiratoire». «Je pense que tout cela a malheureusement abouti au décès», a déclaré le spécialiste, suggérant que le coeur artificiel n'était pas la cause directe du décès du patient.

Les ours polaires sont quelques-uns des animaux les plus majestueux et les plus beaux du monde.

L'estimation de la population mondiale se situe entre 20 000 et 22 000. Cette classe l'ours polaire comme «menacées».

Les ours polaires sont menacés par des niveaux élevés de pollution de produits chimiques et de PCB.

Une autre menace est le réchauffement climatique. Sans glace les ours polaires sont incapables d'atteindre leur proie. Mais la menace la plus immédiate est la chasse. Plus de 1000 ours polaires sont chassés chaque année! Cela empêche la population d'ours blancs de plus en plus à un nombre plus sain.

Canada est le seul pays au monde qui permet ours polaire chasse par les non-autochtones et les non-citoyens . (Les ours polaires vivent aussi en Alaska, la Russie, le Groenland, la Norvège et) Canada vend des licences de chasse à l'ours polaire pour chasseurs de trophées. Le principal problème avec ceci est que 60% des ours polaires résident au Canada. Le gouvernement du Canada paient les chasseurs de peaux d'ours blanc!

Le gouvernement pré-paie chasseurs pour les peaux d'ours abattu dans cette chasse de subsistance, puis vend les peaux en vente aux enchères pour un maximum de $ 11 000 (qui va aussi le chasseur), il brouille la ligne entre une chasse de subsistance et une chasse commerciale.

Les ours polaires sont protégés en vertu du droit national et traité international, si les ours polaires du Canada ne peuvent être récoltés par les chasseurs inuits pour la subsistance, ou les chasseurs de trophée guidés par des Inuits. La principale menace pour l'ours blanc au Canada est la chasse commerciale.

Canada est la seule nation au monde qui permet ours polaire chasse par les non-autochtones et les non-citoyens chasseurs de trophées. Pourquoi? La réponse est simple: l'argent! Cupidité pour le profit!

Canada réclame 750 dollars canadiens par ours! Permettre la chasse par les non-autochtones et les non-citoyens et les licences de vente de chasse à trophée de chasseurs crée une entreprise sanglante où les chasseurs radicaux vendent des visites de chasse au Canada et tuent les ours polaires.

La chasse d'un mâle ours polaire est offert pour 35.000 $ et comme nous le savons il ya suffisamment de gens riches qui réservent ces visites pour obtenir leur trophée! Il ya aussi une augmentation des ventes polaires de la peau de l'ours!

En réservant un de ces tours horribles, les chasseurs de trophées sont autorisés à aller à 5 ou 6 voyages de chasse de jour où ils chassent les ours polaires avec plusieurs chiens et après une longue poursuite, quand l'ours polaire est épuisé de courir, il s'arrête pour enfin essayer de faire les chiens qui entourent s'en aller, à quel point le chasseur se rapproche et tire plusieurs flèches (!) jusqu'à ce qu'il soit finalement mort.

Cela signifie une pure torture pour l'ours polaire. Cruauté sur les animaux ne peut pas être pire que cela. Dites au gouvernement canadien de mettre fin au massacre juridique de l'une des espèces en voie de disparition plus élevé dans le monde. Nous sommes horrifiés et choqués que vous vendez la vie de l'un des animaux les plus majestueux et les plus belles du monde aux voyagistes de chasse comme:

http://polarbearhunting.net/ ou http://52safari.com/

Le meurtre irresponsable de cette espèce menacée pour la chasse au trophée pure ainsi que le commerce des produits de l'ours polaires doivent être arrêtés - maintenant!

Avant qu'il ne soit trop tard! Nous avons besoin de beaucoup de signatures pour faire pression sur le gouvernement canadien! Alors s'il vous plaît partager cette pétition à autant de personnes que possible.

Pour: Environnement Canada LE GOUVERNEMENT CANADIEN

Ministère de l'Agriculture Environnement Canada

enquête Centre Environnement Canada

Bureau national des espèces en péril Registre public de Pêches et Océans Canada ministre de l'Environnement, Peter Kent Service canadien de la faune d'Environnement Canada Cher [décideur], Cher Stephen Harper, j'ai appris que le Canada est le seul pays au monde qui permet encore les ours polaires à être tués par des chasseurs de trophées et pour le commerce de leurs peaux.

Canada vend des licences de chasse d'ours polaire à des non-Autochtones et les non-citoyens trophée chasseurs. Cela crée une entreprise sanglante où les chasseurs radicaux vendent des visites de chasse au Canada et tuent Polar ...