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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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tristesse

Publié à 16:31 par fandeloup Tags : google carte sur monde histoire animaux place
tristesse

Le monde en cartes : les hectares perdus de la forêt amazonienne De nouvelles données illustrent en détail la perte accélérée du couvert forestier brésilien.

 Les activités humaines continuent de causer la perte de nombreux hectares de forêts partout dans le monde, selon les données compilées par le groupe de recherche Global Forest Watch et des analystes de l'Université du Maryland. La coupe à blanc - la suppression de grandes parcelles de forêt sans discernement - a provoqué la plus grande perte de couvert forestier.

Une grande partie des parcelles dénudées devraient faire place à l'élevage en ranch, mais d'autres activités commerciales telles que l'exploitation minière et la production de soja sont également à l'étude. La perte d'espaces forestiers en 2018 a globalement diminué de près de 50 % par rapport à l'année précédente, principalement en raison d'incendies de forêts massifs en 2016 et 2017. Mais si l'on fait abstraction des feux de forêt, la perte d'espaces boisés a augmenté d'environ 13 %. Ce fait a de grandes implications dans l'accentuation du changement climatique et autres préoccupations environnementales, comme le notent les chercheurs.

Cette carte illustre la perte de couvert forestier pour la période 2001-2018.

 En plus de fournir un habitat pour les animaux et les végétaux, les forêts sont un allié essentiel pour lutter contre le changement climatique. Les vastes étendues de forêt comme la forêt amazonienne sont des « aspirateurs » à carbone : les arbres participent à absorber les émissions de carbone excessives rejetées dans l'atmosphère. L'été dernier, des groupes environnementaux ont annoncé une initiative « 30x30 » - un objectif visant à atteindre 30 % des réductions d'émissions fixées par l'Accord de Paris sur le climat en gérant les forêts de manière durable.

À l'aide d'images satellites, les chercheurs de Global Forest Watch ont pu constater que 12 millions d'hectares de forêts avaient disparus en 2018. Sur ces 12 millions d'hectares, plus de 356 000 hectares étaient des forêts primaires. Également appelées forêts anciennes, les forêts primaires sont des forêts matures qui n'ont pas été perturbées par l'activité humaine au cours de l'histoire récente.

Ce sont souvent des points chauds de biodiversité qui abritent des espèces protégées voire inconnues. Rien qu'au Brésil, près de 1.6 millions d’hectares de forêt primaire ont été perdus. Les activités commerciales telles que l'élevage en ranch, l'exploitation minière et la production de soja sont les principaux facteurs d'explication. Les écologistes sont de plus en plus préoccupés par le sort de l'Amazonie brésilienne depuis que le pays a élu son nouveau président Jair Bolsonaro, à la fin de l'année dernière.

Le nouveau président a promis d'ouvrir l'Amazonie à l'industrie et a récemment sabré le financement des groupes de recherche scientifique et environnementale. Le rapport souligne que la perte de forêt a commencé avant l'élection de Bolsonaro et qu'il est encore trop tôt pour dire à quel point la politique qu'il souhaite mettre en place aura un impact sur l'Amazonie. Le Brésil n'est par ailleurs pas le seul pays d'Amérique du Sud à avoir perdu une partie de son couvert forestier en 2018.

La Colombie, où des territoires autrefois contrôlés par les FARC ont été ouverts au commerce l’an dernier, a également connu une légère hausse de la déforestation. Plus de 11 700 hectares ont été rasés l'année dernière. Le rapport indique enfin que bien que de nombreux pays se soient engagés à réduire la déforestation, les régions clés abritant les forêts les plus anciennes et les plus riches en biodiversité du monde vont dans la mauvaise direction.

éponges

Publié à 15:47 par fandeloup Tags : sur mer animaux animal livre
éponges

L’incroyable mémoire des éponges

 Mer des Caraïbes

Ne vous avisez plus de penser qu’une éponge, parce qu’elle est percée de trous et aussi molle qu’un chamallow n’a pas de mémoire. Les chercheurs viennent en effet de faire une découverte des plus surprenantes. Souvent confondue avec un végétal, l’éponge est en réalité un animal au même titre que l’anémone de mer ou le petit -poisson clown qui l’habite.

Et ces créatures qui semblent aussi réactives qu’une botte de poireaux ont une fabuleuse mémoire. Elles gardent en effet trace de toutes les espèces qui sont passées près d’elles. Pourtant, elles sont privées d’yeux. Mais, en filtrant plus de 10 000 litres d’eau par jour, un record, elles retiennent d’infimes traces gorgées d’ADN laissées dans leur sillage par diverses espèces, des crabes aux manchots en passant par les phoques ou les sardines et les mérous.

Et, en analysant la colonne d’eau ou encore l’estomac des éponges, on peut retrouver, comme dans un livre, tous les animaux qui ont lui ont rendu visite. Cet ADN environnemental est une formidable source d’information qui permet d’évaluer la biodiversité d’un site.

cacao

Publié à 15:29 par fandeloup

abeilles

Publié à 15:27 par fandeloup Tags : photo centre sur base article presse animaux
abeilles

Les abeilles solitaires s'adaptent et construisent des nids en plastique Lorsque vient l'heure de concevoir leurs nids, les abeilles solitaires argentines optent pour un étonnant matériau : le plastique. Portrait d'une abeille coupeuse de feuille. Selon toute vraisemblance, ce serait cette espèce qui utilise du plastique comme matériau de construction en Argentine.

 En Argentine, les abeilles solitaires des terres agricoles ont été observées en train de construire leurs nids en utilisant uniquement les emballages en plastique abandonnés sur les exploitations.

Entre 2017 et 2018 en Argentine, des chercheurs de l'Institut national de technologie agricole ont fabriqué des nids artificiels en bois pour les abeilles solitaires. Contrairement aux autres espèces d'abeilles comme les abeilles sociales qui vivent en ruche avec des reines et des ouvrières, les abeilles solitaires trouvent refuge dans un terrier pour pondre seules leurs larves. Assemblés, les nids construits par les scientifiques ressemblent à de longs rectangles percés en leur centre sur toute leur longueur afin de créer une cavité qui permet aux abeilles solitaires de s'introduire puis de garnir le nid de feuilles découpées, de brindilles et de boue.

Sur les 63 nids en bois construits, 3 ont été garnis uniquement de plastique. D'une taille proche de celle d'un ongle, les morceaux de plastique avaient été soigneusement découpés par les abeilles et disposés en quinconce dans les nids. D'après leurs analyses, les chercheurs pensent que le plastique proviendrait de sacs ou de films plastique dont la texture se rapproche des feuilles habituellement utilisées par les abeilles pour recouvrir leurs nids. D'après les informations communiquées par Science Alert, sur les 3 nids recouverts de plastique, un était inachevé, ce qui signifie que l'abeille ne l'a pas utilisé pour pondre ses larves. Dans les deux autres, une larve n'avait pas survécu et une autre était introuvable, les chercheurs en ont donc conclu qu'elle avait dû survivre.

 

QUELLES CONSÉQUENCES POUR LES ABEILLES ?

Cette nouvelle étude publiée dans la revue Apidologie consigne la toute première observation d'abeilles fabriquant leurs nids uniquement à base de plastique mais les scientifiques savaient depuis plusieurs années déjà que les abeilles incorporaient du plastique aux matériaux de construction de leurs nids. En 2013, un article publié dans Ecosphere décrivait la façon dont les abeilles utilisaient des films et des mousses en plastique pour recouvrir leurs nids dans les zones urbaines dans les environs de Toronto, au Canada.

Tout comme les abeilles argentines, les abeilles sauvages du Canada découpaient avec soin des morceaux de plastique semblables aux feuilles qu'elles utilisaient traditionnellement. Par ailleurs, l'étude menée au Canada a montré que les abeilles n'utilisaient pas uniquement des languettes de sac plastique. Les résines végétales, qui peuvent servir à fabriquer des produits comme la gomme ou le latex, sont souvent utilisées par les abeilles comme une colle dans le but de renforcer la structure de leur nid.

Toutefois, les scientifiques ont découvert que certains spécimens utilisaient plutôt pour cela une sorte de mastic à base de plastique qu'elles rapportaient dans leur nid. Les deux études précisaient que de plus amples recherches seraient nécessaires avant que les scientifiques ne puissent déterminer l'impact potentiel du plastique sur les abeilles. Quoi qu'il en soit, ce type de nids montre que les abeilles sont tout à fait capables de s'adapter au changement de leur environnement. Dans les deux régions, des feuilles étaient également disponibles et auraient tout aussi bien pu être utilisées comme matériau de construction. « L'intérêt de cette étude est qu'elle contribue à démontrer la flexibilité d'adaptation de certaines espèces d'abeilles face aux changements des conditions environnementales, » déclarait l'auteure principale de l'étude Mariana Allasino dans un communiqué de presse en espagnol.

 

LES DANGERS DU PLASTIQUE

Hollis Woordard est entomologiste spécialiste des abeilles au Woodard Lab de l'université de Californie à Riversides et elle n'est pas surprise de voir les abeilles transporter du plastique pour construire leurs nids. « Je trouve cela vraiment triste, » dit-elle.

« C'est un autre exemple de l'omniprésence des matériaux qui finissent involontairement là où ils n'ont aucune raison d'être. » Le plastique constitue souvent une menace pour les espèces sauvages sous la forme de microplastiques, ces morceaux infiniment petits qui se forment à mesure que des débris plus volumineux se décomposent.

Ces microplastiques sont un réel danger pour les animaux qui les confondent avec leur nourriture, ce qui arrive très fréquemment et plus particulièrement dans les milieux marins. Cependant, aucune étude n'indique que les abeilles consommeraient du plastique. Les menaces qui pèsent actuellement sur les abeilles sont les pesticides, la destruction de leur habitat et l'exposition aux virus ou aux parasites.

Des chercheurs ont émis l'hypothèse que les plastiques agiraient comme une sorte de barrière qui protégerait les abeilles des moisissures et des parasites. S'il était confirmé que les abeilles préfèrent le plastique aux matériaux naturels, ce ne serait pas la première fois que les animaux tirent profit de nos déchets. Les moineaux et les pinsons recouvrent leurs nids de filtres de cigarette pour éloigner les mites parasites ; les milans noirs des Alpes italiennes collectent quant à eux des morceaux de plastique brillants pour décorer leurs nids et attirer des potentiels partenaires.

« Il faudra accentuer les recherches pour savoir ce que cela signifie réellement pour les abeilles, » conclut Woodard. « Il est bien entendu possible qu'elles y trouvent certains avantages mais cela n'a pas encore été démontré. De mon point de vue, les conséquences néfastes sont tout aussi probables. »

Déchets

Publié à 14:32 par fandeloup Tags : bleu loisirs nature place animaux article afrique mer monde france vie sur prix société
Déchets

Déchets plastiques : la Méditerranée noyée dans le plastique

Dans le monde, 10 fleuves seraient à l’origine de 90 % des plastiques rejetés dans les océans.

LE PARISIEN Selon le WWF, 600 000 tonnes de déchets plastiques sont déversées chaque année en mer Méditerranée, dont 11200 par la France. A la veille de la journée mondiale des océans, le WWF dresse un bilan accablant sur les déchets plastiques qui terminent dans les mers et les océans. Le fonds épingle notamment la france, plus gros producteur de plastique de la région Méditerranée, même si l’Hexagone est loin d’être le pays rejetant le plus de déchets dans la mer du même nom (NDLR : contrairement à ce qu’affirmait une version initiale de cet article).

La France a produit en effet 4,5 millions de tonnes de déchets plastiques en 2016, soit 66,6 kg par personne. Si 98 % du total (soit 4,4 millions de tonnes) ont été collectés, 22 % seulement de ce tonnage a été recyclé.

Les 2 % restants génèrent « la fuite de 80 000 tonnes de plastique dans la nature », dont 11 200 tonnes « pénètrent en Méditerranée », explique l’ONG. La pêche, l’aquaculture et le transport maritime sont à l’origine de 9 % de cette pollution. « Les casiers à crabes, les filets à moules, les conteneurs sont parmi les débris retrouvés », ajoute le WWF. Par ailleurs, les fleuves charrient 12 % des 60000 tonnes de déchets plastiques retrouvés dans cette mer.

Des décharges à ciel ouvert en Corse et à Marseille Les activités côtières représentent 79 % de la pollution, soit 8 800 tonnes. Une situation qui tient à la mauvaise gestion des déchets et à l’impact des activités touristiques et de loisirs. La concentration des déchets plastiques dans la mer est « particulièrement élevée près de Marseille, de Nice et de la Corse », relève le WWF.

« Le taux de mise en décharge est particulièrement élevé dans certaines zones comme Marseille et la Corse, avec la présence de décharges à ciel ouvert », relève le WWF. Selon l’ONG, outre l’impact environnemental, les répercussions sont aussi économiques. Les pertes sont estimées à 12 millions d'euros pour la pêche, à 21 millions pour le commerce maritime (enchevêtrement dans les pales d’hélice, collisions…) et à 40 millions pour le tourisme.

Et pourtant, le coût du nettoyage des côtes est estimé seulement à 3 millions d'euros… Le pire est que ce plastique s’accumule et se dégrade sous forme de microparticules quasi invisibles, contaminant les animaux marins qui les confondent avec le zooplancton. Et ce phénomène est planétaire. Le fleuve yang-Tsé, pire pollueur de la planète

En octobre 2017, des chercheurs allemands ont inventorié les dix plus grands fleuves transporteurs de plastique du monde, dans la revue Environnemental Science & Technology qui seraient à l’origine de 90 % des déchets plastiques retrouvés dans les océans. La palme du plus grand pollueur revient au fleuve Yang-Tsé, en Chine, qui chaque année charrie jusqu’à 1,5 million de tonnes de plastique dans l’océan.

Dans cette liste, on retrouve aussi le Yangzi Jiang, (ex-fleuve Bleu), le fleuve Jaune, le Hai He et le Zhu Jiang (ou rivière des Perles), l’Indus, qui relie le Pakistan à la Chine, l’Amour qui traverse notamment la Russie et le nord de la Chine, le Mékong en Asie du Sud-Est mais aussi le Nil et le Niger en Afrique ou encore le Gange qui débouche en Asie du Sud sur le golfe du Bengale. Au total, les chercheurs estiment qu’entre 410 000 et 4 millions de tonnes de plastique des fleuves se retrouvent dans les océans chaque année.

Promouvoir le plastique réutilisable Dans un autre rapport, le WWF avait estimé que l’industrie du plastique risquait de doubler la pollution dans les océans d’ici 2030, où elle pourrait atteindre 300 millions de tonnes. Pour la présidente du WWF, Isabelle Autissier, malgré la promesse d’Emmanuel Macron de parvenir à 100 % de plastiques recyclés en 2025, il faut prendre des mesures d’urgence.

La liste est connue : promouvoir le réutilisable, interdire les plastiques à usage unique, développer des mesures politiques pour que le prix du plastique reflète le coût complet de son cycle de vie pour la nature et la société… « Il faut parvenir à zéro fuite dans la nature », lance-t-elle. Un combat qui impose que les responsables politiques fixent des objectifs, engagent un dialogue avec les industriels pour trouver des solutions de substitutions et mettent en place des collectes de déchets à la source, sur terre et dans les cours d’eau avant qu’ils n’arrivent dans les océans.

colibri

Publié à 13:59 par fandeloup Tags : hiver sur france afrique place fleurs oiseaux
colibri

Le Moro sphinx ou Sphinx colibri ou Sphinx du caille-lait (Macroglossum stellatarum). Est un insecte appartenant à l'ordre des lépidoptères, à la famille des Sphingidae, à la sous-famille des Macroglossinae, tribu des Macroglossini, sous-tribu des Macroglossina, et du genre Macroglossum. C'est l'espèce type pour le genre.

C'est un petit Sphingidae marron beige au corps trapu. Le Moro sphinx possède une très longue trompe pour butiner les fleurs, souvent violettes, bleues ou blanches, en vol stationnaire à la manière des oiseaux-mouches. Il butine généralement le nectar des fleurs que les autres insectes ne peuvent atteindre. Il affectionne les sauges, les lavandes.

Les oeufs sont déposés isolément sur les bourgeons et les fleurs des gaillets (Galium) ou dans leur voisinage (mai ; juillet/août). L'éclosion se déclenche environ une semaine après la ponte. On peut observer les chenilles principalement en mai et en août.

La chenille est vert pâle rayée longitudinalement de jaune, puis marron rayée de jaune. C'est dans un cocon lâche soit sur le sol soit dans la terre que la nymphose s'effectue.

Le stade nymphal dure environ 1 mois. Son vol est d'une précision et d'une rapidité peu communes. Le Moro sphinx peut voler à 50 km/h, 40 km/h en moyenne, ce qui le place parmi les papillons les plus rapides. C'est une des rares espèces diurnes de sa famille (avec le Sphinx fuciforme ou Sphinx gazé, Hemaris fuciformis L. et le Sphinx bombyliforme, Hemaris tityus; ces 2 espèces étant moins fréquentes en France).

Les imagos volent habituellement en Europe d'avril à août mais ils peuvent être présents également en septembre (2 générations annuelles). Les plantes hôtes de cet insecte sont généralement des gaillets (Galium), mais le papillon peut pondre aussi sur d'autres plantes de cette famille des Rubiaceae, ainsi que sur des Valerianaceae ou des Caryophyllaceae.

Son habitat naturel se trouve dans l'hémisphère nord entre l'Espagne et le Japon. Cet insecte migrateur peut se rencontrer presque partout dans l'hémisphère nord en été, mais il réside uniquement dans les climats tempérés les plus chauds (Espagne, Portugal, Italie, Turquie, Afrique du Nord).

En effet, il survit rarement à l'hiver aux latitudes plus nordiques (comme au nord des Alpes en Europe, ou au nord du Caucase en Russie, etc.). Peut-être à cause du réchauffement climatique, de jeunes spécimens précurseurs apparaissent de plus en plus tôt, même au nord de la région parisienne (mi-mars) alors qu'antérieurement nous assistions à l'arrivée plus tardive de spécimens uniquement adultes donc migrateurs. Cet insecte est considéré comme porte-bonheur dans certaines régions du Sud de la France.

Il est présent durant la saison chaude dans tous les départements de France métropolitaine. C'est un papillon migrateur sur de longues distances. Cette espèce fréquente les prés, les buissons et les jardins

message

Publié à 13:14 par fandeloup Tags : message

Ecureuil

Publié à 13:06 par fandeloup
Ecureuil

Ecureuil Géant de l'Inde

coquelicot

Publié à 13:03 par fandeloup Tags : nature
coquelicot

Merveille de la nature, naissance d'un coquelicot !

loups

Publié à 13:00 par fandeloup Tags : vie
loups

Nous ne sommes plus des prédateurs face à des proie mais juste des spectateurs face à un merveilleux spectacle. Celui de la vie.