Fandeloup

Du livre ouvert, à chaque page, surgissait un monde enchanteur,la fascination d'un voyage qui le ravissait de bonheur. Ce chevalier pour sa princesse affrontait d'horribles dragons. C'étaient alors mille prouesses qu'il savourait avec passion. Ou bien juché dans la mâture, Il accompagnait les marins qui partaient, ivres d' aventure, vers des rivages incertains... De découverte en découverte, il s'appropriait le savoir dont la fenêtre grande ouverte lui donnait ses trésors à voir, petit conquérant d'un empire, car maintenant, il savait lire

magique

S T R I K E ................GENIAL

?1941, les plages normandes.. Un couple fait l'amour... Le jeune s'active lorsque, levant la tete, il voit une patrouille allemande qui arrive. Il se retire et crie :

- Les Chleux ! Les Chleux !

Et sa partenaire répond :

- Je peux pas, il est plein de sable !

 J'ai plusieurs êtres chers aujourd'hui disparus qui encore continuent souvent de m'apparaître. ils ne vieillissent plus et me sont impalpables pourtant ils m'accompagnent d'une présence virtuelle... rien de surnaturel à ces "apparitions" d'ordre spirituel, à cette mémoire vive qu'à dessein je cultive j'entends clairement leurs voix les images sont très nettes de toute pièce inventées ou du passé extraites qui me laissent à penser que: "plus on regrette quelqu'un et mieux 'on s'en souvient

Quand mon âme s'effare, quand mon ♥ s'égare comme une réponse à tout ce qui trahi ,comme une réponse à tout ce qui haï .Dans mes mains je porte un bouquet de tristesse,comme un geste d'amour pour ceux qui ont peur . Souvent on peut croire que tout est perdu. Quand tout s'arrête dans les veines de l'avenir, que tout se perd dans les voiles du souvenir . Ma veilleuse s'éteint , montrez-moi demain

vendredi 13

Je viens de m'éveiller d'un long sommeil pesant où trop de cauchemars tamisaient la lumière de mon âme anxieuse et qui, toujours requiert ce repos que m'accorde l'instant bienfaisant. Assise au bord de la rivière de mes yeux j'effeuille le bouquet de soucis et de mes pensées .Au gré des flots, elles mènent une lutte insensée et se meurent dans un soupir silencieux. Elles emportent avec elles leur parfum de douleur. Je caresse cet instant qui me prend la main .Hier n'est plus, il est déjà demain. Me reste la rosée du malheur.

bon vendredi 13

Un ancien patron de la police judiciaire de Paris, Claude Cancès, sort une version illustrée de l'histoire du "36". Un voyage passionnant dans les archives de ce lieu mythique. Ici, une photographie, prise sur le vif, de René-Georges Querry, patron de l'Antigang jusqu'en 1990