Fandeloup

A travers un bruissement d'eau... son chant est venu jusqu'a moi il a remplie l'espace de mes pensées pour que je ne puisse jamais l'oublier

Son visage reste gravé là ou le temps c'est arrêté... ces larmes n'ont rien éffacés.. Elle attend le jour,ou d'un simple regard croisé ,viendra la délivrance de son âme alors libéré...

Laisse moi entrevoir la ou seul mes yeux peuvent voir, laisse moi regarder par dessus l'horizon là ou seul le ciel fait de moi sa maison...

A toi visiteur ! Qui que tu sois, tu es le bienvenue sur ce blog...même si tu n'as pas réalisé de grands voyages ! Car le voyage, le "vrai" ,c'estl'Amour et l'écoute que tu portes en Toi ! Ecouter un oiseau ..Sourire à un inconnu c'est déjà partir c'est forcément aimer ..Merci d'etre venu jusqu'ici                                                                                                                   Muriel

J’aimerais pouvoir te dire, que j’ai perdu mon sourire. J’aimerais pouvoir voler, vivre un jour de liberté. J’aimerais franchir le temps, pour te revoir un instant, voir renaître «tout en silence», tes cendres à l’âme endormie, qui me caressent chaque nuit. J’aimerais que le vent souffle, et emporte ma vieille pantoufle, usée par mes pas acharnés, pour n’avoir jamais renoncé.

J'ouvre le grand livre de la souffrance, sanctuaire des illusions perdues, a la page brumeuse de ton absence, cimetière d'un amour interrompu. lecture triste d'un ouvrage endormi, sur le chemin de vérité il me faut t'oublier, de cette passion morte dans son nid, mon âme esseulée ne cesse de pleurer. Sans toi, il n'y aura plus de fête, de cadeaux, de cotillons, juste des larmes aux funérailles, pour la plus belle des passions. Petite rose sur la surface blanche, s'effeuille dans l'obscurité du silence, tout m'est douleur en ce jour, où je survis au ♥ de l'espérance. Sur ce recueil j'ai gravé notre histoire, nos plus beaux souvenirs que je rallume, pendant mes longues nuits dans le noir, ma lampe aux aguets veille dans la brume.

Il pleut des larmes pourpres, sur mon rivage ,des gouttes d'encre rouge, au clair de ma plume écorchée. L'étincelle au souffle incendiaire, noircit la toile de mon horizon, d'un trait brûlant de lumière, où l'amour n'est plus qu'illusion. L'ombre revient sur un soupir, au creux de mon être solitaire, dans les trames du souvenir, d'une destinée bien passagère.

Sur la route de vie j’avance, peu importe la malchance, je rame douloureusement, j’affronte les durs courants. De l’obscurité à la lumière, je voyage dans cet univers, au risque de me fourvoyer, dans des sentiers non frayés

Je suis l’arbre de paix, des saisons à vie, me nourrissant du souffle des rêves infinis, de désirs évanescents que je bredouille, quand le vent se lève et me chatouille. Je réside seul dans une forêt profonde, près d'une source où l'eau pure abonde, dans la clarté lunaire de l'indicible secret, où resplendit le ciel majestueux et étoilé. Mes racines plongées dans le sol divin, se gorgent de fraîcheur et d'amour sans fin, pour accueillir l'oiseau agonisant de froid, lLui offrant un refuge qui le comble de joie

Une blonde qui fonce un peu trop vite dans sa petite voiture de sport, est arrêtée par une femme flic qui est également blonde.

La femme flic demande à voir le permis de conduire de la blonde.

Celle-ci s'agite beaucoup, fouille dans son sac et demande:

- Ca ressemble à quoi ?

La femme flic répond:

- C'est rectangulaire, et il y a votre photo dessus.

La blonde continue ses fouilles, trouve un miroir, se regarde dedans et le tend à la femme flic.

Celle-ci regarde dans le miroir et dit:

- Ca va, vous pouvez y aller, je n'avais pas réalisé tout de suite que vous étiez aussi dans la police