Fandeloup

A TOUS

LA MOME

CITATION

C'est toi que je voyais dans le fond de mon rêve. C'est pour toi que, jadis, je gardais mon amour. C'est par toi que l'esprit me venait tous les jours, c'est vers toi que ma vie avait un cours sans trêve. Pourtant, depuis longtemps, au travers de l'espace, je te cherchais. Je ne voulais aimer que toi. Je sentais ton amour se rapprocher de moi. Et l'espérais, toujours, sans que rien ne me lasse. Il était bien écrit que nos deux avenirs, devaient se rencontrer. Que s'effacent nos peines. Mais nous ne savions pas que le destin entraîne ce qu'il a décidé pour savoir bien finir. C'est vers toi que j'allais cherchant une allégeance, c'est par toi que mon ♥ poursuivait son chemin. C'est pour toi que, toujours, naissait le lendemain ; C'est toi que je voulais en ultime espérance... Finir dans la beauté d'une union merveilleuse. Toi, possédant, enfin, la femme de ton choix ,celle qui se blottit avec autant d'émoi dans tes bras vainqueurs, en amante langoureuse,mais le destin na pas agis en notre faveur,la mort ta emporter

Face à un coeur dépourvu d'irrigation, qui n'éprouve aucune émotion que faire.

Face à ce manque d'amour, ce besoin de tendresse qui revient hanter sans cesse que faire.

Face à ce manque de confiance ,qui empêche d'aimer et d'être aimé, ote le plaisir de la générosité que faire.

Face à ce monde de plus en plus peuplé ,qui favorise notre individualité et provoque l'inégalité que faire.

Face à toutes ces constatations ,telle est la question qui me pousse à cette réflexion ...

poème

Temps, tu passes, inexorable, Tu passes … Je ne cherche ni à te retenir, ni à t'accabler, Je te laisse glisser doucement en moi. Trêve d'un moment, esprit vide et âme comblée. Heures immobiles, tu m'inquiètes. Temps, que fais-tu ? Impatience ou ennui, qui guette L'angoisse d'une pensée vécue ?

L'amour, à entendre, est le plus beau discours. Une chose très plaisante à démontrer ou à dire. Si rien ne vient désaccorder le divin parcours où bientôt s'abandonnent les ♥ en délire. Et ainsi la vie se poursuit inexorable et s'enroule en routes sinueuses marquées de feux intensifiés, des lignes droites épanouies où le bonheur roule. Ce sont les grands espoirs qui nous sont confiés. Et parfois cet amour, est triste, à la fin, à la mort. La dure loi de notre existence est l'ultime rupture qui termine la vie.

N'est-ce pas une tristesse que de s'éloigner involontairement, sans savoir pourquoi, d'êtres qui nous furent chers et, en tout cas, furent mêlés presque familièrement à notre existence pendant quelques années ou quelques mois ? Il y a réellement dans les sympathies des courants comme il y en a dans les fleuves, qui attirent, repoussent, joignent et séparent les affections, les intelligences, les destinées, sans que nul n’en soit responsable. Ne vous arrive-t-il pas, de ne plus jamais voir des passants de votre première jeunesse, et même de ne plus songer à eux que par hasard ? N'en est-il pas ainsi pour chacun de nous, sans que nul ne puisse nous accuser ni d'inconstance, ni d'ingratitude ? Et, au contraire, parmi ces passants que nous trouvons sur notre route, il en est un, choisi par le sort, qui doit laisser dans notre vie une trace, ineffaçable, une profonde empreinte ...

Tu as laissé des bouts de toi au bout de mes doigts, la musique de ta voix fait écho à mon pas ,et ton parfum sillage chaque parcelle de mon ?