Fandeloup

Il y a des longs jours infinis où règne le terrible ennui, emmuré vivant où la pluie n'est plus un alibi ,mais mon arme

Il y a des jours, où dès l'aube je cours voler l'éclat brûlant du soleil pour que dans cette nuit sans fin,  enfin tu t'alarmes, que les jours sont noirs comme ça,  loin de toi

Ils m'ont voler mon rire , c'est donc fini pour mon charme. Ils m'ont pris aussi mon sourire,bonjour tristesse amère . La seule chose que j'ai pu garder , ce ne sont que mes larmes ,mais je ne sais pas les retenir car il y a trop de jours sans toi.

la liberté

Il y a des jours gris sans pluie, où le sol est détrempé par les larmes, Il y a des jours sombres sans soleil, où les ombres n'ont plus de charme, Il y a des jours chagrins sans toi, où mon ♥ pleure et s'alarme. Il y a beaucoup de jours de tout cela.

MAGIQUE

Je dédie ce poème à toutes les portes qui ne veulent pas s'ouvrir **********

La vie est comme une grande maison ,pleine de portes

La première on nous force à l'ouvrir, et on arrive , étonné dans une petite salle très jolie. Malgré son air attirant, on est pressé de la quitter ,car il y a là-bas une autre porte mystérieuse qui nous attire, alors on marche à grands pas pour y arriver plus vite. On se dépêche d'ouvrir la porte, un peu inquiet...... Là, souvent on est déçu. La salle que l'on découvre, est un peu plus grande ,mais elle a l'air moqueuse, cruel. Déjà , on regrette celle d'avant, mais il est trop tard. Il faut aller droit devant. Et comme on est jamais satisfait, on voudrait déjà etre à l'autre bout de la salle. Mais ce n'est pas facile. On trébuche, on se blesse, on se cogne, on se déchire ,et on pleure souvent intérieurement. Mais malgré tout on traverse la salle et l'on atteint une autre porte, fatigué, on l'ouvre, espérant trouver le repos. De l'autre côté, souvent on le trouve au fond du fossé de l'ennui. On croupit dans son coin, oublié des autres.... Lassé de tout, on n'a même plus la force de lutter. On se laisse glisser doucement . Et c'est quand on voit surgir la dernière porte devant soi ,qu'on s'apperçoit qu'on a perdu. Parfois on ne veut pas l'admettre, alors on se raccroche. Mais ça ne sert à rien, la porte s'ouvre quand même.

hé ben non tu l aura pas

J'ai enfermé ton univers dans ma chambre, et j'ai bien fermé la porte à double tour, allongé dans cette pénombre d'ambre, Jjai rêvé aux différents parfums de l'amour, comme une étoile égarée qui se cambre.

j'ai enfermé ton univers dans mon ♥, mais je n'ai pu retenir le soleil que le jour, même si la nuit j'ai vu sombrer le bonheur, le passé a voulu me jouer un vilain tour, en me faisant pleurer aux milieu de tes fleurs, il t'a laissé monter au paradis pour toujours. Depuis j'ai perdu la clé de ce grand ascenseur ,et je tourne en rond dans le fond de mon ?

J'ai enfermé ton univers dans ma tête, jusqu'aux étoiles qui délimitent son pourtour, là où tu résides dans cet éden en fête, aux frontières des planètes de l'amour. Je dois utiliser quelle sorte d'épithète, pour annoncer la douleur de mon ♥, Ce tamtam effréné rappelle ma défaite ,et ne peux rimer avec mon ♥ en peine.

J'ai enfermé ton univers dans ce poème, ce n'est pas un requiem pour le retour, mais quelques vers pour te dire que je t'aime, un petit baiser comme bonjour. Pour moi tous les matins sont blêmes, les nuits trop longues par rapport aux jours, persistera dans la douleur ce fameux dilemme, cette comète aux longs cheveux glamour, qui fonce vers moi chaque soir tout de même ,en venant déverser ses larmes en fleur d'amour

bon fo y aller

Ce soir , je t'écrirai je t'aime dans un poème d'amour, où l'on verra ta silhouette noircir le bout de mes rimes, je ne sais plus parler , je pousse des cris infimes, mes phrases couleront dans un roulement de tambour, dans l'encrier où trempe et se noie ma plume bleu marine. Le son aigüe d'une sonnerie viendra encore me réveiller, de la torpeur d'un sommeil agité par la brûlure de ce rêve, tu m'apparaitras les cheveux noirs au vent . De la douceur de la neige sera la couleur des tes baisers, et je sentirai monter en moi lentement la chaleur . Tu pourras être mon Amérique ,comme une flammèche , tes yeux de braise brilleront, mon univers deviendra l'esclave de cette folle passion, ma plume dessinera l'amour en faisant des ronds géants, et des ronds plus petits et des déliés de ♥ de pigeons. Comme des tourtereaux amoureux nous roucoulerons, couchés sur ce papier parfumé où j'écrirai mes vers, la plume à l'endroit , le corps ravi et la tête à l'envers, tes bras ailés de cette soie en m'enveloppant, bruisseront, je serai ébloui par cette envolée de mots et de lumières. Avec ma lettre passion je partirai vers toi sans espoir de retour, et j'emmènerai ta silhouette accrochée au bout de mes rimes, je m'agripperai à ces mots pour ne pas glisser à mon tour. Ce soir je t'écrirai ,je t'aime en grand dans ce poème d'amour. Je t'écrirai je t'aime pour toujours. ***** Toi si beau qui ne m'apparait que dans l'ombre de mes rêves.

aller le premier arriver