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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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chat

Publié à 18:16 par fandeloup
chat

Le regard de ceux qui vous aiment ou simplement vous estiment, est de première importance , il permet de savoir qu’on existe ..



hausse

Publié à 18:02 par fandeloup Tags : lecture sur rouge
hausse

Le timbre rouge passe de 95 centimes à 1,05€ au 1er janvier

s Vous y réfléchirez sans doute à deux fois avant de poster votre courrier. Dès le 1er janvier 2019, l’affranchissement d’une lettre prioritaire (le timbre « rouge »), vous coûtera 1,05 euro, contre 0,95 centimes actuellement.

Vous pourrez toujours vous rabattre sur le timbre vert mais sachez qu’il fera lui aussi fera l’objet d’une hausse pour atteindre 0,88 centimes. Mais inutile de passer vos nerfs sur les agents du bureau de poste de votre quartier.

C’est l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) qui fixe les tarifs.

Cette augmentation intervient dans un contexte où les échanges électroniques et la dématérialisation des services sont privilégiés tant par les consommateurs que par les institutions.



chat

Publié à 17:49 par fandeloup
chat

Peut-être que les chats sont là pour nous apprendre ceci : vivons l'instant présent de manière complète et avec une implication totale pour le faire durer éternellement



Chrysler/DeSoto Airflow

Publié à 17:27 par fandeloup Tags : voiture sur
Chrysler/DeSoto Airflow

1934 Chrysler/DeSoto Airflow

 

Honnêtement, la seule raison pour laquelle la Airflow est considérée comme l’une des « pires » voitures est qu’elle était en avance sur son temps. La conception de l’Airflow est similaire à celle de voitures qui ont été développées dans les années 50. La carrosserie aérodynamique, le châssis en acier, la répartition des masses, et un poids léger sont toutes des caractéristiques de l’Airflow.

Cependant, pour une raison ou une autre, dans les années 30 les Américains n’ont pas été emballés par le style dramatiquement différent de la Airflow. Le problème provenait également en partie des défaillances majeures qui affectaient la voiture. Ce n’est jamais bon lorsqu’un moteur tombe d’une voiture. Les techniques de construction radicales utilisées pour l’élaborer devaient encore être perfectionnées.

Chrysler et Desto ont essayé de remanier les modèles postérieurs, mais aucun retour n’était possible au vu du mauvais goût qu’elle avait laissé dans la bouche des consommateurs et les ventes n’ont jamais décollé.



n'importe quoi

Publié à 16:43 par fandeloup Tags : chat chien animal animaux prix maison france photo
n'importe quoi

États-Unis. Une start-up se propose de louer des chatons et des chiots… à la journée

Louer un chiot ou un chaton à la journée, c'est possible avec une start-up américaine, RescueTime. Louer un chiot ou un chaton à la journée, c'est possible avec une start-up américaine, RescueTime

 Vous avez besoin d’une dose d’affection avec une petite boule de poil, que ce soit un chaton ou un chiot ?

RescueTime a la solution. Cette start-up américaine se propose de louer des animaux de compagnie à la journée, entre 8 et 24 heures. Mais ce concept pose problème et ne fait pas l’unanimité.

Louer un chaton ou un chiot pour une courte durée ? C’est l’idée d’une start-up américaine, RescueTime, repérée par The Next Web. Le principe est simple : vous pouvez louer des animaux de compagnie pour une durée qui varie de 8 à 24 heures

Le prix ? 79 dollars minimum.

Mais ce concept, un peu fou, pose problème. Et pour cause, les changements réguliers d’environnement sont mauvais pour ces petites boules de poils, rappelle The Next Web. Un animal de compagnie a besoin de plusieurs semaines, voire plusieurs mois, pour s’adapter à une nouvelle maison.

Changer de famille d’accueil quotidiennement représente, pour ces chiots et ces chatons, une source de stress permanente. Un animal de compagnie « n’est pas un jouet » La start-up américaine, qui ne fait pas l’unanimité, va même plus loin en proposant des chèvres ou des lapins.

« Un animal de compagnie n’est pas un jouet qu’on prête ou qu’on déplace au gré des commandes : il a besoin de repères, d’attention et d’affection », souligne Numerama et de conclure :

« Sans parler du fait que la start-up renforce l’idée qu’un animal reste tout jeune. Nombreux sont les propriétaires inconscients qui profitent des jeunes années d’un chat ou d’un chien et l’abandonnent quand ils s’aperçoivent qu’il s’agit d’une relation longue durée ».

C'est sans compter le montant du service qui n’est pas donné. Car en plus du prix de la location, RescueTime vous facture des frais selon les soins apportés à l’animal, sa race et son âge.



Briggs and Stratton Flyer

Publié à 15:59 par fandeloup Tags : chevaux sur voiture
Briggs and Stratton Flyer

1920 Briggs and Stratton Flyer

À l’aube des années 20, nous commencions à maîtriser la construction automobile. Rolls-Royce, Cadillac, et Voisin produisaient tous des automobiles de luxe et poussaient toujours plus avant la frontière technologique. À l’autre bout du spectre se trouvait la Briggs and Stratton Flyer.

Comparée aux autres automobiles on pouvait difficilement la qualifier de voiture, il s’agissait davantage d’un banc motorisé sur des roues de bicyclette. Pas de carrosserie, pas de suspension, pas de pare-brise, et aucune allure, ce véhicule était une tentative de fabriquer une automobile très bon marché.

La Flyer était alimentée par un petit moteur 2 chevaux propulsant une roue motrice, comme un bateau avec un moteur hors-bord. Les essieux de la Flyers n’étaient pas directement alimentés.



tristesse

Publié à 15:29 par fandeloup Tags : photo monde sur nature
tristesse

LE LAIT ET LE FROMAGE SÉPARENT LES VEAUX DE LEUR MAMAN DÈS LA NAISSANCE

"Les veaux. Donc, au bout d’un jour ou deux, le cachot. La mère peut meugler sans presque s’arrêter pendant quarante-huit heures. Elle cherche le petit qu’elle a porté dans son corps. Faut-il être stupide ! La séparation la stresse gravement. Elle lui fait un mal qu’aucun instrument n’est capable de mesurer. Un veau est passé, simplement. Dans la nature, le sevrage se fait en douceur, sur un temps étonnamment long. Un veau peut téter sa mère jusqu’à l’âge de huit mois."

Fabrice Nicolino, Bidoche, l’industrie de la viande menace le monde

Pour évoluer : https://vegan-pratique.fr/cuisine/remplacer-les-produits-laitiers/



ligne verte

Publié à 14:57 par fandeloup
ligne verte

"Je suis fatigué patron" très émouvant, vous aimez ..?



horreur

Publié à 14:45 par fandeloup Tags : france sur chez enfants article mort 2010 animaux air place livre lecture
horreur

ANDREW, ANCIEN ÉLEVEUR DE COCHONS DEVENU VÉGANE

Andrew, 43 ans, ancien éleveur de porcs dans le Mâconnais :

"J'ai commencé à éprouver une répulsion physique lorsqu'il me fallait amener mes cochons à l'abattoir"

"Comme de nombreux Anglais charmés par nos campagnes, Andrew et son épouse ont fait le choix de s'installer en France, dans le Mâconnais, en 2010. Après la lecture du livre de l'auteur américain Jonathan Safran Foer, Faut-il manger les animaux ? ils choisissent de ne plus encourager l'élevage industriel et d'élever quelques cochons pour la seule consommation familiale.

Six mois plus tard, le couple décide de garder deux reproducteurs et de débuter un élevage en agriculture raisonnée. Au quotidien, Andrew apprend à connaître les animaux de son troupeau :

"Ils sont très sensibles à ce que dégagent les gens. Ils peuvent se fier à certaines personnes et en craindre d'autres. Ils ont également une excellente mémoire."

Ses cochons sont élevés en plein air. En élevage intensif, pour justifier l'encagement des truies en maternité, il n'est pas rare d'entendre dire qu'elles sont de "mauvaises mères" et écrasent leurs petits.

Chez Andrew, elles ramassent des branches et construisent des nids dans les buissons, préférant mettre bas en extérieur de façon à disposer de la place nécessaire pour allaiter sans risque leur progéniture. A l'observation de ces comportements, il ne fait plus de doute pour lui que les cochons sont des êtres dotés de subjectivité et capables de ressentir des émotions :

"J'ai commencé à éprouver une répulsion physique lorsqu'il me fallait amener mes cochons à l'abattoir. J'en avais pris soin de la même façon que je prenais soin de mes chiens, de mes chats. Alors, pourquoi devais-je les tuer ?"

Vient le moment d'abattre la première truie de réforme (qui n'est plus assez productive).

Le couple se résout à l'envoyer à l'abattoir, mais en garde un profond sentiment de culpabilité.

"Nous avons discuté ensemble et conclu que nous ne pouvions pas élever des animaux de façon éthique tout en les destinant à la mort. C'était tout simplement incompatible."

A cette période, l'épouse d'Andrew tombe malade et il se retrouve seul pour gérer l'élevage :

"Je travaillais beaucoup, sans jamais prendre de repos, pour quelque chose qui me répugnait de plus en plus… Nous avons choisi d'arrêter la reproduction et le commerce sitôt que nous aurions "écoulé" les porcs restants. Nous étions à deux doigts de la faillite si nous cessions l'activité sans avoir récupéré notre investissement de départ, et nous avons donc dû mener à terme l'engraissement des cochons qui nous restaient." Andrew vend la plupart des reproducteurs, mais ne peut se résoudre à destiner l'un d'eux à l'abattoir : un verrat (mâle reproducteur) dénommé Heston.

"C'est un cochon d'une douceur incroyable, malgré sa puissance. Il se laissait rouler sur le flanc pour être caressé, même par le plus jeune de nos enfants . Imaginer que nous aurions pu le vendre, comme nous l'avons fait pour une de ses sœurs, et qu'il aurait fini par être abattu pour sa viande, me rend encore malade."

Il cherche une place pour Heston dans un refuge animalier, où le verrat vit aujourd'hui en semi-liberté. Depuis que leur dernier cochon a pris la route de l'abattoir, Andrew est pratiquement devenu vegan : "Mon expérience m'a permis de prendre conscience que rien ne légitimait que je puisse causer la souffrance, la douleur ou la mort d'un autre être doué de sensibilité, d'autant moins en sachant qu'aucune nécessité nutritionnelle ne le justifie plus aujourd'hui.""

Article de Jean-Baptiste del Amo, Libération 22 mars 2017

Pour évoluer comme Andrew : https://vegan-pratique.fr/pourquoi-devenir-vegan/pour-les-animaux/



bpco

Publié à 13:41 par fandeloup Tags : femmes travail chez monde vie société carte france sur air
bpco

Journée mondiale de la BPCO : définition, symptômes, traitement

 Environ 3,5 millions de personnes sont atteintes de broncho-pneumopathie obstructive (BPCO) en France, dont 100.000 d'une forme sévère.

Le tabagisme, à l'origine de 90 % des cas de BPCO, entraîne la production d'une quantité excessive d'une substance visqueuse, le mucus, dans les bronchioles, ce qui favorise les infections bronchiques.

Le tabagisme, à l'origine de 90 % des cas de BPCO, entraîne la production d'une quantité excessive d'une substance visqueuse, le mucus, dans les bronchioles, ce qui favorise les infections bronchique

 

 Qu'est-ce que c'est ?

La BPCO est une forme grave de bronchite. Cette maladie chronique, qui évolue sur plusieurs années, affecte le souffle et provoque des dommages irréversibles des poumons. Mal connue, la broncho-pneumopathie obstructive (BPCO) est particulièrement courante chez les fumeurs.

 

Comment ça s'explique ?

- Le tabagisme est à l'origine de 90 % des cas de BPCO. Le tabac entraîne la production d'une quantité excessive d'une substance visqueuse, le mucus, dans les bronchioles, ce qui favorise les infections bronchiques. Ces infections augmentent à leur tour à nouveau la production de mucus et maintiennent l'inflammation des bronches et des bronchioles.

- Dans 10 % des cas, cette maladie est liée à l'exposition à des polluants (solvants, poussières de ciment et de sicile, produits agricoles et de la mine...). La pollution atmosphérique intérieure (les carburants de biomasse utilisés pour la cuisine et le chauffage), ainsi qu'extérieure peuvent également être des facteurs de risque. Découvrez une immersion 3D dans le corps humain pour mieux comprendre la BPCO.

 

Qui sont les malades de la BPCO ?

Selon une étude de la Fédération Française des Associations et Amicales de malades, Insuffisants ou Handicapés Respiratoires(FFAAIR), 89 % des patients atteints de BPCO sont des fumeurs. Parmi eux, 68% sont d'anciens fumeurs et 21% des fumeurs actuels.

Près de la moitié de ces patients fument ou ont fumé plus d'un paquet de cigarettes par jour. Enfin, les 2/3 ont régulièrement été exposés au tabagisme passif (pour 80 % au travail et pour 59 % à leur domicile).

La BPCO touche essentiellement les personnes âgées de plus de 45 ans, fumeuses. 60% sont des hommes, mais de plus en plus de femmes sont diagnostiquées, en raison de l'augmentation de leur consommation de tabac.

 

Quels sont les symptômes ?

Les premiers symptômes de la BPCO sont ceux d'une bronchite chronique : toux et crachat, souvent le matin. Au premiers stades de la maladie, une légère dyspnée (essoufflement à l'effort) est présente et va devenir de plus en plus intense dans les activités de la vie quotidienne. Avec l'aggravation des symptômes, s'ajoutent des difficultés à respirer, pouvant même nécessiter le recours à une oxygénation.

La qualité de vie est, à ce stade, considérablement altérée. Les malades souffrant de BPCO sont également victimes en moyenne deux fois par an “d'exacerbations” de la maladie, périodes durant lesquelles les symptômes s'aggravent particulièrement (toux plus importante, volume des crachats supérieur à la moyenne, augmentation de l'essoufflement…).

 

Que faire en cas de BPCO ?

Dès les premiers signes d'alerte (toux, crachats abondants), et surtout si ceux-là persistent depuis plus d'un mois, il ne faut pas hésiter à consulter un médecin. Une toux bénigne en apparence ou un essoufflement peu gênant peuvent évoluer vers des problèmes respiratoires, parfois graves.

Cette maladie des fumeurs apparaît généralement après 40 ans mais peut être observée plus jeune. Si la maladie est diagnostiquée tôt, il sera mieux possible d'en prévenir les méfaits sur les poumons et de prendre un traitement adapté.

 

Comment l'éviter ?

La prévention de la BPCO repose sur l'arrêt du tabac et la réduction de l'exposition à la fumée. Cela évite d'aggraver l'état des poumons même si le diagnostic de la maladie est déjà établi. Le guide de l'INPES pour arrêter de fumer : L'institut national de prévention et d'éducation à la santé a édité un guide pour accompagner l'arrêt du tabac.

Il est téléchargeable ici. Le guide se décompose en 4 chapitres : " je fume ", " j'hésite à arrêter de fumer ", " j'ai décidé d'arrêter de fumer " et " j'arrête de fumer ".

 

Quel est le traitement ?

Un malade atteint d'une BPCO sera suivi par un généraliste, par un pneumologue et, si besoin, par un kinésithérapeute. Actuellement, il n'existe pas de traitement pour guérir de la BPCO mais certains moyens permettent d'éviter une évolution de la maladie et d'améliorer les conditions de vie.

Les voici :

- l'arrêt du tabac et de l'exposition aux fumées,

- la prise de médicaments, destinés à dilater les bronches, est indiquée en cas d'essoufflement,

- des séances de kinésithérapie respiratoire peuvent être utiles pour désencombrer les bronches, notamment chez les patients ayant du mal à cracher,

- le traitement par oxygène, l'oxygénothérapie, est indiqué chez les personnes en insuffisance respiratoire chronique ; dans ce cas, plusieurs heures par jour, le malade va inspirer un air enrichi en oxygène,

- la vaccination contre la grippe et les infections à pneumocoques, en particulier après 65 ans, - lors des épisodes d'exacerbation, des antibiotiques sont parfois prescrits pour une dizaine de jours afin d'éviter une infection pulmonaire.

 

Quelles sont les conséquences ?

Suivant le stade de la maladie, vivre avec une BPCO peut être plus ou moins handicapant. Une BPCO avancée aura de forts impacts sur la vie sociale et professionnelle (absentéisme pour des séances d'oxygénothérapie, par exemple). Entre un tiers et la moitié des personnes atteintes de BPCO se sentent anxieux au cours d'une BPCO, voire même dépressif.

Chaque année, la BPCO entraîne 17.000 décès en France. Elle est la 6ème cause de mortalité dans l'Hexagone. Selon l'OMS, la BPCO deviendra la troisième cause de décès dans le monde en 2030.

 



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