Fandeloup

Sous les rides de mon visage se retrouve le reflet de mon âme toutes les blessures d'en dedans les rêves déçus dans mon ♥ d' enfant.....

Sous les rides de mon visage, on retrouve toutes les traces de ma vie, de mes peurs , de mes angoisses dans mes draps qui se froissent

Sous les rides de mon visage c' est mon histoire écrite page à page mes silences et mes combats et de l'indifférence à coups de bras

Sous les rides de mon visage y ' a tant d' espoir parti au large y ' a tant d 'amour dans une cage et tous mes rêves un peu volages

Sous les rides de mon visage. y 'a mon ange en voyage ,le chagrin de le voir partir restant seule ,triste à mourir

Sous les rides de mon visage ,des mots se figent sur des images je revois toujours son doux sourire il m' a laissé de beaux souvenirs...

Sous les rides de mon visage y ' a une femme qui perd courage et une autre qui s' accroche à la vie cherchant l' espoir pour sa survie.

Sous les rides de mon visage y ' a que traces de mes naufrages que rien au monde ne peut effacer, c' est toute l' hisroire de mon passé

Sous les rides de mon visage y 'a tant d' amour à chaque page ,c' est le miroir de ma vie, mes joies , mes peines à l'infini.

Sous les rides de mon visage j ' écris les dernières pages le front sillonné de traces avant de quitter l' espace

Avec mes rides , je ferais mes adieux un jour, on fermera mes yeux on brûlera mon corps sans vie, j' aurais fini le parcours de ma vie.. Plus de rides , plus de visage j' aurais visité les paysages avec l' amour au fond du ♥ en acceptant toutes mes erreurs

La mer clapote tendrement dans les bras du golfe, au couchant. Elle frémit, murmure, ondule, Jusqu’à l’extase, et puis bascule, toute rosie, Le coeur battant, et les voiliers qui s’en reviennent Lèchent sans fin ses vagues brillantes.

J’aime parler d’amour.. Pour le plaisir ...Que tout devienne dési.r Parler toujours ..Même en illusion ..Sans perdre la raison.. C’est ma poésie

Et si les fleurs avaient une âme.. Elle serait de feu et de flamme.. Car elles ont la beauté.. Ne compare-t-on pas les femmes  a la chair d’une rose ..Elles en ont le charme.. Et le piquant, si j’ose. On se prend à rêver.. Devant ces allures de poupée ..On voudrait les cueillir ,mais on craint de les voir flétrir. On est par le parfum envoûté.. Celui des femmes enjôle.. Douces senteurs de la pensée ..Que les doigts cajolent. Si les femmes ont une âme.. C’est à ces fleurs parfumées qu’elles empruntent leur charme.. Qui semblent nous combler.

Chaque jour qui passe est un jour de moins, avant que ne s’inscrive Le mot fin. On devrait y penser un peu plus souvent ,avant de ronchonner pour des riens. Les tracas journalier.. Les rendez-vous manqué.. Est-ce vraiment si important ..Les avis divergents.. Le stigmate du temps.. Ne devraient pas nous tracasser autant.. Les prisses de tête ..Les prises de bec ..Il faut apprendre à faire avec ..Les contretemps.. Le mauvais temps ,c’est bien gênant et pourtant.

Mieux que l’épopée d’Alice au pays des merveilles. Au fond des abysses. J’ai trouvé un univers sans pareil. Où il n’y avait pas de nuit. Le ciel était à cent lieues. Nul vent de tempête impétueux. Rien que le silence, aucun bruit. L’homme n’avait jamais foulé .Le sol de l’abîme .Et n’avait donc pu le détériorer .Comme les plus belles cimes. J’ai rêvé qu’à l’instar des poissons ,dans les flots bleus, je me mouvais. L’océan pour seul horizon. Dans la pureté se déplacer. Mais le rêve s’est interrompu ,dans un concert de Klaxons. Je me réveille franchement déçu .Le ciel brumeux pour tout horizon

Quand la lune s'en va ,que la rosée s'abat .Quand l'aurore se réveille, que les oiseaux s'éveillent ,c'est l'aube qui renaît appelant la journée .Et quand le coq chante ,que cesse enfin l'attente. Quand la brume se retire .Que le soleil s'étire, c'est le jour qui enfin daigne de se montrer

Une épave, déchirée, flotte péniblement au centre d'une mer de haine, Frappée par le vent de la colère, soulevée par les vagues du désir, Elle tente de survivre sans sombrer dans un océan de folie, Petit à petit, elle fini par couler, emportée, dans un fond sans lumière. Petit être, faible insignifiant, tentant d'échapper à son destin tragique, Déploie enfin tes ailes dans les ténèbres de la nuit, Délivré des méandres aquatiques, que va-t'il encore affronter? Et les défauts de l'homme, pourra-t'il enfin les dominer? Les ailes fatiguées et fragilisée tiennent à peine la distance, Elles doivent supporter, et le sauver de cette dernière instance, Arrivant à destination, elles tombent sur le sol, noir et mortes, Il est à genoux, regardant sa récompense dans les yeux. Mais il s'écroule dans la douleur, son discret sourire gravé à jamais, Tandis que son ♥, battant à peine se trouvait transpercé. Avoir vaincu l'enfer avec difficulté, et devoir déjà y retourner, Abattu par la cupidité et les mensonges, de ceux qu'il voulait protéger Il voulait sauver la vie, et les hommes mais l'ange se retrouve dans la mort

On n'aime pas aller voir Ce que nous montre le miroir. A peine la copie conforme De nos traits et de nos formes. Avec nos imperfections et nos défauts Responsable de tant de maux. La vraie beauté se cache en nous Tel un écrin de bijou. Alors n'ayez plus honte d'aller voir Votre reflet

Comme un ange qui a les ailes briser, en pleine dépression qui ne demande que de la compassion. Seul, il ne fait que pleurer, y a-t-il quelqu'un pour les essuyer ces larmes qui ne font que couler. Il ne voulait qu'amour et compréhension, il n'a reçu que haine et trahison.