Fandeloup

Qui donc pourrait m’indiquer le vrai chemin du bonheur. Il est si souvent caché sous des tonnes de rancœur. On marche droit devant soi ,sans regarder ni de gauche, ni de droite .Alors on s’égare parfois. Mais on retombe toujours sur ses pattes. Quelques détours en plus . Encore un de convaincu que c’est la félicité complète. On enrubanne de promesses et abreuve de serments .C’est le temps de la tendresse .Chacun y est partant. Mais le chemin du bonheur est souvent bordé d’épines .On y distille la douleur Et l’on court à la ruine.

Il me plaît de rêvasser .Traîner un peu plus au lit .Les yeux clos, tout à mes pensées. Dans les songes où tout luit... Quelques agréables idées Me trottent par la tête. Que douce la vie serait Si l’homme n’était pas si bête... Les yeux fermés encore un instant .Peu pressé de rejoindre le présen.t Peu enclin d’aller vers mes désillusions.C’est que je sais que sur terre Tout bonheur est éphémère...

La plus belle chose qu'on puisse souhaiter à quelqu'un c'est de réussir en restant sois même du début jusqu’à la fin.

Une journée se répète dans ma tête, Mon esprit se trouble dans une foule en trouble-fête. Revenu a moi, j'en oublie les images, plus qu'un mirage. Dont j'en ai le souvenir effacé. Puis, je porte mes yeux sur le temps, C'est le jour d'avant alors que je vivais le suivant. Mon cœur s'emballe à pensé au lendemain comme un enfant. Qui ne se soucie de rien, Insouciant de demain, Souciant d'aujourd'hui ! Le temps n'avance pas. Les heures ne cesse de s'arrêter, Quand je m'arrête sur elles à les regarder sans cesse. Il s'amuse a me faire entendre mes battements de cœur. Pendant que le silence fait taire les tic-tac de l'horloge. Qui me fasciné tant étant enfant que je suis adulte en ce temps. Et j'en perds le temps qu'il avance sans moi jusqu'à mon souffle final...

Nos chaîne se déchaine, nos lames s'enflamme et nos ailes emflammé nous brûlent jusqu'à nous rendre poussière d'étoile

La Tristesse

Quel est ce sentiment Qui, souvent, me surprend ? Celui qui s'insinue en ton Âme Celui qui s'ancre et se pâme Tu sais, celui qui t'abat Tu sais, celui qui ne se passe pas de toi Je le prends toujours en plein ♥ Pour que tu retrouves le Bonheur Il donne de l'eau à mes yeux Et me marque des ses bleus C'est ça ! c'est elle, la Tristesse Elle me tient souvent en laisse Chaque jour, elle me blesse Chaque fois, des bouts de moi, j'y laisse

Mes pensées sont les astres qui brillent la nuit, Elles s'écoulent sur vos songes en poussières d'étoiles. Pour vous emmener au pays des rêves, au pays des merveilles

Quand je ferme les yeux, je vois le vent souffler, Je me laisse à nouveau emporter sous la brise, Qui m'emmène à travers le pays des rêves, Vers l'insouciance perdue, que le Temps m'a volé. Je ne suis plus un enfant en ce temps constant, Je me dois d'avoir des responsabilités, Pour bâtir ma vie sous ces contraintes de temps Où je peine à rêver pour m'émerveiller... S'il faut se battre un temps, alors je vous le dis, Garder vos rêves intacts, sans les péripéties, Cet instant qui ne dure, on ne le verra plus! Si il y a des choses à préserver dans cette brève vie, C'est le temps qui passe, la douceur de l'infini Même en reflétant nos souvenirs sur l'avenir, Il sera passé, le prochain sera un autre Temps à savourer, comme si c'était le dernier...

Ne me dis pas que tu m'aimes si tu n'aimes que mon corps. Ne me dis pas que je suis belle alors que tu n'envie que mes formes. Ne me dis pas que j'ai de beaux yeux si tu regardes ma poitrine. Ne me dis pas que tu veux vivre avec moi si ta vie se limite à une partie de jambe en l'air. Je veux quelqu'un qui m'aime pour ce que je suis, dans ma tête. Je veux quelqu'un qui me comprenne et qui me console, qui me prenne dans ses bras juste pour me montrer son affection, sans arrières pensées. Je veux l'impossible, peut-être. Mais je le veux

C'est la vie