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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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humour

Publié à 10:26 par fandeloup Tags : humour

cervicobrachialgie

Publié à 10:02 par fandeloup Tags : mode sport vie
cervicobrachialgie

La cervicobrachialgie cette douleur qui part du cou jusqu’au bras _ cervicobrachialgie est une névralgie du plexus brachial, c’est-à-dire qu’une racine nerveuse est compressée ou irritée entre les vertèbres, elle désigne une douleur touchant la nuque et l'un des bras du patient Il est également possible qu’elle provoque des maux de tête, des difficultés à bouger le cou, des vertiges et des nausées.

Le moindre mouvement peut devenir la source de gênes intenses. Les causes de la cervicobrachialgie: Parmi les causes importantes de la cerviobrachialgieon peut citer :

-Une dysfonction cervicale puisque le blocage d’une vertèbre accélère la dégénérescence des articulations vertébrale et par conséquent du disque intervertébral

-Les périodes de stress et d’angoisse prolongées. Il faut donc bien apprendre à gérer nos émotions.

-A ne pas négliger aussi le rhumatisme ainsi que les maladies dégénératives -Des lésions provoquées par un accident ou une pratique régulière et excessive de sport , parmi les lésions les plus fréquentes on cite les luxations ou les fractures musculaires. Les traitements de la cervicobrachialgie:

-Lacerviobrachialgie nécessite dans la plupart des cas une intervention d'un professionnel, puisque chaque cas d'un patient atteint de cerviobrachialgie dois se traiter individuellement.

-Le patient est mené à prendre des médicaments qui réduisent l'inflammation à la source du malaise.

-Une période de repos ainsi qu'un changement de mode de vie est nécessaire pour les personnes souffrant de troubles musculaires.

-Adapter la physiothérapie peut être aussi un traitement efficace afin d'apaiser les douleurs et de restaurer le mécanisme des muscles.

lettre

Publié à 08:31 par fandeloup Tags : merci sur nature chien monde photo photos bonjour animaux animal
lettre

Bonjour le Monde Sauvage d'Aywaille,

Le 18 septembre, j'ai alerté Carlo Di Antonio, ministre wallon de l'écologie, au sujet des ours polaires qui se font chier dans votre parc. Pour appuyer cette thèse, j'ai partagé une vidéo ou l'un des ours frappe à la porte de son box (voir en commentaire). Si le ministre a tout de suite jugé "les conditions de détention insuffisantes" en proposant de "rouvrir une analyse"; de votre côté, vous avez fait une publication Facebook pour me mettre "gentiment en garde".

Vous m'accusez de mentir en "utilisant en commentaire une photo dénigrante qui n’est pas prise dans votre zoo". Et vous me proposez des "photos récentes dans vos espaces". Pour commencer, je ne suis pas responsable des photos qui répondent à mes tweets. Si vous ne comprenez pas ça, comment vous expliquer pour les ours polaires ?

 Quant aux photos récentes, on va se passer de vous. Hier encore, Anymal est passé à Aywaille pour se rendre compte des conditions de détention des animaux : comme on peut le voir ici, les ours continuent de chercher un semblant de fraîcheur. Enfin, je vous laisse la définition du mot "sauvage" en référence à votre "monde" qui ne l'est pas vraiment : "Se dit d'une espèce animale non domestique, vivant en liberté dans la nature : Le sanglier est un animal sauvage."

Bisou

Rémi GAILLARD

115 800 signatures récoltées.... Un rapport de 43 pages entre les mains du Ministre C. Di Antonio, une intervention de Rémi Gaillard sur ce dossier et un zoo qui réfute toutes analyses différentes de la sienne qui est "qu'un ours polaire est un chien..."

Voilà la genèse de la "story" des ours polaires du Monde Sauvage d'Aywaille. Rassurez-vous, nous ne laisserons pas tomber ces ours, car l'enfer qu'ils ont vécu ces derniers mois reviendra au printemps... Nous continuons aussi à vouloir faire interdire la venue d'ours blancs à Pairi Daiza !

Continuez à nous soutenir et à signer nos pétitions. Merci pour eux Ours polaires Aywaille :

https://www.change.org/p/ours-polaires-en-danger-au-zoo-d-a…

Terre du froid Pairi Daiza :

https://www.change.org/p/monsieur-le-ministre-carlo-di-anto…

horreur

Publié à 07:24 par fandeloup Tags : jeune saint animaux amis sur chien
horreur

2 chiens enfermés dans un appartement étaient maltraités et violentés

Les chiens étaient terrifiés lorsqu'ils ont été délivrés par la Fondation. © Fondation 30 Millions d'Amis Des papiers journaux souillés étalés par terre, dans la cuisine.

C’était le triste décor dans lequel vivait Cocard, un chien âgé d’un an et demi . Il y passait ses jours et ses nuits, dormant et faisant ses besoins au même endroit. L’animal ne sortait pas de cet appartement d’Asnières-sur-Seine (92) où il était détenu reclus.

Mais Cocard n’était pas le seul à souffrir. Dans le salon, les équipes de la Fondation 30 Millions d’Amis, accompagnés par la police nationale et municipale, ont découvert une cage de transport dans laquelle était enfermé un jeune chien prénommé Ninja.

Ce croisé yorkshire de 2 ans et demi pouvait à peine bouger et ne sortait pas non plus de sa prison. Des chiens tremblant de peur « D’après plusieurs témoignages, les animaux étaient maltraités, violentés et livrés à eux-mêmes la plupart du temps dans cet appartement d’où ils ne sortaient jamais », décrivent les enquêteurs.

De plus, les chiens étaient extrêmement apeurés et tremblaient, preuve qu’ils n’étaient pas socialisés. Interrogé, le propriétaire des animaux affirmait « qu’il était normal de les faire vivre dans ces conditions », mais que leur confiscation par la Fondation 30 Millions d’Amis lui « enlevait une sacrée épine du pied » !

La cuisine où était détenu Cocard.

Les deux chiens ont été placés au refuge 30 Millions d’Amis de la Tuilerie à Saint-Hilliers (77) et attendent une famille d’accueil. Vous pouvez vous porter volontaires pour offrir un toit à ces malheureux en appelant au 01 64 00 15 45. La Fondation 30 Millions d’Amis a déposé une plainte pour « abandon ».

absente

Publié à 07:01 par fandeloup

bonheur

Publié à 18:24 par fandeloup Tags : enfant amour
bonheur

Le bonheur, c'est tout petit Si petit que, parfois, on ne le voit pas. Alors on le cherche, on le cherche partout. Il est là dans l'arbre qui chante dans le vent. Dans le regard de l'enfant. Le pain que l'on rompt et que l'on partage. La main que l'on tend. Le bonheur, c'est tout petit. Si petit que, parfois, on le ne voit pas. Il ne se cache pas, c'est là son secret. Il est là, tout près de nous, et parfois en nous. Petit comme nos yeux pleins de lumière. Et comme nos cœurs pleins d'amour.

emploi

Publié à 17:54 par fandeloup Tags : monde france sur travail cadre
emploi

Emploi : un plan de 15 millions d'euros pour insérer 5000 réfugiés

Cet appel à projets va permettre d’insérer entre 4 000 à 5 000 réfugiés. LP/Carmen Abd Ali L’insertion par le travail des réfugiés pourrait permettre aux secteurs en tension comme la restauration et le BTP de répondre à leurs besoins.

Alors que la France a accordé l’asile à 43 000 personnes en 2017, l’une des questions qui se pose concerne l’insertion dans l’emploi des réfugiés. Dans de nombreux cas, ils peinent à trouver du travail , faute de réseaux ou de reconnaissance de leur savoir-faire.

Dans cette otique, la ministre Muriel Pénicaud a annoncé le lancement d’un appel à projets, doté d’une enveloppe de 15 millions d'euros, pour permettre à 4 000 à 5 000 d’entre eux de trouver un emploi.

« Certains réfugiés ont une qualification, mais ils viennent de pays où il n’y a pas de reconnaissance de diplôme, ou qui s’exercent dans un cadre rendant nécessaire une formation complémentaire », a expliqué la ministre du Travail . « L’offre et la demande peuvent y gagner »

A l’inverse, « 39 % des réfugiés arrivant en France n’ont pas pu avoir de qualification professionnelle. Ces personnes qui ont vécu la guerre, la persécution ont le courage, l’envie d’apprendre », a-t-elle ajouté. Parallèlement, a-t-elle poursuivi, « on a des métiers en tension où on cherche du monde, donc l’offre et la demande peuvent se retrouver dans une démarche gagnant-gagnant ». Selon la ministre, ce programme vise à « aller plus loin que les cours de français sur l’accès à la formation et à l’emploi ».

Ainsi, le programme Hope, mêlant formation linguistique et apprentissage dans des secteurs en tension comme le BTP, a déjà bénéficié à un millier de réfugiés. 130.000 emplois à pourvoir dans l’hôtellerie-restauration Récemment, le président du Groupement national des indépendants de l’hôtellerie-restauration avait lancé un appel. « 130 000 emplois sont à pourvoir dans le secteur de l’hôtellerie-restauration. Les restaurateurs et les hôteliers sont dans les starting-blocks. On attend maintenant du gouvernement qu’il donne des papiers aux réfugiés.

La formation, le boulot, on est là pour les fournir. » A partir du moment où la personne a un statut de réfugié, elle peut travailler comme n’importe quel citoyen français. Il est également possible d’embaucher un demandeur d’asile (une personne en attente du statut de réfugié).

Mais seulement 9 mois après le dépôt de sa demande et uniquement dans un secteur manquant de main-d’œuvre dont la liste est établie par les pouvoirs publics. En revanche, les migrants économiques ou climatiques qui n’ont pas de papiers ne peuvent pas être embauchés tant qu’ils n’ont de titre de séjour.

monument

Publié à 16:50 par fandeloup Tags : animal place vie monde france sur photos paris chevaux animaux saint
monument

Paris va ériger un monument aux animaux morts pour la France

 Membres de Paris Animaux Zoopolis avec Amandine Sanvisens, leur porte-parole, se sont réunis place Saint-Sulpice pour rendre hommage aux animaux morts pendant les conflits. 

La Ville a changé son fusil d’épaule et finalement accepté la proposition de Paris AnimalZoopolis. C’était non. Puis ce fut oui ! Ce lundi midi, les membres de Paris Animaux Zoopolis, l’association qui traite des questions de souffrance animale sur le territoire parisien, buvaient du petit-lait.

Réunis place Saint-Sulpice (VIe), « à quelques centaines de mètres de l’avenue de l’Observatoire (VIe), où durant la Première Guerre mondiale, les chevaux du VIe étaient réquisitionnés pour participer aux besoins de guerre », ses militants ont déployé des messages et des photos de chevaux , ânes, chiens, pigeons martyrs.

Et… fêté leur victoire. La mairie de Paris vient accepter, après avoir refusé, leur idée d’ériger un monument qui rende hommage aux animaux tués pendant les deux dernières guerres. « Un sacré revirement », savoure Amandine Sanvisens, la porte-parole de Zoopolis. Une décision qui a pris du temps L’association le demandait depuis mai dernier. « On a écrit à Anne Hidalgo (PS) et à Catherine Vieu-Charier (PCF) (NDLR : l’adjointe chargée de la mémoire et du monde combattant) se souvient Amandine Sanvisens.On a jamais eu de réponse. »

« La précipitation est l’œuvre du diable, se défend Catherine Vieu-Charier. On s’est dit qu’on allait prendre le temps d’étudier le problème ! » Le 27 mai, les élus écologistes des XIIIe et XIVe arrondissement ont soumis sur leur arrondissement des vœux pour la pose d’une stèle ou d’une plaque mémoire. Celui du XIVe a été voté à la majorité. Mi-juin, le président du Souvenir français, la respectée association du souvenir des soldats morts pour la France, a apporté son soutien au projet. « Ça nous a beaucoup convaincus, reconnaît Catherine Vieu-Charier. Je ne voulais froisser personne ! »

Début juillet, au Conseil de Paris, deux autres élus (FG et EELV) se sont fait retoquer leur vœu. Puis Jean-Pierre Lecoq, le maire LR du VIeet René-François Bernard, l’adjoint (UDI-MoDem) de Rachida Dati dans le VIIe, en charge de l’environnement et de l’urbanisme, ont fait leur entrée en scène. Les deux élus conservateurs ont soutenu Zoopolis et respectivement déposé lors du conseil de leur arrondissement un vœu accepté.

Ce lundi, place Saint-Sulpice, Serge, quinquagénaire, veste Prince-de-Galle et journal économique sous le bras, haussait les épaules en scrutant une des pancartes « 11 millions d’animaux enrôlés dans la Grande Guerre ». « Je crois qu’il y a une confusion des genres ! Pourquoi ne pas faire un monument en hommage aux escargots tant qu’on y est. »

Une étudiante de passage ne partageait pas le même avis, écoutant, émue, une militante lire le témoignage d’un Poilu évoquant les chevaux . « 14-18, c’était aussi une vraie boucherie pour les animaux.

réalité

réalité

Muriel Robin : «On ne parlera jamais assez des femmes battues» >

L’actrice appelle à une manifestation partout en France en faveur de la cause des femmes battues, le 6 octobre

 Muriel Robin sur le plateau de « Vivement dimanche », en septembre 2015.

L’actrice appelle à une manifestation partout en France en faveur de la cause des La comédienne est bluffante dans le rôle de Jacqueline Sauvage, cette femme victime de violence conjugale qui avait fini par tuer son mari en 2012. Le téléfilm est diffusé lundi soir sur TF1.

Impressionnante sous les traits de Jacqueline Sauvage, dans le téléfilm diffusé lundi soir à 21 heures sur TF1, Muriel Robin, 63 ans, entend défendre la cause des femmes victimes de violences conjugales jusqu’à l’Elysée.

La comédienne appelle les Français à se rassembler le 6 octobre à 14 heures devant le palais de justice à Paris et en régions. Qu’est ce qui vous a incité à vous engager dans ce téléfilm et à lancer cette pétition pour soutenir les femmes battues ?

 

Muriel Robin. Le sujet. J’ai eu envie de le porter haut et fort car il n’est pas tant traité que cela. Une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son mari. Chaque année, on compte 150 cadavres, et les violences faites aux femmes ont augmenté de 22 %. On n’en parlera jamais assez. Le téléfilm m’a fait mettre le doigt sur cette violence et a modifié quelque chose en moi. Lors d’interviews, quand on me demandait ce que j’allais faire, je répondais : « Il y a déjà le film, et si je peux être utile je serai là, mais les médias peuvent aussi jouer un rôle. » Et la machine s’est mise en route.

 

Qu’espérez-vous de la diffusion de ce téléfilm ?

Je ne fais pas sa promotion mais la promotion de la cause des femmes battues. Je voudrais que toute la France regarde ce téléfilm dans un élan fraternel. Ça nous concerne car ce sont nos mères, nos sœurs, nos amies, nos voisines. Et on ne sait pas où elles sont puisqu’elles ne parlent pas. Le film laisse la place à la réflexion et ne prend pas parti. Il faut le voir pour que ces femmes ne soient plus seules. Et si on est nombreux, cela me rendra légitime quand j’irai voir le président de la République pour lui dire : ça touche tout le monde et il y a beaucoup de mécontents. Je ne lâcherai pas, et on ne m’attrapera pas avec des petits engagements de rien du tout. Il y a beaucoup de choses à faire.

 

Quelles doivent être les priorités ?

Malheureusement, la priorité, c’est toujours l’argent pour former la police, la gendarmerie, les magistrats, les avocats. Pour avoir, comme en Espagne, des tribunaux spécialisés avec des compétences civiles et pénales. L’argent pour créer des hébergements pour les femmes, pour les enfants et pour mettre aussi en place des soins pour les agresseurs. Il faut que ces femmes puissent se défendre légitimement, leur montrer que ce ne sont pas elles les coupables.

 

Que répondez-vous à ceux qui disent aux femmes battues, comme la présidente du tribunal dans le téléfilm : « Pourquoi n’êtes-vous pas partie avant ? »

Je dis aux gens : « N’avez-vous pas eu envie à un moment d’arrêter une relation qui durait depuis des années ? » Ce n’est pas simple car une relation est tricotée de mille fils. C’est ce qu’on voit dans le téléfilm : la violence et l’amour. Norbert, le mari de Jacqueline, n’est pas que violent. Il est aussi tendre parfois, drôle… Et comment partir quand vous n’avez pas de fiche de salaire, que le mari a pris vos papiers ? Vous partirez si vous savez que le jour ou où vous irez porter plainte tout va se mettre en place pour votre sécurité, pour héberger vos enfants , pour soigner le mec.

 

C’est difficile aujourd’hui ?

Oui. C’est le parcours du combattant. Des hébergements pour les femmes ont fermé. J’ai appris qu’il n’existe en France qu’un seul centre ouvert jour et nuit. Or on sait que les violences conjugales surviennent souvent le soir. C’est indécent. Il faut la volonté d’arrêter ce cauchemar et de trouver des solutions.

 

Pourquoi ce rassemblement le 6 octobre ?

Cette manifestation statique, tranquille s’adresse aux victimes pour leur dire : « On est nombreux à être avec vous. » Ça va peser quand j’irai voir le président. On est tellement au minimum de ce que l’on fait pour ces femmes que moi, maintenant, je fais le maximum. Avez-vous été contactée par L’Elysée ? Pas encore. Marlène Schiappa (NDLR : la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes) a voulu me rencontrer avant le rassemblement, mais je ne le souhaite pas. C’est un trop gros sujet : je veux parler avec le président. S’il estime que ça peut passer par un ministre, ce ne sera pas à la hauteur. A un moment, on s’adresse à Dieu et pas à ses saints.

 

En quoi Jacqueline Sauvage vous a-t-elle touchée ?

Elle est devenue l’égérie de ce sujet. Que l’on soit pour ou contre, elle a été graciée pour toutes les femmes qui sont mortes et dont on n’a pas parlé. Je n’ai eu aucune hésitation quand Yves Rénier (NDLR : le réalisateur du téléfilm) m’a proposé de l’incarner. Je lui ai dit : « Je suis Jacqueline Sauvage. » C’est animal.

 

Comment avez-vous vécu le tournage des scènes de violence ?

En faux, pendant 8 jours, c’était très très dur. En vrai, je n’ose pas imaginer ce que c’est. Même avec toutes les précautions prises, Olivier Marchal(NDLR : qui joue le mari Norbert Marot) était obligé de m’attraper, de me secouer, de me traîner par terre. Il m’a fait des bleus, mes genoux ont frotté la moquette. A la fin, on se disait tous : « C’est impossible que ça existe. » Ça secoue, ça vide. On a tous été affectés. En voyant ces scènes, les téléspectateurs vont s’arrêter de respirer.

 

Était-ce difficile de faire parler les silences de Jacqueline Sauvage ?

Parfois, il n’y a pas besoin de paroles. Jacqueline est une taiseuse. Or, j’ai été une taiseuse aussi. Chez nous, on ne parlait pas, on travaillait.

 

Lui avez-vous parlé depuis le lancement de votre pétition ?

Non, et nous n’avons pas eu le temps de lui montrer le téléfilm. La première personne que j’appellerai après la diffusion, c’est elle. Et j’irai la voir. J’aurai beaucoup de choses à lui dire. Car les choses vont bouger. Tant que je serai vivante, je ne lâcherai pas. J’aime l’idée de pouvoir expliquer à Jacqueline que ses 47 ans de coups n’auront pas servi à rien et qu’ils ont été entendus. C’est son histoire qui a déclenché tout ça. C’est l’histoire de trop.

https://youtu.be/i7rp9wv8bTY

horreur

Publié à 11:33 par fandeloup Tags : vie sur chez nature place maison rouge
horreur

Océane est abattue…  Une ceinture de pantalon passée trois fois autour de son cou… Tiens bon, nous allons te sauver !

Océane vient d’être trouvée, dans un état… lamentable. Son corps est couvert de croutes purulentes et sanglantes, sa peau est rouge et épaissie à plusieurs endroits. Ses poils sont tombés, la peau est à vif.

Sa peau est tellement rongée que des morceaux de chair sont tombés de ses oreilles et ses pattes, comme on peut le voir sur la vidéo ci-dessous. Une ceinture de pantalon a été passée 3 fois autour de son cou.

Elle servait de collier de fortune pour la maintenir attachée quelque part.

OCEANE

Océane est sociable et connaît l'humain. Elle a certainement été larguée dans la nature par son maître. Pour un staff, elle est d'une maigreur extrême. Jenny, la présidente de l'association Secours Protection Animale Marie-Galante et Guadeloupe, nous raconte le sauvetage de cette malheureuse chienne prise en charge le 29 septembre dernier.

« Océane dépérissait dans la rue. Elle a été signalée il y a une dizaine de jours par une dame qui pensait qu'elle avait été victime de combats de chiens à cause de sa peau ensanglantée. J'ai envoyé Fabienne ma bénévole de sur place pour la récupérer, mais entre temps, la chienne s'était déplacée. Le site est dense en végétation et au bout de quelques heures la chienne était introuvable. Fabienne y est retournée chaque jour pendant la semaine dans l'espoir de la trouver et samedi, une dame nous a signalé Océane complètement épuisée devant l'entrée de sa maison . Elle m'a appelée et nous sommes allées la récupérer dans un état squelettique, des plaies suintantes partout sur le corps. A quelques jours près, Océane n'aurait pas survécu. Elle est gravement déshydratée, très faible, anémiée. Sa démodécie est impressionnante. Notre priorité est de l'emmener rapidement chez le vétérinaire pour apaiser ses douleurs. Nous espérons qu'elle n'a pas également la dirofilariose. »

Océane a été conduite chez le vétérinaire après avoir été prise en charge par l'association Secours Protection Animale Marie-Galante et Guadeloupe. Elle souffre d'une sévère démodécie purulente. Ses pattes sont notamment très irritées.

Par chance, Océane est négative à la dirofilariose. Elle a besoin d'antibiotiques, d'anti-inflammatoires et d'un shampooing pour la peau. Il faut également la déparasiter aussi bien de manière interne qu'externe. Par ailleurs, Océane est gravement anémiée

. Elle est très faible. Pour rapidement lui redonner des forces et combler ses carences, elle a besoin d'une alimentation composée de poulet cru. Il faut lui fournir cette alimentation spécifique pendant au moins un mois. Quand Océane ira mieux, il faudra la mettre en conformité. Elle n'est ni identifiée ni stérilisée.

Elle est actuellement en chaleur et a été isolée au sein de sa famille d'accueil. Une convalescence de deux mois est nécessaire dans un espace clos. Après sa guérison et sa mise en conformité, Jenny, la présidente de l'association, souhaite envoyer Océane en métropole pour lui trouver une famille pour la vie. En Guadeloupe, elle n'a aucun avenir et les chiens de type staff comme elles ne sont pas du tout appréciés.

Cette jeune chienne n'a que un an et a toute la vie devant elle. Jenny souhaite lui donner une chance. 

https://youtu.be/yYyGailQiYs