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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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bac

Publié à 10:33 par fandeloup Tags : blog internet travail vie
bac

Dix choses à faire si vous ne trouvez pas de travail après vos études

1. Restez optimiste

2. Réduisez votre train de vie

3. Passez du temps à entretenir votre réseau

4. Retournez à l’école

5. Occupez-vous

6. Élargissez vos critères de recherche

7. Continuez à améliorer vos compétences

8. Faites du volontariat ou des stages

9. Démarrez votre entreprise

10. Créez votre blog ou votre site internet



chomage

Publié à 17:40 par fandeloup Tags : voyage mode travail carte
chomage

Perte d’emploi & Assurances :

comment faire baisser vos charges Savez-vous qu’en cas de perte d’emploi, il est possible de renégocier un certain nombre de vos contrats d’assurance ? Revue de détail. La première étape, quelle que soit votre situation, est de vous inscrire à Pôle emploi afin d’obtenir le statut de demandeur d’emploi. Que vous soyez éligible ou non à une indemnisation de Pôle emploi au titre de l’assurance chômage, c’est ce statut qui vous permettra de faire reconnaître officiellement votre statut de demandeur d’emploi. En effet, la perte de votre emploi correspond à un changement de situation. Si cette dernière a un lien avec les assurances souscrites, il vous sera possible de les résilier. « A partir du moment où il y a un changement du risque, le bénéficiaire peut tout à fait résilier son contrat d’assurance », confirme Stanislas di Vittorio, fondateur d’Assurland.com.

Perte d’emploi et assurance automobile

Outre l’assurance emploi qu’offrent désormais certains concessionnaires pour l’achat d’un véhicule neuf (c’est ce qu’on appelle du marketing de crise), sachez que vous pouvez dans résilier votre assurance auto en cas de perte d’emploi… à une condition : il faut que cette assurance vous couvre pour le trajet domicile-travail. « Car si le titulaire du contrat était assuré pour le trajet domicile-travail, la perte de son emploi représente un réel changement de risques », insiste Stanislas di Vittorio. Il faut alors résilier directement auprès de votre assureur, dans les 3 mois suivants la perte d’emploi, par lettre avec accusé de réception. En revanche, si votre contrat d’assurance auto/moto ne prévoyait qu’un usage privé, impossible de résilier avant la date d’échéance normale sans pénalité.

Perte d’emploi et complémentaire santé

En termes de complémentaire santé, là encore, si vous bénéficiez d’un contrat individuel, la perte d’emploi ne justifie pas la résiliation anticipée. En revanche, si vous bénéficiez d’une mutuelle via votre employeur, vous pouvez résilier ce contrat d’assurance santé dès votre départ. Afin, par exemple, de rejoindre le contrat de santé de votre conjoint. Mais ce n’est pas une obligation : vous pouvez si vous le souhaitez continuer d'en bénéficier durant 9 mois, puis éventuellement demander le changement de votre « contrat collectif » en « contrat individuel ». Ce n’est pas toujours très avantageux financièrement.

Assurance carte bancaire

Petite astuce, enfin : sachez que la majorité des contrats de cartes bancaires prévoit qu’un licenciement économique (du titulaire ou de son conjoint) permet de faire jouer l’assurance annulation d’un voyage . Evidemment, il ne faut pas que la procédure de licenciement ait été engagée avant l’achat du voyage.

Assurance maintien de salaire : mode d’emploi

Ce contrat d’assurance promet aux salariés du privé âgés de 18 à 59 ans le maintien de leurs revenus en cas de licenciement ou d’arrêt de travail prolongé (au moins 60 jours). La durée d’indemnisation progresse en fonction de la durée de détention du contrat et peut aller jusqu’à 2 ans. Les cotisations mensuelles se calculent en fonction des tranches de revenus et peuvent être ajustées selon l’évolution de la rémunération. Mais avant de souscrire à l’offre d’un assureur ou d’un banquier, vérifiez le délai de carence. C’est-à-dire le nombre de jours à partir duquel vous pouvez faire jouer la garantie. Selon les offres, ce délai oscille entre 6 et 12 mois. Soyez également vigilant sur la durée d’indemnisation : entre 12 et 72 mois. A vous de calculer la probabilité de votre durée de chômage. Enfin, certains contrats excluent le chômage partiel donc soyez vigilant. Le contrat doit à la fois être adapté à votre secteur d’activité et à votre profil professionnel.



plainte

Publié à 14:06 par fandeloup Tags : mort femme animaux
plainte

Gard : des poneys maltraités à Quissac, le maire porte plainte.

Des poneys, comme celui-ci, maltraités par leur propriétaire qui s'est depuis volatilisé. (WILLIAM TRUFFY)

Un poney mort des suites de maltraitances d'un propriétaire indélicat, un autre a été racheté par une jeune femme pour être soigné.

Le propriétaire a disparu avec le reste de ses animaux , le maire de Quissac a porté plainte pour maltraitance ayant entraîné la mort.

Le petit poney nouveau-né était mourant et son compagnon à quatre pattes était dans un état tout aussi lamentable.

À Quissac, l’état de ces poneys accompagnés de leur maître proposant des promenades a ému la population rassemblée pour la fête du Calimero, les 21, 22 et 23 juin.

Le petit poney le plus mal au point a été retrouvé sur les berges du Vidourle.

Il n’a pas survécu. Le poney mort, pesant moins de 40 kg, a été enterré par les services municipaux dans une fosse garnie de chaux vive, après que le maire a obtenu les autorisations nécessaires. Le second poney a été racheté par une jeune femme qui l’a confié aux bons soins d’une tierce personne.

L’animal est bien soigné mais est loin d’être tiré d’affaire selon sa nouvelle maîtresse qui souhaite garder l’anonymat.

Les autres animaux ont été embarqués par le propriétaire mal intentionné qui s’est, depuis, volatilisé.

Le maire a porté plainte pour maltraitance envers les animaux, ayant entraîné la mort.

La propriétaire de l’animal rescapé s’est portée partie civile.



peche

Publié à 11:48 par fandeloup Tags : vie mort news
peche

Un poisson vieux de 200 ans pêché en Alaska.n gigantesque sébaste, pesant près de 18 kilos et mesurant plus d’un mètre de long, a été pêché en Alaska le mois dernier. Ce que l’homme à l’origine de cette prise record ignorait au moment de remonter la bête, c’est que cette dernière était âgée de deux siècles, selon la presse locale. © ap. Agée de deux cents ans selon Troy Tidingco, du ministère de la pêche et de la chasse de l’Alaska, cette étrange créature de 104 cm a été pêchée dans les profondeurs de la baie de Sitka. Détail amusant: l’animal serait donc plus vieux que l’Alaska lui-même, l’Etat ayant été acquis par les Etats-Unis en 1867. Des analyses plus poussées doivent encore être effectuées afin de déterminer son âge exact. La prise de ce pêcheur de l’extrême, Henry Liebman, expert en assurances à Seattle dans la vie civile, a fait bondir de nombreux twittos, note The New York Daily News, ceux-ci fustigeant la mise à mort d’un spécimen aussi âgé.



retraites

Publié à 13:59 par fandeloup Tags : enfants revenu solidarité
retraites

Retraités, combien pourrait vous coûter la fin de vos avantages fiscaux ?

Coup de massue fiscal en vue pour les retraités. Remis au gouvernement le 14 juin afin de préparer la réforme des retraites, le rapport Moreau préconise un alignement de la CSG sur celle des salariés et la fin de l'abattement de 10% sur les pensions.

Deux mesures qui risquent de plomber le pouvoir d'achat des retraités les plus aisés, comme le montrent nos simulations.

Une fois de plus, les niches fiscales dont bénéficient les retraités sont sur la sellette.

Le rapport Moreau propose en effet d'aligner la CSG des retraités sur celle des salariés et de réduire l'abattement de 10% sur leurs pensions, deux dispositifs déjà pointés du doigt par la Cour des Comptes en octobre dernier.

Actuellement, les retraités payent en effet un taux de CSG moins élevés que les salariés. Les pensions de retraite supportent 6,6% de CSG (contre 7,5% de CSG pour les revenus d’activité), à laquelle s'ajoute 0,5% de CRDS, 0,3% de contribution de solidarité pour l'autonomie et, uniquement pour les régimes complémentaires, 1% au titre de l'assurance maladie.

L'une des pistes préconisées par le rapport Moreau serait d'aligner ce taux plein sur celui des salariés, ce qui permettrait de réaliser une économie évaluée à 1,8 milliard d'euros en 2014, et même 2 milliards en 2020. Au total, 49% des retraités seraient ainsi concernés par cette hausse.

A noter toutefois, que la Commission pour l'avenir des retraites a proposé d'épargner les 12% de retraités qui bénéficient du taux réduit à 3,8% et ceux qui sont exonérés de CSG.

Ces retraités qui payent la CSG et ceux qui y échappent Autre ristourne fiscale qui risque fort de passer à la trappe : l'abattement de 10% sur les pensions, dont bénéficient les retraités pour le calcul de leur impôt sur le revenu.

Il avait d'ailleurs été épinglé par la Cour des Comptes, pour qui cet abattement pour frais professionnels n'est plus justifié, les retraités n’ayant plus à supporter ce type de dépenses.

Compris entre un minimum de 374 euros par retraité et un maximum de 3.660 euros par foyer fiscal, ce dispositif profite pourtant à environ 7 millions de foyers fiscaux chaque année.

L'une des pistes suggérées par la Commission pour l'avenir des retraites est de diminuer le taux de cet abattement à 7%, 5% ou 3%. Soit des recettes supplémentaires estimées, selon le taux choisi, à 1,6 milliards, 2,7 milliards d'euros et même 3,8 milliards d'euros par an dès 2014.Les avantages fiscaux dont bénéficient les retraités sur la sellette

Mais combien coûterait la fin de tels avantages fiscaux aux retraités ?

Pour le savoir, nous avons demandé au cabinet de conseil Optimaretraite de chiffrer le manque-à-gagner.

Pour réaliser nos calculs, nous avons pris l'exemple de deux retraités, ayant fait toute leur carrière dans le privé en tant que salariés.

Nous avons appliqué l'hypothèse la moins favorable, à savoir un abattement réduit à 3% sur les pensions pour le calcul de l'impôt sur le revenu.

Premier exemple : un retraité percevant une pension brute annuelle de 17.842 euros

Pension brute du régime de base :13.750 euros

Total régimes complémentaires bruts : 4.092 euros

La hausse de la CSG à 7,5% coûterait 161 euros par an à ce retraité. Il devrait par ailleurs payer 57 euros d'impôts sur le revenu supplémentaires, compte tenu du passage de l'abattement de 10% à 3% à déduire de ses revenus.

Au total, le manque-à-gagner se chiffre à 218 euros par an.

* Le taux global de CSG comprend un taux de CSG non déductible et un taux de CSG déductible. (1) Taux de remplacement (hors charges sociales sur salaire et prélèvements sociaux sur retraite) = voir la définition dans notre lexique Retraite

Second exemple : un retraité percevant une pension brute annuelle de 35.422 euros

Pension brute du régime de base : 14.880 euros

Total régimes complémentaires bruts : 20.542 euros

Pour ce retraité plus aisé, l'impact de telles mesures fiscales est encore plus notable.

Au total, il perdait chaque année 935 euros de revenus. Il payerait 319 euros de CSG supplémentaire, et 616 euros d'impôts sur le revenu en plus.

* Le taux global de CSG comprend un taux de CSG non déductible et un taux de CSG déductible. (1) Taux de remplacement (hors charges sociales sur salaire et prélèvements sociaux sur retraite) = voir la définition dans notre lexique Retraite

Et la facture pourrait s'avérer encore plus salée pour les pères et les mères de familles nombreuses.

Le rapport Moreau suggère en effet de fiscaliser la majoration de pension de 10% dont bénéficient les parents de 3 enfants et plus.

Trop cher (890 millions d'euros chaque année) selon le rapport Moreau, qui préconise de la soumettre à l'impôt sur le revenu.

Ce qui engendrerait mécaniquement une hausse d'impôts pour les retraités concernés.



tva

Publié à 19:01 par fandeloup Tags : cadre vie enfants article france création revenu
tva

TVA, quotient familial, taxe à 75%... quoiqu'en dise François Hollande, les ménages vont encore voir leur facture fiscale s'alourdir l'an prochain.

"Nous n’alourdirons pas la pression fiscale des Français", a répété le chef de l'Etat ce lundi matin dans les colonnes du quotidien Ouest-France. Pourtant, plusieurs hausses d'impôts ont déjà été annoncées par l'exécutif pour 2014. Et d'autres devraient suivre…

1. Les hausses déjà annoncées > Le quotient familial raboté

Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a annoncé début juin un nouveau coup de rabot sur le quotient familial. L'avantage fiscal tiré de ce mécanisme, qui consiste à diviser les revenus imposables du ménage par un nombre de parts, va être réduit à 1.500 euros par demi-part supplémentaire en 2014, contre 2.000 euros actuellement et 2.336 euros en 2012. Certes, seuls les contribuables les plus aisés seront touchés. Mais cela affectera très fortement les familles nombreuses, comme l'ont démontré nos simulations. Par exemple, un célibataire avec 4 enfants à charge, déclarant 83.300 euros de revenus, devra payer 8.392 euros d'impôt sur le revenu avec le futur plafond, contre 5.392 euros avec l'actuel. Soit une hausse de 55,64%.

 La TVA relevée

Afin de financer en partie la réduction des charges des entreprises (le fameux crédit d'impôt compétitivité emploi), le gouvernement a prévu de relever la TVA. Le taux normal va passer de 19,6 à 20% et le taux intermédiaire (valable pour la restauration, les travaux de rénovation…) de 7 à 10%. Seul le taux réduit, qui s'applique notamment aux produits de première nécessité (alimentation, boissons non alcoolisées…) sera ramené de 5,5 à 5%. Pour l'anecdote, rappelons que François Hollande avait fait annuler au début de son mandat la "TVA sociale" de Nicolas Sarkozy, qui prévoyait de relever le taux de 19,6 à 21,2%.

> La fiscalité écologique alourdie

C'est l'autre source de financement du crédit d'impôt compétitivité emploi. L'exécutif est censé élaborer une nouvelle fiscalité écologique, afin de générer 3 milliards d'euros de recettes supplémentaires. Parmi les pistes explorées : l'alignement des taxes sur le diesel, qui bénéficie actuellement d'un régime de faveur, sur celles de l'essence. Mais cette solution est pour l'instant exclue par Bercy, du moins pour 2014.

> Les niches fiscales encore rabotées

Le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, l'a confirmé en avril : il y aura encore des coupes réalisées sur les niches fiscales en 2014. Le gouvernement a le choix, parmi les 433 dispositifs recensés. Pour trouver l'inspiration, il pourra toujours consulter le récent rapport de la Cour des comptes sur la situation des finances publiques, dans lequel les magistrats ont listé plusieurs avantages au coût prohibitif ou dont l'utilité est contestée.

> Les très hauts salaires taxés à 75%

Après de multiples tergiversations, la fameuse taxe à 75% sur les hauts revenus, promesse de campagne de François Hollande, verra bien le jour. Il s'agira d'une contribution payée directement par les employeurs, sur la fraction du salaire supérieure à 1 million d'euros. Cette mesure, qui doit être intégrée au budget 2014, selon Pierre Moscovici, est vivement contestée par les clubs de football, pour qui l'addition risque d'être salée, comme nous l'avions expliqué dans un récent article.

Les mesures à venir> Les avantages fiscaux des retraités menacés

Le gouvernement osera-t-il toucher aux petits privilèges dont bénéficient encore les retraités ? En tout cas, les appels en ce sens se multiplient. Récemment, le rapport Moreau a notamment suggéré d'aligner la CSG payée par les retraités (6,6%) sur celles des salariés (7,5%) et de supprimer l'abattement de 10% sur les pensions dans le cadre de l'impôt sur le revenu. Deux avantages déjà pointés du doigt par la Cour des comptes. La suppression de ces dispositifs coûteraient cher aux personnes concernées : pour un retraité touchant une pension de 35.422 euros par an, le manque-à-gagner annuel se chiffrerait à 935 euros, d'après nos simulations. Lire aussi : Retraités, combien pourrait vous coûter la fin de vos avantages fiscaux

 > La fiscalité de l'assurance vie devrait être retouchée

François Hollande a confirmé en mai que l'assurance vie serait réformée dans le cadre du projet de loi de finances 2014. Pour ce faire, l'exécutif devrait s'inspirer des propositions du rapport Berger-Lefebvre sur l'épargne, publié en avril. Les deux députés suggèrent notamment la création de nouveaux contrats, plus risqués. Les ménages possédant plus de 500.000 euros d'assurance vie seraient obligés d'y investir pour pouvoir bénéficier de la taxation à 7,5% des intérêts au bout de huit ans de détention.

Autre piste : la réduction des avantages liés à la succession.

Actuellement, les sommes versées sur un contrat d'assurance vie avant les 70 ans du titulaire peuvent être transmises en toute franchise de droits, jusqu'à 152.500 euros. Le rapport suggère d'aligner cet abattement, ou tout du moins de le rapprocher de celui applicable aux donations en ligne directe, qui a été réduit l'an dernier de 159.325 euros à 100.000 euros.



fin

Publié à 19:44 par fandeloup Tags : société vie mort
fin

Fin de vie : «Un projet de loi sans doute à la fin de l'année» selon Hollande.

C'était une promesse du candidat Hollande : une grande réforme sur la fin de vie. Après la remise du rapport Didier Sicard en décembre dernier, l'avis du comité consultatif d'éthique était attendu en avril et un projet de loi prévu initialement en juin.

Finalement, le CCNE a rendu ses conclusions publiques ce lundi 1er juillet : il recommande de ne pas légaliser l'assistance au suicide, ni l'euthanasie.

En revanche, il propose plusieurs pistes pour améliorer la prise en charge des malades.

De son côté, le président de la République a promis qu'il y aurait «un projet de loi sans doute à la fin de l'année» sur ce sujet. «Le comité national d'éthique a souhaité ouvrir un débat public national, c'est également ma démarche.

Donc au terme de ce débat il y aura, sans doute à la fin de l'année, un projet de loi» qui «complètera, améliorera la loi Leonetti», a annoncé lundi François Hollande, en marge de la visite d'un hôpital à Lorient.

Le chef de l'Etat a souligné que le comité national d'éthique, qui lui a remis ses travaux ce jour, avait ouvert «des pistes de réflexion particulièrement intéressantes, notamment sur les soins palliatifs, l'accompagnement de la fin de vie».

Les réserves du comité d'éthique sur l'euthanasie «La majorité des membres du comité expriment des réserves majeures et recommandent de ne pas modifier la loi actuelle, estimant qu’elle opère une distinction essentielle et utile entre laisser mourir et faire mourir, même si cette distinction peut, dans certaines circonstances, apparaître floue.

Ils considèrent que le maintien de l’interdiction faite aux médecins de provoquer délibérément la mort protège les personnes en fin de vie, et qu’il serait dangereux pour la société que des médecins puissent participer à donner la mort.»

Sur la question de l’assistance au suicide, le CCNE considère également «que cette légalisation n’est pas souhaitable». Il estime qu'autoriser l'«aide active à mourir» pourrait être perçue par des personnes malades et vulnérables comme un risque de ne plus être soignées.

Le comité veut améliorer la prise en charge des personnes en fin de vie .S'il n'est pas favorable à ce que le Parlement légalise l'euthanasie ou le suicide assisté, le Comité propose plusieurs pistes pour aider accompagner les malades en fin de vie.

D'abord, il souhaite que les «directives anticipées» de fin de vie émises par un patient atteint d'une maladie grave, rédigées en présence d'un médecin traitant, deviennent «contraignantes pour les soignants sauf exception dûment justifiée par écrit».

A l'heure actuelle, la loi ne les considère que comme des «souhaits» et ce sont les médecins qui, au final, décident.

Ensuite, il recommande de respecter le droit d'une personne en fin de vie à être endormie jusqu'au décès si elle le souhaite, et quand les traitements, voire l'alimentation et l'hydratation ont été interrompus à sa demande.

Il souligne aussi la nécessité de «rendre accessible à tous le droit aux soins palliatifs, un droit reconnu par le législateur depuis quatorze ans» et de développer ces soins «à domicile».

Le malade et ses proches doivent aussi être associés «pleinement» à toutes les décisions concernant sa fin de vie.

Le Comité conseille aussi de renforcer la formation des soignants, pour développer «l'écoute» et le «dialogue».

Enfin, le CCNE considère que «la réflexion sur la fin de la vie n'est pas close» et «doit se poursuivre sous forme de débat public».



zone

Publié à 18:22 par fandeloup Tags : carte vie homme mer 2010
zone

Une zone recouvrant l'équivalent de la moitié de la surface de la Suisse et où ne subsiste aucune vie a été repérée dans le Golfe du Mexique.

Elle est due aux engrais de l'agriculture américaine qui se déversent dans la mer.

C'est un phénomène inquiétant qui frapperait actuellement le Golfe du Mexique. Une énorme zone morte, de la taille de la moitié de la Suisse, est en train de se former dans les profondeurs de cette mer intérieure entre les USA et le Mexique.

Elle serait la conséquence du ruissellement des eaux de pluie et des inondations particulièrement importantes ce printemps dans le Midwest américain.

Celles-ci auraient charrié dans la mer des quantités très importantes d'azote et de phosphore issus des engrais de l'industrie agricole.

Ces produits auraient ensuite permis à des algues géantes de proliférer, des algues qui ont ensuite étouffé les autres organismes marins, rapporte le site du National Geographic.

Selon les prévisions des universités de Louisiane et du Michigan, qui étudient le phénomène avec le «National Oceanic and Atmospheric Administration» des Etats-Unis, la zone aurait une taille estimée à plus de 20'000 km2. Un pareil phénomène avait déjà été observé en 2002.

Mais il serait encore plus important cette année. Ces zones mortes seraient courantes en été à la sortie des estuaires des grands fleuves américains, que ce soit dans les océans ou même les grands lacs. Mais l'Europe n'est pas épargnée, puisque la plus grande zone sans vie jamais enregistrée avait été repérée en 2010 dans les eaux de la mer Baltique, selon le National Geographic.

Une mer qui abrite à elle seule au moins 7 des 10 plus grandes zones mortes de la planète...

Les points noirs correspondent aux zones mortes dans cette carte de 2008.

Lourdes conséquences sur la biodiversité Le phénomène a de lourdes conséquences pour les écosystèmes marins.

Il tue en effet la faune qui colonise les fonds océaniques, comme les crustacés, les moules ou les vers. Or, cette nourriture d'ordinaire abondante fait le bonheur des poissons qui se trouvent ainsi privés de leur habitat de prédilection.

Des études conduites en mer Baltique et aux États-Unis depuis la fin des années 1990 montrent que nombre de poissons, dont on pourrait imaginer qu'ils puissent facilement fuir ces zones sans oxygène, y perdent rapidement connaissance et meurent asphyxiés.

Et les homards ou les crevettes ne sont pas assez rapides pour se déplacer et meurent également inéluctablement.

Le phénomène est temporaire. S'il se produit surtout en été, il ne se reproduit pas toutes les années.

Et la réversibilité semble possible. Mais le retour à la normale prend beaucoup de temps.

Il nécessite cependant que l'homme intervienne à la source du problème, soit les produits chimiques utilisés dans l'agriculture.

Et là, le pari est loin d'être gagné...



horoscope

Publié à 10:48 par fandeloup Tags : enfant argent
horoscope

C'est l'été ! Grâce à votre horoscope d'été 2013, découvrez tout ce qui vous attend pendant vos vacances !

Votre couple vivra-t-il des moments chauds sur la plage ?

Sous quel parasol se cache votre âme sœur ?

Rentrerez-vous dans votre maillot de bain ?

Serez-vous zen tout l'été ?

Et plus encore : enfant, argent, travail… et bien sûr, messieurs, vous n'êtes pas oubliés !

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éolienne

Publié à 10:02 par fandeloup Tags : bretagne vie monde fond france mer société cadre bébé concours
éolienne

Futur :

une énergie verte à contre-courant Le développement des hydroliennes, déclinaison sous-marine des éoliennes, est le nouveau pari pour produire de l’électricité écolo. GDF-Suez et EDF sont déjà sur les rangs.

On reproche souvent aux éoliennes de gâcher le paysage… Pourquoi alors ne pas les immerger sous les flots, et profiter des mouvements de l’océan pour produire une électricité non-polluante et renouvelable ?

En France et au Royaume-Uni, plusieurs projets vont faire de cette idée une réalité.

Au large des côtes bretonnes et normandes, plusieurs sites traversés par de puissants courants marins vont ainsi servir de lieu d’expérimentation, à petite puis grande échelle, de parcs hydroliens.

Au Royaume-Uni, qui dispose également de courants marins exploitables, tout particulièrement en Ecosse, plusieurs projets vont voir le jour.

Le plus avancé d’entre eux, soutenu par les autorités écossaises, est celui du constructeur de turbines Andritz Hydro Hammerfest et de l’énergéticien ScottishPower.

D’ici à 2015, un parc de dix hydroliennes sera créé dans le détroit séparant l’île d’Islay des côtes de Grande-Bretagne.

Alimenter en électricité 500 000 foyers

« Le principal avantage de cette énergie, explique Jean-François Daviau, président de Sabella, une start-up de Quimper associée dans l’aventure au groupe français GDF-Suez, c’est que, contrairement à l’éolien, elle est prédictible puisque le mouvement et la force des marées sont calculés des mois à l’avance. »

Dans le cadre d’un partenariat avec GDF-Suez, Sabella envisage ainsi d’installer, à l’horizon 2020, entre 200 et 300 hydroliennes au large de la Bretagne!

Déposées dans le fond du passage du Fromveur, entre l’île d’Ouessant et l’archipel de Molène, et par 55 mètres de profondeur, ces machines auraient une capacité totale d’environ 500 mégawatts, de quoi alimenter en électricité 500 000 foyers.

Si la PME bretonne a déjà immergé sa première hydrolienne, les ingénieurs doivent encore perfectionner les rotors de ses hélices.

Son modèle actuel, la D10, est composé d’une hélice de 10 mètres de diamètre, fixée sur une structure pour une hauteur totale de 17 mètres.

Ce beau bébé de 500 tonnes s’ancre et se stabilise de lui-même grâce à sa masse.

Il sera immergé d’ici à la fin de l’année avec le concours de Veolia et de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer), à 2 kilomètres des côtes d’Ouessant pour y être raccordé au réseau électrique de l’île.

Fin 2015, cinq machines approvisionneront les 870 habitants. Cette ferme hydrolienne pilote deviendra ensuite une ferme commerciale, qui abritera plus d’une centaine de machines branchées sur le continent grâce à des câbles.

« Nous devons acquérir plus d’expérience sur la résistance de l’hydrolienne à de longues immersions », souligne Jean-François Daviau.

De son côté, EDF table sur le fait que l’énergie hydrolienne pourrait dans les dix ans alimenter en électricité 3 à 4 millions de foyers français.

Avec un prix au kilowatt/heure proche de celui du marché – actuellement d’environ 0,12 euro du kilowatt/heure –, donc commercialisable.

C’est au large de Paimpol, à proximité de l’île de Bréhat dans les Côtes-d’Armor, que l’entreprise teste ses machines.

Là, pas d’hélice mais une turbine. L’Arcouest, c’est son nom, est fabriquée par l’Irlandais OpenHydro, depuis peu passé sous le contrôle de l’entreprise française de défense navale DCNS, gérée par l’État.

« Arcouest mesure 10 mètres de diamètre pour un poids approchant les 1 000 tonnes, détaille Frédéric Le Lidec, son directeur aux énergies renouvelables. Sur le site de Paimpol-Bréhat, elle aura une capacité de production de 0,5 mégawatt. »

Testée une première fois entre octobre 2011 et janvier 2012, elle retrouvera cet été le fond de l’océan et sera raccordée à la terre ferme via un câble de 15 kilomètres.

Si cette nouvelle phase d’essai est concluante, trois autres Arcouest viendront lui tenir compagnie en 2015. Coût global du projet : 40 millions d’euros.

Plus performant et plus écologique qu’une centrale nucléaire

DCNS compte développer aussi d’autres hydroliennes un peu plus au nord, près des côtes de la presqu’île du Cotentin.

Le passage du raz Blanchard y abrite en effet un des courants maritimes les plus puissants au monde.

« Avec une vitesse de 9 mètres par seconde, c’est l’endroit qui a le plus de potentiel hydrolien en France, assure Frédéric Le Lidec.

On pourrait y produire en électricité 3 000 mégawatts, l’équivalent de deux EPR (réacteur pressurisé européen, NDLR) », poursuit-il en évoquant la future centrale nucléaire de Flamanville, à quelques kilomètres de là.

Pour qu’une ferme pilote émerge sur le site en 2017, l’Etat va bientôt lancer un appel d’offres. Dans la foulée, DCNS pourrait ouvrir à Cherbourg une usine de fabrication d’hydroliennes.

Des deux côtés de la Manche, de nombreux points restent à préciser lors des phases d’essai des fermes pilotes.

L’entretien, par exemple :tous les cinq à dix ans, selon les modèles, les hydroliennes devront être extraites de l’eau grâce à des grues ou des treuils, puis transportées en bateau jusqu’à la terre ferme pour y être réparées.

Par ailleurs, il est difficile d’estimer quels dégâts peuvent provoquer sur les machines la poussée continue du courant, l’usure causée par les sédiments ou la colonisation des hélices et turbines par la vie sous-marine.

Autre inconnue, leur impact environnemental. « Il est trop tôt pour dire avec certitude si les hydroliennes n’ont aucun effet négatif, insiste Marc Le Boulluec, chercheur à l’Ifremer.

Le sillage tourbillonnaire peut modifier le fond marin, ou affecter la faune, tout comme le bruit ou les ondes électromagnétiques que les hydroliennes produisent. »

En revanche, aucun danger pour les poissons, qui ne risquent pas d’être découpés en sashimis !

Surfer sur l’énergie des vagues

L’hydrolien n’est pas la seule source d’électricité renouvelable et écologique que les courants marins peuvent nous offrir.

L’énergie « houlomotrice », également appelée énergie des vagues, utilise la puissance et le mouvement de l’eau à la surface, pour produire de l’électricité.

Développé par la société écossaise Pelamis Wave Power, le prototype d’« houlomoteur » le plus avancé est composé de quatre cylindres flottants assemblés entre eux, d’une longueur totale de 170 mètres.

Sous l’action des vagues, des vérins situés au niveau des articulations de ce « serpent » propulsent un fluide qui vient actionner une turbine produisant de l’électricité.

Il a déjà été testé au Royaume-Uni en 2004 et l’est depuis 2009 au Portugal. Un modèle devrait être installé prochainement à l’île de La Réunion.



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