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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Plus de 50 députés de la majorité déposeront deux amendements visant à instituer une CSG progressive afin d'introduire plus de justice fiscale dans le futur projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2014 qui sera examiné début octobre.
Proches de quatre courants du PS, ils estiment que cette mesure "permettrait de rendre, de manière substantielle, du pouvoir d'achat aux catégories populaires et moyennes sans accroître le déficit public".
Déplorant que leurs propositions en faveur d'une grande réforme fiscale n'aient pas été retenues dans les premiers arbitrages du budget 2014, les signataires disent soutenir l'élargissement du mécanisme de décote de l'impôt sur le revenu proposé par le Premier ministre.
Mais ils entendent "aller plus loin sur le terrain du pouvoir d'achat". Avec une CSG progressive, un couple marié, rémunéré au smic, avec deux enfants à charge, verrait son pouvoir d'achat augmenter de près de 75 euros par mois, affirment-ils.
Les 52 premiers signataires du texte pour une CSG progressive font partie de quatre courants de l'aile gauche du PS, dont "Un Monde d'Avance", animé par le ministre délégué à l'Economie sociale et solidaire Benoît Hamon.
S'y ajoutent "Gauche populaire", dont le chef de file est Laurent Baumel, "Maintenant la gauche", conduit par Emmanuel Maurel, et "Gauche Durable", animé par Christian Paul. Le co-président du groupe Europe écologie-Les Verts (EELV), François de Rugy, l'a également signé
Bernard Accoyer favorable à l’abattage des bouquetins du Bargy
Pour Bernard Accoyer, l’abattage de tous les bouquetins du Bargy est indispensable, compte tenu du risque économique et sanitaire que ferait courir une épizootie de brucellose parmi les troupeaux.
Bernard Accoyer estime qu’il faut abattre tous les bouquetins du Bargy, au nom du principe de précaution, pour éviter le risque de transmission de la brucellose aux troupeaux et aux humains.
Il l’a écrit ce samedi au Premier ministre Jean-Marc Ayrault.
Le député UMP de Haute-Savoie s’inquiète des positions prudentes prises par le Conseil national de protection de la nature(CNPN) et par l’Agence nationale sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail(ANSES).
Tous deux considèrent en effet qu’un abattage sélectif des animaux malades serait préférable.
En s’adressant directement à Matignon, Bernard Accoyer espère faire pencher la balance en faveur du préfet de la Haute-Savoie, qui avait formulé, en juin, une demande d’éradication de tous les bouquetins présents sur ce massif.
C’est à ce titre que le CNPN, instance consultative, a rendu mercredi un avis négatif. « L’éradication-réintroduction est la seule mesure à prendre »Le député estime pour sa part que « l’éradication-réintroduction est la seule mesure à prendre », face à l’importance de l’épizootie mais aussi à son caractère très circonscrit. « Le taux d’infestation des bouquetins du Bargy par la brucellose est de 40 % et de 25 % chez les jeunes, ce qui est absolument énorme », remarque Bernard Accoyer.
Selon lui, une transmission aux troupeaux de bovins mettrait en péril tout un pan de l’économie haut-savoyarde, voire nationale. « Notre pays est déclaré indemne de brucellose, ce qui n’a pas toujours été le cas.
Ce statut nous permet d’exporter notre viande et notre lait. Le garder est un enjeu vital pour ces filières » appuie-t-il. Enfin, le médecin s’inquiète des possibles conséquences sur la population humaine.
La brucellose se transmet très rarement, mais lorsque cela se produit, « c’est une maladie grave car difficile à diagnostiquer, qui provoque des infections des os -ostéites- et des articulations -arthrites-, avec des séquelles » expose Bernard Accoyer.
La gigantesque opération de redressement de l'épave du Costa Concordia a commencé.
Elle a pris du retard ce lundi matin sur la petite île toscane du Giglio en Italie. Des orages ont «empêché de mettre en place dans la nuit la structure flottante, la barge, sur laquelle devait être installée la salle de contrôle», a expliqué le chef de la protection civile et responsable du projet, Franco Gabrielli.
Le Costa Concodia a fait naufrage le 13 janvier 2012, faisant 30 morts et deux disparus. Le capitaine du navire, Francesco Schettino, a été mis en cause dans la gestion du drame. Son procès doit se poursuivre à partir du lundi 23 septembre.
La compagnie Costa a été condamnée à un million d'euros d'amende. C'est sa maison mère, l'Américain Carnival, qui débourse les 600 millions d'euros nécessaires aux opérations de redressement.
500 personnes sont à pied d'œuvre pour cette première mondiale. Elles sont sous les ordres du spécialiste mondial en renflouement, le sud-africain Nick Sloane.
C'est en effet la première fois qu'un tel exploit est tenté sur un bateau aussi grand (long de près de 290 mètres, haut comme un immeuble de dix étages, le flanc droit couché sur des rochers).
L'ex-palace flottant va être vidé de toute présence jusqu'à ce qu'il soit sécurisé, avant d'éventuelles visites des enquêteurs dépêchés par le parquet de Grosseto, toujours à la recherche des corps de deux disparus, une passagère italienne et un serveur indien.
Congo : Un massacre de masse se déroule en ce moment dans l’indifférence générale
Le Congo subit en ce moment un des génocides les plus meurtriers que l’humanité ait connut, et tout ça, dans la plus grande indifférence générale.
En effet, depuis plus de 13 ans, on dénombre plus de 6 millions de victimes
. Un conflit oublié par les médias mainstream…
Un scandale humanitaire se déroule là-bas, ignoré de tous et ceux qui savent ferme volontiers les yeux…
Une honte ! Nous vous demanderons de diffuser massivement cette vidéo, car ce qui se passe là-bas doit être connu de tous !
Ce week-end, profitez des Journées du Patrimoine!
Découvrez LE PROGRAMME COMPLET dans la France entière ici
>>http://leparisien.fr/patrimoine-
Certains lieux sont ouverts pour la 1ère fois au public !
>>http://bit.ly/1esup3F -
Notre sélection de visites pour le bonheur de vos enfants
>>http://bit.ly/17wod4i
ET VOUS, qu'avez-vous prévu de visiter ce week-end ?
Bavure médicale : le kiné devra payer plus d'un million à sa patiente
Une mauvaise manipulation des cervicales a plongé la patiente d'un kinésithérapeute dans le coma.
Elle est devenue tétraplégique.
Une mauvaise manipulation des cervicales a plongé la patiente d'un kinésithérapeute dans le coma. Elle est devenue tétraplégique.
Un kinésithérapeute a été condamné lundi à Paris à verser solidairement avec son assureur plus d'un million d'euros à une patiente devenue tétraplégique en 2007 après une manipulation, a-t-on appris ce jeudi.
Souffrant de douleurs cervicales pendant l'été, cette femme alors âgée de 40 ans avait consulté son praticien, qu'elle voyait régulièrement depuis plusieurs années pour des lombalgies chroniques.
Lors d'une séance, un craquement s'est produit et la patiente a immédiatement fait un malaise puis est tombée dans un profond coma.
En réanimation pendant six mois, elle est devenue tétraplégique, séjourne depuis 2009 dans un foyer médicalisé et a été placée sous curatelle renforcée.
Une expertise a conclu que le mouvement de rotation effectué par le praticien, «même s'il n'était pas forcé, a aggravé la dissection vertébrale préexistante» lors de la séance de kinésithérapie mise en cause.
L'expert estime que le thérapeute a «commis une imprudence en pratiquant cette séance», alors que les douleurs intenses qui s'aggravaient contre-indiquaient une telle intervention.
Le praticien a commis «une faute»
Dans son jugement, le tribunal de grande instance de Paris a estimé «qu'est ainsi caractérisé le lien de causalité entre le geste, facteur traumatique certain, et les troubles neurologiques majeurs qui en ont été la suite immédiate» et que le kinésithérapeute a commis une «faute».
Le kinésithérapeute a été condamné solidairement avec son assureur à verser plus de 1,2 M€ à la patiente, ainsi qu'une rente viagère d'un montant annuel de plus de 136 000 € au titre de l'assistance d'une tierce personne future, c'est-à-dire pour financer les différentes aides.
Ils ont également été condamnés à verser au total 750 000 € à la sécurité sociale et plus de 200 000 € à la caisse nationale d'assurance vieillesse.
MPORTANT :
Des décès suspects de chiens, des croquettes rappelées a société PCEB a procédé ce mercredi au rappel de croquettes pour chiens, en raison d'une suspicion d'intoxication alimentaire.
Une vingtaine d'animaux seraient décédés sur le département. Alors que des analyses sont en cours pour confirmer le lien entre les décès et cet aliment fourni par une société gardoise, les clients sont donc invités à ramener les sacs.
Des sacs blancs de 20 kgs, de marque Active 28/14, étiquetés du numéro 922112007 6 2014 2130616.
Voilà les produits que la société PCEB a décidé de rappeler ce mercredi, en raison d'une suspicion d'intoxication. Une vingtaine de chiens seraient morts dans le département après avoir ingéré cet aliment, fourni à la société audoise par un fournisseur gardois.
Des analyses en cours doivent permettre de confirmer le lien avec ces croquettes mises en vente entre le 26 juin et le 8 août 2013 dans les magasins PCEB de Carcassonne, Rieux-Minervois, Douzens, Montlaur, Villasavary, et Limoux. Retirés du marché depuis le 8 août
Si les aliments ont déjà été retirés du marché depuis le 8 août, certains clients sont encore en possession de sacs commercialisés avant cette date.
Ils doivent donc retourner ces sacs, contre remboursement, au magasin PCEB le plus proche, et ne pas distribuer de croquettes à leurs chiens.
La société se tient à disposition pour tout renseignement au 04 68 47 72 20.
QUELLE HISTOIRE!
Un chien sauve la vie du bébé de la famille Une baby sitter de 22 ans est embauchée pour garder le petit Finn à 2 mois...5 mois après, le chien devient agressif et protège l'enfant quand elle arrive au domicile des parents.
Les parents se posent des questions, et placent un enregistreur pour en avoir le coeur net...
Le soir, en rentrant du travail, ils écoutent l'enregistrement et horrifiés découvrent la réalité : le petit est insulté et frappé, il pleure de douleur.
Dépôt de plainte , elle a plaidé coupable pour les coups et blessures et a pris 3 ans de prison, elle sortira sous liberté conditionnelle dans 1 an.
Ce chien est un héros !
Source : http://wtvr.com/2013/09/11/dogs-sniffs-out-abusive-babysitter/
Les retards de loyer pourront bientôt être facturés
Un amendement en ce sens a été adopté mercredi à l'Assemblée nationale, dans le cadre du projet de loi sur le logement
Les contrats de location pourront comporter une clause prévoyant des pénalités pour retard de paiement de loyer et des charges.
Les contrats de location pourront comporter une clause prévoyant des pénalités pour retard de paiement de loyer et des charges.
Les pénalités de retard n'existaient pas jusqu'à présent pour les loyers. Elles sont désormais rendues possibles par un amendement adopté mercredi 11 septembre à l'Assemblée, dans le cadre du projet de loi sur l'accès au logement.
Les contrats de location pourront comporter une clause prévoyant des pénalités pour retard de paiement de loyer et des charges.
Ces pénalités pourront atteindre 30% du loyer du dernier mois s'il n'a pas été versé, selon cet amendement du rapporteur du projet de loi sur l'accès au logement, Daniel Goldberg (PS).
L'objectif de cette mesure est d'"assurer des relations justes et équilibrées entre bailleurs et locataires", fait valoir ce dernier.
Il s'agit notamment d'être "dissuasif pour les locataires ne payant pas le dernier mois de loyer", a déclaré la ministre du Logement, Cécile Duflot.
Les pénalités possibles constituent "une option accordée au propriétaire qui, de gré à gré avec le locataire, pourra accepter un retard ou un échelonnement", a-t-elle aussi précisé.
Politique Immobilier Eco / Conso
Selon «Nature», l’action de l’homme sur son environnement mène la planète à un point de basculement. Le dernier date de 12 000 ans.
D’ordinaire, à Hollywood, la fin du monde se présente, au choix, sous la forme d’une météorite géante, d’un cataclysme ou d’une guerre nucléaire. Dans une étude parue dans la revue scientifique Nature (1), elle n’a jamais autant ressemblé à la main de l’homme.
Pas celle qui appuie sur le bouton rouge mais celle de tous les hommes unis dans la pression qu’ils exercent sur les écosystèmes. Publié en juin par une équipe pluridisciplinaire et internationale d’une vingtaine de chercheurs, l’article n’y va pas par quatre chemins : nous approchons à grands pas d’un effondrement imminent et irréversible des écosystèmes, dont les civilisations humaines dépendent.
S’ils s’effondrent, notre destin est plus qu’incertain. Parmi les chercheurs, certains avouent être «terrifiés» par leurs conclusions.
La Terre voit venir le changement d’ère Par Laure Noualhat VERBATIM «La vulgate écologiste n'évoque jamais la question démographique.
La biosphère est au bord d’un changement d’état, d’une sorte de basculement vers l’inconnu. Plusieurs phénomènes se télescopent : accélération de la perte de la biodiversité, intensification des épisodes climatiques extrêmes, modifications rapides des flux de production et de dépense d’énergie… «Lorsqu’on modifie les modalités de fonctionnement d’un écosystème, on est dans ce qu’on appelle un changement d’état, explique Bruno David, chercheur au labo de biogéosciences du CNRS, à Dijon.
Nous sommes actuellement à la veille d’une de ces modifications brutales.» Dans les crises passées, c’est la biogéochimie de la Terre, des éruptions volcaniques ou une météorite gigantesque qui ont déclenché des changements radicaux. Cette fois, les chercheurs pointent du doigt l’homme.
Pour le groupe de Tony Barnosky, paléo-écologiste, qui a coordonné les travaux des chercheurs, nous sommes «suffisamment puissants» pour faire basculer les conditions de vie sur Terre, en modifiant radicalement des écosystèmes et des climats locaux. «En clair, ce sont les comportements et les besoins humains qui précipitent le changement d’état», d’après Steve Carpenter, de l’Université du Wisconsin.
Ces changements d’état peuvent être infimes et locaux, se limiter à un lac, un étang… «Ceux-là, on les comprend assez bien. Mais les plus gros points de basculement sont encore difficiles à cerner», explique Marten Scheffer, pionnier de la recherche dans ce domaine.
Surtout, Scheffer n’est pas convaincu qu’un seul point de basculement est imminent. «Il y a eu d’énormes points de basculement planétaires dans le passé et il y en a en cours.
La différence, aujourd’hui, c’est qu’on les voit arriver…» Deux choses provoquent un changement d’état : l’effet de seuil ou l’effet de masse.
Le premier est difficile à prévoir, puisque le seuil critique est atteint par palier, et qu’on ne connaît jamais la valeur de la criticité d’avance.
En revanche, l’effet de masse ne vient jamais par surprise : comme, par exemple, la destruction d’une forêt par un bulldozer. Or, les humains modifient la composition des espèces locales et les fonctions des écosystèmes, provoquant des changements à petite échelle, lesquels combinés les uns aux autres forment une cascade alimentant une bascule plus globale.
Ricochet. Pour l’équipe de Barnosky, c’est d’abord le changement d’usage des terres qui est à l’origine du problème et seulement ensuite le changement climatique. Au cours de son histoire, l’humanité a modifié 43% des terres émergées de la planète, rasant les forêts pour y développer l’agriculture intensive, balayant les espaces naturels pour y implanter les villes. «Par ricochet, cela affecte quasiment toutes les surfaces restantes : un tiers de l’eau potable est détourné pour les usages humains et 20% de la production terrestre primaire sont réservés aux besoins humains», explique Barnosky.
Pour la planète, c’est loin d’être une première. Des basculements se sont produits sur les récifs coralliens ou dans le désert du Sahara, zone luxuriante et fertile il y a encore 5 500 ans.
Sauf que celui qu’évoque l’équipe de Berkeley sera brutal : les pires changements pourraient survenir au cours de ce siècle, peut-être avant 2050. «Les preuves sont assez nettes.
Nous ne pouvons pas ignorer certaines réalités biologiques», insiste Barnosky. D’ordinaire, les changements d’état se déroulent sur des milliers, voire des millions d’années.
En l’espace de 500 millions d’années, la Terre a ainsi connu cinq grandes crises ayant conduit à cinq extinctions massives. La dernière a eu lieu il y a 65 millions d’années et a conduit à la fin des dinosaures.
Autre exemple : il y a 12 000 ans, le passage de l’ère glaciaire à l’ère interglaciaire s’est déroulé sur un millénaire.
Depuis, le climat est globalement stable, ce qui a permis à l’homme de se développer, jusqu’à pouvoir aller sur la Lune.
Que va-t-il se passer? On assistera probablement à de vastes mouvements d’espèces sur des parties inhabitées de la Terre, des pertes colossales de biodiversité, l’émergence de nouveaux biotopes et, pourquoi pas, des forêts tropicales en Antarctique. «La dernière fois que c’est arrivé, il y a 12 000 ans, la moitié des mammifères de plus de 50 kg ont disparu», raconte Barnosky. «Les changements d’état contiennent de nombreuses surprises, mais nous en savons assez pour savoir que le monde sera très différent de ce qu’il a été durant les 11 000 dernières années, prévient-il.
Et, à 7 milliards d’humains sur Terre, nous allons probablement en sentir les effets.»