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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Nouvelle baisse des APL : le gouvernement s’apprête à faire les poches des Français
Communiqué de presse de Steeve Briois, Vice-Président du Rassemblement National L’an un du Macronisme a été marqué par une politique antisociale inédite dans notre pays.
Alors même que 9 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté et que près de 4 millions sont en situation de mal-logement, l’Aide Personnalisée au Logement (APL) permet à près de 6,5 millions de foyers d’alléger leurs charges de loyer, parmi lesquels 800 000 étudiants. Alors que le gouvernement a déjà diminué l’APL de cinq euros par mois pour tous les bénéficiaires depuis le 1er octobre 2017, une nouvelle baisse des APL est à prévoir dans les mois à venir.
En effet, dans le cadre des discussions du débat d’orientation budgétaire 2019 le gouvernement envisagerait une nouvelle baisse des aides au logement, censée réaliser 1,3 milliard d’économies.
Sans doute les cinq euros mensuels ne représentaient-ils pas grand-chose aux yeux d’Emmanuel Macron et de son gouvernement, mais cela constitue déjà un gros sacrifice pour de nombreux Français !
Les APL sont, au même titre que d’autres aides sociales, des dépenses utiles et vitales pour la survie des ménages français en grande difficulté financière et contrairement à ce qui est dit, cela ne coûte pas « un pognon de dingue » !
Cette mesure antisociale, qui touchera toutes les tranches d’âge de la population, s’ajoute à l’augmentation de la CSG, au matraquage fiscal des automobilistes (augmentation du prix du contrôle technique, hausse du prix du carburant, etc.) et cela va continuer l’année prochaine avec la très inquiétante réforme des retraites qui est en préparation.
Tout cela dans un seul et unique but, répondre aux recommandations de la Commission européenne à la France , exprimées lors du semestre européen de mai 2018. Steeve Briois, député européen et Vice-Président du Rassemblement National, dénonce l’austérité qui est mise en place et demande au gouvernement français de s’affranchir de Bruxelles.
Elle laisse un chèque à son fils pour acheter des livres scolaires et finit presque interdit bancaire
Une mère de famille confie, à son fils, le soin d’aller acheter ses livres scolaires dans son lycée, et avec, deux chèques ‘’en blanc’’.
L’adolescent reviendra fort dépourvu assurant avoir perdu un chèque. Sa mère n’aura des nouvelles de celui-ci qu’en septembre, par un coup de fil de la banque : 1 650 euros venaient d’être retirés de son compte.
Une enquête conjointe des services de police valentinois et de la banque, permettra de remonter jusqu’à une jeune Valentinoise de 21 ans, en rupture familiale, et vivant chez sa grand-mère.
Cette dernière était jugée ce mardi par le tribunal correctionnel de Valence : « J’ai trouvé le chèque par terre dans la rue, je n’avais pas d’argent. Je n’ai pas réfléchi, je l’ai encaissé sur mon compte » a-t-elle reconnu à l’audience.
« 1 650 euros, c’est une somme très importante pour moi » Face à elle, côté partie civile, la maman dépouillée :
« 1 650 euros, c’est une somme très importante pour moi. Vous auriez pu prendre moins. Je me suis retrouvé dans la panade, la banque voulait me placer en interdit bancaire j’ai dû longtemps négocier pour ne pas l’être et j’ai eu plein de frais. »
La victime, qui vit seule avec deux enfants, demandait seulement 50 euros à la plaignante en dommages et intérêts. Déjà incarcérée pour d’autres faits jusqu’à juillet 2019, la prévenue a été condamnée pour ce dossier à 105 heures de travaux d’intérêt général. Elle devra verser les 50 euros de dommages et intérêts demandés.
La soirée Playstation finit en séquestration violente…
Ce mardi, quatre jeunes Drômois ont été condamnés à des peines allant de 18 mois à 4 ans de prison. Tous avaient pris part à des degrés divers à un cambriolage avec séquestration dans une maison de Clérieux (26) en février 2017.
Les quatre, la vingtaine, dont deux vivaient dans ce village du Nord-Drôme s’étaient au départ retrouvés pour « jouer à Fifa à la Playstation ».
La vodka aidant, une proposition de celui désigné comme meneur prit corps : « une forte somme d’argent » se trouverait dans une maison du village. Et avec son passé de cambrioleur, celui-ci finit par convaincre les autres, sans mention sur leur casier judiciaire.
Les voilà donc dans l’ancien bar-restaurant de Clérieux, reconverti en logement, où vivaient une dame de 83 ans et son cousin de 72 ans. Le quatuor de malfrats n’y trouvera jamais le prétendu magot et repartira avec deux téléviseurs et quelques centaines d’euros.
Mais pendant deux heures, pistolet à billes en main pour certains, séquestrera les deux personnes âgées durant plus de deux heures. Chacun des prévenus tentera durant le procès de minorer sa responsabilité, chargera l’un ou l’autre d’avoir porté deux coups à la vieille dame et d’avoir assommé le monsieur. «Cette histoire aurait pu faire deux morts » soutiendra la partie civile. Les prévenus exprimeront « regret » et « honte », le parquet les estimera « pas insincères. Les faits sont moches mais vous pouvez être de belles personnes ».
Le tribunal sera proche des réquisitions du Ministère public avec 4 ans de prison ferme dont un avec sursis pour le meneur, de 21 mois de prison ferme pour un autre et de 18 mois de prison ferme pour les deux plus jeunes.
Agression sexuelle sur une cousine de Nordahl Lelandais : “les parents attendent des réponses”
Ce mardi, Nordahl Lelandais était auditionné par les juges, à propos notamment de soupçons d'agression sexuelle sur sa cousine. Les parents de la fillette de 7 ans "bouleversés" espèrent obtenir des réponses après la découverte d'une vidéo pédo-pornographique dans le portable de Nordahl Lelandais.
Les faits remontent à la nuit du 19 au 20 août 2017. Une fillette âgée d'à peine 7 ans, cousine de Nordahl Lelandais, subit une agression sexuelle dans son sommeil. Des faits dont atteste une vidéo que les enquêteurs ont retrouvé dans le portable de Nordahl Lelandais.
Nordhal Lelandais soupçonné aussi d'agression sexuelle sur une fillette de sa famille Nordhal Lelandais soupçonné aussi d'agression sexuelle sur une fillette de sa famille Interrogée par nos confrères de France 2, Carolie Rémond, l'avocate des parents de la fillette raconte : "sur cette vidéo, on voit une main, un bras, qui écarte une culotte d'une petite fille qui est endormie". La fillette n'est semble-t-il pas consciente de ce qu'elle a subi : "aujourd'hui, elle va bien. Elle n'est pas au courant du fait qu'elle ait été filmée ni du fait de cette agression sexuelle, car je rappelle qu'elle était endormie".
Ils comprennent que leur propre fille a été victime une semaine avant le meurtre de Maëlys de ces faits d'agression sexuelle Les parents de la fillette "vont très mal. Ils sont bouleversés", confie leur avocate.
"Ils comprennent que leur propre fille a été victime une semaine avant le meurtre de Maëlys de ces faits d'agression sexuelle".
Que montre la vidéo retrouvée par les enquêteurs ?
"Que comptait-il faire de cette vidéo?
Comptait-il l'utiliser pour son plaisir personnel ?
Comptait-il la diffuser sur internet ?" interroge l'avocate.
Ils étaient chez Nordahl Lelandais pour passer quelques jours de vacances Au moment des faits, les parents et leur fillette se trouvaient à Domessin. "Ils étaient chez Nordahl Lelandais pour passer quelques jours de vacances à son domicile. A aucun moment ils n'avaient imaginé que Nordahl Lelandais pouvait agir de la sorte. Ils avaient des rapports tout à fait normaux." Quels rapports entretenaient Nordahl Lelandais et sa cousine ? Ce mardi, au cours d'un nouvel interrogatoire par les juges d'instruction de Grenoble, Nordahl Lelandais devait être confronté à ces nouvelles accusations.
la nouvelle audition de Nordahl Lelandais a duré moins de 2 heures DIRECT. Affaire Maëlys : la nouvelle audition de Nordahl Lelandais a duré moins de 2 heures Y a -t-il d'autres enfants victimes des mêmes faits ?
"Nous souhaitons avoir le maximum d'explication sur la manière dont Nordahl Lelandais a pris cette vidéo, pourquoi, comment", poursuit Maître Caroline Rémond. "Etait-ce une pulsion, ou était-ce prémédité ?
Y a -t-il d'autres enfants victimes des mêmes faits ?", s'interroge l'avocate. "Nous savons que Nordahl Lelandais ne parle que lorsqu'il est acculé", ajoute Maître Rémond, dont les clients attendent désormais des réponses à leurs questions. Qu'attendre du nouvel interrogatoire de Nordahl Lelandais ?
Reste à savoir si ce volet a débouché ou non sur une nouvelle mise en examen pour "agression sexuelle sur mineur". Nordahl Lelandais est déjà poursuivi à Grenoble pour le "meurtre" de Maëlys et à Chambéry pour "l'assassinat" d'Arthur Noyer. Me Caroline Rémond, dont les clients se sont constitués partie civile "mi-juin", n'avait "pas eu d'information dans l'immédiat" sur une éventuelle mise en examen, a-t-elle déclaré à l'AFP à la mi-journée.
Migrants : la France va accueillir «environ 80» réfugiés de l’Aquarius et 52 du Lifeline
Des migrants attendent d’être entendus par les autorités. La gestion des migrants à bord de ces deux navires a divisé les Européens ces dernières semaines. La France va accueillir « environ 80 » réfugiés de l’Aquarius et 52 du Lifeline. Ces navires humanitaires transportaient des migrants sauvés de la noyade autour desquels les Européens se sont déchirés en juin.
Pascal Brice, directeur général de l’Ofpra (l’Office français de protection des réfugiés et apatrides) explique que les réfugiés concernés sont, dans les deux cas, essentiellement « des Erythréens et des Soudanais » répondant aux critères du droit d’asile.
Ils devraient arriver « rapidement » en France, où un titre de réfugié leur sera délivré à bref délai. Une approche européenne Critiquée pour ne pas avoir proposé d’ouvrir ses ports aux navires en détresse, au nom de la règle de droit maritime voulant qu’ils accostent dans le port sûr le plus proche, la France a pris l’engagement d’accueillir une partie des passagers pouvant prétendre au statut de réfugié.
Dans le cas de l’Aquarius, qui a accosté le 17 juin à Valence (Espagne), avec 630 migrants à bord, après la fermeture des ports italiens, « nous avons entendu 135 personnes » et « autour de 80 vont pouvoir bénéficier de la protection de la France», indique Pascal Brice. La différence avec les 135 auditionnés s’explique sans doute par le fait que « certains ont préféré rester sous la responsabilité des autorités espagnoles », d’autant que la France ne prend pas de mineurs dans ce type d’opérations, l’Etat n’étant pas compétent pour leur accueil (qui relève des départements).
A Malte, où la mission de l’Ofpra s’est terminée le week-end dernier pour entendre les migrants du Lifeline, amarré le 27 juin dans le port de La Valette, la capitale, avec plus de 230 migrants à bord, « 52 personnes vont être protégées », a précisé le patron de l’office. Sur place, des missions du même type sont menées par des envoyés portugais, belges, néerlandais et irlandais, a-t-il ajouté, en se félicitant de la « dimension européenne » du processus qui, selon lui, pourrait faire « référence » et « illustre » la marche à suivre dans ce genre de situations.
Albertville : elle laisse son enfant dans sa voiture en plein soleil, vitres fermées
Samedi après-midi, des clients du magasin Intermarché d’Albertville aperçoivent une petite fille âgée de 22 mois enfermée dans une voiture, sur le parking, en plein soleil et avec les vitres fermées.
Elle est allongée dans un siège auto, à l’arrière, les yeux clos et transpirant fortement. Inquiets en raison de la forte chaleur de ce jour, les passants préviennent immédiatement la police.
Plusieurs annonces au micro du magasin sont passées. Sans succès. Devant l’urgence de la situation, les policiers brisent une vitre de la voiture et parviennent à sortir l’enfant qui est en vie. La petite fille est transportée dans des bureaux du magasin… où se présente sa mère.
Elle explique qu’elle était en train d’échanger un ticket de caisse. Les policiers lui signalent la gravité de son geste. Mais la maman, originaire de Moûtiers, ne semble pas se rendre compte de l’inconscience de son acte.
Prise en charge par les pompiers, la petite fille a été transportée aux urgences pour des examens complémentaires. Elle est hors de danger. Une enquête a été ouverte.
Nordahl Lelandais était à nouveau entendu ce mardi 3 juillet par les juges de Grenoble.
Mis en examen pour le meurtre de la petite Maëlys, l'ancien militaire devait être interrogé sur les circonstances de la mort de la fillette mais aussi sur des soupçons d'agression sexuelle sur une cousine.
Dans quelles circonstances la petite Maëlys a t-elle été tuée en août dernier lors d'une fête de mariage à Pont-de-Beauvoisin, en Isère ?
Les juges grenoblois, en charge de l'enquête, ont à nouveau entendu Nordahl Lelandais ce mardi 3 juillet 2018. L'ancien militaire avait reconnu avoir tué la fillette en lui assénant "une claque".
Depuis, les ossements retrouvés en février dernier dans le massif de la Chartreuse ont été analysés. Nordahl Lelandais devait être interrogé sur ces nouveaux éléments .
Son audition, débutée à 10 heures, s'est achevée peu après 11h30.
Cannes : il vend un meuble sur Le Bon coin... et oublie 180 000 € à l'intérieur
Deux déménageurs malhonnêtes ont été interpellés à Cannes : ils avaient récupéré les économies d'un sexagénaire, qui les avait oubliées dans un meuble qu'il venait de vendre. Une très bonne affaire...
Le week-end dernier, un sexagénaire de Cannes (Alpes-Maritimes) a vendu une vieille commode à une acheteuse sur Le Bon coin... en oubliant qu'il avait laissé toutes ses économies à l'intérieur, rapporte Nice-Matin.
L'homme avait mis en vente une vieille commode et une machine à laver, pour 100 euros l'ensemble. Dimanche, deux déménageurs sont venus embarquer les deux meubles dans un fourgon pour les emmener chez leur nouvelle propriétaire.
Une mallette de billets est tombée de la commode
Au moment de placer la commode dans le véhicule, s'en est échappé une mallette en fer. En l'ouvrant, le déménageur a découvert une liasse de billets... Il a alors soigneusement caché son butin, avant de reprendre son ouvrage. Mais après le départ des déménageurs, le sexagénaire a soudainement réalisé... qu'il avait laissé toutes ses économies, soit 180 000 euros, dans la commode.
Entre temps, apprenant que le meuble ne rentrait pas dans le fourgon, la femme a renoncé à son achat, contre 10 euros de dédommagement. Les déménageurs avaient abandonné la commode sur le bitume, mais étaient bien partis avec la mallette de billets.
Les deux hommes interpellés Grâce à une minutieuse enquête menée par les policiers de Cannes, qui ont épluché la vidéosurveillance, les deux déménageurs, dont l'un est le compagnon de l'acheteuse, ont été retrouvés. Ils ont été interpellés, et sont poursuivis respectivement pour vol et pour recel.
En effet, si une perquisition a permis de remettre la main sur 138 000 euros, le reste de l'argent avait déjà été dépensé par les déménageurs malhonnêtes. L'un n'avait d'ailleurs touché que 1 000 euros, le premier lui ayant affirmé que la mallette n'en contenait que 2 000
Le radar anti-téléphone au volant arrive, faites-lui coucou
Des Australiens l’ont inventé et les Anglais vont l’adopter. Reste à savoir si vous allez l’adorer… Souriez, vous êtes flashés. Tout comme le radar de vitesse, le radar de portable est avant tout un boîtier appareil photo. Placé plus haut, comme sous un pont ou tunnel, il va shooter autant votre plaque d’immatriculation que le conducteur, à travers le pare-brise.
La photo est ensuite analysée par un programme de reconnaissance qui déterminera si vous aviez un téléphone à la main, à l’oreille, voire un casque-oreillette.
Si oui, vous recevrez directement votre amende : 135 euros d’amende et la perte de trois points sur votre permis. On verra si vous souriez toujours à ce moment-là.
Ça capte mal ? Vous pouvez râler, il n’empêche que malgré les premières lois sur l’usage du mobile en voiture en 2003, les Français conservent cette mauvaise habitude. En 2017, les infractions dues au portable étaient responsables de la perte d’un point sur douze en France. Résultat : les chiffres de mortalité ne cessent d’augmenter.
L’usage de portable en voiture multiplierait par 3 le risque d’accident ; l’envoi d’un SMS les multiplierait par 23.
Pour rappel : la loi condamne l’utilisation du portable en voiture , peu importe que celle-ci soit à l’arrêt (bouchon, feu rouge) ou en train de rouler. du bluetooth, vous allez devoir lâcher le « Je vous l’avais bien dit ! » car l’oreillette aussi est punie. L’an prochain, une loi complémentaire entrera même en vigueur en cas de constat d’une seconde infraction au Code de la route consécutive ou simultanée au constat d’utilisation du téléphone. Son effet : un retrait de permis immédiat pour 72 heures maximum. Ça va rentrer cette fois ?
La route du bon côté. Après les radars automatiques et ceux aux feux rouges, on peut craindre ce nouveau moyen de traire les vaches à lait que sont les automobilistes. D’autant que le radar à portable, créé par les Australiens de One Task, a été testé à Sydney. Installé sur une autoroute, il a flashé plus de 1000 conducteurs fautifs mais avec une marge d’erreur annoncée de 10 %. En plus ou en moins ? Confiante, l’Angleterre vient de décider de l’adopter.
Soyez tranquilles : avant qu’il arrive sur nos bonnes vieilles routes nationales, il faudra adapter le système puisque, contrairement à ces insulaires, nous conduisons à droite. À moins de vouloir flasher nos passagers ?
Bébé secoué à Créteil : la nourrice avoue avoir tué Rose
Rose, six mois, était le premier enfant d’un jeune couple. Elle a été enterrée ce mardi. Quasiment au même moment, la nourrice du bébé était placée en garde à vue.
Le parquet a requis son placement en détention provisoire pour homicide volontaire. Elle a reconnu avoir secoué ce nourrisson de 6 mois le 6 juin à Créteil. Elle n’a pas supporté les pleurs de Rose. Et aurait secoué l’enfant de six mois, provoquant sa mort.
Une nourrice de 35 ans a été déférée ce jeudi au tribunal de Créteil. Pendant sa garde à vue et par la suite devant la juge d’instruction, elle a avoué les faits qui lui sont reprochés. Le parquet a requis son placement en détention provisoire pour homicide volontaire. Le juge des libertés et de la détention devait statuer dans la soirée.
Le 6 juin, l’assistante-maternelle gardait trois enfants à son domicile situé dans le quartier des Bordières à Créteil. Elle se trouvait seule avec Rose dont elle s’occupait depuis la mi-avril, son propre enfant âgé de 4 ans et un autre bébé. Les médecins de l’hôpital Necker, où la petite Rose est restée pendant deux jours dans un état désespéré avant que ses parents ne prennent la décision de la débrancher, ont vite compris qu’elle avait été victime du syndrome du bébé secoué.
Evidemment dévastés, son père et sa mère, qui habitent Maisons-Alfort, ont enterré leur enfant mardi alors que l’assistante-maternelle était placée en garde à vue. Ils étaient d’autant plus choqués que leur nourrice présentait a priori toutes les garanties. Elle assurait avoir déjà travaillé dans une crèche et surtout disposait d’un agrément de la Protection maternelle et infantile. Elle avait reçu une formation au syndrome du bébé secoué « Ma cliente est effondrée, confiait ce jeudi soir Yazid Benmeriem, l’avocat de la nourrice. Elle s’en veut énormément. Tout le monde s’accordait à dire qu’elle était très gentille. Mais il y avait aussi beaucoup de fragilité en elle. Il y a des choses qu’elle n’avait pas réglées chez elle ».
Selon nos informations, l’assistante maternelle avait bien reçu une formation sur le syndrome du bébé secoué. « Elle ne pouvait ignorer les risques mortels qu’elle faisait courir à la petite en la secouant », glisse une source proche de l’enquête. Contactée ce jeudi, la protection maternelle et infantile rappelle tout le travail de prévention mené pour éviter ce genre de drame. « Nous sommes tous très choqués par ce qui s’est passé, lâche-t-on à la direction du service. Nous avons toujours travaillé sur le syndrome du bébé secoué mais depuis 2014, nous multiplions les actions comme des campagnes de prévention en expliquant ce qu’il faut faire et ne pas faire. Nous rencontrons le public et évidemment les assistantes maternelles. Des formations sont dispensées. »
Les critères pour attribuer un agrément ?
« Nous en avons énormément. Nous allons au domicile des assistantes maternelles, nous vérifions l’hygiène, la sécurité… Comme quoi, il n’y a hélas pas de risque zéro. » Près de 400 agréments sont accordés chaque année dans le département. Et tous les ans, entre 120 à 240 nourrissons meurent du syndrome du bébé secoué en France.