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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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horreur

Publié à 15:58 par fandeloup Tags : divers éléments vie france enfants sur travail saint place
horreur

Ain : deux enfants découverts morts, tués à l’arme blanche

 Le père de famille était sur son lieu de travail au moment des faits.

Un troisième enfant est blessé à la gorge. Leur mère a été retrouvée inconsciente à leurs côtés, à leur domicile de Saint-Genis-Pouilly. Deux petites filles ont été retrouvées, sans vie, ce mardi, à Saint-Genis-Pouilly (Ain), tout près de la frontière suisse.

Âgés de 2 ans et 6 ans, elles ont été tuées vraisemblablement à l’arme blanche, indique France 3 Auvergne Rhône-Alpes. Un troisième enfant, âgé de 11 ans, a été blessé à la gorge. C’est lui a qui a donné l’alerte. Il est hospitalisé à Genève et ses jours ne seraient pas en danger.

« Les circonstances du drame ne sont pas encore connues et nous n'avons pas pour l'instant de certitude sur le rôle de la mère, qui a été prise en charge par les secours, a indiqué le parquet de Bourg-en-Bresse.On peut supposer qu'elle a fait une tentative de suicide mais ce n'est qu'une hypothèse à ce stade ».

La mère retrouvé inconsciente La mère des trois enfants a été retrouvée inconsciente, aux côtés des deux enfants décédés. Elle aurait absorbé des médicaments et a été hospitalisée. Selon les premiers éléments de l’enquête, le père de famille était sur son lieu de travail au moment des faits.

Le lotissement a été bouclé par les gendarmes et le parquet est sur place, précise Le Dauphiné. Les enquêteurs privilégient pour l'instant la thèse du drame familial.

Ecole

Publié à 16:06 par fandeloup Tags : société sur
Ecole

Ecole : Blanquer veut redonner du «prestige» à la langue arabe

 Jean-Michel Blanquer, ici le 5 septembre 2018, veut développer une « stratégie qualitative » vis-à-vis de l’apprentissage de langue arabe.

Le ministre de l’Education nationale réfléchit à développer l’apprentissage de l’arabe, du chinois et du russe à l’école. Le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer compte développer une « stratégie qualitative » sur  BFMTV.

Une langue « à laquelle il faut donner du prestige », tout comme au chinois et au russe, deux autres « grandes langues de civilisation », a-t-il notamment insisté. Le ministre de l’Education répondait à Jean-Jacques Bourdin, qui lui demandait si l’arabe allait être enseigné dès le CP, pour mieux encadrer sa pratique, comme le préconise notamment le rapport que l’Institut Montaigne a remis dimanche pour lutter contre le fondamentalisme islamiste.

« L’arabe […] est une très grande langue littéraire et qui doit être apprise ; pas seulement par les personnes qui sont d’origine maghrébine ou de pays de langue arabe », a souligné le ministre. Une « stratégie qualitative »

« C’est toute cette stratégie qualitative vis-à-vis de la langue arabe que nous allons mener », a ajouté Jean-Michel Blanquer.

« Nous allons aussi questionner la façon dont l’arabe s’apprend aujourd’hui dans les structures dédiées, avec les dérives communautaristes que vous avez [évoquées] ». Dans le rapport de l’Institut Montaigne, l’auteur, Hakim El Karoui, souligne que « le nombre d’élèves qui apprennent l’arabe au collège et au lycée a été divisé par deux ».

« Il a été multiplié par dix dans les mosquées, il faut savoir ce qu’on veut », a-t-il encore précisé.

soudan

Publié à 14:01 par fandeloup Tags : texte femmes travail photo enfants coup
soudan

Exploités dans les mines d'or, 85 enfants sauvés d'un trafic d'êtres humains

 De l'or récolté dans le désert du Soudan.

L’Opération Sawiyan" menée fin août au Soudan a permis de démanteler un trafic d'être humains et de sauver 94 personnes, dont la plupart sont des enfants.

Un réseau de trafic d’êtres humains a été démantelé fin août à Khartoum (Soudan), permettant de sauver 94 personnes, parmi lesquelles 85 enfants dont certains travaillaient dans des mines d’or illégales, a annoncé ce lundi Interpol.

L’"Opération Sawiyan", qui s’est déroulée du 26 au 30 août, a permis d’arrêter douze femmes et deux hommes au cours d’un vaste coup de filet de la police locale, avec l’appui d’Interpol, qui a visé "plusieurs points névralgiques" de la ville comme l’aéroport international, et des mines d’or à ciel ouvert situées à l’Est, précise dans son communiqué l’organisation internationale de police criminelle, dont le siège est à Lyon.

Les individus interpellés sont suspectés d’appartenir à des groupes criminels qui font de "l’immigration clandestine, le travail d’enfants et la mendicité forcée" leur commerce. Des enfants d'à peine dix ans manipulaient des produits chimiques De nombreuses victimes mineures du réseau ont été découvertes dans des mines d’or exploitées illégalement, travaillant "dans des conditions extrêmes".

Des enfants, certains âgés "d’à peine 10 ans", y ont été ainsi surpris en train de manipuler des produits chimiques dangereux tels que mercure ou cyanure. Vingt mille dollars (soit 17 325 euros) ont été également saisis durant l’opération, dont une partie pourrait correspondre "au versement d’une rançon" après l’enlèvement d’un migrant, qui fait partie lui-même des victimes du réseau démantelé. "Un problème véritablement transnational" "La diversité des nationalités parmi les personnes secourues (Soudan, Soudan du Sud, Tchad, République du Congo, Erythrée, Niger, ndlr) montre à quel point la traite des êtres humains et le trafic des êtres humains constituent un problème véritablement transnational, qui nécessite une réponse internationale coordonnée", déclare Tim Morris, le directeur exécutif des services de police d’Interpol, cité dans le texte.

L’"Opération Sawiyan" a mobilisé 200 policiers soudanais de différents services, parmi lesquels ceux de la lutte contre le trafic humain, de la protection de l’Enfance ou de l’antenne locale d’Interpol.

sos

Publié à 09:52 par fandeloup Tags : image bleu vie france sur femme société argent chien
sos

"Il y a forcément des gens qui me connaissent" :

Marie, amnésique, lance un appel pour retrouver son identité Cette femme qui a choisi de s'appeler Marie Bonheur, faute de connaître sa véritable identité, a été retrouvée inconsciente à Perpignan en février.

Marie lance un appel à témoins pour tenter de retrouver son identité.Marie lance un appel à témoins pour tenter de retrouver son identité.

 Une retraitée retrouvée inconsciente à Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales, en février 2018, est aujourd'hui amnésique et ne sait toujours pas qui elle est, rapporte dimanche 9 septembre France Bleu Roussillon.

Cette femme lance donc un appel à témoins pour tenter de retrouver son identité. "Il y a forcément des gens qui me connaissent", espère-t-elle. Cette femme a choisi de s'appeler Marie Bonheur, faute de connaître sa véritable identité.

Elle a été retrouvée dans une rue de Perpignan par des passants en février 2018, inconsciente et couverte de bleus. Quand elle s'est réveillée aux urgences, elle avait tout oublié, jusqu'à son nom.

"Je me suis retrouvée devant le problème suivant : qui suis-je ? J'étais dans une espèce de brouillard", raconte-t-elle. Ce brouillard ne s'est toujours pas levé depuis.

L'enquête menée par la police n'a rien donné. Je suis comme un chien perdu sans collier Marie à France Bleu Roussillon Marie vit aujourd'hui à contrecœur dans une unité médicale.

"Je n'ai pas besoin d'être dans cette structure", assure-t-elle. Pour la société, Marie n'existe pas Marie Bonheur est également confrontée à une difficulté de taille : pour la société, elle n'existe pas.

"Sans identité vous n'avez aucun droit", explique Xavière Lethuillier, mandataire judiciaire à la protection des majeurs. Elle n'a ni argent ni couverture sociale. Marie Bonheur ne peut pas non plus avoir accès à l'aide juridictionnelle. La seule solution pour cette retraitée est donc de lancer un appel à témoins même si elle appréhende d'être reconnue.

"J'ai vécu quelque chose de traumatisant et j'ai dû mettre des barrières. J'ai peur de retomber sur les images de ce que j'ai subi. Je me demande s'il est possible de reprendre ma vie... Est-ce que je vais y arriver ?"

Les personnes qui pensent reconnaître Marie peuvent appeler le 06 38 13 77 37 ou envoyer un mail à appel.temoin.marie@gmail.com.

 

Pyrénées

Publié à 13:32 par fandeloup Tags : france sur nuit animaux femmes couple hiver place paysage chiens
Pyrénées

Dans les Pyrénées, ces bergers qui ne veulent pas la peau de l’ours Dans les Pyrénées, ces bergers qui ne veulent pas la peau de l'ours

La vallée pyrénéenne d’Aspe s’est déchirée au cours de l’été entre les partisans et les opposants au lâcher de deux ourses slovènes. Sur place, Mireille Bonhomme et Marc Peyrusqué, bergers, militent pour la réintroduction de l’animal dans les montagnes. Etsaut (Pyrénées-Atlantiques), reportage

Le break gris de Mireille Bonhomme grimpe à un rythme soutenu les derniers kilomètres de piste aménagée depuis le village d’Etsaut. La poussière vole sous les roues tandis que la conductrice commente les infimes changements de paysage apparus depuis son dernier passage. Elle entreprend chaque semaine un muletage jusqu’à la cabane Cap de Guerren, où son compagnon, Marc Peyrusqué, passe l’été depuis vingt-trois ans. Ils sont bergers. Il garde les brebis et fabrique les fromages dans les estives. Elle descend les fromages, monte le ravitaillement avec les ânes et assure la vente sur le marché de Pau, ou en direct à leur ferme, à Arbus.

Au stationnement de Bieus, la piste se transforme en sentier escarpé. Mireille Bonhomme gare son véhicule, dont la vitre arrière est ornée d’un autocollant sans équivoque : « Des ourses pour le Béarn. » Le reste du chemin vers la cabane se fera à pied en compagnie de Manu, la muletière.

Le couple fait partie des bergers adhérents au cahier des charges Pé Descaous (l’un des surnoms de l’ours en béarnais qui signifie « va-nu-pieds ») mis en place par le Fonds d’intervention écopastoral (Fiep), une association qui milite pour la cohabitation entre l’animal et le pastoralisme. Les quatorze bergers signataires transhument dans des zones de présence de l’ours. Ils font connaître leur engagement en imprimant l’empreinte du plantigrade dans leurs fromages.

« Des ours, il y en a toujours eu »

Dans la vallée d’Aspe, l’annonce de la réintroduction de deux ourses slovènes pour accompagner les deux mâles de la région, Néré et Canellito, a réveillé des fractures profondes. À tel point que, le 29 juillet dernier, la vingt-cinquième édition de la fête du fromage d’Etsaut a été boycottée par les anti-ours, qui ont organisé leur propre fête, à Écot. Une première dans la vallée et Mireille craint que cela ne laisse des traces : « J’ai peur que désormais, il y ait deux fêtes chaque année », soupire-t-elle en gravissant les pentes vers la crête de Salistre. Manu, la muletière.

À la cabane Cap de Guerren, située à 1.841 mètres d’altitude, et dont il ne descend pas de juillet à septembre, Marc Peyrusqué trait deux fois par jour plus d’une centaine de brebis et une cinquantaine de chèvres : « L’ours, ce sont des emmerdes pour nous », constate-t-il en délivrant une brebis manech reconnaissable à sa tête noire de la cage de traite. Le plus gros mammifère des Pyrénées oblige les bergers à une vigilance accrue et à prendre des mesures pour s’adapter à sa présence. Au milieu de ses animaux, dont l’odeur âcre imprègne les alentours de sa cabane, le berger poursuit : « Pourquoi je suis pour l’ours ? Parce que je veux vivre de mon métier tout en cohabitant bien avec mon environnement. Et des ours, il y en a toujours eu. »

Certains propriétaires de troupeaux ne passent plus leur été dans les estives, et ne montent que ponctuellement. Ils ont perdu la dénomination de « bergers » pour devenir des « éleveurs ». Pour Marc, cette pratique favorise les « cartons », c’est-à-dire une perte subite de plusieurs bêtes, avec ou sans l’ours, et a des effets néfastes : les brebis, quand elles ne sont pas guidées, ne choisissent que les étendues d’herbes les plus attrayantes et perdent leur rôle de nettoyeuses de la montagne, car elles délaissent les zones envahies par la végétation.

« C’est grâce à l’ours que l’on peut embaucher Manu et Charlotte. Sans lui, elles ne seraient pas là non plus »

Marc souhaiterait que tous les troupeaux soient surveillés, les éleveurs pouvant employer facilement des jeunes grâce aux aides : « Cela redynamiserait les vallées, donnerait de l’emploi aux jeunes et contribuerait à la continuité du métier. » Et d’avancer ce chiffre : « Même sans la problématique de l’ours, les pertes sont d’environ 1 % avec une présence en estive contre 15 % quand il n’y a personne. » Les décès auxquels il doit faire face sont majoritairement dus au dérochage, aux vipères, aux parasites, et, en hiver, lorsqu’il est en bas, aux chiens. Marc Peyrusqué et Charlotte traient deux fois par jour plus d’une centaine de brebis et une cinquantaine de chèvres.

Durant l’été, le couple est épaulé par deux salariées. Manu, la muletière, dessert trois cabanes chaque semaine avec des ânes. Elle est salariée d’une association créée par plusieurs bergers. Quant à Charlotte, elle assure une présence dans les estives aux côtés de Marc et l’aide pendant les deux mois les plus intenses, juillet et août. « C’est grâce à l’ours que l’on peut embaucher Manu et Charlotte. Sans lui, elles ne seraient pas là non plus. » Les subventions pour la préservation du pastoralisme assurent 80 % du salaire des deux jeunes femmes. Le plan ours 2018-2028, proposé par le gouvernement au printemps 2018, prévoit de nouvelles aides pour les bergers qui transhument sur son territoire. Sans cette aide financière, le couple n’aurait pas les moyens de salarier des jeunes : « Nous gagnons un Smic à deux avec Mireille. Sans les subventions, le métier aurait sans doute disparu. » Marc : « Cela fait plus de trente ans que je fais ce métier et l’ours ne m’a jamais pris une seule brebis. »

Les agriculteurs qui s’opposent à la présence de l’ours avancent les risques de prédation que ferait peser l’animal sur les troupeaux. « Cela fait plus de trente ans que je fais ce métier et l’ours ne m’a jamais pris une seule brebis », commente le berger, non sans une once de fierté, avant d’ajouter : « Mais, dans le métier, c’est rare, la plupart ont au moins eu une bête mangée. » Après plus de trois décennies passées dans les estives, il estime que les mesures de protection pour éloigner l’ours et éviter qu’il ne s’attaque aux troupeaux n’ont rien d’impossible, même si le risque zéro n’existe pas.

« L’ours est un omnivore opportuniste qui évite l’homme »

Alors que le soleil descend se cacher derrière les sommets, les brebis, qui avaient profité de la fin de la traite pour s’éloigner dans le vallon face à la cabane, reprennent le chemin en sens inverse. Pour s’assurer qu’aucune récalcitrante ne choisisse de ne pas rentrer, Charlotte part à leur rencontre. Tous les soirs, les bêtes sont contenues à proximité du lieu d’habitation. Elles ne sont pas parquées : ici, la montagne est trop escarpée pour le permettre, mais, ailleurs, des clôtures protègent parfois les troupeaux la nuit. Quatre chiens patous, dont la fourrure blanche se confond avec celle des brebis, veillent sur elles.

« L’ours est un omnivore opportuniste qui évite l’homme. Si on ne lui donne pas l’occasion de se saisir d’une brebis, il ne le fera pas. » Marc insiste, l’ours n’est pas le loup : entre un omnivore solitaire et un carnivore chassant en meute, les risques de prédation ne sont pas les mêmes. « Si le loup arrive, ça sera une autre paire de manches. Parquer les brebis et les surveiller avec les patous, ça risque de ne plus suffire. Mais, on en est pas encore là », balaie-t-il de la main. Moule d’une empreinte d’ours qui sert à imprimer les fromages.

Assis à sa table en bois avant de rejoindre le troupeau en ce dernier jour de juillet, il formule un vœu : « J’espère qu’ils ne vont pas reculer, qu’ils vont bien les lâcher, ces ourses. »  Depuis, Nicolas Hulot a démissionné du gouvernement, des agriculteurs anti-ours ont organisé une manifestation sanguinolente (brebis mortes et poches de sang lancées sur la mairie) à Etsaut, le 29 août, visant la maire pro-ours, Élisabeth Médard. Les résultats de la consultation menée par la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, à laquelle 6.000 internautes ont participé, montrent une majorité acquise aux promoteurs des plantigrades. À l’échelle de la France , 88,9 % sont favorables à la réintroduction de l’ours, chiffre qui tombe à 58,6 % de réponses favorables pour les communes du Béarn concernées. L’ours divise bel et bien la vallée d’Aspe.

bacterie

Publié à 09:21 par fandeloup Tags : google france monde chez sur nature
bacterie

Hôpitaux: Une redoutable bactérie se propage insidieusement dans le monde entier

 Des chercheurs ont découvert des souches de cette bactérie multirésistante qui ne peuvent être maîtrisées par aucun médicament actuellement sur le marché...

 Une bactérie capable de causer des infections quasi incurables se propage sans être détectée dans les hôpitaux du monde entier, ont prévenu lundi des scientifiques australiens. Des chercheurs de l’Université de Melbourne ont découvert trois variantes de cette bactérie multirésistante dans des échantillons provenant de 10 pays, incluant des souches d’Europe qui ne peuvent être maîtrisées de manière fiable par aucun médicament actuellement sur le marché.

« Nous avons commencé avec des échantillons en Australie », puis avec d’autres prélèvements obtenu un « aperçu global et constaté que la bactérie est présente dans de nombreux pays et de nombreuses institutions à travers le monde », explique Ben Howden, directeur de l’Unité de diagnostic microbiologique du Laboratoire de santé publique de l’Institut Doherty de l’université de Melbourne. Souches résistantes à deux des antibiotiques les plus courants La bactérie (S. epidermidis) est naturellement présente sur la peau.

Mais la variété de la bactérie résistante aux antibiotiques infecte le plus souvent les personnes âgées, aux défenses immunitaires affaiblies ou des patients porteurs de dispositifs implantés, tels que des cathéters, des valves cardiaques ou des prothèses articulaires.

La bactérie, un staphylocoque blanc dont le nom savant est Staphylococcus epidermidis, est apparentée au staphylocoque doré (Staphylococcus aureus) résistant à l’antibiotique méticilline (le SARM) plus connu et plus mortel.

« Elle peut être mortelle, mais c’est généralement chez des patients qui sont déjà très malades à l’hôpital… cela peut être assez difficile à éradiquer et les infections peuvent être graves », a déclaré Ben Howden. Son équipe a examiné des centaines d’échantillons de S. epidermidis provenant de 78 hôpitaux du monde entier.

Les chercheurs ont constaté que certaines souches de la bactérie avaient modifié légèrement leur ADN, provoquant ainsi une résistance à deux des antibiotiques les plus courants, souvent administrés en tandem dans les hôpitaux. « Ces deux antibiotiques n’étant pas liés, on ne s’attend pas à ce qu’une mutation cause l’échec des deux à la fois », selon Jean Lee, doctorant à l’Institut Doherty de Melbourne, et co-auteur de l’étude.

« La résistance aux antibiotiques est l’un des plus grands dangers »

La plupart des antibiotiques les plus puissants sont extrêmement coûteux et même toxiques, et selon l’équipe l’utilisation simultanée de plusieurs médicaments pour prévenir la résistance pourrait ne pas fonctionner. D’après les chercheurs, cette bactérie multirésistante se répandrait rapidement en raison de l’utilisation particulièrement importante d’antibiotiques dans les unités de soins intensifs, où les patients sont les plus malades et des anti-infectieux puissants sont prescrits en routine.

L’étude publiée dans la revue Nature Microbiology montre la nécessité de mieux comprendre comment les infections se propagent et quelles sont les bactéries que les hôpitaux choisissent de cibler. « Il ne fait aucun doute que la résistance aux antibiotiques est l’un des plus grands dangers pour les soins hospitaliers dans le monde entier », a ajouté Ben Howden.

Vigilance

Publié à 09:33 par fandeloup Tags : image bonne roman france sur mode tube film base place centre
Vigilance

Vigilance en France face au retour du choléra en Algérie

 l’épidémie de choléra fait état de deux décès et de 60 cas confirmés.

 Le ministère de la Santé incite à la prudence les compagnies aériennes afin de limiter les risques de propagation de la maladie.

Gare au choléra.

L’épidémie qui se développe en ce moment en Algérie entraîne une hausse des mesures de précaution en France.

Quelle est la situation sur place ?

Les autorités algériennes ont admis depuis le 23 août qu’une épidémie de choléra avait lieu sur leur territoire, ce qui n’était pas arrivé depuis 1986. Le bilan communiqué fait état de deux décès, de 60 cas confirmés sur les 172 personnes hospitalisées.

La contamination viendrait d’une source d’eau dans la région de Tipaza, sans que l’on sache précisément ce qui s’est passé. Les patients sont à l’isolement et soignés, pour éviter la contamination, dans deux hôpitaux à Alger et à Boufarik. Selon les autorités algériennes, la situation est toutefois « circonscrite » et s’améliore, mais cela reste à confirmer.

Une certaine méfiance de la population existe face à cette maladie terrible et la suspicion s’installe face à la consommation d’eau, ou de légumes lavés à l’eau, susceptibles de véhiculer la maladie.

Prudence pour les voyageurs venant d’Algérie Sans vouloir froisser son voisin, la France a pris de discrètes mesures. Le ministère des Affaires étrangères a publié sur son site un « conseil aux voyageurs » qui se rendent en Algérie.

« Plusieurs cas de choléra ont été diagnostiqués dans le nord et le centre du pays. Dans tous les cas, il est impératif de porter une vigilance particulière aux règles d’hygiène et de sécurité afin de se préserver des contaminations digestives ou de contact », précise le Quai d’Orsay.

Les compagnies aériennes doivent désinfecter les avions De façon plus sensible, le ministère de la Santé hausse son niveau d’alerte. La Direction générale de la santé (DGS) précise que « l’OMS ne conseille ni le dépistage systématique ni la mise en quarantaine pour les voyageurs en provenance des régions touchées par le choléra ».

Mais pour autant, des consignes précises sont données aux compagnies aériennes : « La DGS a informé la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), qui a diffusé une information auprès des compagnies aériennes et des aéroports ayant des liaisons directes avec l’Algérie. »

Il leur est précisé que si un patient transporté était pris « de vomissements ou de selles » — mode de contagion de la bactérie — « il était de leur responsabilité de désinfecter l’avion ».

L’Institut Pasteur prêt à identifier des cas Toute la chaîne de santé publique, et notamment l’Institut Pasteur, est prête à réagir en cas d’arrivée d’un malade sur le sol national. « Dans ce cas, le laboratoire nous envoie le prélèvement pour diagnostic. Si le choléra est avéré, l’agence nationale de santé publique est avertie », explique Marie-Laure Quilici, directrice du Centre national de référence du choléra à l’Institut Pasteur.

« Le respect des conditions d’hygiène de base, complété par des précautions d’isolement, permet d’éviter la contagion. Et il y a la recherche des personnes qui ont été coexposées à la source probable de contamination », ajoute-t-elle. Le traitement est urgentissime.

« Comme le patient peut perdre plusieurs litres en 24 heures, il est impératif de le réhydrater, sinon il risque de décéder. On lui donne aussi des antibiotiques », ajoute le docteur François-Xavier Weill, chef de l’unité des bactéries pathogènes entériques à l’Institut Pasteur. « Le choléra est un bacille mobile. Il libère une toxine qui perturbe le tube digestif, et toutes les cellules libèrent leur eau. Mais avec une bonne prise en charge, on en guérit vite. » Un patient qui arrive, les yeux totalement creux et quasiment mourant, peut vite retrouver la forme après une réhydratation.

 

LE CHOLÉRA, L’AUTRE PESTE

Ah choléra ! L’expression dit bien son nom, qui associe une très mauvaise nouvelle à l’énoncé de cette pathologie gravissime, se traduisant par des selles très fréquentes, des vomissements, un amaigrissement rapide et un fort abattement. Si maintenant on arrive à soigner cette maladie mortelle transmise par une bactérie, cela n’a pas toujours été le cas et, comme la peste, au cours des siècles précédents, ce bacille a fait des ravages. Dans l’imaginaire collectif, le choléra est incarné par les personnages du film « le Hussard sur le toit », d’après le roman de Jean Giono, où l’on voit ses ravages sur les patients mourants en Provence en 1832, même si le film prend quelques légèretés avec les vrais symptômes de la maladie.

« En 1832, l’épidémie de choléra a fait plus de 20 000 morts à Marseille et à Paris, dont Casimir Périer, président du Conseil. C’est un vrai traumatisme pour la population. La foule a lynché des personnes qu’elle suspectait de porter le choléra », explique le Dr François-Xavier Weill. La bactérie vient alors du Bengale et a été ramenée par des voyageurs, en bateau. Au fil des années, le choléra est éradiqué en Europe, même si un ou deux cas « importés » sont traités dans les hôpitaux.

« Pourtant, dans certains pays, le choléra est toujours très actif. Un million de personnes ont été touchées à Haïti après le tremblement de terre et, en ce moment, une épidémie de grande ampleur a lieu au Yémen », ajoute le Dr Weill. Cette pathologie étant transmise par des eaux souillées, elle confère une très mauvaise image aux pays où elle se répand, comme la preuve d’un grave sous-développement.

horreur

Publié à 07:49 par fandeloup Tags : air
horreur

La , il y a vraiment de quoi être inquiet .. Jusqu'où iront ils ...... La haine du loup declenchée par Estrosi , porte ces fruits sous l'air Macron ..... Cela va mal se finir tout ça ..... Très mal

savoie

Publié à 18:09 par fandeloup Tags : saint sur création animaux
savoie

Brison-Saint-Innocent : le chamois, nouvelle bête noire de la vigne ?

Les animaux ont été photographiés à leur insu par un appareil à déclenchement automatique.

 Partager cette info Jusque-là, on connaissait, ici comme ailleurs, les ravages que les sangliers et les blaireaux pouvaient faire dans les vignes. Poussés hors des forêts à cause d’une sécheresse chronique, ils viennent croquer les raisins en pleine maturation et rechercher des larves pour compléter leur menu, engendrant des dégâts parfois importants.

Pour endiguer ce fléau, les vignerons, aidés par les chasseurs locaux, s’équipent de clôtures électriques qui protègent leurs terres. La fédération de chasse, qui se doit de protéger les cultures (c’est une mission de service public), paye les dégâts.

Mais du côté de la Combe aux moines, à Brison-Saint-Innocent, un nouveau nuisible menace les vignes : le chamois. Un ongulé de plus en plus présent sur les hauteurs du village. Le dernier comptage effectué par les chasseurs des ACCA du Groupement d’intérêt cynégétique (GIC) du massif Gros Foug-Clergeon-Chambotte en avait dénombré 103 au total.

Une première en Savoie Depuis mi-août, plusieurs chamois (âgés de 6 à 10), sans doute poussés vers les vignes par la présence du lynx, ont pris l’habitude de “squatter”, en toute tranquillité, malgré les protections, une parcelle de 1 000 m² de roussette située en limite de la falaise.

Au grand dam du propriétaire, Christophe Rossillon. « Ils viennent régulièrement prendre ici leur repas : feuilles, sarments, diverses plantes qui poussent entre les rangs… », constate amèrement le viticulteur. « La moitié du carré a été dévoré ! » Celui-ci a très vite informé le président de l’ACCA locale, Georges Davoine, ainsi que Joël Ducros, administrateur la Fédération des chasseurs pour le secteur Aix/Albanais et bien sûr la DTT, l’administration de tutelle pour trouver une solution.

« C’est le premier cas en Savoie. Nous souhaitons trouver une solution locale. En accord avec l’administration, on s’oriente vers un prélèvement avec les bracelets attribués au plan de chasse et la création d’un poste de tir supplémentaire à proximité des vignes concernées », proposent-ils de concert.

honteux

Publié à 17:28 par fandeloup Tags : marne femme société coup bébé
honteux

Un coup de scalpel et six points de suture pour un nouveau-né pendant une césarienne

 Un médecin n’aurait pas présenté d’excuses après qu’un nouveau-né a reçu un coup de scalpel 

La mère de l’enfant dénonce l’attitude des médecins plus que leur erreur. Un accouchement qui ne se passe pas bien et surtout une réaction du corps médical qui passe mal.

Le journal «l’Union» rapporte le témoignage d’une jeune mère à propos d’un incident dont elle a été victime à la polyclinique de Reims-Bezannes, dans la Marne, le 24 août : son bébé a reçu un coup de scalpel pendant une césarienne, ce qui a nécessité la pose de six points de suture.

Plus que l’incident en lui-même, c’est la réaction du gynécologue qui a marqué cette femme. «C'est pas grave, c'est dans les cheveux», lui aurait-il simplement dit, sans un mot d’excuse. Par ailleurs, il n’aurait pas été administré suffisamment d’anesthésiant à cette femme.

Contacté par le quotidien, le directeur en charge de l’établissement reconnaît un «aléa thérapeutique», mais pas de faute à proprement parler. Il évoque une «blessure superficielle sans conséquence esthétique».

En revanche, il reconnaît que «le médecin n’a sans doutes pas dit les paroles que la maman attendait». Cette dernière n’a pas déposé plainte, étant avant tout en quête d’un dialogue avec l’établissement. Le chirurgien devrait finalement revenir vers elle.